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WBell

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Messages postés par WBell

  1. @Rincevent : le défaut de beaucoup de plaques de refroidissement, c'est de souffler l'air frais sur le fond de l'ordi, au lieu d'extraire l'air chaud et de l'envoyer ailleurs (c'est tout con, mails il suffirait que les ventilos soient montés à l'envers).

    Les rolls de plaques de refroidissement, c'est Zalman qui les fabrique. La plaque est en métal, donc conduit mieux la chaleur. Les ventilos durent plus longtemps avant que les billes des roulements ne se transforment en "cylindres" (ce qui fait le petit bruit caractéristique des ventilos bas de gamme). Le hub usb est intégré, puisqu'elle reprend le courant sur l'usb du pc, avec un câble usb fourni. Ce qui est un petit plus à l'époque des boîtes qui grattent sur tout ;) La vitesse des ventilateurs est réglable par une molette, et même à pleine puissance, les dB sont raisonnables.

    J'avais acheté une Zalman ZM NC1000 à l'époque (4 ou 5 ans), la version gris métal. Elle fonctionne toujours comme une horloge. Le MBP 2011 que j'utilise passe de 77° à 59° (sans changer la vitesse des ventilos du mbp lui-même). Il doit exister des itérations plus récente, mais ça rend le NC1000 moins cher aujourd'hui :).

    Une astuce que j'ai vue en salle de SAV d'intégrateur informatique : ne pas poser le portable directement sur la plaque. Il faut surélever le cul du portable avec deux cales pour permettre au flux d'air froid de remonter sur la coque, plutôt que de rester enfermé sous la machine. J'ai déjà vu des boîtes sur le net vendre des cales en silicone à 25 € la paire. C'est du vol. J'achète deux gommes à papier rectangulaires de même taille. La gomme est inerte et ne raye pas le métal ou le plastique de la machine (et ça évite de poser métal contre métal entre la plaque et le mbp). Cela soulève aussi un peu la machine, ça permet aux poignets de moins reposer sur l'arête du portable.

    J'espère que ça répond à ta question ;)

  2. Sur la définition du casual gaming, quelque chose que j'avais dans mes polys s'approche de ceci :

    - courbe d'apprentissage applatie (en "S". Le game design est très facile au début, et permet donc de marquer des points facilement, devient un peu plus dur si on veut développer des techniques de jeu spécifique, et s'applati à nouveau car il n'y a pas grand chose de plus à découvrir dans le jeu)

    - la notion de continuité temporelle est très faible. Il faut pouvoir commencer une partie sans qu'il n'y ai aucun besoin de parties précédemment jouée. Evidemment, les casual game autorisent les sauvegardes, mais il n'y a aucun besoin de jouer plusieurs heures pour commencer à rentrer dans la technique au coeur du gameplay (celle autour de laquelle chaque jeu est articulé).

  3. Ah ben tiens comment font-ils justement ? Avec la signature du client des paquets ?

    Je viens de tomber sur ta question, je ne l'avais pas vu passer avant. J'y réponds donc maintenant, désolé…

    Il y a plusieurs techniques "simples", qui se situent à différents niveaux logiques, dans les 7 couches réseaux classiques. Et toutes ces techniques sont automatisables avec le bon script qui tourne derrière, pas besoin d'un type derrière l'écran qui attend fébrilement que tu passes en mode modem pour décrocher le téléphone de bakélite à côté de lui et te dénoncer :).

    La première méthode est au niveau logique logiciel. Un exemple : le flash avec un iphone. Cette plateforme ne disposant pas d'implémentation de Flash officiellement, si des requêtes sont effectuées vers des sites qui servent du flash (style vidéo ou jeux), on peut estimer en toute logique que c'est pour servir le flash à un appareil placé derrière.

    Ensuite, au niveau implémentation TCP/IP, et pour simplifier, chaque paquet IP contient un compteur permettant de savoir le nombre de sauts (les "hops") effectués par le paquet. A chaque noeud du réseau qui voit passer le paquet, ce compteur est modifié. Cela permet, entre autres, de tuer les paquets qui tournent sur le réseau depuis trop longtemps sans avoir trouvé leur destinataire. Cela veut aussi dire que si ton opérateur voit revenir vers lui des paquets donc le nombre de hops est modifié de plus d'une unité, alors des machines derrière la machine à laquelle il s'adresse voient aussi passer ces paquets. Certains logiciels de tethering ont un mode indetectable pour pallier à cette fonctionnalité, et réécrivent en direct le compteur dans le paquet. Encore une fois, ce n'est pas un "viol de vie privée" de la part du fournisseur, il n'a pas besoin d'inspecter le contenu des paquets pour avoir accès à ces infos (ce n'est pas du DPI en lui-même).

    ll existe des techniques de NAT hole punching. En bon français, ça veut dire qu'on peut forger des paquets "erronés" (erronés de la bonne manière évidemment) pour qu'une fois envoyés, les machines derrière un pare-feu ou un modem livrent elles-mêmes les adresses et les ports sur lesquelles elles tournent. (Par exemple, un paquet forgé comme il faut qui spécifie une adresse de retour dans la plage des 192.168.X.X et qui ne revient pas vers l'opérateur en indiquant qu'il n'y a pas de machine avec cette adresse IP à l'autre bout indique qu'il y a effectivement une machine avec cette adresse derrière le modem !) C'est très grossièrement simplifié, mais cela donne une idée de comment ils peuvent réellement faire.

    Enfin, même une machine blindée à tous les niveaux, qui rejette tous les paquets erronés peut être tracée. En effet, les logiciels sont complexes et comportent de nombreuses couches, et dépendent de bibliothèques de code qui n'ont pas toujours été développées par l'auteur du logiciel lui-même. Ces bouts de codes peuvent à leur tour être mal programmés. Dans tout ce mille-feuille, il est courant que les spécifications réseau ne soient pas bien suivies, et que les logiciels "s'expriment" d'une manière qui leur est propre. Ainsi, tel logiciel sur PC ou sur mac peut envoyer deux paquets d'acquittement d'affilée au lieu d'un seul comme demande la norme. Ou il va envoyer systématiquement, au bout d'un temps connu, un paquet de synchro, ou d'autres blagues de ce genre. Ainsi, chaque logiciel est truffé de schémas de comportement, qui le rendent immédiatement identifiable (et ces schémas sont évidemment connus pour grandes briques logicielles). Dès lors, un pattern réseau qui ressemble à un logiciel PC alors que tu as connecté un iphone sur une connection 3G indique que tu es en train de l'utiliser d'une manière qui n'est pas prévue par ton contrat avec eux…

    Encore une fois notons bien que toutes ces informations sont obtenues par l'opérateur sans entrer dans vos données personnelles. Tout comme une agent de la RDA peut espionner les trains à l'ouest, et compter les militaires transportés, lorsqu'il est déguisé en vache au milieu d'un champ, les opérateurs récupèrent énormément d'infos de manière passive, qu'ils peuvent utiliser contre vous si leur en prend l'envie contractuellement…

    Au final, on retiendra de tout ceci que mes phrases sont longues, et pas toujours claires…

  4. Un N61VG, équipé d'un Core 2 Duo P7450, et qui tourne sous Win 7 64 bits. La carte graphique semble être une NVidia GeForce GT 220M. DirectX est en version 11.0 ; le pilote de la carte, en 186.31 ; le BIOS vidéo, en 62.94.92.00.0D. Je ne vois pas comment t'en dire davantage (je crois que connaître mes mensurations intimes ne t'aidera pas beaucoup).

    On me dit que le pilote de la carte graphique est à jour (et je me demande si je n'ai pas ces problèmes depuis la dernière mise à jour, mais ça remonte, et je ne suis pas certain de ce que j'avance). Quant au BIOS, je vais essayer, mais j'ai un symptôme à ajouter : lors d'un freeze, le son se met à planter lui aussi, et l'ordinateur continue à jouer la même "note" (si l'on peut appeler ça une note, hein).

    Des freezes pareils avec des Asus, je les ai eu sur 2 machines différentes. A chaque c'était un problème de la carte graphique. Un des deux modèles disposait du 8800M, connue pour être déjà daubée d'usine. Elle a claqué un après-midi d'été, alors qu'il faisait plus chaud que d'habitude.

    Pour augmenter la durée de vie : plaque de refroidissement. Si tu te sens l'âme aventurière, tu peux également l'ouvrir et aspirer les poussières. Le niveau au-dessus, c'est ré-étaler de la pâte thermique sur le die.

    Je ne connais pas ton modèle, ni combien il coûtait neuf. Si la carte graphique est au format MxM, tu vas pouvoir en trouver une autre sur le net pour la changer (même si c'est beaucoup plus cher que pour une CG de bureau). Si pas de bol, la CG est soudée sur la carte-mère. Tu peux quand même trouver des intégrateurs chinois sur ebay ou alibaba qui peuvent t'envoyer une carte-mère + une CG ou l'un ou l'autre (ça tourne autour de 15% du prix initial du portable. Il faut vraiment avoir envie de conserver ce portable là…)

    Edit : le son qui tourne en continu n'en est pas vraiment un. Tant que l'appareil est sous-tension, la dernière info électrique qui est présente dans le DSP continue d'être sur la ligne vers le haut-parleur.

  5. De rien, dans le même genre pour finir sur mon coaching du discours public, le wall text sur le powerpoint est déconseillé car les rares concernés par ta présentation vont lire le texte, et n'auront donc plus de ressources pour digérer ce que tes lèvres débitent, et là tu parles à 100% dans le vent, et quand ils vont racrocher à ce que tu racontes, ils auront manqué plusieurs trains. Et une fois que tu perds l'attention de quelqu'un, à moins de montrer ses seins, on ne la regagne pas. C'est pour ça qu'il ne faut pas faire de phrases sur les supports visuels, simplement des mots clés.

    Bref, et commencer directement par quelque chose qui suscite l'intérêt, au lieu du navrant : bonjour, je suis tartampion, je suis ici pour vous présenter bla bla bla.

    Au lieu de ça, commencez par une question qui va toucher la majorité de l'auditoire. Question d'accroche.

    Et ne jamais, jamais finir par un : "bah voilà c'est terminé." Mais finir par un bref récapitulatif des quelques points importants.

    Le début et la fin sont les deux moments clés, le reste c'est décoratif, tout le monde s'en fout.

    Et surtout, mais ça ne s'applique qu'aux français, il faut bannir les "euh alors eeuuuhh, donc euuh" qui servent à combler le silence. Vaut mieux un silence.

    Mon Dieu en discours public, après Adolf, c'est Steve Ballmer :

    wvsboPUjrGc

    Mais ça, en France, c'est un bon moyen de ne pas finir CEO mais plûtot chez Paul Employ.

    Pour confirmer ce que rapporte Sanksion, c'est le présentateur qui fait la pertinence du message, pas le message lui-même (on dirait du McLuhan :))

    La preuve : j'aime beaucoup le style de présentation de Lawrence Lessig. Il est capable de construire des speechs d'1h, avec plus de 500 slides. Sur la majorité des slides, on trouve un seul mot, mot qui se trouve dans la phrase qu'il prononce au même moment que le slide se trouve affiché à l'écran. Il a calibré son débit sur le défilement des transparents (ou l'inverse :)). Ça peut paraître rébarbatif, mais c'est efficace dans son discours (exemple

    )

    Un autre exemple est Steve Jobs, qui, bien que malade de son cancer, est capable de vendre un frigo à des esquimaux avec sa présence scénique…

    Un truc que j'ai repiqué au style anglo-saxons des conf en infos (mais que tout le monde utilise), c'est de commencer par une blague, ou une phrase qui choque. Comme le dit Sanksion, "bonjour je suis tartempion", c'est pourri comme mise en bouche.

  6. Voilà, et pour les gens comme moi c'est juste un bidule bariolé qui ne sert à rien du tout :)

    :)

    Quand je suis allé en conférence, je n'ai pas écrit de texte, mais j'ai présenté mes fils conducteurs sur une petite mindmap. Cela donne l'impression au public que le discours est plus fluide, plus vivant. (Et puis je n'ai jamais réussi à lire avec les petits yeux de taupe une feuille rédigée pendant que je parlais…)

  7. Félicitations. C'est en peuplant la terre de futurs petits libéraux que nous vaincrons :mrgreen:

    Tiens, je me demande combien d'enfants par libéral il faut pour que l'on atteigne 30% de la pop en X générations.

    Houlà, comme vous y allez ! On va déjà essayer de réussir celle là, c'est du boulot ! :)

    [trolol]Militez pour la polygamie. :devil: [/trolol]

    Mais justement c'est dans l'autre sens, en étant l'une des 4 femmes tu n'a qu'un quart de mec a supporter, c'est 4 fois plus facile.

    Et 4 belle-mères, vous y avez pensé ? La quadruple peine, c'est pas interdit ? :P

  8. La solution d'Esperluette me parait la plus rationnelle (sans être la panacée, qui n'existe pas, je pense, dans cette situation). Le type est en prison, et effectue du travail forcé à la chaîne. Quelque chose de sufisament basique pour éviter le sabotage (assembler des pulls ou des chaises, ça parait approprié - ou quelque chose de cet ordre).

    On regarde le prix du marché pour ce genre de travail. On prend un montant de l'ordre de 80% ou 90% (si on prend 100%, le type va se suicider, se mutiler, attaquer les gardiens… Il faut qu'il garde l'impression que dans l'affaire le fait de se racheter le profite aussi, et qu'il ne puisse pas violer une deuxième fois les droits de la personne en se suicidant, empêchant ainsi tout espoir de recouvrir quelque chose.)

    Pour quantifier combien la personne doit racheter, on fait confiance au marché. Comme cité avant, 1h de travail d'interprète de conférence n'est pas payée pareille qu'1h de pilote de ligne. La médecine du travail évalue l'impact sur la perte de capacité professionnelle et sur le salaire qui en découle. On peut également quantifier le prix d'un éventuel organe à greffer, (qu'il soit effectivement greffé ou non, d'ailleurs) - car oui, cela a aussi un prix de marché (clinique).

    Les prisons militaires sont plus rationnelles quand à la gestion des détenus. Je ne comprends pas bien pourquoi la fonction pénitenciaire est confiée à des civils et non à des militaires (pas forcément hommes de troupe, mais pourquoi pas des gendarmes…)

  9. @Alliterator:

    Tu peux prendre un screenshot d'un epub affiché sur l'écran retina de ton iphone 4, et le poster ici ? Comme ça, on pourra se rendre donc de la définition des pixels. Et si tu peux prendre également une photo de ton écran et la poster à côté, ça serait génial ! ;)

  10. C'est vrai (encore que dans mes souvenirs l'écran, qui date de 2008, est très en dessous de ceux d'aujourd'hui, type E-Ink Pearl, celui qui équipe, justement, le Kindle DX)

    En fait, sur le dernier DR1000 (le tactile et wifi - il y a eu 3 révisions, sans rien, tactile, et tactile+wifi), l'écran est un des premiers Vizplex, les même que ceux équippant les Kindle DX. Le contraste est agréable (en tout cas, après avoir emprunté celui d'un collègue pour comparer avec le mien, qui n'était "que" l'iRex, donc la génération précédente) et il me permettait de lire dans le métro, malgré les néons qui illuminaient de face la dalle "anti-réflections" (et qui est une horreur, sur les machines qui ont un écran de tout type…).

    J'avais commencé par un PRS-500, dans le métro. Taille carte postale (donc livre de poche). A l'époque, le contraste était mauvais, mais ça permettait de passer les 2h de transports en commun tranquille. Et la petite taille permettait de ne pas attirer les convoitises.

  11. @Nick: si tu as l'occasion de trouver le Digital Reader 1000 en occasion (ebay, priceminister ou leboncoin). http://fr.wikipedia….tal_Reader_1000

    C'est iLiad qui le fabriquait, avant de faire faillite l'année dernière. C'est vraiment (encore aujourd'hui) la rolls des readers, et on peut le trouver parfois moins cher que le Kindle DX. L'écran est bon, et comme la plate forme est ouverte, une grande quantité de logiciels a été porté pour lire tous les formats possibles, ou ajouter de nouvelles fonctionnalités (accès mails, web ou autre…)

    J'ai utilisé le modèle avec la taille en dessous tous les jours pendant 2 ans, ça marchait bien, même pour des pdf double colonnes…

    Il devient intéressant avec la baisse de prix de l'occasion, même si la boîte n'existe plus…

  12. Sur un iPhone 3GS et moindre, c'est un peu désagréable au bout d'un moment. Sur un 4, avec l'écran Retina, c'est agréable un bon moment, si la luminosité n'est pas poussée à fond (ni trop basse, pour le contraste ;))

  13. Je me souviens avec émotion de l'époque où on pouvait avoir un QNX fonctionnel, complet et graphique, qui tenait sur une disquette. Graphisme + souris + navigateur internet + Editeur de texte + Gestionnaire de fichier, et OS temps réel… Fin années 80, début années 90

  14. @Sanksion : je trouve que les 21 points listés résument bien l'opinion de base (les "valeurs de base" du libéralisme), et expliquent en peu de mots ce qu'il faut réexpliquer à chaque repas de famille ("Quoi, mon Dieu, toi, un libéral ? Et ça te fait quoi d'être un immonde nazi-voleur-pédophile-fou ?")

    Je crois que je vais m'en faire un T-shirt…

  15. Dans ce cas (qui n'est vraiment optimal…), un logiciel comme GoodReader peut forcer le rip du texte et l'afficher à ta convenance sur l'écran, en changeant la taille de la police et en prenant toute la surface de l'écran.

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