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xara

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Tout ce qui a été posté par xara

  1. + 7 Je n'ai pas plus d'affinités personnelles avec des libéraux qu'avec d'autres par exemple. Et quand je dis "libéraux", ça veut dire personnes se revendiquant ainsi, parce qu'en effet, je ne vois pas de consensus parmi eux -hors universitaires qui ont plus creusé la chose au niveau conceptuel, et encore- sur ce que ça veut dire, même à un niveau basique. Et les différences ne sont pas qu'une question de nuances, on a souvent affaire à des visions du monde opposées. Comme le révèlent de nombreuses discussions ici. Par ailleurs, il y a un paramètre qui est nettement plus problématique pour des hommes intéressés par les femmes que pour les femmes cherchant des hommes. Le "pool", même en laissant de côté la question de savoir de quels "libéraux" on parle, est apparemment bien trop minuscule pour compter dessus. Si t'as 100 mecs pour une nana, les mecs auront généralement intérêt à élargir le cercle de leurs amies, pour ainsi dire , au delà des libérales, sous peine d'être brecouille en permanence.
  2. Ah bon, parce que t'as pas déjà dépassé les bornes dans tes précédents posts? Mais putain, je te défie pas pour voir si tu pourrais m'insulter dans ce fil, je te dis d'arrêter de le faire. Ca t'en fait combien des bans maintenant? Tu dois pas être loin des records, non? Jim16 qui distribue les mauvais points pour l'attitude, on aura tout vu.
  3. Mec, pas étonnant que presque personne ici ne respecte rigoureusement le sujet hyper étroit de "ton" fil. Te donner qu'un nom en évitant les commentaires, c'est chiant. Et puisque t'aimes bien psychologiser, on voit bien le mec qui n'est intéressé que par l'info qu'il recherche (genre des idées pour ses prochains téléchargements) et qui se contrefout de la question de savoir si ça peut avoir un intérêt pour des participants, qui ne doivent être là que pour servir tes intérêts et subir ta petite crise d'autorité dès que ça ne rentre pas dans les plans de monsieur, monsieur qui par ailleurs trolle souvent dans des discussions lancées par d'autres et qui est donc spécialement mal placé pour rappeler quiconque à l'ordre. On peut s'interroger aussi sur ton obsession pour les excréments. Bref, t'es pas propriétaire du fil et si tu veux m'insulter, viens me dire ça en face plutôt que derrière ton écran.
  4. Qu'est-ce qu'il y a? Tu veux le monopole du bitching? C'était pas assez french bashing pour ta sensibilité? T'as rayé ta mobylette?
  5. Matrix. En réalité un film d'action grotesque mais qui essaie de convaincre le spectateur qu'il a affaire à un essai philosophique, pour l'ériger en chef d'oeuvre et servir d'alibi à un public qui aurait honte de prendre son pied devant un pur film d'action. Ce qui m'horripile absolument, ce sont ces monologues/dialogues pseudo profonds qui, en réalité, ne veulent rien dire, ou relèvent de la philo style dissertation d'ado. Et les mecs qui passent leur temps à poser avec leurs téléphones portables cools, leurs tenues et leurs lunettes cool et leurs flingues mega cools. C'est de la merde.
  6. Massive hack of Soros files released
  7. http://www.americanthinker.com/blog/2016/08/stunning_revelation_wikileaks_hack_shows_that_soros_called_the_shots_on_us_policy_toward_albania.html
  8. Il n'y a pas besoin d'acheter des copies papier pour jeter un oeil. Le Quarterly Journal of Austrian Economics est consultable en ligne (il n'y a pas de liens directs sur cette dernière page vers les articles des premiers numéros mais en tapant leurs noms dans le moteur de recherche, on doit les trouver). L'ancienne Review of Austrian Economics est aussi consultable. Sur mises.org, on trouve aussi des working papers. Quant à l'actuelle RAE -reprise par la team George Mason University depuis le volume 11- et Advances in Austrian Economics, elles ne sont pas consultables en ligne sans abonnement/accès via un compte universitaire, à part quelques articles. Autres publications "Austrian-friendly": Independent Review et Journal of Prices & Markets et Procesos de Mercado
  9. On ne trouve pas ta stat dans ton document, qui est une étude sur les musulmans aux Etats-Unis...
  10. xara

    Propositions pour Contrepoints

    A part ce détail maladroit, l'article me semble bien pour ce qui l'occupe essentiellement. Par contre, le troisième lien indiqué dedans n'est pas le bon. Tout le propos initial du présent texte est de montrer que le terme "riche" est ambigü et qu'on parle ici de patrimoine net. Et là dessus, on poste un lien qui parle de revenus et plus particulièrement de la distribution des salaires, faisant ainsi la confusion que l'auteur avait voulu écarter au départ. Enfin, il y a le dernier lien, vers une page contrepoints où on trouve un texte sur "l'origine des fortunes" de Zimmern. C'est dans ce texte qu'on trouve quelque chose "d'hallucinant". Zimmern reprend Forbes sur la distinction entre fortunes héritées et construites. Pourquoi pas? Mais à se focaliser là dessus, il fait des hypothèses implicites douteuses sur autre chose. Le problème central est ici (emphase dans le texte d'origine): Zimmern a ainsi mis de côté la distinction cruciale (pour des gens se réclamant du libéralisme) entre gains obtenus par le marché libre et gains obtenus directement ou indirectement grâce à l'interventionnisme (ou par la violence "privée"), alors que le sujet annoncé est celui de l'origine des fortunes. Du coup, les hommes d'affaire en question sont automatiquement supposés contribuer au bien être de la population en général, à la hauteur de leurs gains. Avec cette "méthode", il faudrait conclure que toute suppression d'une intervention de l'Etat favorisant la fortune d'untel ou untel réduirait la "croissance", détruirait de la "richesse", etc. Bref, ce que nous avons en filigrane ici, c'est une défense des "riches", indépendamment de la façon dont ils ont obtenu leur fortune, soit la vulgate pseudo-libérale que nombre d'antilibéraux prennent pour la quintessence du libéralisme (ou comment leur donner raison...)
  11. Le RU est un programme de dépenses (à moins d'être techniquement organisé avec un dispositif "d'impôt négatif" qui combine les leviers impôts et dépenses). Rien à voir avec le caractère progressif ou non de l'impôt. On peut avoir un RU avec des impôts progressifs, proportionnels ou dégressifs.
  12. xara

    Propositions pour Contrepoints

    Reste la possibilité que l'article ne s'adresse qu'aux enfants dont au moins un des parents est dans le top 10...
  13. Je n'ai pas suivi de près cette affaire. Quelqu'un peut m'expliquer? Je veux dire: à première vue c'est incompréhensible. Comment peut-on recourir "à nouveau" à cette procédure sur le même texte de loi? Comment peut-on faire passer deux fois la même loi? WTF?
  14. Je ne mettrais pas Gave à côté de Becker ou Sowell. Ils ne jouent pas dans la même division. Par ailleurs, le message de la fin sur Krugman respectueux de Friedman contraste fort avec les inserts en milieu de vidéo suggérant que Keynes et ses disciples sont des crétins (pourquoi y a-t-il des guillemets au passage, comme si c'était des citations de Friedman?). Je garderais le premier et supprimerais les seconds. Les explications sur Keynes et les implications de l'idée de Friedman du revenu permanent m'ont l'air pas mal.
  15. Evidemment, mais qui dit l'inverse? Quel rapport avec ce qu'on disait ci-dessus? (leurs vrais lecteurs ne l'ignorent pas puisqu'ils ne peuvent pas manquer de constater qu'ils discutent des écrits de leurs compétiteurs) Oui. Non:
  16. Contre? C'est-à-dire? J'ai l'impression qu'on a toujours affaire ici à la même ambiguïté, qu'on confond toujours les questions positives et normatives, la théorie économique et la philosophie politique. Pour autant que je sache les critiques du plan de Hayek (je suppose qu'on parle de ce qu'il a proposé dans Denationalization of Money) relèvent de l'analyse positive, c'est-à-dire des critiques du style: il y a quelque chose qui ne va pas là dedans sur le plan de la théorie monétaire, c'est-à-dire "ça ne marche pas comme ça". Par exemple avec Rothbard, il nous dit que Hayek ne reconnait pas le théorème de régression de Mises dans son système et qu'il a tort. Et non, ce n'est pas un principe normatif. Donc laissez tomber le "pour" et le "contre", si vous pouvez seulement envisager que tout ne s'y réduise pas. On peut toujours compter sur toi pour dépeindre un tableau tronqué dès qu'il est question du Mises Institute. Es tu seulement au courant que le gros de la production proposée par le Mises Institute n'est pas juridique? Que tout n'est pas une question de "libéralisme"? Et que tout le monde d'associé au Mises ne tient pas tout ce que raconte Rothbard comme vérité révélée? Rien qu'en faisant une petite recherche rapide, je tombe sur un bref article de Murphy à propos du plan de Hayek, Murphy critiquant Rothbard sur un point décisif de sa critique d'Hayek, un truc tout à fait improbable si l'on en croit ce nouvel épisode de bashing rituel anti-LvMI consistant à présenter l'institution comme une sorte de secte parlant d'une voix. Hülsmann et Hoppe reconnaissent la possibilité théorique de contrats exécutoires du style offert par une banque à "réserve fractionnaire" (philo po). Ils ne pensent pas que les produits financiers en question pourraient s'imposer comme monnaie en marché libre, par contre (théorie éco). Si on s'en tenait à la version rothbardienne de la réserve fractionnaire nécessairement frauduleuse, il ne s'ensuivrait évidemment pas qu'il faille un Etat pour faire respecter le principe de la banque à réserves pleines. Sinon, on pourrait tout aussi bien dire "vous pensez que le vol à l'étalage est illicite, ah mais vous ne pouvez pas être anarchistes car il faudra bien un Etat imposant la loi contre le vol à l'étalage pour empêcher les gens de voler". Enfin, tu réponds "étalon or" quand rincevent te parle de réserves 100%. Ce n'est pas la même chose! On mélange tout. On peut concevoir une monnaie fiduciaire ("fiat") avec système bancaire à réserves 100% comme un étalon-or, avec un système de banques à réserves fractionnaire (comme il y a eu historiquement). Typique du question-begging habituel. la question juridique était justement de savoir si le cadre juridique définissant ce qu'est le "marché libre" exige ou non les réserves pleines. Dans le premier cas, il n'y a pas de choix entre réserves 100% et marché libre. Formuler les choses comme tu le fais présuppose le problème réglé d'avance en faveur de la deuxième thèse. Si le "Mises Institute" était une personne qui se rendait compte de quelque chose (plutôt que des gens dont les avis divergent sur ces questions), ce serait plutôt de l'inanité de ce genre d'arguments déjà discutés et balayés 1000 fois. Il me semble bien pourtant que le plan de Hayek dans Dénationalisation of Money consiste en la concurrence d'émetteurs privés de monnaie "fiat".
  17. Le "pourtant" suggère une incompatibilité entre l'idée que le système d'Hayek serait irréaliste et que l'étalon or pourrait s'imposer en liberté monétaire. Quel rapport et pourquoi la première contredirait la seconde? Enfin comment est-on censé en retirer que des anarchistes plaideraient pour un étalon or sans liberté monétaire? Et où trouve-t-on un tel plaidoyer?
  18. Le trip c'est d'abord de faire de l'histoire (c'est le contexte du gros des écrits de HHH sur le sujet). D'expliquer des évolutions historiques (Phénomène typique des libéraux et autres militants sur internet: s'imaginer que les autres ne font que ce qui eux les intéressent. Ne pas s'imaginer une seconde que toute production intellectuelle n'est pas destinée à être une arme de persuasion dans une joute politique). Si on pense que la démocratisation est un facteur décisif pour expliquer X ou Y, il n'y a rien d'autre à faire dans ce contexte que de le dire et l'expliquer. Et on doit se foutre totalement du fait que ça donnera des boutons à certains. C'est un devoir du chercheur. Sinon on fait de la "science" en fonction de la doxa politiquement correcte du moment. Avec HHH, le trip est certes aussi de "faire de la politique", si on veut, pour attaquer l'idée démocratique. Pas seulement de faire de l'histoire donc. Mais là encore, si on pense que c'est le coeur ou un truc absolument décisif, on ne peut pas fermer sa gueule jusque parce que beaucoup vont trouver ça bizarre. On ne doit pas être comme ça l'esclave psychologique de ces gens là. C'est comme si en régime socialiste, quelqu'un venait arguer parmi les opposants qu'on va passer pour des illuminés en attaquant l'idée socialiste au coeur, mais qu'il faudrait plutôt discuter de changer le commissaire machin ou prôner n'importe quel changement/idée qui serait establishment-friendly et donc inoffensif, parce qu'on ne veut pas passer pour des tarés. Il n'y a pas d'autre façon de montrer que nos idées ne sont pas folles qu'en les avançant et en les expliquant. Et si au départ, elles paraissent folles à beaucoup, so be it. Ca n'apparait saugrenu que lorsqu'on suppose qu'il s'agit d'avoir une démarche politique visant à rétablir la monarchie, ce qui n'est pas le cas. Mais le militant libéral (ou autre) style internet ne fait typiquement pas la différence entre une thèse sur l'histoire et un tract politique. Autre signe typique de ce genre de confusion: parler d'un destin politique d'une école de théorie économique. Une théorie économique n'a pas vocation à avoir un "destin politique". Par ailleurs, pour donner du grain à moudre à un adversaire, il faut qu'il puisse nous dénoncer pour des conneries qu'on raconte effectivement. Encore faudrait-il donc considérer que les idées en cause sont des conneries, ce que tu ne mets pas en position de faire (n'en ayant manifestement pas pris connaissance, en dehors au mieux d'un petit résumé vite consommable et probablement erroné trouvé sur un site se revendiquant du libéralisme). HHH n'a jamais proposé que je sache, un projet de restauration monarchique. Donc on voit que tu ne sais pas de quoi tu parles. Quant aux démonstrations, tu n'attends pas vraiment que quelqu'un propose des démonstrations sur le sujet puisque tu ne veux apparemment pas prendre connaissance de celles qui existent. Et tes propos montrent bien que, ton horizon étant du type "faire de la politique", une thèse scientifique n'a d'intérêt et ne mérite donc un examen sérieux que si elle est exploitable politiquement à court terme, i.e. est acceptable aux yeux de ceux auprès de qui tu ne veux surtout pas passer pour trop différent. Euh non, ce à quoi tu dois faire allusion est l'idée pour Mises que tous les gouvernements, démocratiques ou non, reposent à long terme sur le "consentement" -on devrait plutôt dire "soumission"- de la majorité car la force seule ne saurait rendre le gouvernement viable longtemps.
  19. xara

    Fusillade à Orlando

    Je ne vois pas ce qui est stupide.
  20. xara

    Fusillade à Orlando

    On ne pourrait pas avoir un autre titre? Ou tout doit-il être abordé dans la dérision?
  21. La phrase que j'ai surlignée résume bien l'affaire à mon avis. Peut-être l'influence de Hegel... J'ai lu ici ou là que "prix" et "valeur d'échange" n'étaient pas la même chose, mais je ne vois pas la distinction. Une possibilité serait, traduits en termes modernes, une distinction entre différents prix, typiquement le prix de court terme fluctuant autour du "vrai" prix (tendance de long terme). Tous les classiques, je pense, avaient cette idée. La question porte plutôt sur ce qui détermine l'offre et la demande, à court terme, à long terme, etc.
  22. Quel est le sujet? La détermination du prix du livre. Si "valeur d'échange" et "prix" sont la même chose, et de ce que je comprends c'est bien de cela qu'il s'agit quand on parle de "valeur d'échange" avec Marx et les classiques, la question est ce qui la détermine. Hugh nous dit que c'est une quantité de travail selon Marx. Ainsi, lui répondre que non pour Marx le livre s'est vendu à sa valeur d'échange ne contredit en rien son propos et passe à côté de la question, à savoir celle de ce qui la détermine. Et alors, on a dit quoi une fois qu'on a dit qu'il s'agissait de sa valeur d'échange? Evidemment qu'il s'agit de la valeur d'échange. La question est: qu'est-ce qui la détermine? Et à moins que quelque chose m'échappe -et c'est possible tant Marx est dur à lire- c'est censé être la "quantité de travail socialement nécessaire" requise dans la production du bien en question (qui doit d'abord avoir une utilité sinon il ne sera pas l'objet d'échanges). Sinon, comment Marx est-il censé expliquer la valeur d'échange aujourd'hui de son livre?
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