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Messages postés par Librekom

  1. l'expat beauf  dans toute sa splendeur. Ceci a ete posté dans un groupe Facebook d'expats francophones aux Pays-Bas

     

    C'est effectivement marrant de lire comment la presse NL et FR en parlent respectivement, mais alors le commentaire a la con, du truc qui n'a non seulement rien a voir avec la choucroute mais qui surtout temoigne d'une arrogance hors de propos, voir debile.

     

    image.png

     

    C'est tellement con, dans tellemet de dimensions ...

    Avec ses quatre vingt quatorze, ses -aient qui se prononcent é, la moitié des lettre muettes et j'en passe, c'est pas le neerlandais qui passe pour une langue de tordu en Europe. Enfin soit.

    • Yea 1
  2. J'ai decouvert le sub-reddit des digital nomad (ces gens qui bossent a distance depuis leur laptop en obtennant des revenus du niveau occidental, tout en vivant dans des pays ou le cout de la vie est tres bas, typiquement au soleil, pres de l'eau)

     

    Et ils ont de l'autoderision et je suis tombé sur ceci, ca m'a bien fait rire: http://www.theduriannews.com/2019/01/digital-nomad-actually-just-twat-with.html?m=1

     

    Traduction: 

     

    Citation

    Un nomade numérique en fait, juste un con avec un ordinateur portable


    Tây Hồ, Hanoi - Habituellement trouvé en train de téter un café a cà phê sữa đá đá devant une Dell flashy, 29 ans, Carl Watkins ne manque jamais une occasion de décrire son style de vie nomade numérique à qui veut l'entendre.

    "Je me suis déconnecté du réseau il y a deux ans. J'en avais tellement marre de la routine de 9 h à 17 h, tu vois ?" explique-t-il sagement.

    Après avoir travaillé pendant deux mois dans un centre d'appels à Hartlepool, Carl a tout quitté pour prendre un nouveau départ avec son sac à dos, un short et son ordinateur.

    Il a réservé un aller simple pour Bangkok, l'intrépide jeune homme a finallement trouvé le chemin de Hanoi, au Vietnam, attiré par la promesse d'un loyer moins cher.

     

    C'était il y a deux ans et, de toute évidence, Carl vit le rêve.

    "Je n'ai pas vraiment de travail. Mais j'ai ce portable, et je l'utilise. Donc, je pense que ça fait de moi un nomade numérique." dit it en tappant une série de touches aléatoires tout en regardant attentivement l'appareil.

     

    Carl est le dernier d'une vague de jeunes qui n'ont pas d'expérience commercialisable et qui ont tout donné pour trouver leur fortune à l'étranger.

    Hyped sur la caféine mais dépourvu d'idées, la génération digitale louche dans les cafés et les bars d'Asie du Sud-Est.

     

    Par le biais d'une série de posts Instagram, Carl a retracé son parcours passionnant. Son plus populaires post instagram, une image d'un ordinateur portable en face d'une plage sous-titrée "Mon bureau pour la journée",  a été liké presque deux mille fois.

    Après un examen plus approfondi, il semble que l'ordinateur portable n'était pas allumé.

    Carl admet qu'il a en fait visité la plage dans le cadre d'une excursion gratuite offerte par son auberge et qu'il n'y a en fait passé que 20 minutes.

     

    Pendant que Carl s'épuise sur un document Word vierge, sa petite amie Moonwind est occupée à la maison. a faire des bijoux avec des trombones et de la ficelle.

    "Je me sens tellement libre sans revenu stable ni perspectives de carrière. Je ne suis pas limitée par ces soucis, je peux vraiment réaliser mon rêve n'importe où !" explique-t-elle.

    "J'ai pitié de ces gens qui sont coincés dans un travail normal. Ils ne savent pas ce qu'ils ratent." dit elle alors qu'elle cherche des déchets dont elle a besoin pour survivre dans une poubelle à proximité.

     

    "Ça peut être dur parfois, mais heureusement, mes parents m'envoient de l'argent tous les mois." explique Carl en ouvrant un deuxième document Word vierge et en rafraîchissant sa page Facebook.

     

    Finalement, Carl est rejoint au café par un autre nomade numérique. En ouvrant son propre ordinateur portable, les deux s'assoient en silence, contemplant l'avenir du travail au 21 e siècle.

     

    Si vous êtes un nomade du numérique et que vous avez été affecté par ce reportage immerssif de "The Durian", criez assez fort pour qu'on vous entende jusqu'au plus profond de vos fesses.

     

     

    • Haha 2
    • Ancap 1
  3. à l’instant, Johnathan R. Razorback a dit :

     

    C'était dans l'appart qu'ont loué mes parents à Bruxelles. 2 WC différents, 0 verrous. Genius.

     

    La generalisation quoi, meme pas honte le Johnathan ...

     

    Recemment une famille francaise  a ete soupsonnée d'avoir réintroduit la rougeole au Costa Rica. Saviez-vous que le vaccins contre la rougeole n'a pas encore atteint ce pays arriéré qu'est la France ? Incoryable ! ils vivent comme des sauvages, je ne serais pas surpris qu'on puisse encore y choper la peste noire!

     

     

    • Haha 1
  4. il y a 2 minutes, Johnathan R. Razorback a dit :

     

    Je parle d'un dispositif qui permet d'empêcher d'ouvrir la porte de l'extérieur.

     

    Tu me diras ma sœur est allée en Espagne (dans une famille) et là non plus ils ne disposaient d'une technologie aussi avancée.

     

    Mais t'as vu ca dans un seul logement, plusieurs logement, un lieu public ou plusieur lieu public?

    En 29 ans en Belgique je n'ai jamais vu ca nulle part

  5. Le 03/03/2019 à 20:48, Johnathan R. Razorback a dit :

     

    Je confirme, je reviens de Bruxelles et c'est absolument pas possible d'appliquer l'option rattachiste. Les niveaux de civilisations entre les 2 pays sont beaucoup trop inégaux. Rendez-vous compte, il n'y a pas de verrous dans leurs WC !!!

     

    (On me dit que c'est pareil en Espagne au Royaume-Uni. Ma sympathie pour lui en prend un coup).

     

    De quoi tu parles exactement ? 

    Parce que y a plus grand chose qui me plait vraiment en Belgique, mais je ne me souviens pas etre tombé sur des WC sans verrous. A moins que nous n'ayons pas la meme definition de ce qu'est verrou

     
  6. https://nationalpost.com/news/canada/supreme-court-upholds-decision-to-force-comedian-to-pay-15000-for-tirade-of-ugly-words-against-lesbian-heckler

     

    Traduction: 

     

    Quote

    Guy Earle a été condamné par le Tribunal des droits de la personne de la Colombie-Britannique à payer 15 000 $ americains (22k$ canadiens) après qu'une femme homosexuelle eut allégué que son spectacle lui avait causé un trouble de stress post-traumatique.

    Dans une décision qui pourrait avoir des répercussions pour les clubs de comédie partout au Canada, la Cour suprême de la Colombie-Britannique a confirmé le droit d'une cliente d'un bar de recevoir des dommages-intérêts à cinq chiffres d'un comédien dont la performance lui aurait causé, d'après elle, un stress post-traumatique.

     

    En 2011, le Tribunal des droits de la personne de la Colombie-Britannique a ordonné au comédien torontois Guy Earle de verser 15 000 $ à Lorna Pardy, une femme homosexuelle qui a déclaré avoir subi " des effets physiques et psychologiques durables " après que M. Earle lui ait adressé toute une gamme de propos lesbiens dans une soirée micro ouvert à Vancouver en 2007.

     

    Mercredi, le tribunal de la Colombie-Britannique a rejeté l'affirmation de M. Earle selon laquelle les clubs de comédie devraient demeurer des endroits spéciaux consacrés à la " poursuite sans peur de la liberté d'expression " et que la décision du Tribunal aurait un " effet paralysant sur les spectacles et les artistes en Colombie-Britannique ".

     

    Offensant, irrévérencieux et inapproprié


    Le juge Jon Sigurdson a plutôt statué que, bien que les clubs de comédie puissent tourbillonner avec un langage "offensant, irrévérencieux et inapproprié", ils n'opèrent pas dans des "zones d'immunité absolue contre la législation sur les droits humains".

     

    En mai 2007, Lorna Pardy et une amie se trouvaient au Zesty's, un restaurant de Vancouver dont la clientèle était en grande partie homosexuelle, quand une soirée micro ouverte organisée par M. Earle a débuté. Les deux femmes ont décidé de rester et de regarder le spectacle.

     

    Selon les conclusions ultérieures du Tribunal des droits de la personne, pendant l'émission, la petite amie de Mme Pardy lui avait simplement donné un bécot sur la joue lorsque M. Earle a dit à la foule : "Ne vous occupez pas de cette table de gouine inconsidérée là-bas. Les lesbiennes gâchent toujours tout pour tout le monde."

    La réplique a déclenché des huées envers la table de Mme Pardy et a donné le coup d'envoi d'une série d'insultes et de plaisanteries sur le thème lesbien, culminant par deux confrontations hors scène au cours desquelles Mme Pardy a lancé deux verres d'eau à l'humoriste et lui, en retour, a cassé ses lunettes de soleil.

    Comme M. Earle l'a dit, cependant, le couple s'embrassait passionnément au premier rang et interrompait à plusieurs reprises le spectacle avec des grossièretés lorsque M. Earle a essayé de " faire taire " la table en disant qu'elles n’étaient même pas lesbiennes "aucun homme ne veut vous baiser, c'est pourquoi vous êtes ensemble" donnant ainsi un coup de fouet à cette escalade désolante.

    Après deux conversations animées avec le propriétaire du bar le lendemain, dont la dernière a amené Mme Pardy à crier aux clients du restaurant que la propriétaire tolérait la violence faite aux femmes, Mme Pardy a porté sa cause devant le Tribunal des droits de la personne de la Colombie-Britannique.

     

    En avril 2011, Murray Geiger-Adams, membre du tribunal, a publié un rapport détaillé de 102 pages sur les diagrammes du restaurant, a examiné les origines de la soirée hebdomadaire du micro ouvert et a même examiné les antécédents irakiens du propriétaire du bar (" Il appartenait à des groupes ethniques et chrétiens minoritaires et a lui-même été victime de discrimination ").

    Le fait que presque tous les témoignages provenaient de personnes qui avaient bu a compliqué les choses, obligeant M. Geiger-Adams à passer au crible plusieurs scénarios concurrents.

     

    En fin de compte, le tribunal a statué que l'attaque de M. Earle avait aggravé l'état préexistant de Mme Pardy, qui souffrait d'un trouble anxieux généralisé avec crises de panique, et causé son SSPT. Longtemps après l'épisode, par exemple, Mme Pardy a dit que le simple fait d'entendre M. Earle raconter la soirée lors d'une entrevue à la radio l'avait faite manquer le travail.

     

    Lorsqu'on lui a demandé pourquoi elle n'a pas simplement quitté l'établissement, au lieu de rester jusqu'à la toute fin du spectacle, "elle a répondu qu'elle n'était pas partie parce qu'elle était trop choquée et qu'elle ne pouvait littéralement pas se lever de la cabine", selon les documents de décision. Quant aux jets d'eau, "la conduite de M. Earle avait mis Mme Pardy dans un état tel qu'elle était incapable de formuler immédiatement une réponse mesurée, voire rationnelle".

    Elle n'a pas été en mesure de formuler immédiatement une réponse mesurée, ni même rationnelle.


    En plus de la pénalité de 15 000 $ imposée à M. Earle, le restaurant a également été condamné à verser 7 000 $ à Mme Pardy au motif que, puisque le propriétaire avait donné à M. Earle une petite note de bar pour tenir l'événement, le comédien était légalement un employé. Le restaurateur Salam Ismail avait déjà dépensé au moins 13 000 $ en frais juridiques pour se défendre devant le tribunal.

     

    L'avocat de M. Earle, quant à lui, a quitté le tribunal plus tôt que prévu, alléguant qu'il s'agissait d'un " procédure illégale ".

     

    Dans une contestation devant la Cour suprême, M. Earle a tenté de soutenir que Mme Pardy " a joué un rôle vital et très dramatique en perturbant complètement le spectacle des bénévoles non rémunérés ".

     

    "Les clubs de comédie ne sont pas comme les autres, la quintessence qui les distingue des médias grand public insipides est la poursuite sans peur de la liberté d'expression."

    Néanmoins, comme l'a dit le juge, "M. Earle ne jouait pas une comédie lorsqu'il s'est lancé dans sa tirade de commentaires injurieux visant Mme Pardy."

     

    "En fin de compte, il ne s'agit pas ici de la portée de l'expression dans une représentation comique ou artistique, a-t-il écrit. "Il s'agit de violence verbale et physique qui équivaut à un traitement défavorable fondé sur le sexe et l'orientation sexuelle."

     

     

     

    Ce qui est dingue c'est qu'on ne semble pas s'inquiété de la responssabilité de la plaignante (faire chier l'artiste sur scene pendant son spectacle) ni du dommage reel ou fanstamé causé par les insultes, et qu'on ne renvois pas ca a ce que c'est "une disputes de guigoles qui ne savent pas se tenir en societe ou reagir intelligement a la betise humaine.

     

    Ce qui compte la, c'est que les insultes visait la sexualités des victimes. 

     

  7. Il y a 3 heures, Librekom a dit :

    Non, il faisait l'hypothese que des pedophiles homosexuels seraient mieux protégé par leur pairs que les pedophiles heterosexuels dans l'Eglise. 

     

     

    il y a 4 minutes, Rincevent a dit :

    Non, mon hypothèse n'était pas nécessairement qu'ils y seraient mieux protégés, mais que pour des raisons de dogme, l'Eglise se serait davantage retrouvée désemparée (aussi bien pour la prévention que pour la répression) face à des pédophiles homosexuels que face à des pédophiles hétérosexuels. 

     

    Ok je comprend ce que tu veux dire, mais tu parlais de "couvirir volontier" pas de désemparement.

     

    Le 27/02/2019 à 11:11, Rincevent a dit :

    L'enseignement de l’Église étant marqué, pour des raisons historiques, par le détournement du regard sur l'homosexualité, il n'est pas impossible que les gens qui ont couvert les pédophiles dans l’Église aient plus volontiers couvert les pédophiles homosexuels qu'hétérosexuels (et du coup, il est amplement temps que la discipline interne de l'institution soit aussi explicite et aussi rude pour les premiers que pour les derniers).

     
  8. Il y a 20 heures, poincaré a dit :

    :icon_bave:

     

    Visiblement, ce qui intéresse ici n'est pas les causes, ni les formes que prend la pédophilie mais sa mise en perspective avec... l'homosexualité. Donc bon, j'ai passé du temps à faire de la recherche pour rien.

     

    ((Au passage, l'hypothèse sur la volonté de domination du pédophile a été démontée la recherche en l'état parce que les pédophiles ont, pour la plupart, des problèmes pour entretenir des relations, disons, sentimentales avec les adultes (et plus particulièrement les femmes, la figure maternelle étant souvent conflictuelle). La relation avec l'enfant est donc perçue comme rassurante)).

     

    Dans kle videos postée plus haut, on parle de differentes formes de pedophilie. Il y a differentes cause, differents contextes, differentes attirances...

  9. Le 28/02/2019 à 10:44, Bisounours a dit :

    c'est pas ce que supposait @Rincevent ? sachant qu'on s'en fout complet des pédophiles homos ou hétéros ; pédo, ça vient ici du grec qui signifie enfant (donc non genré)

     

    Non, il faisait l'hypothese que des pedophiles homosexuels seraient mieux protégé par leur pairs que les pedophiles heterosexuels dans l'Eglise. 

     

     

  10. Il y a 10 heures, PABerryer a dit :

    Article sur la prévalence des prêtres catholiques ayant eu des relations sexuelles avec un mineur : entre 2% et 5%. Si l'on prend la population masculine en générale c'est 8%

     

     

    http://lasalettejourney.blogspot.com/2010/04/when-will-media-acknowledge-fact-that.html

     

    Ce qu'est le Jon jay Report: https://fr.wikipedia.org/wiki/John_Jay_report

     

    Le rapport en version intégrale : http://www.usccb.org/issues-and-action/child-and-youth-protection/upload/The-Nature-and-Scope-of-Sexual-Abuse-of-Minors-by-Catholic-Priests-and-Deacons-in-the-United-States-1950-2002.pdf

     

    Ce qui est interessant aussi c'est que dans cette etude sur le clergé, on observe une tres large proportion d'abus par des agresseurs masculin sur des vicitmes masculines (~70%) alors que dans les differentes etudes sur le milieu educatif, c'est complement marginal.

     

    Agresseurs masculins - victimes masculine -> 15%, agresseur feminin - victime feminine - 13%

     

    Citation

    Researchers have failed to find a consistent connection between sexual identification or sexual orientation label and child sexual abuse. For instance, Jenny et al. (1994) reviewed 350 cases of child sexual abuse and found no patterns. In another study (Freund et al., 1984), researchers found that homosexual males responded no differently to pictures of male children than did heterosexual males to pictures of female children.

     

     

  11. Ce tableau est interressant, c'est le prevalence de victimes de "sexual abuse by an educator" (ce qui est donc une definition tres large) chez les personnes mineures qui souffrent d'un handicap mental et ca compare avec la population qui ne souffre d'aucun handicap mental.

     

    On voit bien que plus la victime est faible et manipulable, plus elle est ciblée

     

    image.png

  12. il y a 16 minutes, PABerryer a dit :

     

    Où trouves tu 8% de victimes? Là c'est 8% d'adultes ayant eu une relation de type sexuelle avec un mineur. Pour info c'est le même genre de définitions large utilisées ailleurs comme dans le rapport du grand jury de Pennsylvanie. Cela peut paraître large mais cela autorise la comparaison. 

     

    La par contre je n'ai pas trouvé la source de cette statistique. Ca sort d'ou? 

    Et puis comme tu dis, ca parle de relation avec un mineur, donc effectivement de Brigitte marco a Fourniret, mais ca inclus aussi Donna et Dylan qui sont ensemble au lycee, et que Dylan a son anniverssaire avant Donna (ce qui serait completement con, mais rentrerait dans la definition relation entre un adulte et un mineur)

  13. MMy bad, maintenant que le regarde dpeuis un PC au lieu d'un smartphone, je realise que j'ai melagé les rapports: 

     

    je parle de celui ci qui est cité dans le parargaphe suivant, qui se focu sur le milieu de l'education. ->  https://www2.ed.gov/rschstat/research/pubs/misconductreview/report.pdf

     

    Il montre que ces stats parlent de beaucoup plus que la pedophilie (viol et question qui met mal a l'aise rentre tous les deux dans la meme catagories (sexual misconduct) 

    Et c'est en fin de la page 17 qu'on peut lire: 

    Citation

    Responses from students who indicated they had experienced one of the listed behaviors were analyzed using descriptive statistics and frequencies. This analysis (Shakeshaft, 2003) indicates that 9.6 percent of all students in grades 8 to 11 report contact and/or noncontact educator sexual misconduct that was unwanted. 8.7 percent 18 report only noncontact sexual misconduct and 6.7 percent experienced only contact misconduct. (These total to more than 9.6 percent because some students reported both types of misconduct.) Of students who experienced any kind of sexual misconduct in schools, 21 percent were targets of educators, while the remaining 79 percent were targets of other students.

     

    • Yea 1
  14. il y a 5 minutes, PABerryer a dit :

    Le rapport date de 2002 certes mais cela reste un plus gros travail que vos impressions. Vous avez mieux ? 

     

    c'est pas la date de l'etude qui pose probleme, c'est les conclusion de l'article (il y a 8% de pedo dans la population generale, et il y en a beaucoup moins dans l'Eglise) 

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