VeloDeus

On y a pensé. Le problème est que la CGE est maintenant majoritairement composée de ... petites écoles qui ne recrutent plus majoritairement sur les classes préparatoires ! Du coup, elle a publié un communiqué nous soutenant extrêmement mollement... En revanche, cela bouge dans les réseaux d'anciens des très grandes (Polytechnique pour le moment, Centrale j'espère bientôt).

Après une baisse de salaire de 15%, Ginette en est réduite à faire le trottoir...

+10^10

Bon, ça fait quand même tout drôle de militer pour une cure d'amaigrissement de l'Etat et de se retrouver dans la première (et la seule !) catégorie touchée. Va falloir prospecter pour me barrer, parce qu'entre cela et l'éventualité de la CSG intégrée à l'IR, c'est du fisc fucking puissance 10000 qui m'attend...

La différence de type d'enseignement est tellement nette en Mathématiques entre le secondaire et la prépa qu'il est à mon sens préférable que les jeunes agrégés brillants soient envoyés très tôt dans ces classes (sinon ils se tirent rapidement une balle vu le vide sidéral des programmes de lycée et la niaiserie des méthodes pédagogiques qui va avec...). Pour d'autres matières (Philo, littérature,...), l'équation ne se pose pas en ces termes (d'autant qu'il y a comparativement énormément de postes en prépa en Maths par rapport aux autres matières).

Oui, à condition d'être blindé de colles (et donc de travailler comme un malade). Mais seul le traitement de base compte pour la retraite (donc environ 60% dans le cas que tu cites).

Attention, en fait les réformes s'enchaînent sans cesse, sans évaluation sérieuse, et toujours de manière hyper-centralisée. Ce qui ne bouge pas depuis 63 ans ce sont les statuts de la fonction publique (mais c'est d'actualité puisque le camarade Peillon veut précisément modifier les obligations de service des professeurs de CPGE, avec 15% de baisse de salaire à la clef...).

Cela me semble être une très bonne explication. Tout du moins, cela rend très bien compte de la chute de la proportion de filles dans les filières mathématiques très sélectives (à l'ENS Ulm en voie mathématique, le taux d'intégration des filles est de l'ordre de 10%). Et on attend toujours la première femme médaillée Fields (bien qu'il y a et qu'il y eut d'excellentes mathématiciennes).

La sélection est moins concurrentielle (effondrement des inscriptions ainsi que des effectifs des préparations à l'agrégation à l'Université). L'an dernier, plusieurs collés à l'agrégation interne ont été admis à l'externe. Actuellement, le nombre moyen de questions à résoudre dans un problème pour décrocher l'admissibilité est extrêmement faible (pour donner un ordre d'idée, les meilleurs candidats en font 6 à 7 fois plus que le dernier admissible, alors même que les élèves de l'ENS Ulm ne présentent plus l'agrégation sauf exceptions).

C'était probablement vrai il y a 10 ans, mais beaucoup moins maintenant. En gros, le niveau requis pour l'admissibilité à l'agreg externe de Mathématique est franchement faiblard par les temps qui courent. Il y a une dégringolade prononcée dans le niveau des derniers admissibles depuis 7 ou 8 ans.

Même pas. C'est de l'interpolation de données...

Avec une amplitude de prévision aussi énorme, cela parait difficile de répondre non...

Et elle ne sait même pas s'exprimer correctement...

EdNat + médias subventionnés + politiciens (y a-t-il un seul député qui conteste le catastrophisme climatique ?). Cela étant, c'est effectivement une belle démonstration de la puissance d'endoctrinement d'un système d'éducation centralisé.

A Lyon, l'établissement tenu par les jésuites est le Lycée Saint-Marc.

Chitah, les Lazaristes ne sont pas tenus par les jésuites (je dirais presque que c'est évident vu le nom de l'établissement).

Dommage que je ne t'aie pas croisé, on serait allé mangé une mergez ensemble ;-)

Pas de sources écrites, mais je crois me souvenir l'avoir entendu de la bouche de Bertrand Lemennicier.

Ca c'est l'histoire officielle (les remarques sur l'étatisation de la sécu sont postérieures à sa démission, tout de même). En réalité, Madelin et ses conseillers (dont Salin, à l'époque) avaient mis au point un plan secret de libéralisation de pans entiers de l'économie française, plan insuffisamment secret puisque son existence est revenue aux oreilles de Juppé : découvrant cela, Juppé a instantanément exigé la démission de Madelin. Il est même possible que les remarques de Madelin sur les "zazas" aient été faites sur commande pour donner un paravent justifiant son limogeage.

D'autant plus que la polygamie est une institution millénaire !

Suis en train de lire les témoignages de ses anciens coequipiers. C'est une bombe nucléaire, ce truc.

Je le confirme, en tous cas pour les professeurs de prépa (qui ne sont pas ceux qui votent le plus à gauche, du reste). Cela m'a fait l'équivalent d'un 13e et d'un 14e mois…

Crucifié !

J'ai signé.

Pourquoi nouvelle ? Vous pariez combien que Peillon est un "frère" ? Edit : désolé Dino, j'avais posté sans même lire ton message.