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Yabon Nonosse
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  1. Echanger sur les visions respectives du monde peut permettre de mieux se comprendre, et mieux s'accepter mutuellement.
  2. Qui a dit que j'étais favorable à l'existence de l'état ?
  3. Je ne pense pas exactement ça. On peut très bien échanger sur nos visions respectives des choses pour s'enrichir mutuellement, et réfléchir la dessus. Et oui, tout le monde a raison d'un certain point de vue. même JR
  4. Encore une fois 100% d'accord avec vous
  5. Pour vous il est donc mieux que chaque individu impose personellement par la force sa vision des choses ? La loi de la jungle quoi.
  6. Plutot que "désir" de pain, je dirais "besoin" de pain, la nouriturre est un produit particulier puisqu'on ne peut s'en passer. Le problème avec la valeur du marché est qu'elle peut être manipulée par de gros mouvements de vente ou d'achat… Mais ce n'est pas vraiment le sujet initial Vous êtes communautariste D'accord à 100% avec vous
  7. Dans un autre sujet, je mettais "Il existe différentes visions du monde, il n'y a pas une vérité, juste des regards différents basés sur des expériences de vie différentes." je crois que l'on est sur la même longueur d'ondes http://www.capitalrh.fr/La-carte-n-est-pas…-!_a81.html Finalement rien de sert de nous battre, nous n'avons juste pas la même vision des choses
  8. La différence c'est le but de la société et le but de l'état non ? Je ne crois pas que le but d'une entreprise est de garantir un service public équitable. La société cherche à faire le maximum de profit. L'état cherche à garantir des droits d'accès à des services, sans faire de perte globalement. La société va chercher à éliminer les produits non rentables au détriments de certains utilisateurs. C'est la vision que j'en ai.
  9. Pourquoi pas… Ce serait un monde qui ne me fait pas spécialement envie Nous serions complètement captif des sociétés détenant les routes !
  10. La cloture ça m'évoque la séparation, la protection et l'appropriation. Non ce n'est pas mal. Dans l'idéal je préfèrerais un monde sans barrières où on puisse se faire confiance, mais en réalité il y aura toujours besoin de marquer des limites ici ou là. Ces limites physiques ne sont que des constructions humaines destinées à des humains, elles sont extrèmement éphémères.
  11. Admettons pour le péage automatique, alors où positionne-t-on ces capteurs, tous les x mètres ? aux entrées/sorties d'une commune, d'un département ? Est-ce que ce système ne risque pas de revenir très cher à mettre en place ? Si on oublie son émetteur (volontairement ou non), comment fait-on ? Les routes, comment est-ce qu'on les attribue à tel ou tel personne ? Faut-il les payer pour en devenir propriétaire, ou d'autres critère déterminent-ils la propriété ? Qui déterminerait le prix à payer pour passer ? Concernant le pain, je paie le travail réalisé par le boulanger, le meunier, l'agriculteur, le fabricant d'engrais et de pesticides, le constructeur de matériel agricole, l'ascierie, le fabricant de sel, le service d'eau, j'allais oublier le plus important l'industrie de l'énergie qui nous donne l'électricité, le pétrole pour le transport de tous ces ingrédients et éventuellement du produit final pour l'emmener à mon village (la nature nous donne généreusement le blé, l'eau, le sel, les minerais). La cloture ça m'évoque la séparation, la protection et l'appropriation. Rémunérer le service que rendent les personnes qui entretiennent les routes, et de ceux qui fournissent et transportent les matières nécessaires me parait évident, après la manière d'organiser la collecte des fonds qui permettent de le faire c'est autre chose.
  12. Les plots rétractable, ce serait pas le retour des remparts et des ponts-levis ? Un exemple de propriété privée "collective" qui forme une communauté fermée… J'ai vu ça aussi dans des reportages à la Télé, je ne sais plus si c'était aux états-unis ou au canada.
  13. Le problème que je voulais soulever, c'est qu'en campagne par définition il y a beaucoup moins d'habitants qu'en ville, et donc la route peut difficilement y être entretenue par des moyens financiers des habitants uniquement. De plus ce ne sont pas des routes de passages intense, il n'est donc pas question de faire payer un droit de passage… tout ça me rapelle les taxes de passage du moyen age
  14. Je parlais de routes, pas de voies de chemin de fer, ou autres transport en commun. Les seules exemples de routes payantes sont les autoroutes. Les autoroutes représentent moins de 1% du réseau routier français. Aujourd'hui ce sont les collectivités territoriales (départements et communes) qui gèrent l'entretien de 98% du réseau routier. Autoroutes non concédées (1 100 km) 0,1% Autoroutes à péage (6 300 km) 0,7% Routes nationales (11 800 km) 1,3% Routes départementales (377 000 km) 39,8% Voirie communale (550 000 km) 58,1% (Source : André Guillerme, Chemins, routes et autoroutes, Cahiers de médiologie, 2, 1996 et décret du 5 décembre 2005) http://wapedia.mobi/fr/R%C3%A9seau_routier_fran%C3%A7ais Est-ce que ce serait vraiment plus intéressant financièrement qu'une grosse société gère toutes les routes plutot que l'état ? Ce serait plus pratique que plusieurs sociétés, pas besoin d'avoir 50 péages sur un trajet comme vers Biarritz… Par contre ce serait un monopole, donc les prix pourraient être à peu près aussi élevés que la société le souhaite (peut-être bien finalement du point de vue écologique). Et quelle serait la politique d'entretien d'une telle société sur les routes de campagnes, je n'ose pas l'imaginer.
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