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Poly

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Tout ce qui a été posté par Poly

  1. Je peux participer aussi (avec mes quelques connaissances et mes quelques appuis).
  2. Si vous partez perdant, vous ne gagnerez jamais, c'est clair. Moi, ce que je vois, c'est que même en Californie (la France des USA), des comtés républicains (et libéraux pour le coup) résistent bien, en passant par la voie électorale mais pas que. La voie électorale seule ne suffit pas (il faut s'engager dans l'adminnistration, dans la police, dans les médias, bourriner les fake news, vouer à la vindicte populaire), mais la voie non électorale non plus (car on n'aura aucun représentant).
  3. Effectivement, n'oublions pas qu'un candidat eut être élu triomphalement avec 80% d'abstention. Personnellement, je considère que s'abstenir, c'est ne pas avoir réfléchi à la tactique politique. Nous les libéraux ne seront jamais en majorité, on n'est que 10% de la population, on est obligé de la jouer tactique. Si Macron passe, il aura à lui seul (lui et son camp) le pouvoir de faire ce qu'il veut. Si Le Pen passe, l'opposition devrait être assez grosse pour qu'elle soit contrainte de rechercher des alliances et surtout de rechercher l'efficacité brute (celle des libéraux en fait, parce que la liberté, c'est le plus efficace à moyen -terme) pour se légitimer. Conclusion : votez Marine.
  4. Une première remarque. Comme l'a montré l'excellent Karl Ferdinand Werner dans La naissance de la noblesse, le courage, la munificience, etc sont des vertus découlant directement de la dignitas romaine et non d'un héritage germanique qui fut détruit par Clovis qui ne cita même pas les "hommes bien nés" germains dans ses lois saliques, effaçant leur statut par la même occasion. La dignitas romaine consiste à être ... considéré comme important (digne) dans la société, digne des honores (places de choix dans l'appareil de pouvoir), quand on a fait quelque cose pour la majesté du peuple Romain (sous la République) puis pour la majesté du princeps (sous l'Empire, où le princeps usurpa le pouvoir du peuple, élément clairement affirmé). Mais sinon oui, j'ai tendance à confondre humilitas et charitas. Et pour en revenir au sujet, je pense que le geste de compassion peut être inscrit dans la tradition occidentale la plus pure, celle des relations de clientèle dans la cité, qui est le corps des citoyens. La relation de clientèle consiste en des actes de bienveillance réciproques marqués par l'inégalité entre le patron et le client (à Rome, le patron fournit une super mutuelle assistance juridique agence matrimoniale contre un capital politique et un homme de main toujours dispo). L'amitié à la romaine, c'est pareil mais avec une relation d'égalité. Et ça, c'est caractéristique de la cité, le corps des citoyens, qui n'est pas contrairement à ce qu'on a longtemps cru un héritage grec mais indo-européen. On la retrouve chez les Gaulois, chez les pré-vikings, etc. Elle repose sur le cens, qui est la distinction des gens dont le prestige est reconnu par leurs pairs, venant d'un rituel post bataille des indo-européens de partage du butin selon la valeur de chacun observée par les autres sur le champs de bataille. De là, on comprend que clientèle et amitiés forment un rempart contre les attaques imprévues (par exemple, mon réveil ne sonne pas et j'arrive en retard en cours, c'est une attaque imprévue). Même si je me suis fait démolir par une attaque surprise, je peux compter sur les dons" charitables" de mes amis et clients, car ils savent que dans tous les cas, je fera plus tard des contre-dons. Une sorte de compassion rationalisée en quelques sortes.
  5. Et si la "compassion" chrétienne était l'expression d'une force ? Je m'explique. On peut faire preuve d'humilitas, c'est bien, mais pour faire preuve d'humilitas, il faut renoncer, et pour renoncer, il faut déjà être très fort, le summum étant de renoncer comme si on s'en fichait, comme si on était tellement fort que ce n'étazit qu'un jeu presque. Un peu comme un pays hypoer puissant renoncerait à une île lointaine parce que basta, il est tellement fort qu'il peut se le permettre. C'était la pensée de la noblesse chrétienne du Haut Moyen-âge.
  6. Sauf que politiquement parlant, ça passe mieux de dire "je vais supprimer des niches et diminuer les impôts" en mode redistributif (même si c'est pas notre objectif) que simplement réduire les impôts. Il faudrait que les libéraux comprennent la tactique politique un jour. Mais sinon oui, théoriquement, dans le débat d'idées, je reconnais que vous avez raison. Ce n'est pas une question de déléguer le pouvoir ou pas, c'est de mettre les "dirigeants" (conseillers constits, président, député, commissaires de police, et j'en passe) sur un siège éjectable après un an de mandat par exemple. Ainsi, sur le tas, avec une alternance aussi rapide, le libéraux auront une chance d'être élus sur des malentendus politiques qui pourront se multiplier. A chaque élection, on a une probabilité de malentendu politique (menant potentiellement à un dirigeant libéral). Si on multiplie les élections, on aura plus de malentendus, donc plus de chance d'avoir un libéral au pouvoir. Et si un libéral arrive au pouvoir, il pourra favoriser un front pionnier quelconque par une mesure bien placée, donnant un soutien libéral organisé. Quant au renforcement de l'Etat, pas besoin de vote, une autocratie est sacrément étatiste, c'est historiquement vu. Et puis au bout d'un moment, il s'agit de sortir des débats théoriques et de regarder historiquement, les régimes full électifs ne favorisent pas l'étatisme car les dirigeants ont un rapport direct avec le corps civique et ne souhaitent pas qu'il y ait une bureaucratie pléthorique entre eux et leurs électeurs. Ils favorisent donc dans l'usage de leur pouvoir leurs réseaux personnels plus que celui de la bureaucratie (du moins, à partir d'un certaine quantité d'élections et de division du pouvoir). Personnellement, je vois le vote comme l'expression du pouvoir de citoyens, qui repose lui, effectivement, sur autre chose, comme le port d'armes, l'organisation en corps intermédiaires, etc. Parce que sinon oui, c'est pas très dur de faire un vote pour mettre hors la loi la notion d'élection. _____ Mais pour une illustration pratique, on peut se référer à Rome. Quand on connaît vraiment bien els institutions de Rome (i.e qu'on a lu autre chose que Mommsen sur le sujet et qu'on s'est tenu à jour sur ses connaissances avec des auteurs post-2000), on s'aperçoit qu'en fait, l'élection permanente, ça marche.
  7. Non, il faut le supprimer. COncentrons-nous sur les effets concrets plutôt que sur de la terminologie. Je crois que vous êtes d'accord pour dire que c'est un outil utilisé par l'Etat pour favoriser ce qu'il veut non ?
  8. Justement, si un gouvernement libéral se propose, il pourra peut-être ratisser deux trois voix à gauche comme ça. Et puis surtout, SURTOUT, le plus important, depuis les deux corps du roi, on est en religion étatique : l'Etat est magique, infaillible, et va tout régler. Donc, pour gagner le coeur de non libéraux, ou par défaut ne pas trop se les mettre à dos (parce que notre objectif, c'est de gagner le pouvoir, pas que de râler sur un forum), il ne faut pas dire "cassons l'Etat", il faut leur dire "C'est une occupation de l'Etat ! Nettoyons-le de ses parasites", tout en faisant attention à ne pas ensuite se laisser emporter par le syndrome du pont sur la rivière Kwai (se faire une fixette sur un objectif intermédiaire en perdant de vue l'objectif final). "se compromettre dans des arrangements et des combines louches, procédés qui répugnent les libéraux en règle générale. " -> ah non, au contraire. Les rares libéraux qui historiquement ont eu du pouvoir ont toujours été des gros combinards jouant sur des malentendus, et ils y étaient obligés, puisque les libéraux sont toujours en minorité dans la population. Plus il y a de combines, plus y a de malentendus, et plus un libéral a de chance d'arriver au pouvoir sur un malentendu pour auto-détruire le pouvoir en place en soumettant tout à l'élection, engendrant encore plus de combines. Bien entendu, je parle de combines dans lesquelles le "peuple", les groupes de pression extérieurs, la société au sens large a un rôle à jouer, je parle de combines qui sortent des palais et des cabinets fermés (dans lesquels les combines sont moins développées en général). Pour faire simple, il faut un climat de campagne électorale permanente, à tous les niveaux, avec tout le jeu que cela suppose. Et je pense que c'est plus tenable en public cette position qu'une position libérale "classique" qui se verra toujours déconsidérée par des caricatures à la US magggggyyy. On peut en parler dans la section histoire (existe-t-elle) sur un fil dédié, mais Cicéron, un libéral si on y regarde bien, était le plus gros combinard que j'ai jamais vu.
  9. Effectivement, on peut même voir ça comme une dépense de l'argent de nos enfants (la dette n'est rien d'autre qu'un impôt sur les enfants).
  10. Pas tout à fait. Ce n'est que l'envers d'une même pièce car l'Etat favorise ainsi un acteur relativement aux autres. En soi, s'ils décidaient de faire une subvention du même montant, ce serait exactement le même effet final. Je serais d'ailleurs partisan de compter les crédits d'impôts et autres déductions fiscales dans la dépense étatique.
  11. Les niches fiscales sont de fait une dépense (ça s'appelle même une dépense fiscale) en tant que subvention déguisée. Je suis d'accord avec la dernière phrase. Mais remarquez que depuis 50 ans, ça ne se fait pas. Et même, supposons qu'un libéral soit élu dictateur quinquennal sur un malentendu (parce qu'il ne le sera jamais autrement), et qu'il réduise massivement le rôle de l'Etat, ça ne m'étonnerait pas que les suivants (non libéraux) détruisent progressivement son oeuvre, voire la dénaturent, et disent ensuite que c'est la faute au marché si ça marche pas. Ecoutons John Galt les mecs, rien ne sert de se crever à la tâche de "libéraliser" le pays par la force sans changer les institutions (un peu comme Thatcher). Il faut voir plus haut et se demander quel système politique favoriserait le plus des gens libéraux et des mesures libérales. Et pour ça, si nous partons du fait qu'effectivement, seuls 10% des gens en France sont libéraux (20% aux USA, 15% au R-U), le seul moyen, c'est que les malentendus permettant que des libéraux aient du pouvoir (i.e des combines du type "ouais, lui, il est vaguement consensuel dans notre parti car certes il ne satisfait pas tout le monde mais il ne favorisera personne, ou alors des circonstances favorables, voire la débilité des électeurs ou des manipulations politiques et médiatiques) arrivent plus souvent. Et pour ça, le seul moyen, c'est que les combines politiques jouent à fond, et pour ça, c'est le vote permanent à tous les étages. Cela supposerait que le prochain président vraiment libéral au pouvoir (sur un malentendu) ne se contente pas de libéraliser par la force au court-terme mais s'auto-détruise en usant de ses pouvoirs exagérément étendus pour imposer des élections partout (préfet, directeur de l'école du coin, pareil pour les collèges et lycées, pour les commissaires de police, limitation des mandats parlementaires à 1 an, élection des ministres), en dissolvant le SGG (qui coordonne l'activité gouvernementale au quotidien) entre les divers ministères, bref en foutant le bordel dans l'Etat, ce qui laissera la marge de manœuvre nécessaire aux libéraux. Ok, à court-terme, il y aura de l'action, mais à moyen-terme et à long-terme, c'est le seul moyen. On le voit historiquement. Ah oui, j'oubliais un truc, avant de faire ça, ouvrir un front pionnier (parce que ça, ça favorise toujours les libéraux qui vivront dessus). En France, on a de la chance, on en a un, le gaz de schiste, dont l'exploitation par de petits frontiéristes est tout à fait rentable, plus même que par les groupes géants.
  12. Je repends ce thread car j'ai récemment découvert Philosophie de l'art de Hippolyte Taine. On pense ce qu'on veut du bonhomme en politique, il s'y connaît en art (donc en esthétique sur le tas). Et ce qu'il dit est intéressant. Je le résume ci-dessous : L'art, on pourrait penser que c'est une imitation réussie. Pourtant, les moulages ne donnent pas les meilleures statues, les photographies ne donnent pas les meilleurs tableaux (il écrit avant l'art "moderne"), les sténographies ne donnent pas les meilleures pièces de théâtre (ça, c'est très convaincant). Il y a donc autre chose que la pure imitation dans l'art. [Ca, on le savait déjà intuitivement]. Alors ce serait peut-être de conserver des "proportions", des rapports entre les choses. Eh ben non, toujours pas. Les statues de michel-Ange sont déformées avec des muscles terrifiants, des torsions, des vertèbres en trop, comme la Grand Odalisque. Pourtant, c'est beau. L'art modifie donc les rapports entre les choses (entre autres les proportions). Mais ça sert à quoi ? L'art serait ce qui fait ressortir l'idée générale d'une "scène". Par exemple, quand je décris à l'écrit une scène, je m'intéresse non pas à tous les détails anatomiques de ceux qui parlent mais à l'impression générale qu'il s'en dégage, i.e aux éléments pertinents. Les éléments pertinents, c'est l'idée qui sous-tend la chose, son essence. Prenons un exemple, le lion. Le lion, c'et fondamentalement une machoire sur pattes, toute son anatomie concourt à cela. Donc, pour représenter une oeuvre d'art sur un lion, on représente sa machoire avec une impression de mouvement. [Le pire, c'est que j'ai regardé les représentations modernes de lions, sur des tatouages, sur des icones, sur des tableaux, tout, ça marche]. Il cite des exemples plus avancés de tableaux et explique en fonction de l'époque, et vraiment, c'est convaincant. Un peintre crée un archétye de son époque, même s'il n'a jamais rencontré qui que ce soit de tel. Il aura peut-être vu telle personne avec un tel corps, mais pas dans le même contexte, ou telle personne avec tel habit flamboyant mais sans le corps qui va dessous, et il va fusionner tout ça en l'archétype d'une époque (qu'il appelle le personnage-règne il me semble). Par conséquent, l'art serait de modifier les rapports entre des choses pour faire ressortir une idée (et si l'oeuvre est réussie, l'idée qu'on fait ressortir est l'essence de ce qu'on représente). Pour la musique, c'est les rapports entre notes, i.e la succession des notes (la mélodie) et leur superposition (l'harmonie). Et cette définition explique pourquoi l'être humain a toujours fait de l'art. Le monde est imparfait, on ne vit pas dans un monde d'essences et d'idées (le lion ne se réduit pas une machoire sur pattes). Donc, on se donne un ersatz de perfection par l'art. ____ Il continue en expliquant comment l'artiste est influencé par son époque. Par exemple, prenons la tristesse, une époque de mort, de peste, de pillages. Il aura beau être jovial de nature, il subira les malheurs du temps comme les autres (1). Il sera influencé par ses "discussions" quotidiennes (par 'humeur de ceux qui l'entourent) qui sont sa source d'inspiration principale, ce qui amplifie le 1 (2). Il s'inspirera des "écoles" de son temps, des hommes exprimant la tristesse (3). Le goût du public sera dirigé vers des oeuvres tristes (on cherche ce qu'on ressent), qui fera oublier tout artiste trop joyeux et le découragera in fine de faire des oeuvres joyeuses (4). Bref, ses oeuvres exprimeront la tristesse d'une époque. On peut faire pareil avec la joie, et avec tout intermédiaire. Bref, il conclue cette partie en disant que l'oeuvre d'art réussie n'est pas l'oeuvre d'un seul homme mais de toute une époque, de tout un peuple. Ensuite, il illustre par deux études de cas, l'art italien de l'époque de Vinci et l'art hollandais de je ne sais plus quand. Et ça marche bien.
  13. Pour le coup, l'électorat de MLP, c'est mass ouvriers, qui vont aux candidat qui leur donnera du pain et des jeux, et des gens qui auraient voté Zemmour mais qui votent pour elle par défaut, manque de confiance ou barrage à Mélenchon,i.e les fameux bourgeois patriotes, qui doivent bien faire du 15% au total (donc 7% des voix de MLP). Ces deux électorats sont ultra sécures contre le micron qui ne les aura pas SAUF s'il lâche la start-up nation et son pseudo-libéralisme domestique qui n'a rien d'un libéralisme authentique. Et s'il lâche ça, il perd sa propre base sécure, les Strauss-Kahn boys. Conclusion : 1) il va sécuriser les gauchistes castors qui veulent faire barrage sans trop savoir pourquoi. 2) Dans les deux cas, on se prend un socialisme, national contre l'immigration pour l'une, chromé et customisé de suffisance pour l'autre. 3) On a compris que le RN pomperait toujours une partie de la "bourgeoisie patriote", rendant ce créneau inutilisable (le Z a utilisé, au moins un peu, et il a échoué). Il faut donc un autre créneau, peut-être la défense d'une démocratie où le vote serait omniprésent, pour le Conseil constit, pour les chefs de chambre du Conseil d'Etat, pour des parlementaires élus pour un an seulement, voire pour des ministères tel que le ministère des finances. Ca aurait le mérite d'être intéressant et de donner une certaine ambiance à la vie politique, une campagne permanente. Je pense que ce créneau, combiné à des trucs libéraux comme la suppression des niches fiscales et la baisse de l'impôt sur le revenu et de la TVA ratisserait assez large, à droite comme à gauche pour le coup (supprimer les niches fiscales = contre les riches subventionnés).
  14. On dirait que mon texte n'était pas accessible, je le poste ici. Il constitue une excellente réponse au discours fallacieux de Hellebron-le-Rouge. Public libéralisme.pdf
  15. Si, cela justifie le rôle (très limité) de l'Etat autrement que par le principe de non-agression ou la sécurité (qui posent des paradoxes bien signalés par les anarcaps).
  16. Etre libre n'est pas être en sécurité. De 1, la sécurité, c'est quoi ? Etre à l'abri de tout événement extérieur ? Ca, ça s'appelle être un dieu. Tu es en train de me dire que si je prends ma voiture pour me déplacer où je veux, je ne suis pas libre parce que j'ai un risque de me choper un accident. Cette "liberté totale", ça n'existe pas du fait que nous sommes des êtres finis ayant une nature définie (recherche du bonheur entre autres, bonheur étant à définir). Ca explose tout le reste. Quant à savoir comment on peut légitimer 2-3 actions sympas de l'Etat (genre interdire le voile dans la rue), je te renvoie à un pdf que j'avais posté plus haut sur le Public-libéralisme, je crois que ça t'intéresseras beaucoup. Pour
  17. Pour contredire ta définition de la liberté d'ailleurs (même si la citation n'a rien à voir, tant pis, flemme de chercher), je te dirai que la liberté, c'est le droit à l'erreur dans la recherche du bonheur. Dans le bonheur privé (liberté dans la vie de tous les jours) et dans le bonheur du corps médial politique (démocratie).
  18. Je ne parlais pas des "Biens publics" au sens économique du terme mais du Bien Public, le Salut Public quoi, même si l'expression est, hélas, très connotée. Merci l'anarcap mais la police et surtout l'armée, c'est quand même pas si mal. Je suis d'accord qu'il est trop gros actuellement, perso, je suis favorable à une taxe de 10% du revenu pas plus..
  19. J'ai la réponse à ce diabolique et naïf essai. Voici venu l'ère du Public-Libéralisme. Public libéralisme.pdf
  20. Attention, les militaires affirment tous avoir un Moi de guerre et un Moi de paix, c'est très particulier. Quand ils vont à la guerre, ils sortent de cette vie sociale normale et ont parfois du mal à y rentrer de nouveau.
  21. Attention, le chemin menant au bonheur n'est pas subjectif. Il faut lire de l'éthique normative pour voir ce qu'il faut faire. Exemple : Ayn RAND. Et pour le social, pour en revenir au tueur, je ne crois pas qu'un tueur en soit heureux. Il ne réalise plus sa nature d'être social et je crois que lui-même se sent mal. C'est un peu comme la drogue, pour soulager une sorte d'angoisse, angoisse ayant une autre source, le fait qu'il ne réalise pas sa nature humaine. De plus, ne prenons pas les malades mentaux comme base d'un raisonnement moral s'il vous plaît.
  22. "Ensemble cohérent de savoirs et de pratiques dans un certain domaine" ici,il suffit de remplacer "un certain domaine" par "la politique".
  23. Le Meilleur des Mondes est de la SF. On peut dire que SF = une nouvelle technologie (ou plusieurs) et leurs conséquences sur l'univers (c'est assez large). Ici, on est face à une nouvelle technologie politique (au service d'un bon gros eugénisme). Autre exemple : Le Dernier Des Maîtres de P.K.Dick, décrivant une société anarchiste (pas utopiste, i.e avec famines, etc) retrouvant un noyau de planification étatiste dans une vallée perdue (dirigée par un super ordinateur). C'est de la SF, pourtant, il n'y a aucune technologie "technique" en plus, mais seulement l'application de la technologie politique anarchiste.
  24. Poly

    Poly

    Sérieux.
  25. Poly

    Poly

    En lisant sur Le Point un article sur elle, dans un numéro appelé "les Utopies". De là, j'ai lu la Vertu d'Egoïsme et la Grève.
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