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José

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Tout ce qui a été posté par José

  1. José

    Ma Première Fois

    Nooonnn ??? Dis "j'te jure !" Et toi, plus tard, tu laisserais la place à tes jeunes camarades et disciples en pourriture étatique ?
  2. José

    Ma Première Fois

    Il y a également d'autres sujets où l'on peut coincer les étatistes de gauche : libéralisation des drogues, du mariage et tout ce qui concerne les moeurs. Mais aussi libéralisation de l'immigration en préconisant non pas "des papiers pour tout le monde" mais "des papiers pour personne". Etc.
  3. José

    Ma Première Fois

    De fait, il est plus facile pour un libéral d'avoir, comme moi, 1m90 et 100 kilos… ça aide dans les discussions… Sinon, bravo à tous les deux pour votre chemin de Damas (c'est toulmême plus class' que "coming out" ).
  4. Très curieuse formulation, pour ne pas dire erronée.
  5. Non, tu n'es pas utopique, tu es un doux rêveur. Sinon, bienvenue à toi…
  6. Impossible ! C'est plus fort que toi… La noche oscura Canciones del alma que se goza de haber llegado al alto estado de la perfección, que es la unión con Dios, por el camino de la negación espiritual. En una noche oscura, con ansias en amores inflamada, (¡ oh dichosa ventura !) salí sin ser notada, estando ya mi casa sosegada. A oscuras y segura, por la secreta escala disfrazada, (¡ oh dichosa ventura !) a oscuras y en celada, estando ya mi casa sosegada. En la noche dichosa, en secreto, que nadie me veía, ni yo miraba cosa, sin otra luz ni guía sino la que en el corazón ardía. Aquésta me guíaba más cierta que la luz del mediodía, adonde me esperaba quien yo bien me sabía, en parte donde nadie parecía. ¡ Oh noche que me guiaste !, ¡ oh noche amable más que el alborada !, ¡ oh noche que juntaste amado con amada, amada en el amado transformada ! En mi pecho florido, que entero para él solo se guardaba, allí quedó dormido, y yo le regalaba, y el ventalle de cedros aire daba. El aire de la almena, cuando yo sus cabellos esparcía, con su mano serena en mi cuello hería, y todos mis sentidos suspendía. Quedéme y olvidéme, el rostro recliné sobre el amado, cesó todo, y dejéme, dejando mi cuidado entre las azucenas olvidado. Saint Jean de la Croix (1542-1591)
  7. Bienvenue Zibeline. Cela fait plaisir de voir que les filles sont chaque fois plus nombreuses à s'intéresser à cette culture de mort qu'est le néo-ultra-libéralisme dévoreur d'enfants.
  8. M'y ferais jamais à ce vice français de l'acronyme.
  9. Toi, t'as besoin de reconnaissance…
  10. C'est trop inzuste ! Schnappi est le seul à avoir accès au site d'Aristophane Triboulet.
  11. Hélas, contrecoup : je me sens très Nestor depuis quelques jours et l'arrivée d'une bonne vingtaine de jeunes recrues. Bienvenue à tous.
  12. Non, c'est la version moderne de "C'est en baisant que l'on devient baiseron".
  13. Que veut-tu, Chichi préfère les domestiques aux politiques.
  14. À ton service, mon cher Schnappi… mais rien que de très normal pour une avant-garde ludique…
  15. Maintenant, tu veux leur faire construire un tunnel sous l'Atlantique. Même les meilleures familles ont leur brebis galeuse… OK, je
  16. Je suis jeune, il est vrai, mais aux âmes bien nées, La valeur n'attend pas le nombre des années. C'était là, effectivement, un des grand points du programme social des fascistes durant l'entre-deux-guerres et des pétainistes durant la Seconde Guerre mondiale. Pitoyable… Nous sommes au 21e siècle, et il en est encore en France qui croie à ce mauvais conte pour enfants attardés. Petit rappel historique : la France ne vit plus sous la botte allemande (qui avait, pourtant, semblé bien légère à la majorité des Français jusqu'en juin 1944 - des centaines de milliers de Parisiens acclamant encore Pétain le 26 avril 1944) grâce aux Anglo-saxons et aux Russes. Si la télévision l'a dit, c'est que c'est vrai… Mon cher Christo-je-vous-ai-compris-mon-général, la courtoisie consiste tout d'abord à se renseigner sur le sujet dont on veut débattre ou conserver une humilité de bon aloi lorsqu'on est aussi ignorant que toi au sujet du libéralisme. Car si tu t'imagines un seul instant que tes "pauvres contre-arguements" en sont, tu te fiches le doigt dans l'oeil jusqu'à l'omoplate. Ton discours n'est qu'un lamentable amas des poncifs les plus éculés de la pensée mainstream socialo-bobo et des lieux communs les plus rances de l'idéologie statolâtre bien-pensante ("dans les pays anglo saxons ou le système est liberal, ou le nombre de pauvres est gigantesque [sic]", "Quant à l'exemple anglais […] tout est privé ! l'école, la medecine [sic]", "Le socialisme […] est un moindre mal [sic]", "sans le socialisme, les gosses de pauvres seraient réduits à être des chomeurs incultes donc dangeureux [sic]", "il est grand temps de repenser le système pour se débarrasser […] du capitalisme aveugle et injuste pour créer l'avenement d'une société liberale [sic]", "on ne parle des ravages du liberalisme que depuis une dizaine d'années [sic]", "le liberalisme americain […] il lui a fallu une vingtaine d'années pour montrer son aspect diabolique et pervers [sic]", etc.) Bis repetita placent : "Après 1945, on a dénazifié l'Allemagne. On n'a pas encore démarxisé la France. Il est maintenant temps de s'y mettre. La seule chose que tu aies à faire ce n'est pas de te prononcer sur le libéralisme, dont tu ignores tout, mais de raser les murs. Disparais, espèce de rat totalitaire !" (copyright antietat)
  17. De Gaulle était un con. Marx avait bien raison de dire que lorsque l'Histoire se répète, elle le fait sous forme de farce. Après l'inventeur de la dictature moderne que fut Bonaparte, vint le bouffon mongaullien. À propos… la "grand idée", la "participation" était une idée prônée par les fascistes durant l'entre-deux-guerres.
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