Aller au contenu

romaric

Utilisateur
  • Compteur de contenus

    120
  • Inscription

  • Dernière visite

Messages postés par romaric

  1. Il est certain que ceux qui ont des connaissances dans un champ du marché du travail s'en sortent mieux que ceux qui n'en ont pas. Faut-il blâmer cela? dans la fonction publique en tout cas pour favoriser "l'égalité des chances" les postes sont distribués selon le principe du positionnement dans un concours. Concours où les candidats sont censés être anonymes pour favoriser justement cette "égalité des chances". Il est certain que dans le privé, les recrutements peuvent se faire selon le capital "connaissance" du candidat.

     

    Ca c'est justement une vue de l'esprit.

     

    Le concours est très présent dans "le privé". Sauf qu'un ingé par exemple le passe pendant sa formation. Un futur foncsio le passera avant l'emploi après les études.

     

    De plus les concours de la fonction publique et territorialle sont sacrément des lieux de cooptation. Certains emplois sont accesibles sans concours et certains postes peuvent êtres l'objet d'un gros trafic d'influence. Tout dépend de la filière, du poste etc...

     

    Ainsi dans la FPT, énormément d'emplois à responsabilités ( les planques, les bons postes ) sont l'objet d'un trafic d'influence ( le reseau des écoles, partis politique, syndicats, copains, etc...). C'est justement beaucoup plus opaque que le privé. Combien de gens chaque années postulent à un emploi de la FPT qui est déjà pris par le copain de X ou Y ? L'annonce de l'emploi à pourvoir est publié car la loi impose à la collectivité territoriale sa publication. D'ou la cohorte de postulant qui perdent leur temps. D'où aussi la précarité de certains employés qui une fois en poste par relation ( ce qui ne préjuge pas forcément de leurs compétences ) doivent repasser un concours. Ils perdent du temps car a priori il font le job mais sont sommés de passer le concours. Ce fonctionnement fait perdre de l'efficacité car il faut préparer le concours tout en continuant son travail et il faut l'organiser ce concours ( détacher des jurys, des locaux etc... ).

    Ce qui arrange aussi la FP ou la FPT car ainsi elle peut embaucher un paquet de gens avec des contrats que l'on qualifierai de précaires et de honteux si un employeur privé le proposait.

  2. :chine:

     

    D'ailleurs puisqu'on parle réseautage, je me suis rendu compte après examen que pratiquement toutes mes connaissances qui ont trouvé du travail récemment le doivent, en partie ou en totalité, au fait qu'ils connaissaient quelqu'un pour les introduire. Comme c'est encourageant.

     

    En ce qui me concerne la coopatation dans le monde pro ne me gêne pas. Si quelqu'un t'aide à acceder à un emploi c'est qu'il pense que tu feras bien le job et quelque part il met aussi sa parole sur la table.

     

    Perso j'ai eu l'occasion d'aider au recrutement de quelques personnes. Si sur ces gens j'avais eu des doutes je ne les aurai pas aidé.

     

    Par contre dans le monde du service public c'est de l'abus de bien public. Par exemple: une place en crèche est horriblement dure à obtenir par voie normale. Il faut du piston. Résultat: c'est la double quenelle. Des gens profite d'un système qui prend ton fric pour payer les places de crèches aux gosses de la mairie/partis politique/copain.... et toi tu payes en plus pour te rabattre sur un autre mode de garde.

    La solution à l'abus de bien public = suppression du bien et privatisation.

  3. Ça n'a rien à voir. On ne peut pas prouver que Dieu existe, mais l'État existe. On a la preuve expérimentale qu'un minimum d'État c'est possible puisque ça a existé. On a pas la preuve que pas d'État du tout ce soit possible, et c'est ça qu'il convient de prouver par l'expérience avant de feindre la certitude à ce sujet.

     

    Des sociétés sans état ça eu existé ! Ce fut même le lot quotidien de 98% des Humains.

     

    Bien entendu. Mais ce n'est pas le cas d'une immense partie du droit. Quand mon voisin empoisonne mon chien, pour ne prendre qu'un exemple sur des milliers (et probablement les cas les plus courants, au final) nous ne nous sommes pas entendu préalablement sur le nom du juge.

     

    A mon sens, c'est possible de trouver un fonctionnement permettant d'assurer une justice privé avec un seul arbitre dans ce cas de figure et sans doutes aussi pour les milliers d'autres cas courants.

  4.  

     

    (...)

    quelle polemique? l'Ednat est une sous merde collectiviste frappee au coin de l'etron etalon.Les autres ecoles prennent exemple sur elle depuis assez longtemps pour meriter leur sceau du Pareil Au Meme.Les profs sont francais.

    Ce qui fait la difference a l'ecole c'est l'eleve, a savoir s'il est du genre a se suicider tout seul ou demander de l'aide pour ce faire :mrgreen:

     

    Toutàfait !

  5. Tu t'efforces de vouloir mettre exactement sur le même plan ce qui existe et ce qui n'existe pas. C'est bien ça qui me pose problème.

    On ne peut pas mettre sur le même plan le modèle anarcho-capitaliste qui n'a jamais existé et d'autres modèles (monarchie, libéralisme classique, démocratie, dictature, totalitarisme...) qui ont existés et dont on sait qu'il est possible de reproduire la structure. (Du moins est-ce beaucoup moins incertain qu'anarcapland... ce n'est vraiment pas la même chose et ce qui me gêne c'est lorsqu'on fait comme si c'était exactement la même chose.)

    (...)

    Pour la énième fois : émettre une incertitude sur la possibilité d'anarcapland ne veut pas dire qu'il ne faut pas tenter. Au contraire, si on croit vraiment à l'anarcho-capitalisme, alors on peut dire que c'est parce qu'il y a incertitude qu'il faut tenter et essayer d'aller dans ce sens, car cela démontrera la validité du modèle. Mais je pense simplement qu'il ne faut pas feindre la certitude par dogmatisme.

    Aucune forme de régime politique que vous citez n'à été transposé du texte à la réalité, de façon intégrale. Déjà il faudrait qu'on s'entende sur une forme "pure" et exemplaire d'un régime politique.

    Même la dictature ou l'autocratie la plus totalitaire et sans programme autre que "Je suis tout-puissant" n'à jamais existé. Il y a toujours des forces opposées dans l'assemblée des Hommes qui contesteront le pouvoir en place.

    Donc on ne reproduit aucune structure politique à l'identique.

     

    Par contre, je vous rejoins sur la fin de votre message. De toutes façons, je me satisferai déjà d'un petit élan vers le libéralisme qui prendrai la forme d'une baisse d'impôt par exemple... A termes, toutes forme de gouvernance libérale même modérée me conviendrait bien mieux que la situation actuelle.

  6. "Chez moi, je vis en anarcapie": la bonne blague...

    Essayes donc de faire pousser du pavot, du tabac ou de la marijuana dans ton jardin et on en cause.

    Essayes donc d'y planter du maïs BT ou de faire du tir sportif sur ton terrain...

    Cela ne m'est jamais passé par la tete ! :icon_smile:

     

    Tu ne vois vraiment pas la contradiction entre "il n'y a qu'un arbitre suprême" et "Pas besoin de souverain" ? Sérieusement ? :huh:

    Ce que je crois, c'est que dans le cas des vendeurs de tongues il n'y aura pas besoin de deux arbitres.

    Exemple: les vendeurs commercent dans un lieu qui est propriété de quelqu'un. Un contrat entre chaque vendeur et le proprio du lieu commercial devra stipuler à quel service juridique le propriétaire ou les commerçants auront recours en cas de litige.

    Dans tous les cas il sera possible de n'avoir recours qu'a une seule procédure de justice. Ce qui n'exclut pas éventuellement les procédures d'appel, les recours etc...

     

    Je ne crois pas qu'une forme "pure" de régime politique quel qu'il soit puisse exister. C'est aussi valable pour l'anarcocapitalisme. Pourtant, je serai plus prêt à militer pour cet objectif.

     

    Jamais des gens ne vivront en anarcapland de façon spontanée. Ce sera la conséquence d'un conflit ( militaire ou politique ) qui définira un espace comme territoire anarcapitaliste.

    Ce qui signifie que les anarcap auront vaincu leur adversaires au préalable avant de pouvoir s'installer paisiblement.

  7. Bis repetita : On a le droit de faire toutes les hypothèses qu'on veut, mais une hypothèse ne prouve pas qu'une situation est possible. On a la preuve dès lors que celle-ci a déjà existé.

    (...)

    Parfaitement, dans l'esprit des marxistes c'était d'une logique implacable. Le problème c'est que, bien que les raisonnements étaient faux, la réalité et l'expérience ne pouvait jamais les démentir aux yeux des marxistes. Ça devient religieux à ce moment là.

    Supposons (hypothèse) qu'anarcapland soit de toute façon impossible, compte tenu d'un certain nombre de données (que nous ne connaissons peut-être pas encore) dont les raisonnements anarcap n'ont pas tenus compte. Il faut bien envisager cette possibilité. Alors on ne verras alors jamais anarcapland, même si on le tente. Que risque t-il de se passer parmi les anarcaps ? Il risque d'y avoir une parade qui consistera à dire que ces tentatives n'ont pas été anarcap, mais qu'anarcapland est toujours possible. L'anarcho-capitalisme continuera ainsi jusqu'à la fin des temps à rester à la fois irremplaçable et introuvable, donc immunisé contre toute critique. C'est le schéma communiste. Et c'est tout le problème du dogmatisme (quel que soit la conviction qu'on défends) : il est impossible de changer d'avis, jamais les faits ne peuvent ébranler la conviction, car celle-ci ne repose pas (ou pas assez) sur les faits. Si l'anarcho-capitalisme n'est pas réfutable au sens popperien du terme, comme l'était le marxisme, ça me pose un problème.

     

    La preuve ? Vous vivez en anarcapie très souvent. Chez moi, dans ma propriété, je suis en anarcapie.... preuve irréfutable de la possibilité de l'anarcapie.

     

    Autre chose, aucune forme de régime politique n'a existé dans sa forme "pure". C'est une construction de l'esprit plus ou moins effective. A partir de là, faut-il douter de la possibilité de se donner une direction ou de mener une réflexion, d'agir ?

     

    L'anarcapitalisme n'est pas la garantie d'être sain d'esprit. On peut être anarcap et être idiot, je vous l'accorde sans problème.

     

     

     

     

    (...)Sauf qu'il y a non pas un seul acheteur de tongs, mais nécessairement au moins deux parties face à un arbitre. Alors si deux arbitres rendent des décisions différentes, l’un sera tenté d'intenter un procès à l'autre auprès de Justice1 Inc, et l'autre préfèrera les services de Justice2 plc. Sauf que le rôle du procès, c'est de remettre de l'ordre dans qui doit quoi à qui afin que les parties se mettent d'accord. Et en cas de désaccord quant aux décisions de ces cours, il y a des cours d'appel (que tu considèrerais dans ta perspective comme un vendeur de services de justice de haut de gamme)... Et en cas de désaccord des cours d'appel ?

    C'est là qu'intervient la "souveraineté", i.e. le fait qu'il existe une instance qui puisse dire "La décision finale sera ainsi et pas autrement, et maintenant vous fermez tous vos gueules, bandes de parasites quérulents". Et c'est cette fonction de souveraineté (qui peut avoir un rôle très limité au final) qui est l'embryon du politique. On peut la laisser s'étendre jusqu'à ce qu'elle se transforme en gouvernementalité (comme aujourd'hui), ou au contraire la restreindre au minimum, mais jamais elle ne quittera les sociétés humaines. On retrouve le problème de la plupart des anarcaps, qui confondent ce qui est étatique avec ce qui est politique, et croient qu'en supprimant l'étatique ils se débarrasseront de la politique.

    Pourquoi y aurait-il deux tribunaux ? Dans un match de foot il n'y a qu'un arbitre suprême. Pour les vendeurs de tongues pareil. Pas besoin de souverain.

     

  8. On trouve les chats mignons parce qu'ils ont des attitudes de gros prédateurs badass alors qu'ils sont plutôt inoffensifs. C'est touchant mais au final on se fout quand même bien de leur gueule à ces bouffons.

    Par contre les chiens sont dangereux mais ils arrivent à le faire oublier parce qu'ils sont très coopératifs. Un chien de taille moyenne pourrait facilement vous arracher un doigt ou deux si il ne se contrôlait pas sans cesse en jouant. D'ailleurs il y a beaucoup plus de phobiques des chiens que des chats.

     

    Intéressant !

     

    Cela me rappel un docu animalier qui montrait des singes ( chimpanzé ). La voix-off disait que le singe était sous-estimé. Souvent on le considère comme proche de l'homme, et on  en oublie sa redoutable capacité de combat !

    A mains nue un chimpanzé extermine un homme. Plus rapide, meilleurs muscles et surtout pas de scrupules! Quand il attaque un homme il immobilise nos bras, utilise ses jambes pour maintenir sa prise et vise avec sa gueule immédiatement les parties génitales ! 

  9. Bonjour,

     

    moi aussi je suis un fervent lecteur de H16. J''aimerai avoir des adresses (internet) de partis politique/associations libérales. J'ai vite fais le tour via google des offres sur le marché mais cela ne me donne pas grand chose... Liberté chérie est inaccessible, AL pareil ( google dit que le site semble hacké ? ). 

     

    Faut-il s'expatrier aux Etats-unis pour trouver un parti libertarien en France, du moins un parti liberal ( mais pas le PLD ) ? Bon après en ce moment on peut aussi s'expatrier pour d'autres raisons :) ...

  10. "L'humanitaire" renforce l'image et la puissance des gouvernants. L'Homme est réduit à une matière première, c'est une ressource au service des manipulations d'une classe de décideurs. L'égalitarisme de l'idéal communiste, et, de nos démocraties, vise à asseoir encore plus cette domination. L'Homme est compris comme un animal nécessitant une ration quotidienne de nourriture. Un calcul permet alors de maîtriser le monde. La moralité est un moyen.

    La nomenklatura et l'oligarchie de nos régimes ont pour point commun que la puissance n'appartient à personne. Ni au peuple, ni aux individus, ni à l'élite, tous courent après l'exercice de la puissance. Ils utilisent une "machine", des stratagèmes, une technique politique. Ils sont soumis, tous, à une vision du monde insensé où seule la conquête de la puissance pour la puissance guide leurs actions.

    L'idéologie de mondialisation sert les intérêts de "l'hyperclasse" transnationale. La perte des identités permet l'interchangeabilité, la réduction des hommes à l'état de matière première. Elle rejoint l'internationalisme des communistes.

  11. (…)

    Au final, cette élite a gagné le combat et il est désormais difficile de se hisser au sommet sans les appuis et les réseaux qui vont bien. La seule issue serait la mise en place d'un Etat libéral, limitant fortement le pouvoir de l'Etat et libérant les énergies par la suppression des rentes de situation et la déréglementation. En bonus, pour éviter la démagogie et la distribution de prébendes il faut intégrer une règle interdisant le déficit budgétaire sauf cas exceptionnel (cataclysme, guerre mondiale…).

    (…)

    Complètement d'accord avec ce que tu dis plus haut. Par contre, je ne souscris pas complètement à ta dernière idée. Je pense que la tendance oligarchique d'un régime s'accomplis dés lors que la population dans son ensemble perçoit le monde d'une façon utilitariste. L'oligarchie devient alors un système politique permettant de réaliser la quête de puissance individuelle de chacun.

    La loi d'airain n'est pas, à mon sens, descriptive de la réalité. Ce n'est pas l'organisation qui précède la création des liens de domination. C'est avant tout l'idée d'utiliser autrui pour arriver à ses fins de puissance qui oblige la création d'une organisation. C'est la pensée utilitariste qui pousse l'individus à rechercher des semblables ( ceux qui pensent comme lui ) et à s'assembler en groupe.

    Le texte de Pareto est aussi intéressant car il met en garde n'importe quelle vision politique d'une dérive. Le libéralisme n'est pas plus vacciné contre ce mal que le communisme part exemple.

  12. Très intéressant !

    D'autres qui réfléchissent en terme de conflit de classes (…)

    Cela m'amène à penser les similitudes des régimes de L'ex-U.R.S.S. et des Etats-unis. La guerre froide à poussé les deux blocs à optimiser au maximum les capacités de productions à tous les niveaux ( autant industriel que culturel ) . Cette course utilitariste a eu des répercussions fondamentales sur nos société.

    Je suis complètement d'accord avec la réflexions de Pareto. Cependant je ne pense pas que la ploutocratie fut une sorte de "constante historique". Au contraire elle est récente et découle d'une métaphysique moderne.

  13. Curieux choix en vérité.

    Suis-je d'ailleurs la seule à trouver qu'on insiste un brin sur le métier de la dame en question ?

    Et si elle avait été comptable ? Et si elle avait été pilote d'hélicos ?

    Je crois que cela ne change pas grand chose, il y en a eu d'autres qui furent haut fonctionnaire ou journaliste et victime de la fougue Strauss-kahnienne ( vraisemblablement et si on croît ces personnes en l'absence de jugement pour la journaliste française).

    Le terme est maladroit mais Guéant n'est pas très habile sortit des couloirs de l'Elysée…

    En ce qui concerne le perp walk, je me dit que pour allez chercher le patron du FMI dans un avion, annuler des réunions très importantes concernant les intérêts de millions de personnes il faut des preuves très solides. Entre nous, il est clair que DSK est porté sur le sexe faible, il est clair aussi qu'à son niveau de responsabilité aucun dérapage n'est tolérable. Il aurait du démissionner en 2008 lors du premier scandale. Le perp walk intervient donc à point pour punir médiatiquement une personne qui n'avait pas le droit à l'erreur. Même si le tribunal l'acquitte, la présomption de culpabilité sur sa personne justifie cette sanction. Personnellement j'aurais bien rajouté du goudron et des plumes….

    Il n'y a même pas à s'interroger sur la culpabilité de DSK, tout le monde est au courant…. On doit juste se demander quelle est la gravité des faits, attouchement? Viol? Avec ou sans pénétration? Coup et blessure?

    Le pire c'est qu'à mon avis il va bien s'en tirer ( acquittement ou quelques années de prisons…). Alors un peu de honte sur lui….

  14. Tu as bien conscience qu'en disant ça, tu fais preuve d'un chouilla de prétention, soit dit sans méchanceté ?

    Je ne pense pas être prétentieux, en tous cas ce n'est pas mon intention. Si c'est ce qu'il transparaît dans mes propos alors je le regrette.

    Ce que je dit par là, c'est que sous condition de connaître l'état de la science, de se documenter à fond et de réfléchir au passé on peu assez facilement décrypter l'info. Pas trouver la vérité ! Juste savoir où il y à mensonge ( par omission ou intentionnel… qu'importe ).

    Qu'ensuite on ait pas les éléments pour se faire une opinion éclairée c'est une chose. Mais force est de constater que dans le cas du nucléaire et devant une catastrophe telle que le tremblement de terre au Japon fut et est toujours, la réflexion s'incline devant les scénarios proposé par certains officiels, donneur de leçons, qui eux sont prétentieux de livrer une prétendue vérité.

  15. Désolé, je suis certains fils parfois distraitement ;)

    Effectivement, du point de vue de la théorie de la guerre juste (droit de et dans la guerre), tout est respecté : état de guerre, proportionnalité, protection maxi des civils, etc. Ce n'est pas sur ce fondement qu'on peut critiquer le dézingage de BL, si vraiment on souhaite se plaindre. L'idée de le juger était peut-être bonne, mais en situation de guerre, ce n'est pas la seule alternative.

    Petites remarques sémantiques sur "l'assassinat politique" : celui-ci est admissible mais sous conditions : l'individu doit participer directement à la chaîne de commandement (et d'obéissance) d'une organisation ou d'un état en guerre. Assassiner un civil comme ça n'est pas juste (au sens de la JWT), mais si c'est un civil ou un militaire en activité en situation de guerre, alors là, feu vert, tout est clair, le drone/les navy seals/le carpet bombing peut/peuvent faire le travail.

    Mais oui ! Ou comment théoriquement légitimer le meurtre c'est ça ?? Bonne idée !!!

    Faudrait mieux m'expliquer là…

  16. http://www.courrierinternational.com/breve/2011/05/18/revelations-sur-la-crise-de-fukushima-daiichi

    Bien sur que cela continue. Une simple lecture attentive des médias peu de jour après la catastrophe permettait de constater deux choses:

    - les journalistes ne savaient que très peu de choses et brodaient pas mal .

    - la machine de propagande/désinformation était en marche.

    Pour ce dernier point il suffisait de croiser les diverses sources disponibles d'info émanants de sources officielles pour se rendre compte que la situation était critique. Ces instituts sont tous d'accord pour une chose en matière de catastrophe nucléaire: mentir. Par contre dire quoi ? Ca ils ne se sont pas mis d'accord avant Fukushima. En France idem…

    La catastrophe est plus grave que Tcherno, et depuis le début ils le savaient…. La fonte du réacteur est intervenu très tôt après la catastrophe. Un peu de logique et une connaissance des principes de base de physique suffisait à n'importe qui de le comprendre.

×
×
  • Créer...