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NicolasB

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Tout ce qui a été posté par NicolasB

  1. Au boulot ds une demie-heure!

  2. Ah bon???? Content de voir que ma cotisation est bien utilisée alors!
  3. Pour en revenir à la gruge pour le fisc, je paie une majorité de petites courses en espèces dans de petits commerces… Toujours autant de petits ruisseaux qui peuvent faire de grandes rivières… après, j'évacue une partie de mes impôts vers des associations comme contribuables associées, le PLD, et une association caritative qui me tient à coeur… Je sais c'est pas grand chose, mais c'est légal! Ah oui un lien très intéressant!
  4. Très dur à faire, quand on est chef d'une petite famille…. Et puis il faut bien une résistance intérieure!
  5. J'aurais besoin de coaching sur ce sujet…. Mais en tt cas la démarche paraît intéressante.
  6. Un résumé filmé ce serait bien effectivement!
  7. Au fait : vous savez qui c'est celui là : http://www.lecandidatlibre.fr/ ? Il a un avantage sur Bastiat : il est vivant! Et son site est remis à jour régulièrement…. Aura-t-il les 500 signatures???
  8. Je ne sais pas pour l'extrême gauche : il y a les horreurs de l'ex URSS, en Chine, les Khmers ROUGES… Nous aurons beaucoup d'exemples pour montrer que l'extrême-gauche ce n'est pas ça! Je tente de convaincre des collègues que le libéralisme c'est bien mais pas évident!
  9. Oui moi aussi j'ai eu des réserves sur la partie libéralisme des moeurs. et les réponses un peu succintes en choix!
  10. Dommage au milieu de la semaine , moins évident quand on bosse!
  11. Ah oui c'est pas mal du tout… Même si j'ai appris que je n'étais pas si libéral au niveau des moeurs… en tout cas merci pour le lien.
  12. Possible, mais il ne faut pas oublier que les horreurs dictatoriales sont encore assez présentes dans les esprits…
  13. Ben non, vous êtes là pour diffuser la bonne parole et il y a Contrepoints…
  14. Restructurer la Grèce dans la Zone Euro est illusoire. Graffiti d’un sablier à Athènes : “ Après la pluie, le beau temps." Les ministres des finances européens planifient l’approbation d’un deuxième plan d’aide à la Grèce ce lundi, mais Hans-Werner Sinn, le directeur de l’Ifo, un des plus grands think-tanks économique allemand, prévient que l’argent va uniquement servir à sauver les banques internationales – pas les Grecs. Il explique que la Grèce peut résoudre sa crise uniquement en quittant l’Euro. SPIEGEL ONLINE: Les ministres des Finances de la zone Euro veulent autoriser un nouveau plan de sauvetage pour la Grèce ce lundi. Est-ce que les 130 milliards d’Euros en plus (172 milliards de $) peuvent sauver la Grèce ? Sinn: Non et les hommes politiques le savent. Ils veulent gagner du temps jusqu’à la prochaine élection. Je pense que nous en perdons en faisant cela. SPIEGEL ONLINE: Pourquoi? Sinn: Parce que la dette extérieure de la Grèce augmente chaque année tant que la Grèce ne quittera pas la zone Euro. Nous nous éloignons même de plus en plus de la solution. Le problème de base est l’absence de compétitivité grec. Les prêts à bas taux ont amené des prix et des salaires artificiellement élevés – et le pays doit redescendre de ce haut niveau. SPIEGEL ONLINE: Ainsi, les pays de la zone Euro ne devraient pas approuver le plan de sauvetage? Sinn: Ils devraient donner l’argent pour faciliter la sortie de l’union monétaire. Le gouvernement grec pourrait l’utiliser pour nationaliser les banques du pays et éviter l’effondrement de l’Etat. L’Etat et les banques devraient pouvoir continuer à fonctionner pendant la tourmente financière qu’une sortie de la zone euro entraînerait. SPIEGEL ONLINE: Cette tourmente frapperait-elle durement la population ? Sinn: Oui, incontestablement. Mais cette tourmente serait seulement passagère. Elle durerait peut-être de un à deux ans. L’aide financière apportée par la communauté internationale pourrait aplanir cette difficulté. Mais la drachme se dépréciera immédiatement et la situation se stabilisera rapidement. Après la pluie, le beau temps. SPIEGEL ONLINE: Comment une sortie de l’Euro aiderait-elle concrètement la Grèce ? Sinn: Elle redeviendrait compétitive. Parce que les produits grecs seraient rapidement moins chers, la demande se dirigera vite des produits importés vers les produits fabriqués localement. Les Grecs n’achèteraient plus leurs tomates et leurs huiles d’olive depuis les Pays-Bas ou l’Italie mais depuis leurs propres fermes. Et les touristes, pour qui la Grèce est devenue trop chère ces dernières années, reviendraient. De plus, de nouveaux capitaux irrigueraient le pays. Les riches Grecs ont déposés des milliards voir des centaines de milliards d’Euros en Suisse. Voyant les prix des biens immobiliers et les salaires chutés, il y aurait une incitation forte à revenir investir dans leurs pays. SPIEGEL ONLINE: La sortie de la zone Euro entraînerait-elle une faillite de la Grèce ? Sinn: Non, plutôt le contraire. La banqueroute entraîne la sortie. Les grecs vont immédiatement quitter la zone s’ils n’obtiennent pas de nouvelles aides internationales car la faillite ne peut pas se gérer dans la zone Euro. L’Etat serait insolvable, ainsi que les banques. Le système complet de paiement s’effondrerait. Le chaos ne pourra être évité uniquement si la Grèce quitte l’euro et que la dépréciation de la drachme se fait immédiatement. SPIEGEL ONLINE: Est-ce à dire que la Grèce devrait être forcée à partir ? Sinn: Non, personne ne devrait forcer personne. Mais, dans le même temps, la Grèce n’a pas le droit de recevoir en permanence l’assistance des autres pays de la zone Euro. Et les créanciers de la Grèce n’ont pas le droit de se faire rembourser par la communauté internationale. Tout le monde doit gagner sa vie. Ceux qui choisissent de gagner l ‘argent avec de grands risques doivent supporter ces risques. SPIEGEL ONLINE: Si la Grèce était sur le point de quitter la zone Euro, est ce que les mesures dures d’austérité seraient nécessaires ? Sinn: Dans ce cas, les économies iraient uniquement dans une diminution de la croissance de la dette. Les économistes ne parlent que d’économie au cas où la dette serait repayée. La Grèce n’est pas prête de faire ça. Mais il est vrai que la Grèce s’est habituée à la manne du crédit bon marché en provenance e l’étranger. Et il est impossible politiquement de couper dans les salaires au point de rendre le pays à nouveau compétitif. SPIEGEL ONLINE: De combien faudrait-il diminuer les salaires? Sinn: Les produits grecs devraient baisser de 30% pour être sur un pied d’égalité avec ceux de la Turquie. Cela ne peut être réalisé que si la Grèce sort de l’Euro et avec une dévaluation de la drachme. Sans cette dernière, des millions de listes de prix et de contrats devraient être réécrits. Cela radicaliserait les syndicats de salariés et précipiterait le pays au bord de la guerre civile. De plus, des sociétés feraient faillite car leurs dettes resteraient les mêmes. Vous pouvez uniquement réduire vos dettes lors d’une dévaluation. Le plan de restructurer la Grèce dans la zone Euro est illusoire. SPIEGEL ONLINE: Pourquoi les pays de la zone Euro sont-ils si unanimes à dire que la Grèce doit rester dans l’Euro? Sinn: Ce n’est pas vraiment pour aider la Grèce. Les Grecs sont pris en otage par les banques et les institutions financières de Wall Street, Londres et Paris qui veulent être sures que les flux financiers des plans de sauvetage public reviennent dans leurs coffres, et non en Grèce. SPIEGEL ONLINE: Qu’en est-il de la contagion qui suivrait, si la Grèce faisait faillite ou sortait de la zone Euro? Les marchés financiers spéculeraient que d’autres pays suivraient la même destinée que la Grèce. Sinn: Il y aurait peut-être un effet domino. Mais je pense que cet argument est utilisé par des gens qui ont peur de perdre leur argent. Nous entendons partout que « le monde va s’arrêter si les Allemands arrêtent de payer ».En réalité, seul le portefeuille d’actifs de quelques investisseurs souffrirait. Interview réalisée par Stefan Kaiser
  15. Bon j'ai fini mais je n'arrive pas à relire commme il faut! Je vais donc au dodo et je la posterai demain relue et corrigée (je me connais pas possible qu'il n'y ait pas au moins une faute!)
  16. Je n'ai pas dit que c'était génial! Mais de toute façon, il est encore un peu tôt pour avoir des cases libérales économiques… Mais ça viendra!
  17. Je voterai pour ne rien faire et débattre publiquement! Rien faire car à terme l'étatisme tombera sous son propre poids. Débattre publiquement car il n'y aura bientôt plus le filtre des médias main stream…
  18. Oui mais je suis persuadé que ça frémit…
  19. Mais ne faut-il pas diffuser les idées libérales?
  20. ça ce n'est pas faux : la foire à la redistribution. Les deux mamelles de la France sont l'impôt et le clientélisme. République Solidaire? Ce n'est pas le micro parti de Dominique de Villepin? et le Parti Ouvrier : je le découvre tout comme celui du Parti des Travailleurs de Schivardi en 2007! Comme quoi, il n'y avait pas assez de partis à la gauche de la gauche!
  21. Non ce n'est pas un petit communiste!
  22. Et si on en a qu'un et qu'il est encore trop petit pour la fessée?
  23. MdR pr votre signatures sur les étudiantes de l'Est! Sinon, il y a ça : http://www.sondages-.../programmes.htm mais ce n'est pas encore un fichier synthétiques mais ils mettent les principaux points de ts les partis : bref ça va en faire des pages de nouvelles lois!
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