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Chiwaruchk

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Tout ce qui a été posté par Chiwaruchk

  1. Non, Disney+, AppleTV+ et même Amazon Prime propose des séries à épisode hebdomadaire.
  2. Mais ça, ce n'est absolument pas la sens de la fin de Lost.
  3. Chiwaruchk

    Choix d'un VPN

    J'utilise ExpressVPN depuis près de 2 ans et j'en suis très content.
  4. NFL? On est en plein dans la pré-saison en plus
  5. Je viens de regarder une série Netflix complétement délirante et décalée mais j'ai vraiment accroché : Wet Hot American Summer. Seulement 8 épisodes.
  6. Coutinho ? Pour citer le premier qui me vient à l'esprit.Tout à fait, Coutinho c'est un régal de le voir jouer, des passes magiques régulièrement et un impact sur le jeu de son équipe beaucoup plus appuyé.
  7. Ça me dirait bien de distiller... T'achètes? Un anarcap mange des Frosties, pas des Chocapic
  8. Je suis allé voir Kingsman hier et je confirme les avis précédents: très bon film. J'avais aimé Kick-Ass, Kingsman est au-dessus.
  9. Non non c'est bien le dernier épisode et pas dans la prison
  10. Non, ils parlent du dernier épisode en date (s05e14)
  11. Je suis athée mais je ne prends ni drogue, ni alcool, ni clope, ni café... je dois me desinscrire? ^^
  12. Tiens, Melkion qui prêche pour le foot US. je ne suis pas d'accord avec le perte de l'incertitude. Ce n'est pas parce que des tactiques sont millimètrées dans les playbooks qu'elles sont exécutées parfaitement. Et puis la passe de Edelman en demi-finale de conférence ou l'onside kick recouvert par les Seahawks en finale de conférence avant la passe de la dernière chance contre Green Bay... L'incertitude à son comble...
  13. Un article du Matin qui dénonce le système de santé chilien. On ne peut pas dire qu'il soit pro-libéral. Le ministre de la Santé Jaime Manalich a identifié il y a peu des "signaux d'alarme" annonciateurs d'un nouveau conflit social, après que les étudiants eurent réussi à porter dans la rue depuis mai le ras-le-bol d'une majorité de Chiliens face à un système éducatif à deux vitesses. "L'idée de surveiller, éventuellement de contrôler les prix des prestataires (privés) de santé, est un sujet qui va rebondir, et me semble extrêmement délicat", a mis en garde M. Manalich, un chirurgien professionnel du secteur plus qu'un politique dans le gouvernement de droite de Sebastian Piñera. Exemple courant au Chili: Jaime, concierge d'un immeuble de Santiago, doit rassembler l'équivalent de 800 dollars pour l'opération des mains de son épouse. Il en est donc réduit à effectuer une collecte dans son entourage car son salaire ne dépasse pas 400 dollars par mois. Comme lui, quelque 15 millions de Chiliens empêtrés dans un système de "libre choix" n'ont accès qu'au service minimum de la couverture médicale, via un système public surchargé et sous-financé, surtout depuis la politique de déréglementation des années 80 sous la dictature. De l'autre côté, deux millions de personnes bénéficient d'une médecine de pointe, moyennant un gros apport personnel, par l'intérmédiaire des Isapres (Instituts de santé prévisionnels), caisses privées créées en 1981. Des caisses sélectives envers leurs affiliés en fonction du profil médical, et dont les primes peuvent évoluer selon l'âge et le facteur risque qu'ils présentent. Comme pour l'éducation, c'est de la classe moyenne, qui a fait le succès des Isapres, que vient le désenchantement. "Ils se sentent floués", diagnostique Camilo Cid, expert indépendant de la santé, au sein de l'Association pour l'économie de la santé. "De nombreuses personnes qui ont été affiliées aux Isapres toute leur vie n'arrivent plus à payer une cotisation en hausse, et se retrouvent éjectées vers la santé publique. La majorité (d'entre eux sont) des malades chroniques ou d'un âge avancé". La goutte d'eau qui a fait déborder le vase est venue de la publication des profits récents des Isapres: 97 millions de dollars à mi-2011, soit +70% par rapport à 2010. Alors qu'en même temps, il apparaît que le Chili présente les coûts de santé par habitant parmi les plus élevés de l'OCDE, dont il est membre depuis 2010. "Nous avons un système de santé très consumériste, proche d'une vision libérale de l'économie. La vision sociale qu'a toujours eue la médecine s'est un peu perdue", a alerté dans le quotidien La Tercera le toxicologue Enrique Paris, sommité médicale au Chili, président du Collège médical. Les Isapres se défendent, soulignant qu'elles ont contribué en 30 ans à doter le Chili "d'un système de cliniques et centres médicaux d'un niveau comparable à ceux des pays développés", et ont fixé "des standards pour le système public". Mais la santé au Chili est de plus en plus vue comme présentant "un système pour les riches et un autre pour les pauvres", dénonce Jose Concha, directeur des études au Collège Médical. "Les gens vont commencer à s'indigner au vu des informations récentes comme la publication des profits des Isapres, et les coûts dans les cliniques", a mis en garde M. Paris. "Nous devons nous préparer à des temps de tempête". "La colère peut se muer en protestation. Mais c'est imprévisible. A la différence de l'éducation, les gens ne s'inquiètent de la santé que quand ils sont malades", tempère M. Concha. http://www.lematin.ch/flashinfo/la-une/chili-la-fronde-couve-contre-une-sante-deux-vitesses-2011-11-18
  14. Exact exemple de mon message précédent. Je suis d'accord et je n'essaie pas d'infantiliser les handicapés en général. Pour en revenir à mon exemple cependant, j'ai l'impression que personne ne lui donnerait un emploi sans incitation (qu'elle soit étatique ou associative). Mais effectivement, certainement que c'est un sujet dont on ne peut vraiment développer la réflexion qu'au cas par cas, et ce sujet de discussion serait alors inutile.
  15. Je n'ai jamais eu dans l'intention de généraliser les cas. Ma question portait seulement sur les cas ou la solution est loin d'être évidente (comme mettre un aveugle à un poste ou la vue est inutile ou facilement "remplaçable")
  16. Ok, je comprends. Par contre à aucun moment je n'ai parlé d'obligation. Incitation ou complément serait plus proche.
  17. Je pensais surtout à la situation de dépendance ressentie en tant qu'handicapé tant sur le plan de l'inutilité que sur le plan de la totale charge pour la société. Un travail (utile, pas creuser et reboucher des trous ou son penchant non physique) est un aspect intéressant pour la santé et le self-esteem de ces personnes. Je conviens par contre que la solution étatique n'est vraisemblablement pas la plus éthique ni la plus efficace. @TODA: tout le monde n'a pas le potentiel d'etre astrophysicien
  18. @Lucillio: et…? Sur le plan purement technique, rien du tout, j'en étais à la même conclusion, et j'étais conscient de la même réponse pour la minarchie. Mais sur un plan moral, cela peut soulever quelques questions, effectivement. @Hank: suivant ce que je viens de dire, non, je ne pense pas que l'Etat, quelqu'il soit, soit en aucun cas moralement supérieur à un individu isolé. Mais un individu isolé bien que conscient de ce fait n'est probablement pas en position de faire quelque chose. Cependant, j'imagine qu'il existera toujours quelque part quelque personne capable de proposer un job à ces personnes handicapés tout en sachant qu'il y aura peu ou pas de valeurs ajoutées (Bon pour l'image, générosité naturelle,…) ou qu'une association privée humanitaire pourrait finir le même service sur la base de donations volontaires.
  19. J'espère que je place le sujet dans la bonne catégorie, sinon j'en appelle à un modérateur pour le déplacer. Voilà, mon interrogation concerne la place dans le monde du travail pour les handicapés. J'ai un exemple bien précis en tête. Cet homme travaille chez EDF dans le bâtiment de la direction de la centrale de Gravelines. Il est handicapé moteur (grande difficulté de se déplacer et de s'exprimer, bien qu'il marche et parle). Il est transporté en taxi tous les jours de son domicile au lieu de travail (payé par EDF). De ce fait, il gagne sa vie, mais il me semble évident qu'il n'aurait pas eu cet emploi si des subventions étatiques n'étaient pas en place. Les handicapés ou en tout cas une partie sont-ils condamnés à être sans emploi (ou en tout cas une partie d'entre eux) en anarcapie?
  20. J'acquiesce, ça me semble être une très bonne solution.
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