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Messages postés par Pan
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Eh, ho! Les gens auraient aussi pu économiser en or ou autre chose. Bosser jusqu'à avoir assez d'argent pour ne plus bosser, c'est normal.
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Bah, des gens prendront leur retraite plus tard. Pour moi, c'est surtout l'occasion d'acheter plus de parts du fond de mon 3e pillier.
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Oui je l'ai lu, et si c'est vrai ca prouverais juste que la libéralisation des armes n'entraine pas nécessairement à lui seul une hausse de la criminalité (mais ca mériterais d'être creusé).
Les statistiques pour un même endroit avec plus ou moins d'armes à feu montrent même le contraire.
Je répondrais : monopole de la justice par l'Etat et entrainement des policiers (même si bavures).C'est quoi le lien. Ca me fait toujours sourire, le lien farfelu entre le monopole de la justice et la prohibition des armes. Le monopole de la justice ne signifie pas la fin de la légitime défense. Le droit d'avoir une arme pour sauver sa vie ou celle d'un tiers n'est pas le droit de punir le criminel une fois le danger écarté.
Je ne sais pas pourquoi les gens font cette confusion aussi souvent, mais intuitivement, je penche pour la mauvaise foi.
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Longtemps, en UK et à New York, les policiers étaient désarmés et les citoyens armés afin de bien montrer qui est le serviteur de qui. Les choses ont bien changé et la législation sur les armes est une illustration éclatante du fait que les hommes de l'état considèrent les gens ordinaire comme du bétail.
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On fait même des conférence avec 4 ou 5 armes à feu dans la salle et personne ne s'enfuit en courant. (et même qu'après on philosophe et picole avec un K31 sur les genoux).
Je regrette, ce n'est pas personnel, mais c'est n'importe quoi. J'ai l'impression d'entendre un poisson né en aquarium essayer d'expliquer à un poisson de l'Atlantique qu'il est impossible de vivre dans l'océan.
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Et si j'ai pas envie de suivre un stage commando pour aller acheter du pain à la boulangerie du coin ?
C'est quoi ce délire? Il y a des millions d'armes en Suisse et personne ne ressent le besoin de prendre des cours de commando pour aller chercher du pain.
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La rafale, c'est pourri, oui. Avec une cadence de tir de 5-600 coups à la minute, c'est très peu efficace pour beaucoup, beaucoup de poids et d'encombrement. La rafale n'est presque plus instruite.
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Je suis enfin à l'EPFL, ce dont je rêve depuis fort longtemps. C'est bien sympathique, d'autant plus que je viens de voir que j'ai accès à énormément de livres de libéraux gratuitement, quitte à les faire quitter leur bibliothèque d'origine. De la lecture en perspective.
Il y a des tas de livres libéraux à la bibliothèque universitaire. Un copain libéral leur fait acheter chaque année des tas de bouquins de Chodorov, Mises, Hayek, Rothbard, etc.
Sinon, pour l'EPFL, il va falloir bosser.
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Non.
Il s'agit simplement de savoir si le système de facturation actuel qui consiste à faire payer uniquement celui qui appelle est équitable, ou s'il faut faire partager le coût entre celui qui appelle et celui qui décroche .
Comme le dit "L'Expansion" l'ARCEP * se penche sur le problème.
* Pitié, n'envoyez pas de messages demandant la suppression pure et simple de l'ARCEP.
Et pourquoi vous ne laissez pas les prestataires de services et leurs clients répondre eux-mêmes à cette question?
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La mauvaise foi c'est de tenter de faire croire que par la magie de la légalisation la drogue sera d'une pureté telle qu'elle ne sera plus un poison et que tout ira pour le mieux dans le meilleur des mondes parce que dans le même temps les distributeurs de ces produits seront devenus vertueux et veilleront à ne pas aggraver les effets d'addiction. D'une certaine manière c'est de l'apologie.
Ce n'est pas ce que je dis.
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Bon nombre de personnes -les libéraux- prônent la liberté de se droguer. Cela ne veut pas forcément dire qu'ils font l'apologie de la drogue.
Cette confusion est entretenue depuis le début avec pas mal de mauvaise foi.
Ce qui est inacceptable, c'est de persécuter des activités pacifistes. Point.
Si on me demande mon avis, je trouve que les gens qui prennent des drogues gâchent en général une bonne partie de leur santé, de leur argent et de leur temps, et c'est dommage pour eux. Mais ce n'est pas le cas pour tous les gens ni toutes les drogues.
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Il est vrai que la longévité des sportifs dopés est un exemple hautement enviable. D'un autre côté ça règlerait une bonne fois pour toutes pas mal de débats : euthanasie, déficit du système de santé, etc.
Il y a peut être une confusion.
Je n'ai pas l'impression que la discussion porte sur ce qui est enviable ou pas, mais sur ce qui doit être interdit ou non.
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En fait, parler "des" drogues ou de "la" drogue place forcément la discussion sur le plan éthique.
D'un point de vue utilitariste, leurs effets et effets secondaires sont si différents que la discussion est impossible si on généralise.
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A ce niveau-là nous sommes tous des victimes de nous-mêmes.
Il fallait bien sûr comprendre "sans victime différente de l'auteur de l'action en question".
Mais c'est bien ce qu'il me semblait.
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En fait, je me demande pourquoi on argumente là-dessus.
- Pas de crime sans victime.- Oui mais la déchéance, les prix, les…
- Pas de crime sans victime.
- Les drogués sont moins productifs et ils sont sales et…
- Pas de crime sans victime.
- Il faut considérer les extrernalités néga…
- Pas de crime sans victime.
- […]
- Pas de crime sans victime!
Ce n'est pas un jugement moral sur le fait de consommer ou non de la drogue mais sur le fait de persécuter des gens qui ne font rien de mal aux autres gens.
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Quand on est bien dépendant et fauché on regarde pas les labels, on prend le premier prix pour avoir sa dose. Point barre.
Ben oui, les alcooliques pauvres ne boivent pas forcément de bons Bordeaux, mais le premier choix est toujours à la fois meilleur marché et plus sain que l'alcool de contrebande mal distillé de la prohibition.
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Il y a des tas de labels de qualité parfaitement privés et légitimes.
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Juste une question, si vous appreniez qu'un de vos proches (frère, soeur, fils, fille, père, mère) s'adonnait à la consommation de stupéfiants (héro, coke, etc.), qu'en penseriez-vous ? Quelque chose du genre : "Oh, ce n'est pas plus grave que de boire son petit verre de vin", vraiment ?
A titre personnel, j'en serais très préoccupé et j'essaierai d'aider cette personne à cesser. En fait, ce n'est pas du conditionnel puisque j'ai eu un proche dans ce cas et que je me suis comporté comme expliqué.
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+100
Et j'ajoute à cela les accidents de la route, domestique, la baisse de productivité aux employeurs, aux employés, etc..
Il y a une multitude d'exemples différents des dommages que l'on peut subir de la part de personnes sous l' emprises des drogues, de leurs effets, nombreux.
D' ailleurs, il doit bien exister des livres qui démontrent par A+B les dégat sur une société de la libre consommation de drogue..
Les population du moyen orient ne sont pas vraiment un exemple des bienfaits d'une certaine "drogue douce" , par exemple.
certains pays d'Amérique du sud, etc..
PS: Comme vous, je parle des drogues aux effets psychotropes.Les comparaisons avec la cigarette ou le chocolat…
Il est aussi aisé de démontrer les conséquences négatives de la prohibition.
Mais là n'est pas le problème, parce qu'avec ce genre d'argument utilitariste ont maintient la ségrégation en Rhodésie. Il y a ce qui est juste et ce qui ne l'est pas, et il est parfaitement injuste de taxer des adultes responsables pour financer la persécution d'autres adultes responsables qui ne font de mal à personne. Si les drogués sont moins productifs, c'est le problème de leur employeur qui les paiera moins ou les virera, pas le votre.
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C'est aussi dû au fait que la majorité est un âge arbitraire qui me paraît nettement trop tard. Je serais personnellement pour une majorité à 16 ans sauf cas particulier (retard mental). Etre majeur n'a de sens que tant que des parents peuvent effectivement contrôler un enfant. Ensuite, les rendre responsables de ses dégâts est tout à fait injuste. Or, on ne peut pas en même temps juger une personne comme un adulte - c'est-à-dire lui donner les devoirs d'un adulte, sans lui en donner les droits.
Ce n'est pas la question que j'abordais. Vous évoquez un autre problème. On peut discuter de toutes sortes de manières de déterminer cette frontière entre les irresponsables et les majeurs, mais elle doit exister. A mesure qu'on fait la promotion du jeunisme, on traite les adultes comme des bébés demeurés.
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D'accord avec vous, Jabial.
J'en profite pour dire que l'un des vices contemporains résite dans la dissolution de la ligne qui sépare les mineurs des majeurs. Ona tendance à vouloir donner tous les "droits" aux mineurs pendant que l'on tend de plus en plus à considérer les adulter comme des mineurs à vie.
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Ce n'est pas parce que se droguer serait un acte vertueux qu'il faut légaliser la drogue (car il s'agit plutôt d'un vice s'il faut lui donner un qualificatif moral), mais parce qu'il n'est pas acceptable de condamner des crimes sans victime.
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Je vois très bien, justement ! J'essaie juste de me mettre dans la position d'une absence d'état et d'une voie publique gérée entre co-propriétaire. Je remarque que si l'Etat prend des mesures se rapprochant de l'optimal libéral, on ne peut le considérer que plus libéral. Donc si une ville décide démocratiquement de pourir la vie aux automobilistes venus de l'extérieur, je ne vois pas celà comme une évolution anti-libérale et anti-libertaire. Ce qui l'est bien plus c'est quand le collectivisme pousse à dire "je paie des impôts, la route est à tout le monde, j'ai le droit d'aller embêter les citadins si je veux".
Vous n'avez rien compris. Rien.
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On remplacerait bien sur cette taxe d'usage par une autre, le péage ayant l'avantage de pouvoir moduler l'accès selon la demande (prix plus cher aux heures de pointe, etc…)
Le prix d'un bien ou service n'est pas une taxe.
Armageddon économique ?
dans Economie
Posté
Autrefois, la plupart des gens bossaient presque jusqu'à leur mort. Si on peut faire autrement, tant mieux -et nous le pouvons, car au pire des cas, le délai est juste prolongé de 2-3 ans- mais sinon, il n'y a pas de raison de penser que la vie au-delà de 65 ans est impossible sans rente.