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xiii

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Messages postés par xiii

  1. La conjugaison est au passé dans ma phrase. Personne ne change dans la vie ? Je raconte justement comment Al m'a aidé a changer et évoluer vers le libéralisme.

    Alors oui je suis en accord avec ma signature.

  2. AL affirme en substance qu'en faisant du libéralisme "prog" et "light" (enfin, relativement "light", soyons de bon compte), ils attireront ceux qui craignent le libéralisme pur et dur.

    Ca ne vous intéresse pas de voir si c'est vrai ? Moi oui, parce que je n'y crois pas du tout.

    Si je peu donner un exemple qui n'engage que moi. Le libéralisme pur et dur c'etait pas mon truc (j'etait plus proche de l'UMP et des conservateurs), encore moins le libertarianisme. J'ai été quand meme séduit par AL et leur coté raffraichissant, le fait que des gens osent en France s'afficher libéral, à l'heure ou je faisait mon marché dans le panel des candidats de 2007. Je dois dire que j'évolue grace aux échanges avec les autres adhérants dans ma vision du libéralisme. Je pense être maintenant largement moins étatiste et conservateur qu'auparavant. En plus j'ai appris quelques "trucs" qui enrichissent mes dialogues avec des amis socialistes ou UMP. Ainsi je peu moi même leur ouvrir la perspective des idées libérales. J'ai remarqué aussi qu'on me prenait plus au serieux du fait que j'affirme adherer a un parti politique. Ce qui semble etre typiquement francais.

    je ne sait pas si ce phénomène se produira en masse, je l'espere juste et je compte bien y contribuer.

  3. On peut toujours compter sur The Economist pour nous résoudre les problèmes des autres en leur suggérant de devenir Anglo-Américains. Merci, The Economist!

    J'en ai carrément rien a secouer que l'on deviennent anglo-américain. Personne ne te mettra de couteau sous la gorge pour t'empecher d'acheter du roquefort et de rouler en 2CV si ca te fait fantasmer. L'essentiel c'est que l'on arrete cette dette qui noirci considerablemnt mon avenir et celui de mes futurs enfants. C'est pas une question anglo-americaine c'est juste une question de survie economique.

  4. The Economist. L'hebdomadaire britannique dresse, dans un dossier spécial, un tableau sombre de la France en 2006, estimant que le pays a besoin de réformes dans l'urgence… et d'une Margaret Thatcher.

    Selon l'hebdomadaire britannique the Economist, qui consacre un dossier vendredi 27 octobre à la France, le pays aurait besoin d'une "Madame Thatcher". L'influent journal compare, pendant 16 pages, la situation actuelle de la France à celle de la Grande-Bretagne dans les années 70, avant l'arrivée au pouvoir de la "Dame de Fer".

    Défenseur d'une vision politique libérale, the Economist dénonce les 35 heures, souligne l'ampleur des dépenses de l'Etat français ainsi que la faillite de l'université et celle du modèle d'intégration. Dans un éditorial, le magazine écrit que "la vraie question n'est pas de savoir si la France est réformable -car la réponse est oui. C'est de savoir s'il y a une Madame Thatcher ayant le courage de s'en prendre aux avantages acquis", ajoutant "si le prochain président français peut faire passer les réformes qui rendront sa compétitivité au pays, la France pourrait rebondir bien plus vite que ce que pensent les 'déclinologues'".

    "A chaque faiblesse ou presque correspond un point fort"

    Selon le journal, le futur président "n'aura pas besoin d'être aussi dur" que le fut la conservatrice Margaret Thatcher pendant la durée de son mandat de Premier ministre britannique de 1979 à 1990.

    Car en France, "à chaque faiblesse ou presque correspond un point fort", énonce le journal: une productivité et des multinationales parmi les meilleures au monde, des fonctionnaires certes nombreux, mais "dont la qualité est admirée", enfin des grandes écoles de très haut niveau.

    Dans ce dossier, l'hebdomadaire britannique émet des doutes sur les capacités des potentiels présidentiables français Laurent Fabius, Ségolène Royal, Nicolas Sarkozy et Dominique Strauss-Kahn à endosser un tel rôle.

  5. Je suis ENFJ. Petit rappel :

    Les individus ENFJ recherchent intensément l'harmonie, pour leur entourage et leur relations humaines. Ces personnes sont fondamentalement indulgentes et douées de compréhension pour leurs proches. Ils ont une vision humanitaire de la société et font fréquemment des bénévoles dévoués et d'excellents éducateurs : ils prodigueront encouragements et mettront en confiance. Ils savent motiver les autres, leur insuffler de la confiance en eux. Ils sont optimistes, persuadés que leurs attentes ne seront pas déçues. Ils se font facilement obéir non en haussant la voix, mais en faisant la démonstration de leur exceptionnel charisme. Un tempérament ENFJ bien formé peut devenir un leader capable de mobiliser une équipe en toutes circonstances, de stimuler les capacités individuelles de chacun de ses membres.

    L'ENFJ n'est pas un stratège ou un planificateur, il excelle dans l'improvisation, dans la relation immédiate. Ce qui lui importe par dessus tout : l'harmonie des relations au sein du groupe. Il usera de son charme pour s'assurer l'intérêt, il est souvent très populaire. Ce ne sont pourtant pas des être soucieux d'une vie sociale, c'est plutôt l'accomplissement des autres qui es 'intéresse. Les ENFJ aiment développer plusieurs projets en même temps, assumer toutes sortes de responsabilités, ce sont donc aussi d'excellents chefs d'entreprise, patients et compréhensifs, et d'encore meilleurs responsables d'organismes associatifs. Ce sont des gens désintéressés, qui parfois négligent leurs propres intérêts.

    En tant qu'extravertis, leurs relations avec les autres ont souvent un caractère intense et personnel. Mais elles risquent toujours de rester en surface et de ne pas mener à une véritable amitié durable. L'ENFJ possède une excellente compréhension des hommes, ce qui leur permet de s'attacher leur sympathie, de les influencer, d'éviter leur hostilité.

  6. Salut tout le monde.

    Encore un nouveau sur le Forum ! Je suis Jon, j'ai 22 ans, je suis adhérant d'AL (nobody's perfect :doigt: ) et je suis un provençal.

    A l'origine j'avais plutôt tendance a être un conservateur. Puis après des études en éco pendant ma période de lycée j'ai été assez convaincu par le libéralisme économique et les auteurs classiques. C'est plus tard que j'ai été convaincu par le libéralisme sociétal.

    Un voyage en Angleterre m'a permis de changer pas mal mes préjugés sur le libéralisme.

    Sinon l'anarcho-capitalisme c'est pas trop mon truc mais je peut encore évoluer ….

    Je suis très attaché à la liberté de conscience dans le monde; entre autres la liberté de culte. Le sort des personnes dans pas mal de pays communistes ou du moyen-orient qui sont torturées, emprisonées (etc..) pour leur foi ou leurs idéaux me révolte.

    Sinon je suis aussi interloqué par le rapport étrange que le peuple français entretien avec l'argent et l'état.

    Je me définit comme libéral classique car c'est ce que je connais le mieux tout simplement !!! Toutefois je suis pas très classique en ce qui concerne l'intervention de l'état dans l'éducation et la securité sanitaire. Une chose est sûre en tout cas c'est que je suis un fervant SalmaHayeckienenBikiniste.

    Je suis ravi de voir qu'il y a quand même des libéraux en francophonie et mon envie c'est de trouver des moyens de convaincre et débattre pour qu'il y en ai de plus en plus. :icon_up:

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