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Pleurnicher ? Insulter ? Raconter n'importe quoi ?
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J'ai pris le temps de lire l'article de Contrepoints sur le sujet. C'est assez incroyable de penser qu'il puisse servir de vérité établie et incontestable concernant l'approche à avoir avec les données de pharmacovigilances (si je comprends bien : il ne faut pas les regarder ?, parce que seules des personnes hautement intelligentes peuvent les comprendre, et seules des personnes méprisables s'en servent pour dire autre chose que du bien des vaccins). C'est un point de vue qui semble assez extravagant, et ne pas le partager ne semble pas nécessairement l'équivalent de colporter "des choses fausses". Tout le monde peut consulter ces données, sans avoir besoin de la couche interprétative de Contrepoints ou Lexington (qui se font seulement le porte-parole du discours des autorités réglementaires), pour évaluer le risque.
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Je lie le fichier de suivi de pharmacovigilance réalisé par l'Agence Nationale de Sécurité du Médicament. Ce n'est pas une source complotiste, et ce fichier ne contient pas des informations "fausses". Please. Concernant sa santé, chacun est libre d'évaluer si le fait de se retrouver avec un effet indésirable grave suite à un vaccin, sans preuve formelle que le vaccin en soit la cause, est rassurant ou non.
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Les dernières données de pharmacovigilance que j'ai trouvées sont disponibles ici : https://ansm.sante.fr/uploads/2021/10/22/20211021-covid-19-vaccins-fiche-de-synthese-01-10-2021-14-10-2021.pdf Au 14 octobre 2021, il y avait 101 843 cas d'effets indésirables, dont 25% graves. Soit 25 460 cas graves. Au 14 octobre 2021, il y avait 45,3 millions de vaccinés à 2 doses. Cela donne un risque de 0,056% d'avoir des effets secondaire graves. Tu sous-estimes le risque par un facteur 50 000. Ceci en posant l'hypothèse très audacieuse qu'il n'y a aucune sous-déclaration des effets indésirables par le système médical, alors que plusieurs éléments semblent concorder en ce sens (dont par exemple un ami à moi ayant fait une myocardite 2 semaines après la première injection, qui n'a pas été inclus dans les statistiques).
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Alors que les vaccins occidentaux sont tellement efficaces qu'il faut les refaire tous les 5 mois.
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Alors, comme prévu, cela avance bien. Maintenant, en Australie, les cas contacts peuvent être déportés : https://francais.rt.com/international/92908-covid-armee-australienne-transfere-cas-contacts-camp-quarantaine#.YZ0FSpHiuJc.twitter C'est-à-dire qu'ils déportent des personnes en bonne santé. Non pas que déporter uniquement des cas positifs seraient beaucoup moins effrayant. Cependant cela indique clairement que personne ne sera à l'abri du totalitarisme qui s'installe, peu importe son état médical ou son statut vaccinal. Car je pense que ce qui se passe en Australie, arrivera, tôt ou tard, dans l'UE
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Je suis depuis longtemps convaincu qu'on va tout droit vers l'ouverture de camps de concentration, comme dans tous les déferlement totalitaires qui ont eu lieu dans l'Histoire : The shielding approach aims to reduce the number of severe COVID-19 cases by limiting contact between individuals at higher risk of developing severe disease (“high-risk”) and the general population (“low-risk”). High-risk individuals would be temporarily relocated to safe or “green zones” established at the household, neighborhood, camp/sector or community level depending on the context and setting.1,2 They would have minimal contact with family members and other low-risk residents. [...] Current evidence indicates that older adults and people of any age who have serious underlying medical conditions are at higher risk for severe illness from COVID-19.3 In most humanitarian settings, older population groups make up a small percentage of the total population.4,5 For this reason, the shielding approach suggests physically separating high-risk individuals from the general population to prioritize the use of the limited available resources and avoid implementing long-term containment measures among the general population. [...] Vaccine trials are underway, but with no definite timeline. Reaching the suppression phase where the epidemic subsides can take several months and cases may resurge in a second or even third wave. Herd immunity (the depletion of susceptible people) for COVID-19 has not been demonstrated to date. It is also unclear if an infected person develops immunity and the duration of potential immunity is unknown. Thus, contingency plans to account for a possibly extended operational timeline are critical. https://www.cdc.gov/coronavirus/2019-ncov/global-covid-19/shielding-approach-humanitarian.html
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Article de Médiapart sur les données de pharmacovigilance : https://blogs.mediapart.fr/laurent-mucchielli/blog/300721/la-vaccination-covid-l-epreuve-des-faits-2eme-partie-une-mortalite-inedite 1 000 morts imputables aux vaccins anticovid en France, 6 000 aux USA, en 6 mois.
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Cela vaut ce que cela vaut mais j'imagine qu'il est bien informé sur la question.
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Le décompte Parisien ne prend pas en compte dans les manifestants les 100 000 personnes du Trocadéro parce qu'elles étaient "statiques".
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Le lobbying semble avoir commencé aux USA pour introduire les mêmes mesures : https://summit.news/2021/07/23/cnn-segregate-unvaccinated-make-them-pay-for-tests-every-day/ Ces mesures ne sont pas décidées nationalement, hormis quelques adaptations locales, et il y a des canaux de transmission dans le monde entier.
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D'après l'INED : https://dc-covid.site.ined.fr/fr/presentation/q7/ 0.1% des décès pour les 20-25 ans, donc pour environ 111 000 morts en France cela fait environ 111 morts dans la tranche d'âge 20-24 ans. Sachant que la déclaration du médecin porte sur la tranche des moins de 20 ans, pour laquelle aucun mort ne semble enregistré par l'INED. Il est important de noter que le chiffre américain que tu cites ne concerne la tranche d'âge en rapport avec les propos du médecin. Donc on semble bien avoir un nombre de morts très proche de 0 pour la tranche des moins de 20 ans. Pour que la balance risque-bénéfice soit favorable au vaccin sur les - de 20 ans, il faut donc qu'il n'y ait quasiment aucun effets secondaires graves déclenchés par les vaccins. Cela semble être une croyance irrationnelle (que tu as parfaitement le droit d'avoir, mais tu ne peux pas la fonder sur les données disponibles). Ici se trouvent les données de pharmocoviligance sur le suivi de la vaccination covid : https://ansm.sante.fr/dossiers-thematiques/covid-19-vaccins/covid-19-suivi-hebdomadaire-des-cas-deffets-indesirables-des-vaccins Page 3 du document ci-après : https://ansm.sante.fr/uploads/2021/07/16/20210716-vaccins-covid-19-fiche-de-synthese-periode-25-06-2021-08-07-2021-2.pdf ~61 800 (j'arrondis un peu) cas d'effets indésirables, donc 25% graves, soit 15 450 cas d'effets indésirable graves. Il y a apparemment 28,5 millions de double vaccinés en France donc 28 500 000 / 15 450 = 1844, soit environ 1 cas d'effets indésirables graves pour 2 000 vaccinés. Il me semble, en toute rationalité, que ce médecin que tu méprises et qui a été suspendu par "son ordre", a probablement raison dans son affirmation.
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En quoi le fait d'être suspendu par "son ordre" est décrédibilisant ? En France, les médecins risquent la suspension s'ils exercent leur liberté de prescrire, qui pourtant existe dans la loi. Donc ils s'autocensurent sur des prescriptions et recommendations qu'ils pensent pourtant appropriées, pour éviter de risquer leur carrière. Les ordres des médecins sont des vecteurs de conformisme et d'uniformisation du discours médical, je trouve ça étrange de les présenter comme une source d'autorité légitime comme tu le fais. Sur le fait que la balance bénefice-risque du vaccin soit négative sur les moins de 20 ans, cela ne me semble pas une affirmation très audacieuse étant donné que cette population fait extrêmement rarement une forme grave du covid. Affirmes-tu que les vaccins anticovid ne déclenchent jamais d'effets secondaires graves ?
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Sur la privation d'école de certains enfants : c'est déjà comme ça que les obligations vaccinales pour les vaccins classiques sont fait respecter. C'est donc probablement ce qui va se passer là aussi. Et je m'attends à ce que les écoles et universités arrêtent les cours en distanciels pour obtenir le maximum de compliance à la vaccination.
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Pour le passe sanitaire je vois aussi une technique des "petits pas" : d'abord il est introduit en mai pour les boites de nuits et les très grands évènements, puis en juillet pour des activités de la vie courante, puis...
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Meme procédé aux UK qu'en France : d'abord une instauration du pass sanitaire par la petite porte, avec seulement les boites de nuit concernées. Qui doute qu'il va être étendu dans quelques mois, comme en France ? Si c'est de l'incompétence bureaucratique, je ne peux m'empêcher de penser que celle-ci est très bien coordonnée.
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Surtout le Conseil d'Etat contredit éhontement sa validation antérieure du concept de pass sanitaire, au motif que celui-ci n'était pas censé concerner les activités de la vie quotidienne. Les institutions qui auparavant étaient les garantes de l'Etat de droit sont devenues fantoches. L'Etat de droit n'existe plus en France.
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La mise en place d'une société ségrégationniste et le forcage d'un acte médical sur une population adulte n'est pas "rien", ce sont les signes qui indiquent la direction. La route mène vers le précipe et si rien n'est fait maintenant, la machine aura pris trop d'inertie pour que celui-ci soit évité. C'est sous-estimer la gravité de la situation qui ne me semble vraiment pas productif. Il aurait déjà fallu réagir très fortement au 1er confinement, puis aux masques en extérieur, puis au couvre-feu de 7 mois. Il y a toutes les chances qu'il soit déjà trop tard et que toute résistance soit déjà vaine. Mais attendre que d'autres étapes dans l'horreur soit franchie pour s'alarmer, c'est avoir la garantie qu'aucune réaction utile ne sera possible à ce moment là. L'histoire ne fait pas du sur place, Il y a une direction qui est prise, une route qui est empruntée. La mise en place actuelle d'une société ségrégationniste n'est pas un statu quo futur, mais une étape.
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Je pense que les idéologies flottent dans l'air, et que la technocratie adopte, ou met momentanément en avant, celles qui lui permettent au mieux de faire avancer ses intérêts. Exemples : - en 2020, il était impossible de confiner seulement les personnes les plus à risque de finir en réanimation parce que cela aurait été discriminatoire. En 2021, le pass sanitaire est instauré. - en 2020 il fallait confiner en raison du principe de précaution face à un nouveau virus. En 2021, la population est forcée à se vacciner avec des produits mis au point avec des technologies nouvelles, et pour lesquels il y a des données de pharmacovigilance réduites à la portion congrue Une année on invoque donc le principe de précaution et l'impossibilité de discriminer, tandis que l'année suivante on prend des décisions diamétralement contraires aux principes qui servaient de justifications aux décisions antérieures. La seule ligne de cohérence dans ceci est l'entretien d'un problème qui permet de fabriquer des solutions qui sont dans l'intérêt de la classe dominante (ie. contrôle accru sur la population et justification d'une coordination étatique mondiale accrue). Gouvernance mondiale et controle accru sur la population sont dans l'interet des membres de la classe technocratique : quel être humain pourrait rêver mieux - en terme de pouvoir - que de faire partie de la classe dirigeante d'un Etat mondial, qui a un controle absolu sur tout le reste l'humanité ? Le covid fait avancer la cause d'une gouvernance mondiale et permet un controle accru sur la population => le covid est érigé en priorité absolu La lutte contre le réchauffement climatique fait avancer la cause d'une gouvernance mondiale et permet un controle accrue de la population => la lutte contre le réchauffement climatique est rendu le second problème le plus important de l'humanité derrière le covid
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Il m'est d'avis que la politique est faite de complots (d'alliances, plus ou moins tacites, entre des groupes d'individus, plus ou moins étendus, et ayant entre eux des niveaux variables de solidarité et de loyauté, qui agissent selon un plan pour faire avancer leurs intérêts commun, ou individuels). C'est ce que j'ai pu constater en entreprise. Et plus l'entreprise est grande, plus les plans des "comploteurs" sont éloignés du bien-être global de l'entreprise et ont pour unique motif l'intérêt, commun ou individuel, des personnes agissantes. J'ai du mal à voir pourquoi au niveau étatique et supra-étatique, où les enjeux financiers, sociaux et idéologiques sont décuplés par rapport à l'écosystème d'une seule entreprise, ce genre de dynamique serait diminuée, plutôt qu'exarcerbée. Le fait qu'une classe technocratique (mondiale) ait émergé, et que celle-ci agisse de plus en plus ouvertement contre l'intérêt des peuples n'était pas prévu. C'est la résultante de processus sociaux longs et non-délibérés. Il n'y avait pas de master-plan conduisant à l'émergence de cette classe, mais les processus sociaux ont fait apparaitre cette classe, et les dynamiques et circonstances existantes actuellement dans la société semble permettre à cet classe de d'étendre considérablement son pouvoir son rencontrer de résistance. Ne pas oser décrire les manoeuvres et le niveau de coordination élevé existant au sein de cette classe, par peur de ne pas paraitre assez intelligent ou nuancé, semble confiner à l'impuissance politique. Puisque pour bien résoudre un problème il faut commencer par bien le diagnostiquer. Penser que tout ceci est le résultat d'une bureaucratie incompétente, plutôt qu'une technocratie de plus en plus oppressive, me semble à la fois naïf et trop optimiste. Un désaccord sur le diagnostic conduit à un désaccord sur les prévisions opposées : la vision "bureaucratie incompétente" laisse à penser qu'il n'y a pas de raison particulière que cela empire (l'incompétence ayant des limites), alors que la vision "technocratie oppressive" laisse à penser que cela va nécessairement empirer. Pour l'assentiment des peuples, je pense que la technocratie a en besoin parce que c'est la meilleure manière de faire avancer son agenda. Il n'y a qu'à constater que depuis le début de cette crise, dès qu'il y a la moindre début de critique sur les restrictions dans les médias, l'expert ou le responsable politique la balaie d'un revers de main en invoquant la volonté de la majorité des français. Ils ont d'ailleurs raison, qui sont qui ces critiques qui osent s'opposer à la volonté du peuple ? Nous sommes en démocratie, le peuple a raison, point barre. En toute objectivité, il semble beaucoup plus efficace de faire avancer un agenda avec l'assentiment du peuple que l'on peut manipuler et à qui on fait croire que c'est lui qui décide, qu'en ayant le peuple contre soi (parce qu'on ne prend même plus la peine ni de manipuler le peuple, ni de lui faire croire que c'est lui qui est aux manettes).