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Saucer

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Posts posted by Saucer

  1. Voilà. Vous voyez l'avenir, pas moi.

     

    Passez devant et donnez-nous un coup de fil quand vous serez arrivé. 

     

    Remerciez bien de notre part le Parti Communiste Chinois et Vladimir Vladimirovitch pour leur brillante participation à la promotion de la liberté individuelle. Qu'est-ce qu'on deviendrait, sans eux ? Il n'y aurait plus d'espoir.

     

    Si vous sortiez la tête du guidon militant, vous auriez peut-être une meilleure vue d'ensemble. Comme déjà dit, je ne vous donne pas rdv.

     

    En attendant la suite de vos brillants sarcasmes.

  2. A moins d'être plus bruyants que les socialistes eux-même, vous n'y changerez rien. Et comme les libéraux rechignent à être bruyants, par honnêteté peut-être, ou plus certainement par acceptation de ces rouages d'airain qui fondent le monde et les sociétés - que le socialiste refuse et combat d'un esprit despote, et bien la course de l'Europe ne changera pas d'un poil.

     

    Ce sont les empires d'Orient (entendre Russie et Chine) qui paradoxalement offriront un espace où la puissance et la liberté individuelle survivront le mieux, pas par conviction libérale précisément, mais car ils ne veulent pas comme nous du confort social et donc du suicide civilisationnel.

     

     

    /thread.

  3. édit : les commentaires sont accablants, pourtant ce n'est pas le canard des lyncheurs, je suis consterné.

     

    Tiens, lis ça, ça vient d'Albion, et ça fait du bien.

     

    http://www.telegraph.co.uk/news/worldnews/europe/france/9750510/France-warms-to-Gerard-Depardieu-the-heroic-exile.html

     

     

    Depardieu has lit up on Jonathan Ross’s show (and growlingly ground his cigarette stub into the studio carpet after a heated exchange); has urinated in an overflowing plastic bottle on an Air France plane after being refused permission to use the loo; has kicked the fenders off an offending car which had crowded him in a Paris street; once peed (not on purpose) on the leg of a Deauville policeman who asked for an autograph in a car park; has punched countless paparazzi on three continents; and over the years has managed to alienate many fellow stars with the kind of blunt talk no luvvie would ever utter. “She has nothing, I can’t even comprehend how she made 50 movies,” he once said of Juliette Binoche.

     

    Depardieu is excessive in every way, but he’s never been a hypocrite: there have been no stints in rehab after one too many drunken brawls; no staged acts of contrition at any moment of his chaotic private life; no tabloid-monitored diets or fitness regimes. A working-class boy with no formal training but a miraculous gift for bringing to life the most complex nuances of almost every character he has played, he manages to make the classics as accessible as Asterix. He has made over 170 movies and given memorable stage performances – his Tartuffe, the protagonist of Molière’s eponymous play, ranks up there with Louis Jouvet’s historic 1950 performance, exposing the vulnerability and vertiginous loss of control of a devout hypocrite usually played for laughs. He makes his own wine from his own vineyards, owns two restaurants, has written cookbooks of hearty traditional French cuisine. He is, perhaps, a compendium of what the French most aspire to be, taken to epic heights.

     

    Quand la France rejète l'avatar de ses plus rabelaisiennes aspirations, ne reste plus qu'à rendre son passeport, en effet.

  4. J'adore :

    "On va se démerder sans toi pour faire de ce pays un territoire où l'on peut encore, malgré la crise, (...) faire des films et monter des spectacles grâce à des subventions obtenues en prélevant l'impôt", souligne Philippe Torreton.

     

    Je prends le début et la fin, ça donne :

    "On va se démerder [...] en prélevant l'impôt"

     

    Enfoiré, l'esprit tranquille.

    Voici donc à quoi ressemble la démerde chez un esprit socialiste.

  5. Si j'étais dessinateur de presse, voici comment j'illustrerais le "patriote" de gauche :

     

    Un type à genoux, croupe en l'air, se faisant mettre par une institutrice au regard sévère et à la ceinture god renommée "FISC" pour l'occasion.

    Une boîte d'anti-dépresseur remboursée ici, et un rappeur niquelafrance là. Et le bougre de s'écrier : "Qu'il est bon d'être citoyen !"

  6. C'est un biais cognitif connu ce que tu racontes. De toute façon quoi qu'il se passe tu y verras une sorte de série, de chemin, de volonté occulte.

     

    La meilleure preuve est la partie soulignée. Elle est habilement formulée, et je pense que c'est inconscient, pour éviter d'avoir à expliciter qui va faire quoi?

     

    Il est sidérant de voir que tout le monde a oublié que cette histoire de mariage gay, c'est une manoeuvre d'une entité bien identifiée appelée PS, pour troller la droite. Il n'y a pas d'officine gay qui cherche à détruire la civilisation.

     

    C'est plus un cheminement intellectuel dans l'esprit progressiste qu'un calendrier défini il y a longtemps. Le prog réalisera simplement qu'il y a une inégalité à corriger. Ce n'est sans doute même pas encore ancré dans leurs esprits. De la même manière que les gays des années 70 ou 80 ne voulaient pas (ou alors beaucoup moins) se marier.

  7. D'ailleurs, une fois cette barrière franchie, on verra certainement fleurir d'autres revendications comme quoi la monogamie serait bi-phobe. Ben oui, comment vivre pleinement sa bisexualité et faire accepter sa différence dans les carcans monogames ?

     

    Et ainsi de suite, puisque la quête d'équivalence est sans fin dans un monde divers. Il y aura toujours des combats à mener pour le progrès.

  8. Voilà un argument auquel Pankkake n'a jamais répondu dans ce fil.

     

    J'avoue, j'ai la flemme de tout relire.

     

     

    Sinon pour revenir à ce que j'ai dit, j'ai touché sans le vouloir à autre chose de primordial.

    A savoir, chez les égalitaristes qui nous gouvernent, de confondre (par inculture ou réelle malice) égalité et équivalence, de la même manière qu'ils identifient toute différence comme une inégalité.

     

    Pour tout sujet, ce n'est pas l'égalité qu'ils recherchent, mais bien l'équivalence, et donc l'indifférenciation.

  9. Killing them softly est sans doute le pire film qui soit.

     

    Ne vous fiez pas à la bande-annonce, on dirait du Guy Ritchie comme ça, mais le film est d'une lourdeur insondable. Horriblement rythmé, genre bagarre au ralenti, puis 20 minutes de discussion et commentaire autour la scène.

    "Message" abordé sans subtilité à coup de passage radio et télé de Bush et Obama (c'est dire si le réalisateur est une merde).

     

    Un film misérabiliste et une execution misérable.

    Bref, largement césarisable.

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