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Dilbert

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Everything posted by Dilbert

  1. Bravo ! Il m'a suffit de repiquer "Prolétaires de tous les pays…" et de chercher le mot russe qui correspond à "libertarien" (Либертарианец).
  2. C'est assez difficile en effet, sauf si on aime les déclinaisons, les verbes irréguliers avec leurs "aspects", etc. (l'alphabet, lui, ne présente aucune difficulté). J'en ai fait 3 ans il y a longtemps et à force de ne pas pratiquer, j'ai beaucoup oublié. Tiens, est-ce que vous comprenez la phrase en russe qui est dans ma signature ??
  3. Tiens, à propos de ville privée, il y a nos amis Русские qui s'y mettent
  4. Bigre, moi je fais 20 cm de moins !
  5. Je répète, tu n'as pas dû lire ce que je disais : Celui qui vit dans un pays misérable ou dans des conditions de vie très pénibles est forcément amené à regarder les issues possibles, et par exemple à comparer ce qu'il gagne (et ce qu'il perd) à partir (ou à rester). Parmi mes ancêtres paysans, certains, très pauvres (autant qu'un paysan africain), sont restés à la terre, d'autres sont partis à la ville pour espérer mieux gagner leur vie. Celui qui est resté à la terre n'a jamais parlé d'"échange désavantageux"… Il savait bien que c'était un choix de sa part de rester. Alors, le misérabilisme, à d'autres !
  6. Il n'est pas désavantageux, puisqu'ils le font, cet échange. Et personne ne les y a contraints. C'est bien un échange volontaire. C'est comme de dire que le salarié est désavantagé par rapport à l'employeur, parce qu'il est "contraint" de travailler pour ne pas mourir de faim (comme si un employeur ne travaillait pas lui aussi). A moins d'être réduit en esclavage, on n'est jamais contraint à l'échange. Pour continuer dans cette logique, celui qui vit dans un pays misérable ou dans des conditions de vie très pénibles est forcément amené à regarder les issues possibles, et par exemple à comparer ce qu'il gagne (et ce qu'il perd) à partir (ou à rester). Parmi mes ancêtres paysans, certains, très pauvres, sont restés à la terre, d'autres sont partis à la ville pour espérer mieux gagner leur vie. Celui qui est resté à la terre n'a jamais parlé d'"échange désavantageux"… Il savait bien que c'était un choix de sa part de rester.
  7. Un marxiste parmi nous ? Merci d'expliquer en quoi le marché est une "domination", alors qu'il s'agit d'échange ! Sais-tu ce que c'est un contrat ? L'employé n'a pas un "droit" à être embauché à vie, ou alors moi (qui n'ai pas de voiture) je réclame un droit à avoir une Rolls avec chauffeur.
  8. Non, la démocratie n'a pas à m'imposer quoi que ce soit qui bafoue mes droits fondamentaux (notamment le droit de propriété). La "logique du marché", ça ne signifie rien. Le marché n'est que l'expression des volontés individuelles. Quiconque veut influencer ces volontés individuelles est un esclavagiste.
  9. C'est son droit. Le premier coupable dans l'affaire est l'Etat qui par ses réglementations asphyxie l'activité. Et puis, que penser de ces citoyens français qui pestent contre les délocalisations et sont les premiers à acheter des biens importés d'ailleurs, moins chers que ce qu'on fabrique en France ? L'éthique est personnelle, imposer sa propre éthique mène à la dictature. Votre "réconciliation" mène tout droit au totalitarisme.
  10. Merci d'expliquer en quoi une "régression infinie" est gênante (en maths on fait tout le temps des "régressions infinies" - et la France est un bon exemple de "régression infinie" ).
  11. De peu ! (ah, ce coup-ci je suis fier de moi !!)
  12. Je ne crois pas que l'individidualisme méthodologique nie la dimension collective de tout phénomène social (l'échange est un phénomène social collectif).
  13. Moi je voudrais être apatride, mais je ne sais pas comment on fait…
  14. Et si vraiment ça te pèse trop, tu peux toujours t'en débarrasser (l'Etat t'aidera volontiers puisque c'est sa principale mission, plumer les gens). Sauf si tu penses que tu en ferais meilleur emploi que ceux à qui tu la donnerais…
  15. La soi-disant "élite" française a atteint le dernier stade du pourrissement. La vraie élite française a quitté le pays pour laisser barboter les crocodiles étatistes dans leur répugnant marigot franchouillard.
  16. Moi j'ai eu de vilains parents, il n'y a rien de mieux pour apprendre à se débrouiller tout seul !
  17. Il y a une voie médiane entre le socialisme de droite et le socialisme de gauche : c'est le libéralisme. Mais il semble plus facile de se vautrer dans l'assistanat étatique de droite ou de gauche (et la spoliation qui est son corollaire) que d'emprunter la voie étroite de la liberté.
  18. Appeler privilèges ce qui provient de son propre mérite (ou de celui de sa famille), c'est du sado-masochisme. J'aimerais bien savoir en quoi consistent ces "privilèges" ! A moins que l'intervenant ne soit un politicien et vive du système de spoliation ? Dans ce cas, je comprends qu'il se considère comme un privilégié…
  19. Amusant, un libéral pratiquant, mais pas croyant. Doublé d'un collectiviste croyant , mais pas pratiquant. Si ça peut te rassurer, la croyance au libre-arbitre n'est pas nécessaire pour être libéral (moi je n'y crois pas). La "liberté" au sens du libéralisme peut se définir sans aucune référence au libre-arbitre. Bienvenue, donc !
  20. 27 r St Guillaume 75007 Paris Ils sont tellement imbus d'eux-mêmes qu'ils ne mettent même pas une adresse sur leur web http://www.sciences-po.fr/ Je hais ces écoles de futurs parasites de l'Etat. bon, j'ai confondu avec l'ENA…
  21. Qu'est-ce que c'est que cette histoire de gourou de Mobutu ?
  22. Quand vous rapportez un propos de Rothbard (ou d'un autre libéral), merci de le citer précisément (l'EdL est disponible sur le web, un cut & paste c'est vite fait) sans quoi vous risquez d'être soupçonné de déformer sa pensée.
  23. Bienvenue à Etienne ! Et attention à toi : le passage au libéralisme est en général sans retour.
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