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Sam

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Tout ce qui a été posté par Sam

  1. "à mon avis, là, tel que c'est parti, c'est raté" Nicolas Hulot, au sujet d'EELV. Hin hin hin
  2. Sam

    Jeux vidéo

    Personne n'aime l'émulation de vieux jeux ? L'évocation du mot "Gauntlet" m'a fait repenser au jeu Gauntlet II, gros hit des 80's. Je me rappelle avoir téléchargé un émulateur d'Atari-ST immédiatement après en avoir entendu parler. Des musiques de folie : Gros choc nostalgique quand j'ai découvert ça. Depuis j'ai remis la main sur à peu près tous les jeux que j'ai pu aimer à l'époque, sur Atari-ST, Game-Gear, Megadrive, Super Nintendo, arcades… Ça m'arrive d'y jouer, ça fait toujours plaisir et c'est peu addictif vu la difficulté de la plupart des jeux de cette époque ! Le plus souvent il n'y avait pas la possibilité de faire des sauvegardes, contrairement aux émulateurs, qui du coup m'ont permis de finir certains jeux malgré une difficulté de fou. Ce genre de jeux avec un boss quasi invincible à cause desquels j'ai dû fracasser deux ou trois manettes à l'époque. Vaincre le boss de Barbarian II m'a apporté plénitude et paix intérieure.
  3. Le terme « rationnel » était mal choisi. J’avais bien noté que ces criminels ont effectivement une capacité de raisonnement, malgré la maladresse de mon propos incitant à croire le contraire. La pulsion incontrôlable ou l'influence de psychotropes peuvent être le système de défense privilégié de ce genre de criminel, mais généralement c’est plutôt, d’après eux, que ça n’est pas un viol ou tout au moins rien de bien grave, ou encore que la victime ment, qu’elle en rajoute, ou pire, que c’est de sa faute. Insister sur l’influence de ses complices, refuser d’admettre qu’on est pas crédible, se persuader qu’on est de bonne foi, c’est ça leur psychologie. Je te rejoins sur les différences dans les degrés de moralité, qu’on n'est pas ou honnête ou barbare, je conteste uniquement ce qui constitue le caractère dissuasif d'une peine, et pour qui elle l’est.Nous protéger des criminels est en effet un motif suffisamment valable pour les emprisonner, mais alors il faut penser à la sortie de prison. En France les conditions carcérales sont telles qu’un voyou a de grandes chances d’être encore plus mauvais, plus dur et plus dangereux en sortant qu’en entrant. Le dépouilleur de mamies et de collégiens y fréquente, en compagnie d'autres potes à lui, des tueurs, des braqueurs, des terroristes, des macs… 10 ans de tôle dans ces conditions ne sont jamais que 10 années de sursis pour le reste du monde. Je ne dis pas qu’ils ont violé parce qu'ils ont une pulsion qui relève du psychiatrique, et comme tu le dis c’est justement c’est parce qu'ils étaient assez forts pour le faire et que le rapport coût-bénéfice ne leur a pas inspiré une sainte trouille que je les considère irrationnels, terme peut-être mal choisi. Qu’à aucun moment ils ne s’inquiètent de ce qu’ils risquent, c’est de l’inconséquence, ou de l’inconscience pure, que sais-je ? Un peu comme ces jeunes Russes qui jouent aux acrobates au sommet d’une grue de 50 mètres riant aux éclats alors que la mort leur pend au nez.Et tu as hélas raison sur les tournantes, c'est un truc anodin pour certains. Exactement, le fond du probleme est culturel, et la culture de ce genre de criminels se constitue sur des bases de violence et de frustrations, sexuelles et relationnelles notamment. Et bien sûr, outre le traumatisme qu’elle cause aux victimes, l'impunité augmente le nombre de cas de violence et leur intensité.Quand aux Imams, si leur prosélytisme peut être un apport positif ne serait-ce que par le caractère structurant des religions, certains d’entre eux considèreraient la victime d'un viol comme une petite impudente punie par là ou elle a péché, et le coupable comme un faible face à la tentation. Il faut voir le sort des femmes violées dans certains pays musulmans. Vraiment, je ne considère pas les malades mentaux comme incapables de rationalisme, par ailleurs je ne suis pas sûr que ceux dont nous parlons sont des malades mentaux. Il y a bien une différence entre ne pas être capable de ressentir la pitié ou les remords, ce qui relève de la psychiatrie, et ne pas vouloir comprendre pourquoi et dans quels circonstances on est censés les ressentir, ce qui est un problème d’éducation, de culture.Je disais que si un type violent veut "tabasser, violer ou tuer quelqu'un, ce n'est pas au moment d'agir qu'il réfléchira à la dureté de la peine encourue, alors même qu'à aucun moment il n'envisage d'être arrêté, jugé, puni.". Le billet du psy que tu postes dit en substance la même chose, avec DSK comme exemple. En partant des chefs d'accusation, on se demande comment un tel stratège, être purement rationnel et calculateur (c'est quand même un homme politique de 1er plan), a pu faire une connerie aussi improbable ? En principe chez les criminels, c'est le sentiment de toute puissance qui au moment d'agir prend le pas sur toute considération morale ainsi que sur la peur, bien rationnelle, d'être pris, qu’ils soient ou non diagnostiqués comme malades. Entretemps, je suis tombé sur ce papier d’un criminologue (avril 2009), succinct mais assez convaincant, qui dans une certaine mesure va à l'encontre de ma position sur l’effet dissuasif d’une peine lourde. Enfin, des peines bien plus lourdes que celles préconisées ici ont déjà existé dans le passé (et existent toujours ailleurs). Manquant d’informations probantes je ne me prononce pas, mais je serais surpris d’apprendre que la criminalité y était moins présente qu'aujourd'hui malgré les peines encourues.
  4. Merci. …qui ne seront plus seulement mineurs, du coup. Ça a l'air très bien pensé ! Pour la concurrence sur le réseau, les clients et les mineurs sont-ils mis en relation automatiquement en fonction des prétentions des un et des autres ?
  5. Un exemple, mais pour qui ? Les gens honnêtes sont tous aussi scandalisés que nous le sommes. Quel est l'intérêt de vouloir les dissuader de pratiquer des actes de barbarie ? Si c'est pour faire un exemple à l'intention des potentiels violeurs, c'est tout aussi inutile. Un tordu reste un tordu, pas la peine de chercher la rationalité chez un individu de ce genre. S'il lui prend l'envie de tabasser, violer ou tuer quelqu'un, ce n'est pas au moment d'agir qu'il réfléchira à la dureté de la peine encourue, alors même qu'à aucun moment il n'envisage d'être arrêté, jugé, puni. Je comprends cette préférence pour une justice impitoyable, dont la dureté des peines est au moins à la hauteur de celles des crimes commis. Mais je ne vois pas pourquoi il faudrait ni comment on pourrait soutenir cette justice avec des arguments objectifs (comme l'effet dissuasif) alors qu'elle est simplement l'expression de la répulsion face à la barbarie et la volonté d'une vengeance impitoyable.
  6. Bonsoir, NB : Navré si la question que je pose a déjà été abordée, à l’époque j’avais suivi le fil jusqu’à la page 3 ou 4 avant de m’en désintéresser. Je n’ai pas eu le courage de lire le reste, sinon la dernière page. Pour être sûr de comprendre, je résume (arrêtez-moi si je dis n’importe quoi) : - De par leur nature, il n’y aura jamais plus de 21M bitcoins, - Ils sont générés sur le réseau grâce à des calculs complexes effectués lors de transactions, - Ces calculs nécessitent puissance et mémoire, fournies par les utilisateurs acceptant que le réseau bénéficie des ressources de leurs ordis, - En retour, ces utilisateurs sont récompensés avec les bitcoins nouvellement créés, - Les calculs effectués sur le réseau servent avant tout à garantir publiquement la conformité des transactions et l’authenticité des bitcoins échangés. Ils sont indispensables au fonctionnement de tout le système d’échange Bitcoin. C’est donc la perspective d’obtenir de nouveaux bitcoins qui motive les utilisateurs à mettre la puissance de leur ordinateur au profit de tous. Quelle sera leur motivation une fois que les 21 millions de bitcoins auront été générés ? Selon moi l’arrivée à ce maximum pourrait coïncider avec une chute de la puissance de calcul disponible sur le réseau, ce qui serait un sérieux frein au système. Est-ce un danger réel ? Si oui, qu’est ce qui pourrait empêcher cela ? Mes questions ont-t-elle un sens ? Est-il temps que j'aille dormir ? Merci d'avance.
  7. Sam

    Strauss-Kahn a des ennuis

    Du coup l'info de la veille est passée inaperçue. Le procureur conteste.
  8. Sam

    Strauss-Kahn a des ennuis

    C'est pervers. Alors que payer des femmes qui font semblant de dire oui, c'est sain.
  9. Sam

    Strauss-Kahn a des ennuis

    Plus sérieusement, je me suis fait la même réflexion que Tapie : je trouve que ça sent mauvais et que ça arrange plein de gens. Ça semble quand même absurde, cette scène telle qu'elle est racontée… Boutin pense à peu près la même chose d'ailleurs. Bref, je suis du même avis que 2 tarés, quoi.
  10. Sam

    Strauss-Kahn a des ennuis

    :lol: :lol: :lol: :lol: Magnifique !
  11. Mention spéciale au mec à chevelure de caniche qui peut pas s'empêcher de se la toucher (celui au polo rayé jaune et blanc). Ces vidéos… je ne devrais pas mais c'est nerveux Merci, Professeur !
  12. Sam

    Immobilier

    "Risquée" c'est un point de vue : sa position est absurde, objectivement. Ce qui est risqué c'est de se dire que les prix vont forcément monter : c'est un pari. Mais là le gars part du principe qu'entre l'achat de son clapier et sa revente, les prix de l'immobilier vont monter. De là il anticipe qu'à la revente de son bien, la plus-value lui permettra d'acheter plus grand. Il anticipe donc lui-même une augmentation des prix et pourtant il oublie que le prix moyen du type de logements qu'il prévoit d'acheter grâce à cette plus-value aura augmenté lui aussi. Il ne se croit concerné par l'augmentation qu'à la revente de son 1er bien mais pas à l'achat qui suit. C'est un peu comme ceux qui pensent que pour un prêt à 4%, tu empruntes 100.000 et tu rembourses 104.000 (oui, ça existe) : il est objectif de dire que c'est un calcul stupide. Dans ton exemple l'affaire est simplement risquée, pas "mauvaise" dès le départ. Bon au final c'est la poisse, quand-même
  13. Sam

    Immobilier

    Non bien sûr, mais que répondre à celui qui achète un clapier à 150000€ lorsqu'il t'explique qu'il achète selon ses moyens, petit donc, mais que comme il revendra plus cher (déjà), il pourra acheter plus grand avec la plus-value ? Évidemment, s'il s'agit de quelqu'un qui a pour seule motivation le besoin d'être propriétaire, là je ne discute pas, ou alors de la maison en elle même.
  14. Sam

    Armageddon économique ?

    Du même tonneau que les quelques dollars qu'il reste à rembourser. J'ai plusieurs questions : les sommes déposées sur des comptes bancaires sont elles légalement considérées comme des dettes de la banque envers le déposant ? Sont-elles comptabilisées dans le "total credit market debt" dans le cas US ? En résumé : toutes les sommes qui ne sont pas sous forme de pièces ou de billets doivent-elles être considérées comme des dettes/créances ? Si je demande ça c'est parce que M2 est notamment composé des dépôts des épargnants US (particuliers et entreprises), dont certains ont par ailleurs des dettes à rembourser. Je m'interroge sur la nature de M2 et l'impact que des remboursements de dettes massifs peuvent avoir sur son volume.
  15. C'est compliqué à faire, ça ? Ou même risqué ?
  16. Merci. Votre réponse m'apporte une autre interrogation. Prenons le cas d'une nation dont l'économie est en grande partie basée sur une consommation stimulée par l'emprunt privé. Fortement inflationniste, donc. La masse totale d'emprunts privés à rembourser y est indéfiniment renouvelée par la contraction de nouveaux emprunts par les consommateurs. Ne peut-on dire que cette situation aboutit au même résultat qu'un emprunt étatique non-remboursé et renouvelé ? J'avoue ne pas vraiment comprendre ce concept "d'emprunt qui produit de l'offre marchande".
  17. Pouvez-vous expliquer ce point ? L'évocation d'un emprunt privé non remboursé et renouvelé me fait immédiatement penser aux personnes surendettées par de nombreux crédits à la consommation. Ils augmentent la demande, le volume des échanges, et au final, les prix. Le non remboursement de leur dette semble de nature tout aussi inflationniste que celui de l'Etat.
  18. L'inflation s'applique "sans discrimination entre les catégories d'agents". Si l'IPC augmente tandis que salaires et matières 1ères stagnent aux mêmes prix, il y a discrimination entre diverses catégories d'agents qui sont les salariés d'une part, et les employeurs et fournisseurs intermédiaires d'autres part, pourtant ce sera considéré par l'INSEE comme de l'inflation. L'IPC ne compte pas, même indirectement, le prix des biens intermédiaires et des salaires dans le prix du produit de consommation final qu'ils servent à produire. Il s'intéresse au prix final des produits, qui résulte du prix que les consommateurs finaux sont prêts à payer. Sinon ça revient à dire qu'un produit vaut au moins son coût de production, ce qui est faux comme on peut le constater lors d'une vente à perte.
  19. Si l'on parle d'une augmentation générale des prix des biens et services, on est obligé d'y inclure les salaires, qui ne représentent jamais que le prix d'un service qui est le travail. Sinon on sort de la définition. La mesure de l'inflation est imparfaite car elle se base sur l'indice des prix à la consommation, qui ne dit rien sur le prix des matières premières, des salaires, de l'immobilier, etc… Ce que l'on mesure donc depuis des années n'est pas de l'inflation telle qu'elle est définie par l'INSEE. EDIT : plus exactement, c'est la définition même de l'inflation donnée par l'INSEE qui est hypocrite, puis qu'elle explique qu'il s'agit d'une perte du pouvoir d'achat de la monnaie se traduisant par une augmentation générale des prix des biens et services, mais que cette augmentation générale n'est calculée que sur l'IPC, lui même très réducteur.
  20. Sam

    Minou a faim

    Les Perversions de Minou : [dailymotion]xdjx21_chat-qui-aime-les-fessees_animals[/dailymotion]
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