Aller au contenu

Tabilore

Habitué
  • Compteur de contenus

    55
  • Inscription

Contact Methods

  • Website URL
    http://

Profile Information

  • Gender
    Male
  • Lieu
    Terre

Idées

  • Tendance
    Minarchiste
  1. Concrètement, aucune. Mais je n'ai aucun sans-abri dans mes connaissances. Ni aucun homme de l'Etat. Et je pense que si j'avais un sans-abri dans mes connaissances, eh bien j'agirais autrement. La pauvreté, et le fait de manquer de toit est un grave problème. Voilà pourquoi je fais plus confiance aux gens qui connaissent des sans-abris, et qui ont elles-mêmes connu le problème pour résoudre, ou du moins aider à résoudre le problème. Maintenant, tu connais beaucoup de ministres, hommes d'Etat, qui prennent des décisions dans leur cabinet chauffé,etc… qui sont en relation direct avec des sans abris? Et puis tu en connais maintenant combien qui ont des réponses raisonnables à ce problème? Je fais plus confiance aux gens qui ont connu ce drame et qui en sont sorties pour aider les autres qu'aux institutions étatiques. Et attention, Roger, ne va pas voir dans mes remarques une insulte aux travailleurs sociaux qui travaillent sur le sujet.
  2. Outre le fait que pour ces sans-abris, ou pour une grande partie en tout cas, ils le sont à cause de la surréglementation de ce que j'ose à peine nommer le marché de l'immobilier, je vais te re-citer ce que dit le journaliste: "Le recul de l'état et des services publics, savamment orchestré par les puissances financières anonymes qui ont pris le contrôle du monde, conduit chaque jour davantage à transférer sur l'individu ce qui est du ressort du collectif. Jusqu'à l'inacceptable." Voilà, il est INACCEPTABLE que des citoyens prennent des initiatives pour essayer de régler les problèmes que l'Etat a créés en grande partie. Je dis: Si l'Etat s'arroge le quasi-monopole d'intervention contre la pauvreté, le citoyen lambda se dit alors: "chouette, alors je peux compter sur l'Etat pour régler le problème, et ça m'exonère de toute intervention. Bref, on n'est pas sorti de l'auberge.
  3. Voilà, un journaliste des milieux autorisés déverse sa haine de l'action d'individus privés qui ne peuvent (pour l'instant) pas être récupérés par un mouvement subventionné, par un mouvement dépendant de la "saine" sphère de l'intelligentsia. Où l'on comprend que le but de ces crétins de journalistes n'est pas tant de lutter contre la pauvreté mais de définir ce qu'est le bien: l'action étatique. De telles actions individuelles sont libéralo-compatibles et opposées à l'action de l'Etat, ce qui met en rogne notre journaliste socio-concerné. Mais, des actions entièrement privées, comme les Restos du coeur ont été récupérées par ce type de personnes. Les jours du "115 privé" sont-ils comptés?
  4. Bonjour à tous. Inscrit depuis pas mal de temps sur ce forum, je ne poste pas souvent. Mais là, je suis tombé sur ça: http://www.marianne2…rs_a215499.html Autrement dit, des acteurs privés, des individus ont lancé une entreprise d'entraide pour les SDF, le "115 privé" Une action en marge de toutes les associations bien intégrées de la lutte contre la pauvreté. Et là, le journaliste de Marianne nous sort: "Le recul de l'état et des services publics, savamment orchestré par les puissances financières anonymes qui ont pris le contrôle du monde, conduit chaque jour davantage à transférer sur l'individu ce qui est du ressort du collectif. Jusqu'à l'inacceptable." Voilà, une association privée qui ne rentre pas dans les clous de la lutte pour les opprimés institutionnalisée, c'est "inacceptable". Et le journaliste n'a pas honte. Célafauteàlaméchantefinance. A gerber. Ils révèlent leur vrai visage. Qu'en pensez-vous? Hebergement-d-urgence-deux-ex-SDF-creent-le-115-des-particuliers_a215499.html
  5. C'est aussi mon avis. Il explique certaines notions qu'on voit en cours, mais il est assez hardcore sur la sécurité sociale pour M. Tout le monde, et il parle carrément de ses opinions. Le terme "anarchocapitaliste" est cité, si je me souviens bien, et tout ça peut paraître un peu "extrémiste" pour quelqu'un qui n'a pas l'habitude de lire de telles choses. Dans le livre de Bastiat, au contraire, il y a ce côté rassurant de l'éloignement temporel, mais qui permet bien sûr de se poser des questions sur le monde d'aujourd'hui. Alors, Simonnot ou Bastiat? Dans le livre sur Bastiat, il y a une préface où le nom d'Alain Madelin est cité. C'est déjà trop?
  6. J'étais sur le point de donner à lire à un de mes formateurs en économie ça: Il a l'air assez ouvert (mais jusqu'à où?) Et je me suis demandé ensuite si je ne ferais pas mieux de lui prêter ça: Qu'en pensez-vous, pour quelqu'un qui écoute pas mal la radio (BFM je pense) et qui a l'air assez cultivé? Je précise que je le vois pendant mes cours d'économie dans le cadre d'un BTS. Bonne idée ou non?
  7. Je think que le language a beaucoup changed sur the inernet depuis several années.
  8. Eh oui, je ne comprends pas tout. C'est dingue comme le langage sur internet évolue. Et qu'aurions-nous compris il y a 20 ans? Ahh…
  9. J'en avais trouvé un exemplaire à la BU de Droit à Orléans il y a quelques années. C'est sûr que ce n'est pas le genre de livre qu'on s'attend à trouver. J'avais aussi vu à Tours "L'action Humaine" de Mises. Ces livres sont là pour leur contenu de Droit et d'économie mais ils doivent être peu lus. Sinon, pour continuer dans les livres, je suis passé aujourd'hui à la Fnac et dans une autre librairie, j'ai vu les titres des livres au rayon éco, j'ai halluciné. Il y avait aussi un livre du genre "Comment comprendre Marx" Moi, j'attends avec impatience une étude approfondie sur le thème: Mickael Moore, analyse des oeuvres du philosophe américan.
  10. Eh oui, c'est la fête! Mais bon, c'est bien quand même de suivre ces cours. Je lis ici qu'il y a d'autres forumeurs qui subissent ça. Je me sens moins seul.
  11. Eh bien moi, je poursuis mes cours et j'hésite entre me marrer et désespérer: j'avais déjà eu droit à "Keynes est un libéral", "En France, on a la Rolls Royce de la protection sociale" et autres joyeusetés. Aujourd'hui, j'ai eu "aux USA, il y a un système ultralibéral" ,"Le monde entier nous l'envie" avec une remarque naïve de quelqu'un "Ah mais Keynes, quel chic type, quelle générosité" Bref, le cas classique de plongée en milieu hostile. Quand on pense que chaque année sortent de l'EN des tas de gens à qui on a fait gober ces absurdités. Allez, on respire, et on repart!
  12. Ah, je suis content! J'ai commencé récemment un nouveau boulot. C'est de l'alternance, pour faire un BTS Assurance, et j'espère que ça va aller. Ce n'était pas gagné car ça faisait un an et demi que je n'avais pas vraiment travaillé. Et là, c'est tout nouveau. Depuis quelque temps, je relis un peu plus ce forum et je sens que ça repart. Ce sera des études sur 2 ans et ça va être assez dur, mais je me suis préparé. Il me reste plein de choses à améliorer dans ma vie, mais j'ai plus de courage qu'avant. Et j'arrête de faire mon Voilà, c'était une annonce comme ça, ça me fait plaisir.
  13. Joyeux anniversaire à toi Fabrice, et très bonne année 2009!
  14. Anarchiste. Pas du tout au sens anarcap , sûrement par bêtise, par envie de révolte et de contestation. Ce n'était pas vraiment réfléchi. Je suis "devenu" libéral par amour de la liberté individuelle, chose que finalement, je ne retrouvais pas dans ce qu'on appelle l' "anarchisme". Pas très clair, tout ça, mais je me comprends.
×
×
  • Créer...