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Poulpe

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  1. Bonjour, point de provoc dans mon intervention, volontairement du moins, il m'a semblé qu'on estimait que la gravité des faits, exprimée en termes quantitatifs devait pouvoir participer à moduler la durée de la peine, donc 136 viols sont assortis d'une peine plus lourde qu'un viol ; Par ailleurs il fut également question d'une considération qualitative cette fois, un meurtre étant sanctionné plus sévèrement qu'un viol ; Je constate donc qu'il existe un seuil ou toutes les infractions quelle que soit leur gravité (qualitative et/ou quantitative) sont assorties de la même peine. N'ayant aucune connaissance juridique je me demande ce qui préside à un tel seuil maximal... Serait-ce la goi en une possible remission de tout un chacun, et qu'il reste donc une part d'humanité chez les "monstres" ? La ou la peine de mort ou la prison à vie me semblent refléter un parti pris d'impossibilité à changer ? Par ailleurs, une autre question me vient, il me semble naturel de juger plus sévèrement un meurtre qu'un viol, mais je me demande ce qui justifie cela si ce n'est une intuition morale personnelle ; Aussi comment les peines sont elles pensées par le monde juridique, sont elles sensées refléter les intuitions morales les plus largement répandues dans un contexte socio-culturel donné ? Je m'excuse d'étaler ainsi mon ignorance et j'imagine que ma communication est maladroite
  2. Et je me demande si 136 meurtres et 136 viols doivent être assortis de la même peine ?
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