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LeFataliste

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Messages postés par LeFataliste

  1. Ou alors P(vraie | face) = P(vraie et face)/P(face) = (1/6)/(1/2), ou même |{faces sur pièces normales}|/|{faces}| = 1/3.

     

    J'imaginais la situation autrement: 
    On pige une des pièces au hasard, on la pose à plat et elle donne 'face'. À partir de là, la probabilité que l'autre côté soit pile = le nombre de pièces normales (1) divisé par le nombre de pièces ayant au moins une 'face' (2). 

     

    Mais alors je ne comptais pas toutes les étapes de l'expérience ou en fait je ne pondérais pas correctement. 

    Merci de votre collaboration, ça m'aura fait réfléchir un peu. 

  2. Un problème de probabilité me titille: 

    Trois pièces de monnaie : Une avec deux faces, une avec deux 'piles', une normale avec pile/face. On en retourne une qui donne 'face'. Quelle est alors la probabilité que l'autre côté soit un 'pile'.

    Intuitivement je pense 1/2 parce qu'on élimine au départ celle avec deux 'piles' et qu'il s'agit donc de 'choisir' entre les deux restantes. Mon prof dit 1/3. Il doit donc y avoir une subilité qui m'échappe dans formulation de la question. 

  3. Une expérience a montré qu'être d'accord et amplifier est plus efficace que de contredire pour faire changer d'avis :

    http://www.latimes.com/science/sciencenow/la-sci-sn-paradoxical-thinking-20140715-story.html

    Si j'ai bien compris, il s'agit d'une forme de contradiction par l'absurde. Au lieu d'attaquer frontalement l'idée, on la pousse au point où elle se met à avoir des conséquences indésirables. 

    La différence avec la preuve par l'absurde réside dans la mauvaise foi qui l'accompagne. 

  4. Et donc les gens que je rencontre ils n'ont pas à sortir de leurs patterns, eux ? Qu'est-ce que c'est que ce 2P2M ?


    Les deux parties se jaugent petit à petit et la représentation qu'ils se font de l'autre devient plus sophistiquée à mesure. Je ne crois pas avancer quelque chose de nouveau. 

    Il faut assumer qu'un humour naze et facile comme le sarcasme soit mal reçu par pas mal de gens aux premiers abords. Paraître désagréable à un inconnu, puis dire qu'il est une tapette de toute façon est à la portée de n'importe quel plouc. Être charmant c'est une autre histoire. 
  5. Le 77, le 77, le 78, ...? Désolé, mais je ne comprends pas ton jargon. Un banlieusard est quelqu'un qui a l'habitude de la conduite facile sur autoroute. Un enfant de 10 ans en serait capable. En ville, entre les piétons, les cyclistes, les bouchons, l'espace réduit, etc. il faut être beaucoup plus à l'affût. 

    Nihiliste frustrée --> Que viens faire la tenue là-dedans?

    Autrement, si je comprends bien ton point, un bon cycliste est comme un mauvais cycliste... sauf qu'il est bon. Merci pour tes lumières! 

  6. L'ironie n'est pas un ton judicieux aux premiers abords et sera perçu à raison comme témoignant d'un caractère nerveux et mesquin

    Ça a beau être ton mode normal d'expression, un premier contact nécessite de la retenue et de la politesse, le temps de jauger un peu à qui tu t'adresses. Rencontrer quelqu'un nécessite de faire un effort et de sortir un moment de tes patterns.

    C'est étonnant qu'il faille rappeler ça. 

  7. Je vois le cyclisme urbain comme l'anarchie dans le domaine routier. Pas de fétichisme du Code, simplement l'application de règles adéquates et efficaces.

    Pourquoi poireauter deux minutes à un feu rouge alors que personne n'arrive, si ce n'est par peur du gendarme? Pour ma part, j'essaie simplement de ne déranger personne et surtout de rester en vie. 

    Petite vidéo marrante à ce sujet: 

  8. Le cyclisme fluorescent est objectivement un sport de casse-couilles, et est heureusement reconnu comme tel par toute personne ayant un tant soit peu d'estime de soi (ou qui conduit parfois une voiture). Voilà un sport qui aurait beaucoup plus d'intérêt pour peu qu'on légalise la chasse à l'homme motorisée !

    Les sportifs manquent cruellement d'imagination...

    Je conduis une voiture, mais je me déplace en vélo autant que possible. C'est plus agréable et souvent plus rapide. Puis, ça garde en forme et ça permet de rentrer après une soirée bien arrosée.

    Mon seul regret est que la saison cyclable soit trop courte ici.

    J'ai remarqué que les gens qui supportent mal la cohabitation avec les cyclistes sont les mêmes qui ne regardent pas leurs angles morts ou qui mettent 20 secondes à démarrer au feu vert parce qu'ils regardent leur cellulaire.

    Des banlieusards ou des femmes, en somme.

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