Barem

Licence ECO GESTION, 2ème année Finalement, je vais faire une rédaction en 3 partie. 1 intro 2 Ce qu'est un paradis fiscal et pourquoi il existe 3 pourquoi l'évasion fiscale est raisonnable d'un point de vue économique pour des agents aisés 3 pourquoi ce n'est pas "acceptable" socialement. et conclusion

Sincèrement, je ne sais vraiment pas quoi répondre pour rester "correct"...

Sujet de rédaction en anglais pour vendredi : Offshore tax havens are immoral. Discuss.

On va essayer de relever le niveau :

L'école publique et l'endoctrinement anti raciste : http://www.dailymail.co.uk/news/article-2511841/Children-8-racist-miss-Islam-trip-Schools-threatening-letter-parents-met-outrage.html

En ce moment je lis The Underground History of American Education par John Taylor Gatto. Pour faire simple, il s'agit d'un essai tentant de démontrer les failles du système éducatif public actuel et de valoriser la libéralisation totale de ce secteur. Je ne crois pas que l'auteur soit libertarien, mais en tout cas au point de vue de l'éducation, il l'est sans aucun doute. (ce que j'apprécie au passage) Gatto est plutôt attaché à ses convictions, au point qu'il a démissionné de son poste d'enseignant après des années de service tellement il était dégouté par la façon dont sa profession est exercée dans le système public. Quelques mois avant sa démission, il avait reçu un prix du meilleur enseignant de NY. Son discours avait marqué les esprits. Je vous invite à le lire. Il est notamment passé dans les émissions de Lew Rockwell ainsi que celles de Brett Veinotte, l'animateur de l'émission School suck project.

Enfin dans les classiques, on peut aussi faire le trie : j'aime Biron, Baudelaire, Beaumarchais, Rimbaud, Kafka alors que je n'ai jamais pu lire 20 pages de Proust.

Très bonne répartie. Je me demande parfois si ce n'est pas l'un des objectifs de l'éducazion nazionale... Je ne cherche pas rentrer dans le complotisme mais toute institution ayant le pouvoir d'éduquer de façon exclusive une population serait quand même tentée de faire en sorte que son pouvoir ne soit pas remis en cause par des énergumènes ayant un minimum d'indépendance d'esprit.

Je comprends. Dans ce cas, autant intégrer le fait indiqué par mes soins plus haut.

C'est marrant, quand j'ai vu que c'était Lucilio qui avait répondu, j'ai tout de suite pensé aux moutons. (je déteste le regard des moutons, leurs yeux me révulsent)

Bonjour, ma question sera : Pourquoi les femmes réussissent elles mieux à l'école ? (sujet que j'ai justement abordé avec des copines de l'université ces jours ci) De nombreuses études démontrent que depuis les 20 dernières années, les femmes sont meilleurs élèves que leur confrère masculin mais ne sembleraient pas forcément bénéficier de la même réussite sociale et professionnelle malgré tout. Je ne reviendrais pas sur ce dernier point qui demanderait de remanier ma question mais je souhaite développer la réponse à ma problématique qui, portant sur la différenciation des sexes et les attributs que l'ont pourrait attribuer à chacun d'eux, à souvent tendance à déraper en société, ce qui au final ne fait pas avancer le débat.

Je ne comprend pas cette attitude de vomir sur ses opposants, avec un rejet total du personnage ciblé. N'est il pas bénéfique de lire des auteurs aux pensées antagonistes aux nôtres ?

Facile de bien se faire voir à l'université. Ayant pas mal d'amis plus âgé que moi et ayant suivi ma filière, je dispose de tous les sujets d'examen (contrôle continu et terminal) des années précédentes. Du coup, je partage tous ces documents sur FB dans un groupe spécifique et je deviens le petit héros de la licence. Mouhaha A vrai dire, je ne fais que mener ma vie en respectant certains de mes principes, notamment que la coopération, tout comme la compétition, est essentielle pour réussir à l'université comme au travail.

Cela me fait penser que j'ai vu dernièrement que mon prof de micro aimait Flaubert et Vargas Llosa. On est fait pour s'entendre. Pourquoi pas Zola ?

Dans la même veine, disparu trop tôt :

Ba faut bien ça

Mais je préfère voir un gosse lire un roman de Zola que planté devant la télé...

Le ventre de Paris est un de mes romans préférés, j'ai rarement été plongé avec un tel talent dans le Paris que j'aurais rêvé de voir. Je trouve les propos de certains sur ce fil irrespectueux envers Zola. Rien que pour son engagement dans l'affaire Dreyfus, je le trouve respectable. Le problème avec les auteurs connus (je ne dis pas cela pour vous mais du fruit de ma propre expérience sociale) c'est qu'ils sont inconnus de la grande majorité des gens mais tout le monde se targue de les "connaitre". (Zola, Maupassant, Balzac en tête)

En attendant, je suis sur que tu aimes ce whisky de qualité.

J'ai de plus en plus tendance à croire que la principale raison (je ne me fait pas d'illusion, je me doute qu'il y en a d'autres) qui fait que les gens se détournent de la lecture aujourd'hui est l'influence de l'école publique et obligatoire que l'on a connu. (je le vois chez les amis de ma soeur voir ma soeur à proprement parlé, actuellement au collège) Lorsque la seule manière d'apprendre à des enfants de nouvelles connaissances qu'ils n'ont pas envie d'apprendre et dont ils doutent de l'utilité dans leurs années de vie futures est la contrainte, comment voulez vous qu'après ces années de conditionnement, les enfants d'hier ne soient pas dégouté par un quelconque effort intellectuel lié à la lecture ? Par déni du choix qui peut être donné aux parents et à leurs enfants, le système actuelle ruine l'enfance de millions d'individus. Lorsque je porte un regard rétrospectif sur ma propre expérience scolaire, je vois des années de perdu en vue de satisfaire un système autoritaire. L'instruction est fondamentale, la façon dont cette instruction est inculquée aujourd'hui est une misère.

Ne plus faire croire que la fonction publique est la porte d'accès à un métier garantit à vie serait aussi une bonne chose.

Oui merci... Le whisky reste dégueu'

Label 5