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Astha

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Messages postés par Astha

  1. il y a une heure, poney a dit :

    Putain quelle tristesse, cetzit tellement un grand rockeur derrière les clichés. 

     

    Jai pris ma journée pour écouter tous  mes disques. 

     

    Et le jour de la saint Nicolas en plus... 

     

    Laisse Saint Nicolas tranquille !

  2. Citation

     

    Harcèlement sexuel chez les Jeunes Socialistes : 8 femmes accusent

     

    Huit femmes brisent la loi du silence et accusent un ancien président du MJS d’agressions sexuelles. Un comportement répété entre 2010 et 2014, parfois en public, et que beaucoup de cadres connaissaient. Révélations.

     

    Socialistes et parisiens, deux camarades boivent un verre après le boulot, un soir d’octobre. Voilà une semaine que le scandale Weinstein a explosé, révélant les témoignages de femmes agressées sexuellement depuis plus de vingt ans. Sur un coin d’écran allumé dans le troquet, les deux anciens membres du Mouvement des jeunes socialistes (MJS) captent le visage d’Emma de Caunes, qui a elle aussi décidé de sortir de son silence contre le producteur américain. Les deux amis se réjouissent en trinquant : aux Etats-Unis, en France, partout, la parole des victimes se libère. «Il y en a un qui doit pas être bien en ce moment, c’est Thierry Marchal-Beck», ajoute l’un d’eux en guise de toast, avant de ­passer à autre chose. De 2011  à 2013, Thierry Marchal-Beck dirigeait le MJS, l’organisation de jeunesse du Parti socialiste. Et c’est lui que huit femmes accusent aujourd’hui de faits pouvant être qualifiés de harcèlement et d’agressions sexuelles, entre 2010  et 2014. Huit victimes qui brisent la loi du silence, même si Libération a pu recenser au moins quatre cas supplémentaires. Dans leur grande majorité, ces faits sont prescrits et n’ont pour l’instant pas fait l’objet d’un dépôt de plainte, même si deux victimes y réfléchissent.

     

    [...]

     

    «Sa voix n’a pas changé»


    Une après-midi, fin 2011, juste après l’élection de TMB à la présidence du MJS, Diane, responsable fédérale en province et membre du bureau national, fait le point avec le président dans son bureau, situé sous les combles à Solférino. Pendant qu’il lui parle, d’un ton égal, Thierry Marchal-Beck ferme la porte subrepticement derrière elle et enlève sa ceinture, raconte-t-elle. «Sa voix n’a pas changé pendant qu’il faisait ça», témoigne aujourd’hui la jeune femme. Tout se passe très vite : «un quart ou une demi-seconde» plus tard, TMB a ouvert sa braguette. «Il prend ma tête, l’approche de son sexe pour m’obliger à lui faire une fellation. Je le repousse très fort, je l’insulte et je pars en courant.» Quelques jours après la scène, ils se recroisent et TMB «fait comme si de rien n’était», se souvient-elle, ­claquant même la bise à sa camarade. «Et après, comme d’habitude, il monte à la tribune pour dire combien il faut protéger les femmes parce qu’il est un grand féministe. C’était surréaliste», estime Diane six ans plus tard.

     

     

    http://www.liberation.fr/france/2017/11/14/harcelement-sexuel-chez-les-jeunes-socialistes-8-femmes-accusent_1610032

    • Yea 1
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  3. Citation

     

    BOUCHERIE : HAUT LES BAS-MORCEAUX

     

    Palerons ou tendrons sont trop souvent cantonnés aux plats d’hiver, tel le pot-au-feu, les consommateurs préférant les filets et autres tournedos. Pour éviter leur disparition totale et afin de rééduquer des goûts trop aseptisés, des chefs insistent pour les mettre sur leur carte.

     

     

    Les bas morceaux ? Ah ! Quel affreux mot qui renvoie au rang de vulgaire bidoche, de méprisable rogaton le plat de côtes du bœuf, le jarret du veau, la poitrine du cochon, le collier du mouton, les ailerons du poulet… C’est d’autant plus injuste que les bas morceaux, ce sont un peu les dessous chics de la viande, ils ne la ramènent pas pour se dévoiler mais quand ils sont mijotés outrageusement, c’est stratosphérique dans la cocotte et sur les papilles. Posez-vous donc sur le billot, le temps d’un aller-retour de bavette. Que serait la bectance sans le pot-au-feu ? Le bœuf-carottes ? L’osso buco ? L’épigramme d’agneau sur un barbecue d’été ? La potée lorraine ? Les ailes de poulets marinées ?

     

    Il y a autant de réponses que de coins de fourneaux où murmurent ces plats qui racontent les dimanches d’hiver, où leur fumet délectable embue les vitres glacées. Ces malins de bistrotiers l’ont bien compris, qui vous chuchotent leur plat du jour à votre oreille énamourée comme s’il s’agissait de la blanquette de Mémé. Mais attention, gare aux escrocs de la cuisine d’assemblage qui décongèlent et fricassent aussi vite que leur micro-ondes. Donc, on est tous d’accord pour faire joue contre joue de bœuf quand elle mijote avec le côtes-du-rhône. Pourtant, le problème, c’est qu’il y a une couille dans la blanquette. Laquelle ? La lutte des classes sur l’étalage des louchébèms qui fait que le tournedos, l’escalope de veau, le carré d’agneau caracolent sur la place rouge de la boucherie quand le tendron et le paleron jouent «mélodie en sous-sol». Mais c’est oublier qu’il faut un tout pour faire un bœuf et qu’en l’occurrence, c’est comme l’amour, il faut être deux. Ben oui quoi, deux comme un avant et un arrière de carcasse.

     

    Culards


    Le drame, c’est que depuis un petit bail, il nous tombe un œil quand on regarde un bœuf : on ne voit que le train arrière de la bête qui est l’usine à griller les steaks. C’est le règne des culards, ces bestioles à l’arrière-train hypertrophié qui sont des usines à viande à griller, l’effigie du règne du steak-frites des Trente Glorieuses. Et l’avant du bœuf, dans tout cela ? Il est Gros-Jean comme devant, c’est la complainte du boucher, surtout quand surviennent les beaux jours : «L’hiver, on n’a aucun problème avec les bas morceaux que les gens font mijoter, explique Gabriel Gauthier, boucher à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme). En revanche, l’été, la France vend à vil prix les avants de bœuf à l’Allemagne [réputée manger davantage de viande bouillie, ndlr] et lui achète des quartiers que l’on retrouve au prix fort sur la Côte d’Azur. C’est une catastrophe économique.» Ce spécialiste du fin gras du Mézenc, un bœuf magnifique élevé en Haute-Loire, n’est pas loin de prédire le crépuscule du pot-au-feu : «Je pense que dans dix, quinze ans, on ne vendra que des carrés de bœuf et des filets. Le reste partira en haché, en hamburgers avec des sauces.» Vade retro, hachis industriel et autres minerais qui nous rappellent l’indigeste affaire des lasagnes à la viande de cheval. Car à l’instar de Gabriel Gauthier, un autre boucher se décarcasse pour les bas morceaux : Hugo Desnoyer, star du billot et premier des louchébèms peoplisés à Paname quand l’époque drape les métiers de bouche dans la haute couture, donc les hautes coupures.

     

    Fuseau


    On a rendez-vous dans sa boucherie-table d’hôtes (1) un lundi de rideau tiré et de question brûlante : mais quelle mouche a piqué Hugo Desnoyer de faire l’article du plat de côtes dans le XVIe arrondissement, où l’on imagine davantage le filet de bœuf sur la banquette de la BMW ou de la Porsche Cayenne ? Amorce de réponse devant un avant droit de racine limousine : «C’est une bête de 7 ans. Elle a fait plusieurs veaux. Elle a du persillé qui donne du goût à la viande», explique le boucher qui a construit sa réputation au cul des vaches, en sourçant ses approvisionnements et «en marchant à la confiance avec les éleveurs». «Je sais si une vache est prête en la pinçant entre la semelle et le rumsteck, là, j’ai le grain de la viande», explique Hugo Desnoyer. Il aiguise son couteau désosseur d’une main un peu estropiée, ce qui ferait bondir son chirurgien, sourit-il : «Samedi, je me suis sectionné l’artère radiale. En trente ans de métier, j’ai fait pas mal de cliniques pour des accidents de la main.»

     

    De la découpe du bœuf, Arthur Le Caisne dit dans son magnifique et très documenté Manuel du garçon boucher (2) : c’est «un vrai travail d’orfèvre. L’animal a des muscles assez importants pour permettre des découpes en fonction des cuissons». Avec Hugo Desnoyer, la découpe chaloupe entre la leçon d’anatomie, le livre de recettes et toujours son credo pour une consommation de qualité, raisonnée, les flexivores étant à son goût. Ils se régaleront peut-être du paleron qui apparaît «noble pour le pot-au-feu mais qui fait aussi de super steaks. C’est une pièce à servir bleu après l’avoir fortement snackée». Il tire de son poids pour séparer la carcasse. On entend le craquement de la graisse ferme et immaculée : «La bête est bonne, elle a été bien conservée. Je l’ai gardée trois semaines en chambre froide», explique le boucher, chantre des maturations longues. Voici la «carotte», comme il dit, long fuseau que l’on connaît sous le nom de macreuse et dont on aime la texture gélatineuse et tendre qui fait du velours sous le doigt. «En bouche, c’est un truc de fou», s’enflamme le boucher. Il dévoile ensuite la surprise, un morceau «aussi bon que la poire» qui se situe, elle, dans la partie arrière du bœuf.

     

    Survivance


    A chaque morceau, Hugo Desnoyer évoque plusieurs utilisations, rien ne se perd pour faire des «steaks hachés qui ont du jus». Il affirme : «Tuer un animal aujourd’hui, c’est utiliser tous les morceaux, c’est respecter la viande. Pourtant, il y a des bouchers qui ne travaillent plus que les arrières des bêtes. Je ne les critique pas mais mon métier à moi, c’est de faire comprendre qu’il y a autre chose que l’entrecôte, la bavette ou le carpaccio.» Il épluche un petit morceau de viande cru qu’il vous tend après l’avoir saupoudré de sel : «Tous les jours avec mon chef, on goûte les bêtes. Je suis sûr que là vous avez toujours la saveur de la viande en bouche. C’est à cause de l’alimentation des animaux. Elles sont au pré l’été où elles mangent de l’herbe. L’hiver, on leur donne du foin à l’étable. On les finit avec des céréales, du tourteau de lin, des pommes de terre, ça leur apporte le goût et la texture.»

     

    Hugo Desnoyer a toujours en mémoire le parfum du pot-au-feu paternel qui frissonnait déjà le dimanche à 6 heures du matin, quand il rentrait de boîte de nuit. «Chez nous, on y mettait de toutes les viandes, du bœuf, du veau…» «La bonne cuisine, c’est le souvenir», disait l’écrivain Georges Simenon. Certes, mais comment faire pour que celle des bas morceaux ne soit pas cantonnée dans une savoureuse survivance ? Dans ses boucheries, Hugo Desnoyer veut prouver que ça peut marcher, à l’exemple de ce qu’il propose au rayon traiteur, comme du collier d’agneau longuement mijoté. L’été, les bas morceaux deviennent des salades ravigotantes à dévorer en plein air au premier rayon de soleil. Et dès les premiers frimas, il propose un pot-au-feu mixte à faire chez soi : «J’y mets des morceaux de tout bien ficelés, un os à moelle, je filme et ça part. Souvent, on n’en a pas assez.» Il loue également le chef multi-étoilé Pierre Gagnaire qui est capable de faire «sept, huit recettes dans un même morceau de bœuf. En pleine crise de la vache folle, il me commandait du paleron qu’il servait avec le nom de la boucherie dessus. Qu’un cuisinier mondialement connu comme lui joue la carte des bas morceaux, c’est génial».

    «Ebullition»


    A Clermont-Ferrand, Gabriel Gauthier se félicite d’avoir encore des chefs capables d’accommoder «une demi-bête de la tête à la queue. Je fournis un cuisinier qui commence par les morceaux à griller, puis à mijoter, et finit par les salades de bœuf. En transformant ainsi toute la carcasse, il s’y retrouve puisqu’il la paie moins chère». Ce boucher qui livre les restaurants d’Alain Ducasse et quelques tables de la République plaide pour une formation professionnelle qui permette «de conseiller aux clients autre chose qu’une côte de bœuf. Il faut leur expliquer que les bas morceaux, ça cuit tout seul». Le porte-parole de l’Observatoire des cuisines populaires (Ocpop), Eric Roux, est un fervent militant des bas morceaux dont il dit : «Les remettre dans la cuisine, c’est les replacer dans la vie, et ça, c’est le boulot des professionnels. Il ne faut pas aller chez son boucher en lui disant "je veux ça" mais "qu’est-ce que vous me proposez aujourd’hui ?"»

     

    Il ne donne pas des recettes, il raconte des histoires de goûts car, dit-il, le sort des bas morceaux, ce n’est pas «une histoire de transmission entre générations en cuisine mais d’éducation aux goûts. On a oublié qu’apprendre le goût, c’est comme apprendre à dire "merci" à un enfant. Il faut le répéter. Le goût, ça n’a rien de naturel, c’est de la culture». Ecoutez donc Eric Roux quand il s’attaque au jarret de veau de son Auvergne : «Je le fais au bouillon. Comme un pot-au-feu. Une demi-heure avant la fin de la cuisson, j’ajoute une poignée d’herbes, de la sarriette, de la marjolaine, du laurier… Il faut juste que leurs parfums se diffusent avec une ébullition de "sourire", c’est-à-dire tout doucement. Tu dégustes avec un trait d’huile d’olive, un anchois au sel dessalé, un très bon vinaigre… Tu peux faire la même chose avec le plat de côtes.» Eric Roux en est convaincu, «en cultivant le goût, on peut faire aller les gens vers les bas morceaux, inventer de manière authentique la tradition. La tradition, ça doit permettre d’aller de l’avant, pas de se casser la gueule en regardant dans le rétroviseur».

     

     

    http://next.liberation.fr/food/2017/11/03/boucherie-haut-les-bas-morceaux_1607691

  4. Citation

     

    Laura Flessel veut faire chanter la Marseillaise dans toutes les compétitions

     

    La ministre des Sports, Laura Flessel, a envoyé un courrier aux présidents des fédérations françaises de sport afin de leur demander que l’hymne national soit chanté avant chaque compétition relevant de championnats de France.


    Les présidents contactés ont également la possibilité de «décider d’une diffusion plus large de cet hymne à l’occasion d’autres compétitions».

     

    Cette demande, transmise dans une lettre du 20 octobre, ne précise pas cependant quels évènements le ministère englobe dans la notion floue de «compétition relevant de championnats de France».

     

    La lettre a été co-signée avec Denis Masseglia, président du Comité national olympique (CNOSF) et Emmanuelle Assmann, présidente du comité paralympique. Il est écrit qu’il appartient aux présidents de fédération «de faire apprendre cet hymne national, notamment aux plus jeunes compétiteurs, afin qu’ils soient à même de le chanter lors de leurs premières compétitions et de mettre en place un dispositif qui leur permet véritablement de s’en approprier le sens».


     

     

    http://www.cnewsmatin.fr/sport/2017-11-08/laura-flessel-veut-faire-chanter-la-marseillaise-dans-toutes-les-competitions

     

  5. Citation

     

    A Bordeaux, une campagne contre les Parisiens prend de l'ampleur

     

    Alain Juppé, le Maire de Bordeaux, a fustigé sur Twitter une campagne jugée anti-Parisiens. L'édile menace de saisir la justice

     

    «Parisien rentre chez toi», voici le slogan offensif imprimé sur des autocollants qui gagnent en visibilité dans l’agglomération de Bordeaux. Excédé par cette campagne d’affichage le maire (LR) de la ville, Alain Juppé, s’est fendu d’un tweet : «Les attaques anti-nouveaux arrivants à Bordeaux sont une honte. J’envisage de saisir la justice. Notre ville est accueillante et le restera.»

     

    Outre le slogan, un TGV est représenté sur les autocollants. Le train fait référence à «l’Océane», la nouvelle ligne à grande vitesse qui relie Paris à Bordeaux en 2 h 04 (au lieu de 3 h 04) depuis juillet. Avec une hausse de 25% de voyageurs supplémentaires sur la ligne, la SNCF s’est félicitée, en septembre, d’une «très bonne fréquentation pendant l’été» qui dépasse les «prévisions». Certains Girondins voient les choses autrement. L’incitation faite aux Parisiens de s’installer et-ou travailler dans la région provoquerait la flambée des prix de l’immobilier, un engorgement de la circulation ou encore une densification de la population, rapporte le quotidien Sud-Ouest.


    En plus des autocollants ? D’autres formes de contestation voient le jour à Bordeaux, notamment dans le quartier populaire de Saint-Michel «où appartements et pas-de-portes se vendent à prix d’or», rappelle Sud-Ouest. Pavé Brûlant, un collectif «antifasciste» actif sur les réseaux sociaux et dans la rue ont tagué sur les murs et la chaussée des messages parfois virulents : «Saint-Mich’ nique les riches», «parlez pas de mixité quand vous gentrifiez». Dans un statut Facebook, Pavé Brûlant se définit comme un «opposant à la gentrification et à l’étalage indécent de mépris de classe et de richesse sous le nez des pauvres» et se défend d’être «xénophobe» comme l’écrit le quotidien régional.

     

     

    http://www.liberation.fr/france/2017/10/25/a-bordeaux-une-campagne-contre-les-parisiens-prend-de-l-ampleur_1605542

  6. tour-de-france-le-parcours-complet-de-l-

     

     

     

    &

     


     

    Citation

     

    François D'haene bat le record du John Muir Trail


    Le traileur français François a battu ce mardi 17 octobre 2017 le record du John Muir Trail en 2 jours, 19 heures et 26 minutes. Le précédent record avait été établi en 2014 par l'Américain Leor Pantilat en 3 jours, 7 heures et 36 minutes.

     

    C'est un véritable exploit que vient de réaliser François D'haene. En parcourant les 359km et 14 630m de dénivelé positif du John Muir Trail, sentier de grande randonnée de la Sierra Nevada (Etats-Unis) en moins de trois jours, le Français explose ainsi le précédent record détenu par l'Américain Leor Pantilat en 3 jours, 7 heures et 36 minutes et datant de 2014.

     

     

    https://www.lequipe.fr/Adrenaline/Ultra-trail/Actualites/Francois-d-haene-bat-le-record-du-john-muir-trail/843037

  7. Citation

     

    10 % de plus sur les alcools forts

     

    Le gouvernement semble d'autant moins emballé par une augmentation de la fiscalité sur les sodas qu'un autre projet est sur la table, selon nos informations : l'alourdissement des taxes sur les alcools à plus de 15 degrés, qui pourrait rapporter 150 millions d'euros (pour une hausse de 10 % des droits). Il ne toucherait pas le vin et la bière, mais tout de même les pineaux et autres muscats made in France.

     

    Cette taxe est une idée du gouvernement, qui a hésité jusqu'au dernier moment à l'inscrire dans le budget 2018 de la Sécurité sociale. Elle pourrait s'inscrire dans le plan de prévention de l'alcoolisme que doit présenter la ministre de la Santé.

     

    « Les feux sont orange sur ces mesures ; la décision de passer au vert sera prise ultérieurement », explique une source gouvernementale. Olivier Véran peut donc peaufiner son projet avec d'autres députés, pour convaincre les sceptiques. Quoi qu'il en soit, au bout du compte, il faudra choisir, souligne la même source : « A priori, on ne fera pas les deux mesures en même temps. »


     

    https://www.lesechos.fr/economie-france/social/030694284261-sodas-alcools-forts-des-hausses-de-taxes-sont-a-letude-2121453.php

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  8. Citation

     

    Vuelta: Denifl le plus fort dans des pentes à 25%, remporte la 17e étape, Froome cède du terrain mais "se sent bien"

     

    Stefan Denifl (Aqua Blue Sport) a remporté en solitaire la dix-septième étape du Tour d'Espagne cycliste (WorldTour) disputée mercredi entre Villadiego et l'ascension finale de Los Machucos (180,5 km). L'Espagnol Alberto Contador (Trek-Segafredo) et le Colombien Miguel Angel Lopez (Astana) complètent le podium de l'étape. 

     

    Le maillot rouge, Chris Froome (Sky), a été mis en difficulté dans la dernière ascension du jour et a franchi la ligne d'arrivée avec 42 secondes de retard sur Vincenzo Nibali (Bahrain-Merida), quatrième de l'étape, qui ne compte plus que 1:16 de retard sur le Britannique.

     

    Avant d'aborder l'ascension finale vers Los Machucos, longue de 7,8 kilomètres et qui comporte des passages à plus de 25%, une échappée de six coureurs s'est dessinée dès les premiers kilomètres. Elle comprenait le Français Julian Alaphilippe (Quick-Step Floors), les Italiens Alessandro De Marchi (BMC) et Davide Villella (Cannondale-Drapac), le Danois Magnus Cort Nielsen (Orica-Scott), l'Espagnol Dani Moreno (Movistar) et Stefan Denifl. Ils ont compté une avance maximale de 9:10 sur le reste du peloton à 110 kilomètres de l'arrivée.

     

     

    http://www.dhnet.be/sports/cyclisme/vuelta-denifl-le-plus-fort-dans-des-pentes-a-25-remporte-la-17e-etape-froome-cede-du-terrain-mais-se-sent-bien-59b01953cd70fc627d5f5e1f

     

    Alberto :wub:

  9. Citation

     

    Mouvement "anti-touristes" au Pays-Basque : "Nous avons besoin du tourisme" mais il faut le développer "de manière équilibrée"

     

    Mathieu Bergé, conseiller municipal de Bayonne et conseiller régional de la coopération transfrontalière a réagi lundi sur franceinfo à la colère de certains habitants du Pays-Basque face au "tourisme sauvage". 

     

    Des autocollants anti-touristes ont fait leur apparition sur les murs de Biarritz (Pays-Basque), a rapporté lundi 14 août France Bleu Pays-Basque. On peut y lire notamment : "Parisien dégage, t'as Paris Plage". Une manifestation contre le "tourisme sauvage" est prévue à San Sebastian jeudi 17 août. "C'est aussi une question globale liée à l'uberisation des pratiques touristiques car cela exerce une pression sur les logements dans les zones touristiques", a réagi sur franceinfo, Mathieu Bergé, conseiller municipal de Bayonne, conseiller régional de la coopération transfrontalière. 

     

    franceinfo : avec plus de deux millions et demi de touristes l'an dernier, le Pays-Basque est-il au bord de la saturation ?

     

    Mathieu Bergé : Il y a une question locale et une question globale. Il y a eu des manifestations contre le tourisme de masse au niveau européen cet été, notamment à Barcelone, à San Sebastian au Pays-Basque. C'est aussi une question globale liée à l'uberisation des pratiques touristiques, car cela exerce une pression sur les logements dans les zones touristiques. Les infrastructures touristiques, on en a, elles continuent de se développer. On fait quand même attention à l'aménagement du territoire, et au foncier qu'on utilise pour pouvoir accueillir davantage de touristes. L'utilisation de logements pour accueillir les touristes s'est très fortement développée, mais comme dans toutes les zones littorales et les grandes métropoles urbaines.

     

     

    Le Pays Basque doit aussi faire attention à l'image qu'il renvoie ?

     

    Jusqu'à maintenant, l'attractivité du pays Basque repose sur son authenticité. Je ne pense pas qu'on aspire à un tourisme de masse. On aspire à élargir la saison touristique tout au long de l'année et non pas résumer le pays basque qu'au tourisme. C'est un territoire où nous avons de l'industrie, de l'aéronautique, une agriculture de qualité, un port industriel. Nous tenons à développer un territoire équilibré.

     

    Que nous soyons un territoire attractif, nous l'assumons. Que nous ayons besoin du tourisme pour pouvoir faire vivre nos populations, nous l'assumons également. Simplement, il faut le faire de manière équilibrée. C'est le rôle des politiques d'utiliser les lois qui nous permettent de travailler sur cette pression immobilière notamment avec la possibilité de surtaxer les résidences secondaires. C'est ce qui a été fait par une grande partie des communes du Pays-Basque.

     

    Les répercussions sur le prix de l'immobilier vous préoccupe-t-elles beaucoup ?

     

    On vit sur un territoire qui est extrêmement attractif. En plus du tourisme, il y a un phénomène de littoralisation, alors qu'ici les salaires ne sont pas plus élevés qu'ailleurs. Par contre, le prix des logements est plus élevé. Les élus doivent prendre compte cette question sérieusement que ce soit par rapport au respect de la loi SRU sur le logement social, sur la capacité que nous donne la loi aujourd'hui de surtaxer les résidences secondaires qui pourraient être pour certaines souvent destinées à la location touristique. Il est tout à fait normal qu'il y ait des débats de société apaisés au sein de la population sur le type de tourisme que nous voulons et comment on aménage notre territoire pour accueillir ce tourisme sans que cela ait un impact négatif sur notre population, notamment les plus jeunes qui aspirent à travailler et vivre au Pays Basque.

     

     

    http://www.francetvinfo.fr/economie/emploi/metiers/restauration-hotellerie-sports-loisirs/mouvement-anti-touristes-au-pays-basque-nous-avons-besoin-du-tourisme-mais-il-faut-le-developper-de-maniere-equilibree_2327341.html

     

    Citation

     

    Y a-t-il trop de touristes au Pays Basque ?

     

    Sommes nous au bord de la saturation? Question posée dans notre dossier du lundi alors que nous sommes en plein pic de fréquentation estivale.

     

    L'an dernier plus de deux millions et demi de touristes ont séjourné en juillet et août, selon les estimation du Comité départemental du tourisme, 80% concentrés sur une bande côtière de 30 km.

     

    Au Pays Basque sud les effets du tourisme sont vivement discutés. Aux fêtes de Donosti/St sébastien une manifestation est même prévue jeudi contre "le tourisme sauvage" par les jeunes indépendantistes d'Ernai. En Catalogne ou Italie la question a pris une certaine acuité.

     

     

    https://www.francebleu.fr/infos/societe/y-t-il-trop-de-touristes-au-pays-basque-1502705708

     

     

    Et pas très loin:

     


     

    Citation

     

    En Espagne, les attaques contre les touristes se multiplient

     

    Les hordes de visiteurs qui débarquent cet été provoquent un ras-le-bol, notamment en Catalogne. Plusieurs agressions contre les visiteurs ont eu lieu ces derniers jours. Elles sont le fait d’une petite minorité, mais l’importance du secteur touristique leur offre une caisse de résonance non négligeable

     

    Attaques contre des boutiques de location de vélos, cris menaçants poussés devant plusieurs hôtels de la vieille ville, graffitis peinturlurés sur des établissements touristiques du type: «Stoppons les roues du capital», «défendons les quartiers contre cette plaie!», «Tourist, go home!»… A Barcelone, l’une des villes les plus visitées d’Europe, le groupuscule anticapitaliste Endavant ne se limite pas à commettre des agressions de toutes sortes contre les flots de visiteurs qui se déversent sur la capitale catalane, il les filme et met les vidéos en ligne sur ses réseaux sociaux.

     

    Ces militants radicaux ne sont pas les seuls: depuis fin juin, en Catalogne, ainsi qu’à Valence et aux Baléares, le collectif Arran, lui aussi anticapitaliste et revendiquant une «grande Catalogne», se livre à de semblables amabilités, qui se laissent voir pareillement sur Internet: lancers de confettis sur des touristes en terrasse, manifestation sur le port de plaisance de Palma de Majorque interdisant l’accès aux yachts, irruption vociférante dans plusieurs restaurants du centre-ville de Palma, assaut donné à un bus à Barcelone…

     

    Les institutions, l’hôtellerie tout entière et les médias espagnols dénoncent à l’unisson ces «actes de vandalisme» (voir ci-dessous le tweet du quotidien espagnol El País). «Quels que soient les motifs et les revendications des radicaux, enrage Pilar Carbonell, directrice générale du tourisme aux Baléares, mettre en danger la vie de ceux qui nous rendent visite ne peut avoir la moindre once de légitimité.» Le président du gouvernement espagnol, Mariano Rajoy, a quant à lui condamné les actes menés par «des extrémistes» qui, a-t-il dit, vont «à l’encontre du bon sens». La maire de gauche de Barcelone Ada Colau a assuré hier que les «faits feront l’objet d’enquêtes et les responsables devront répondre devant la justice». 

     

     

     

    https://www.letemps.ch/monde/2017/08/07/espagne-attaques-contre-touristes-se-multiplient

     

     

  10. Le 09/08/2017 à 19:07, Johnnieboy a dit :

    Je vais miser une pièce sur Lille champions si la cote est intéressante. Bielsa a eu les pleins pouvoirs, a recruté plein de semi-inconnus brésiliens, ça peut le faire sur un malentendu. En tout cas, si le LOSC conserve Bielsa quelques années, on va faire un fric monstre avec sa capacité à faire progresser les joueurs et le marché délirant.

    C'est cool, mes deux clubs semblent être bien gérés mais je vais me retrouver face au casse-tête de la période Garcia-Deschamps : mon cœur balance toujours entre les deux lorsque ces deux clubs s'affrontent.

     

    Voilà une aprem de merde qui permettra d'éviter l'enflammade  :) 

  11. Le 01/07/2017 à 15:07, Hugh a dit :

    Araujo est un joueur avec potentiel de croissance.

     

    Bon après 5 matchs, tu as raison. Par contre, il est beaucoup trop perso. Thiago Mendes a fait son taf hier. Il y a aussi Thiago Maia dans le groupe.

     

     

    Il y a encore du boulot mais il y a évidemment du mieux.

  12. Citation

     

    Ivre, il vole deux poteaux d'éclairage et les emporte sur le toit de sa Twingo

     

    Un vol étonnant dans la ville néerlandaise de Lelystad : la police a arrêté le conducteur d'une voiture avec une cargaison très spéciale, deux énormes réverbères, annonce la télévision publique NOS sur base d'un post de la police locale. Ces réverbères ont probablement été volés à Almere.

     

    c7da2202001ef3739c67954b4c9dbb31-1501688

     

     

    https://www.rtbf.be/info/insolites/detail_ivre-il-vole-deux-poteaux-d-eclairage-et-les-emporte-sur-le-toit-de-sa-twingo?id=9674585

  13. Citation

     

    Warren Barguil portera bien les couleurs du Team Fortuneo-Oscaro la saison prochaine. Comme Le Télégramme le laissait entendre dans son édition de ce mardi, le meilleur grimpeur et double vainqueur d'étape sur le dernier Tour de France a donné son accord à l'équipe bretonne.


    Passé professionnel en 2013 au sein de l'équipe Argos-Shimano, ancienne appellation de la formation allemande Sunweb, Warren Barguil (25 ans) n'a encore jamais porté les couleurs d'une formation française. Après cinq saisons à l'étranger et un dernier Tour de France durant lequel il a crevé l'écran (deux victoires d'étape, un top 10 à Paris, le maillot blanc à pois rouges de meilleur grimpeur et le prix du super-combatif !), le Morbihannais souhaitait donner une nouvelle orientation à sa carrière et obtenir de prérogatives que le Team Sunweb ne pouvait pas lui offrir. 

     

     

    http://www.letelegramme.fr/cyclisme/cyclisme-barguil-chez-fortuneo-oscaro-02-08-2017-11617328.php#wlb6wMgivDpGFTdv.99

     

     

    Un risque de partir chez une équipe Continentale pro.

     

    &


     

    Citation

     

    Tony Gallopin (FRA) : Lotto-Soudal ==> Ag2r La Mondiale

    Alexander Kristoff (NOR) : Katusha-Alpecin ==> UAE Team Emirates

    Mikel Nieve (ESP) : Team Sky ==> Orica-Scott


     

     

     

     

    Le 30/07/2017 à 19:47, Nick de Cusa a dit :

    pour en savoir plus, j'ai regardé un Grand Prix de F1. Aucun dépassement de toute la course. 0. Même aux époques les plus barbantes de la F1 il y a avait une bagarre pour le 12ème place ou quelque chose. Là, rien, de toute la "course". Mais qui regarde ça ? Pourquoi ? Bien sûr ce sont des gens qui n'y connaissent rien, mais ça ne répond pas à la question. Pourquoi ? 

     

    Mercedes dit à Hamilton: "passe devant Bottas, essaye d'attaquer les Ferrari, Bottas le laisse passer, Hamilton n'arrive pas à attaquer les Ferrari, il laisse repasser bottas". Morne plaine 

     

    Comme partout :(

  14. il y a 11 minutes, Cugieran a dit :

    Pas cool

    http://www.20min.ch/ro/sports/football/story/Neymar-en-vient-aux-mains-avec-un-coequipier-22616975

     

    Sinon très beau triplé de Germain contre ostende hier soir.

    Plus inquiet pour la défense. A mon avis, un attaquant, il faudrait, mais des défenseurs, il faut.

    Evra est cramé, je sais pas s'il reviendra à son niveau...

     

     

    Une vraie passoire, heureusement que ce n'était qu'Oostende. Après, il va falloir faire tourner mais Germain était une bonne affaire :)

  15. il y a 24 minutes, Trawash a dit :

     La situation est totalement ubuesque.

     

     

    Nos politiciens font de gros efforts pour:

     

    Citation

     

    Hautes-Pyrénées : des riverains murent un hôtel devenu centre pour migrants

     

    Cet hôtel Formule 1, appartenant au groupe AccorHotels, fait partie des 62 établissements premier prix de l'enseigne rachetés par la SNI (filiale de la Caisse des Dépôts) pour devenir des structures d'hébergement et d'accueil, gérées par Adoma (ex-Sonacotra).

     

     

    Arrosage de pognon gratuit et restriction de la liberté de circulation.

  16. Citation

     

    Les hyènes du Malawi ou le terrible « apprentissage » du sexe

     

    Plongée dans l’extrême sud de ce pays d’Afrique de l’Est, où la tradition exige que les jeunes filles subissent une initiation sexuelle dès leurs premières règles.

     

    Elles ont 9, 12 ou 49 ans mais subissent toutes la loi du « kusasa fumbi ». Au Malawi, leur condition de femmes les oblige à se plier à une culture traditionnelle de « purification sexuelle ». Dès leurs premières menstruations, à la mort d’un conjoint ou pour construire une nouvelle maison, les familles malawites font appel à une « hyène », un fisi en langue chichewa, pour « purifier » le corps de leur fille ou de la femme par une relation sexuelle non consentie ni protégée.

     

    La « hyène » est un homme payé par les familles pour avoir des relations sexuelles. Souvent père de famille dans le « civil », toujours souriant, rien ne le distingue des autres hommes sinon son « métier ».

     

    Autrefois présente dans plusieurs pays d’Afrique de l’Est, en Tanzanie et au Kenya notamment, cette tradition a peu à peu disparu sous l’impulsion des gouvernants. Mais, dans l’extrême sud du Malawi, région la plus pauvre de ce pays enclavée entre la Zambie et le Mozambique, la coutume mène la vie dure à la modernité. Là, les hyènes sont légion et les camps d’« initiation sexuelle » pour fillettes sont régis par les autorités morales des communautés. Pourtant, la loi interdit ces pratiques terribles. Conséquences directes de la tradition : près de 10 % de la population est touchée par le VIH, et la moitié des femmes sont mariées avant leur majorité, bien souvent à l’issue d’un viol « initiatique ».

     

     

    http://www.lemonde.fr/afrique/article/2017/07/23/les-hyenes-du-malawi-ou-le-terrible-apprentissage-du-sexe_5164040_3212.html

     

     

  17. Il y a 2 heures, Fenster a dit :

    Un truc qui m'a choqué dans Dunkerke c'est les nombreux éléments de décor complètement anachroniques.

     

    Pas vu le film mais pour le tournage, les plages étaient vraiment vides. Après, il y a peut-être de l'ordi derrière.

     

    9'50

     

     

     

     

     

     

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