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Jazzaroundtheworld

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Tout ce qui a été posté par Jazzaroundtheworld

  1. Houston, Houston, on a un probléme de communication … Alors je repéte: Les éditeurs de CP postent sur ce forum des articles qu'ils veulent que l'on traduise en priorité. Si tu est interessé: tu te signal en répondant á l'annonce de l'article que tu veux traduire, en disant que tu fait la traduction de la proposition en question. Quand tu a fini la traduction, tu postes le texte entier sur ce forum en indiquant le texte traduit ou tu joins le document word (version 2007, le forum n'accepte pas le docx version 2010 et aprés). Houston, vous me recevez? Je pense que ma remarque sur l'accés a google.doc ne convient pas au nouveau venu qui se lance dans la traduction. Poster le texte (copier et coller) dans le forum. Merci
  2. Largo, on m'a officiellement promu, alors moi je fais ce qu'on me dit! C'est oú qui faut tirer, chef!? :) J'espere seulement mettre un peu d´huile dans les rouages. Question longévité, j'ai pas l'intention de lacher l'affaire, donc vous m'aurez dans les pieds jusqu'a ce que je casse ma pipe, ce qui nous donne encore pas mal de décennie de collaboration
  3. Cher Nicolas, Les éditeurs de CP postent sur ce forum des articles qu'ils veulent que l'on traduise en priorité. Si tu est interessé: tu te signal en répondant á l'annonce de l'article que tu veux traduire, en disant que tu fait la traduction de la proposition en question. Quand tu a fini la traduction, tu postes le texte entier sur ce forum en indiquant le texte traduit ou tu joins le document word (version 2007, le forum n'accepte pas le docx version 2010 et aprés). Sinon pour le choix de traduction, c'est á ta discretion, si tu ne te sent pas sur des sujets comme l'économie évite et choisi des sujets qui sont dans ton secteur de compétence ou dans tes centres d'intérêt. CP a un comité qui relie mais l'objectif n'est pas de faire de la traduction a tout va. Notre objectif en tant que traducteur est de produire un résultat de grande qualité. Les éditeurs de CP relisent comme tout éditeur relie tout les articles qui sont publiés dans un journal conventionel (relecture avant publication). On ne peut donc pas compter sur les éditeurs pour faire un travail qui leur demande de revenir systematiquement sur tout les originaux en détails. Pour ta premiere traduction, 1- vois si tu aimes faire ce type de boulot, 2- techniquement parlant, relis ta traduction 2 fois: 1- une fois pour voir si elle se lit d'un trait en francais (au haute voix par exemple). Et toute les phrases qui bloquent á la lecture, il faut les rafiner jusqu'á ce que ca coule comme un long fleuve tranquille. 2- Une fois que la signification est limpide, une relecture 2 est nécessaire pour revoir les détails grammaticaux et lexicaux (accents, accords, forme des verbes, forme des expressions, tirets, cédilles, etc.) 3- Ajoute quand nécessaire des notes de traducteurs (Ntd) (pour les sources étrangéres que les francais ne connaissent pas), faire en sorte que les liens á internet fonctionnent correctement et correspondent aux bonnes pages et éventuellement rajouter des liens concernant des personnes, des événements ou des organisations qui ne font pas parti des connaissances de base du public francais. bienvenue JATW
  4. j'encourage tout les étudiants qui sont sur ce forum a commencer un groupe "Student for liberty" dans leur université.http://studentsforliberty.org/ Je vais déveloper cela de deux maniéres: 1- Je vais commencer j'éspere le premier groupe de ce type en Suéde, je vous tiendrais au courant dés que ca décolle avec les étudiants. 2- Je pense qu'il faut au contraire s'investir sur le coté international et si il y a des forces locales (c'est bien) mais c'est pas ce que l'on vend aux étudiants. L'ídée de cette organisation, c'est de parler d'un certain nombre de sujets autour de la liberté et connaissant les campus francais (l'université je parle) il y a de la place pour tout le monde. De plus, "Student for liberty" a une organisation de soutien qui fonctionne et qui propose des séminaires, du matériels et un infrastructure internationale solide etc. les profs francais qui n'ont pas la visiblité qu'ils méritent pourront se faire un peu mieux connaitre pour leur idée libérale et recevoir le soutien de la communauté internationale (si ca ne marche pas avec les ploucs locaux). De plus, la structure politisée (et arriérées á n'en pas douter) du syndicalismes étudiants est obsoléte (j'en ai vu la décomposition définitive dans les années 90 quand j'etais étudiant moi-même et la jeune génération me dit que c'est encore les même conneries sur les campus que de mon temps: mais toute personne normalement constituée se fout complétement de ces syndicats á la noix). "Students for Liberty" est un chance pour les étudiants francais d'entendre un autre son de cloche (et un autre maniere dêtre sur le campus - il est temps de finir le raccolage á la petite semaine pour des idées politiques souvent ringardes - les gens peuvent se mobiliser pour leur propres idées et faire la connaissance de source d'info comme CP pour faire leur choix, ce que l'université devrait promouvoir. D'autre part, le contexte culturel des étudiants d'aujourd'hui et la diversification de leur source d'information est radicalement différente des génerations des années 60, 70. Donc, les étudients ne resentent pas comme un "parachutage" ce qu vient d'ailleur parce que ce tout ce qu'il consomme vient d'ailleur. La globalisation et le tourisme universitaire, c'est réel 3- Il y a un dimension de reseaux internationaux fort, et Eramus est une institution bien huilé pour les étudiants et c'est une chance pour promouvoir "students for liberty". Je pense que dans quelques années, ca va circuler assez fort. 4- Pour les "vieux briscards" de la politique francaise du liberalisme, "faire les marchés" et organiser des groupes étudiants de ce types sont deux activités trés differentes. Ici, en Suéde, ou je suis les étudiants sont trés entousiastes et n'ont peur de rien. J'ai déja proposé de monter cette structure aux suédois et leur ait indiqué les sous bassement idéologiques dont ils n'ont rien á faire. Donc la politique n'est qu'une obsession francaise qui infiltre tout les lieux de la vie publique ou elle ne devrait pas se trouver forcement. Mais ca va changer par la force des choses. En tout cas, ici les institutions officielles qui financent les recherches sur les entreprises (deux institutions ou trois sont dans la liste des institutions qui supportent "students for liberty"), donc si ca ne vient pas de la France (a part Aix) on va le faire venir de la Suéde vers la France (je vais travailler avec une Miage de Nice, Ecole Télecom de ParisSud, Evry et un école d'ingénieur de telecom Lille et La Rochelle. Conclusion: Ca va deferler.
  5. Autres remarques sur le mode de communication: + Tout le monde est libre de choisir ses préférences, en ce qui me concerne, je pratique le "tutoiement" (qui est le mode que j'utilise depuis que je suis parti de France il y a 15 ans, et qui permet des relations directes, polies et sans hiérarchies inutiles entre les individus dans les conversations courantes). + Si certains ne peuvent se détacher du "vouvoiement", ce n'est pas un probléme bien sur. + Sinon, je n'utilise pas de longue formule de politesse alembiquée dans la tradition administrative francaise (le "veuillez agreer monsieur l'expression de mes sincéres ….") + mais "cordialement" fait parfaitement l'affaire, ou "a+" ou "ciao" pour les gens qui vivent sur le pourtour méditerranéen.
  6. j'ai trouvé ca et ca fait trés mal, c'est un site qui propose plusieurs type de moteur de traduction et ca donne des résultats étonnants http://www.lexilogos.com/index.htm la traduction automatique a vraiment fait des progrés en ce qui concerne les expressions, c'est le point faible des traducteurs automatiques. Ici trois remarques: 1- presque tout les traducteurs modernes construisent des bases de données d'expressions etc. et celles-ci sont de plus en plus performantes de ce point de vue. 2- si ce sont des expressions en anglais ou US, tu peux me demander, je pourrais être utile. 3- Si on pouvait aussi identifier entre nous des specialistes: qui connait trés bien l'espagnol, l'italien, le portugais et l'allemand etc.? Je peux me debrouiller en anglais (us aussi), allemand, suédois et jápprends l'espagnol á coup de moteur de traduction. a +
  7. Sinon, une derniére chose pour la gestion de nos activités á tout les traducteurs, CP m'a nommé coordinateur de l'équipe traduction. Je suggére quelques remarques de bon sens suivantes: 1- j'imagine que vous avez un accés a google.doc ou vous pouvez vous déclarer le traducteur d'un article. Si vous faite des propositions d'articles (et vous vous proposez pour le traduire), on laisse les éditeurs de CP faire leur choix final. Mais je ne m'engage pas dans des transactions entre CP et vous, parce que l'ídée des traductions, c'est l'efficacité ou la productivité du travail (un concept que les marxistes confondent avec exploitation). 2- Si les articles que vous traduisez sont essentiellement ceux proposés par l'équipe éditoriale de CP, faite en la mention systematique dans ce forum en répondant clairement au propositions de Nick ou autres éditeurs de CP pour que l'on sache oú on en est. 3- Si vous êtez particuliérement actif á un moment donné de l'année, d'une semaine, d'un mois et que vous connaissez vos intention concernant les traductions (si vous avez décider que c'est votre truc), alors faite un signe si vous levez le pied (êtes malade, en vacances ou quoi que ce soit d'autre). Ce qui nous permet de savoir si on peut compter sur vous á different moment de l'année (une question de coordination générale). 4- On pourra aussi s´organiser si on commence á se connaitre bien et á travailler en collaboration plus étroite pour faire des séries de traductions en petite groupe (en binome voir plus). Par exemple, CP a les droits pour traduire tout les materiaux que la FEE (fondation pour l'éducation économique) qui sont disponibles en ligne. Et j'ai commencé a traduire le premier texte de leur série "cliché du socialisme" (disponible en pdf sur leur site en cherchant un peu on trouve http://www.fee.org/f…f_socialism-17/). Si il a un traducteur qui brule pour ce type de materiel, on peut travailler en parrallele aux propositions des éditeurs de CP et toujours bien evidemment leur soumettre le resultat en dernier lieu. 5- Pour la relecture des articles, c'est l'équipe de CP qui fait tout le boulot, alors la seule régle, c'est de faire de son mieux bien sur. Et je ne suis pas sur que je puisse organiser des vérif entre nous parce que ca demande du temps supplémentaire de coordination. La seule chose qui peut se mettre en place, sur le long terms, c'est un certaine familiarité entre nous (un "feel" pour savoir qui est sur les traducs la plupart du temps: et donc on peut se faire des relecteurs en se les envoyant par e-mail á la discression de chacun de trouver le partenaire á qui il/elle veut parler. Le traducteur principal est responsable pour poster son travail en final. 6- Pour ma part, je travaille plutôt le soir et WE parce que j'ai un job á plein temps á l'université. 7- Pour la diversité des sujets, si certains d'entres vous sont specialistes d'un domaine, c'est excellent: par exemple, les nouvelles technologies, internets, ses régulations, les open source communities etc. Au travers du site libertarien Students for liberty http://studentsforli…-across-europe/, vous avez accés a un certain nombre de sites dans notre ligne de pensée. Pour les nouvelles technologies, j'ai vu les suédois qui sortent http://www.eudoxa.se/ Je ne les ai pas encore contacté pour des traductions, mais je pense que c'est complétement faisable. 8- Je n'ai pas de fonction éditoriale, donc toute proposition doit se faire avec Nick, H16, Largo Winch, Lexington et j'en manque peut-être. 9- Pour le reste l'individualisme bien ordonné est parfait, on est tous trés content du temps et des efforts que vous faite pour nous offrir du matériels dont nous avons tous du plaisir á lire. A bientot a tous. JATW
  8. Ndt Excellent. J'ai oublié de mentionner, mais je crois que c'est pris pour allant de soi, utilisez les traducteurs automatiques puis travaillez sur cette base (ca gagne du temps).
  9. Ce WE je devrais en état de marche, donc les quelques articles en attentes devraient ne plus l´être bientôt Petite remarque sur les traduc: j'hesite á faire des re-correction de formulation sur des traduc que jái faite et qui ont été révisé par (je ne sais pas qui). Mais bien que la révision (est nécessaire) et améliore (effectivement) des expressions techniques, etc. les traductions d'expressions (que certains attribuent á tord á des approximations) cherchent naturellement á capturer le sens de la phrase (et non sa traduction literale). Donc je demande au éditeur de CP s'il est possible de retaper un texte qui a été revue et publier (dans le cas de tournure de phrase essentiellement). J'en profite pour donner des "tips" de traduc: 1- de l'anglais au francais, faite des phrases courtes, si la phrase en englais et longue, couper la en deux. 2- la loi ultime dans la traduction, c'est le sens et non le literal: si une expression francaise dit la même chose mais dans les termes qui ne sont pas dans le phrase originale, on met la version francaise bien connue de tout le monde. 3- les formes passives sont généralement lourdes en anglais et plutôt rares. Ils preferent la forme active directe. sujet + verbe + complément. Donc, si une phrase est un peu tordu, il vaut mieux suivre ce cadre simple. 4- je considére qu'il n'y a pas d'approximation, c'est le sens qui prime sur tout, donc le zozo qui me dit que dans le dictionnaire, la traduction du mot "xxx" est "yyy" ne donne en aucun cas la solution, c'est le contexte de l'emploi de la phrase qui compte (politique en GB, l'europe, la gréce, la guerre, etc qui décide de la tournure de l'expression (et jamais le dictionnaire en ce sens). 5- je considére une relecture par quelqu'un d'autre necessaire, á l'université comme ailleur, si l'on travail sur un texte trop longtemps et intensémment, on ne distingue plus les problémes de syntaxes ou de formes alambiquées qu'un lecteur neuf décele immédiatement (la fraicheur du nouveau lecteur): donc lá je re-lecteur devrait saisir la "fraicheur" du texte et non si tel mot est bien "transcript" en telle autre mot. 6- les details de formes et les accents etc. devriaient être vérifié par un stagiaire, ou quelqu'un qui relie tout avant publication (je pense que vous le faite) parce que dans mon cas, par exemple, je travaille sur des claviers non francais ou y a pas les cédilles et pas les accents (que je dois composé avec un alt+ qqchose) et j'ai perdu l'habitude du type d'attention que ces détails requiert (ce qui fait que je fais des fautes de débutants d'accord qui n'existent pas en anglais par exemple, ou d'anglicisme etc.) 7- si les traducteurs sont nouveaux et qu'ils s'essayent á ce genre de sport, s'il traduise un truc en GB ou en espagne mais qu'il ne connaissent pas le contexte politique espagnole ou anglais etc., qu'il indique dans la traduc, (en soulignant le passage par exemple (ou en "bold") l'expression ou la phrase qui ne "colle" pas. Ce qui permet de retourner sur le morceau en essayant de référer au contexte pour parvenir au sens (il y a pas pas mal de jargon journalistique par example dans les blogs). ce sont les quelques remarques qui me sont passé par la tête. Commentaires et idées constructives, toujours bienvenues.
  10. Nick, j'ai changé le titre "ministre des finances" et non pas "premier ministre".
  11. ca arrive directement sur CP brouillon. Aprés trois 3 jours de mal de tête continue, je reémerge maintenant seulement, ca fait plaisir d'être de retour (en demi-capacité), je pense retrouver ma forme normale en debut de semaine prochaine (juste pour le check up médical )
  12. Pour info Merci pour le boulot de trad. Je suis un peu en retrait en ce moment due á la traditionnelle charge de travail due á la reprise des courses en debut de trimestre. Mais ne vous formaliser pas, je suis dans l'arriére boutique quand même.
  13. Prêcher l'austérité par l'exemple: La présidence danoise de l'UE sera la moins chère Le quotidien danois Politiken d'aujourd'hui avec son titre « les Danois ont pris les six mois de rotation de la présidence de l'UE au 1er Janvier » nous informe que la présidence danoise de l'UE aura pour objectif d'être encore «l'une des moins chers », avec un budget d'environ 35 millions €. En comparaison: La présidence polonaise en 2011: 115 M € La présidence hongroise en 2011: 81 M € La présidence belge en 2010: 74 M € La présidence suédoise en 2009: 42 M € La présidence danoise en 2002 (la dernière fois que le pays était à la barre): 52 M € (au taux de 2011) Dannie Kjeldgaard, professeur en stratégie de marque et marketing à l'Université Syddansk, a fait le commentaire suivant: « La grosse histoire du moment, c'est que nous avons besoin de faire des économies en raison de la crise. Tout le monde nous dit que nous devons faire des économies, et même les gens qui n'ont pas besoin d'en faire en font. Par conséquent, il est prudent que le gouvernement montre la voie quand il va prendre la présidence. Si ça n'était pas le cas, le gaspillage de l'argent des contribuables pourraient facilement devenir les gorges chaudes des médias. »
  14. take that Désolé pour l'erreur je corrige l'entête.
  15. L'embargo sur le pétrole iranien serait un suicide par Richard North. Suivant les traces du gouvernement américain, les états membres de l'Union Européenne se rapprochent désormais d'un embargo pétrolier sur l'Iran, en réponse claire au refus de l'état islamique d'abandonner son programme d'armes nucléaires. Cependant, derrière cette décision, la réalité est plus compliquée qu'elle n'y paraît. Bien que les états de l'EU aient tenté le mois dernier d'obtenir un embargo, ces tentatives ont été bloquées par la Grèce, qui est le principal client européen de l'Iran, et qui lui achète à la source jusqu'à 35 pour cent de son pétrole brut. Précédemment, ses fournisseurs de pétrole brut qu'étaient la Russie, l'Azerbaïdjan et le Kazakhstan, ont cessé de commercer avec la Grèce par mesure de précaution envers la crise de sa dette. Mais à défaut des 450 000 barils de pétrole par jour que l'Iran fournit maintenant aux Grecs – ainsi qu'aux Italiens et espagnols – on pourrait considérer tout ces pays en situation grave. Mais ce n'est pas seulement le pétrole qui pose problème. On a affirmé aussi que la Grèce à court d'argent, a également compté sur les Iraniens pour obtenir des crédits, et faire en sorte qu'ils soient les seuls fournisseurs de pétrole brut pouvant leur offrir cette opportunité à ce moment précis. Même si cela a été démenti par Téhéran, l'embargo aurait évidemment un effet particulièrement néfaste pour l'économie grecque. Si l'on s'aperçoit maintenant que la Grèce est plus détachée envers son opposition à l'embargo, c'est que cette détente doit avoir un prix - tout au moins aux yeux de la politique européenne. Jusqu'à présent personne n'a encore laissé entendre que ce soit le cas, tout le monde est resté dans le vague sur ce qu'il en est, mais il est inconcevable que la Grèce se fasse si complaisante par pure bonté de cœur. Mais la Grèce n'est pas la seule à anticiper les dégâts économiques. Avec le pétrole Iranien en dehors du marché, et son gouvernement qui menace de fermer le détroit d'Ormuz, les prix du pétrole n'ont cessé d'augmenter, même s'ils sont maintenant stables. Environ 20 pour cent de la production mondiale passe par ce détroit et la perte de dix millions de barils par jour de production au Moyen-Orient pourraient faire augmenter les prix du pétrole à court terme jusqu'à 413 dollars le baril, étant donné l'incapacité des consommateurs à passer rapidement à d'autres carburants. Et si ce genre de choc est suffisant pour conduire l'économie américaine à la récession, l'effet sur les économies européennes les plus fragiles pourrait être encore plus sévère, mettant la Grèce en pleine ligne de mire. Ainsi, quelle que soit les contraintes économiques que la Grèce a eu à essuyer, elles sont sur le point de s'aggraver, au moment où la capacité des états de l'Union Européenne a lancer de coûteux renflouements est considérablement réduite. Par conséquent, aucun des états européens ne peuvent se permettre ces démonstrations de pouvoir politique, d'autant plus que l'Iran tend à être relativement à l'abri des sanctions. Pour que les Iraniens soient sous la menace de prendre un coup sérieux, il faudrait que les états membres de l'UE soient d'abord muni d'un objectif clair, dont on sait qu'il n'est pas encore prêt d'être entièrement divulgué. On pourrait spéculer que leur action commune est dictée par le coût du soutien économique américain, sauf qu'en ce moment les Etats-Unis ne sont pas en position de force pour affronter cette tempête. On va pouvoir en savoir plus sur leur objectif global d'ici le 30 Janvier, quand les ministres des Affaires étrangères des états membres de l'UE se réuniront pour confirmer (ou non) un embargo. Mais c'est dans plus de trois semaines, et il n'y a jamais eu de semaine si longue en politique depuis longtemps. D'ici là, l'économie mondiale pourrait se rapprocher encore du précipice, ce qui nous force à se demander si nous ne sommes pas les témoins d'un pacte suicidaire commun. Nous avons déjà si peu de problèmes que je me demande s'il ne nous serait pas plus facile d'en créer davantage?
  16. petite remarque pour http://www.contrepoints.org/2012/01/06/63718-ne-rangez-pas-encore-les-ciseaux-senor-rajoy ajoutez Traduction JATW pour contrepoints merci
  17. je prends la main La Grèce va t-elle quitter l'Euro? Hannan Il n'est pas question que la Grèce se doive de quitter l'euro: le pays ne peut espérer surmonter ses problèmes sans qu'il évalue le coût de son retour sur le marché. Mais le fera t-il? «L'accord de sauvetage doit être signé sinon nous nous retrouverons hors des marchés, hors de l'euro », a déclaré aujourd'hui un porte-parole du gouvernement, suscitant des spéculations sur le départ imminent de la Grèce de la zone Euro. Portez, un instant quelque attention, à sa tournure de phrase. Comme presque tous les fonctionnaires grecs, il considère un retour à la drachme comme étant une menace monstrueuse, un épouvantail avec lequel il menace ses compatriotes récalcitrants, et non pas une opportunité pour développer la croissance à l'exportation. La logique économique exige que la Grèce adopte une politique monétaire adaptée à ses besoins. Mais si c'était le cas, si la logique économique statuait des questions politiques, alors la Grèce n'aurait jamais abandonné en premier lieu la drachme. La décision d'adopter l'euro a d'abord été une décision politique, et les politiciens ne l'ont pas modifié beaucoup. La Banque centrale grecque refuse d'encourager son retrait de la monnaie unique. Il en va de même du gouverneur nommé par l'EU du Premier ministre, Lucas Papademos. Mais ce qui est plutôt déconcertant, c'est que 77 pour cent des électeurs grecs pensent de même. Et bien sûr, du fond du cœur, c'est ce qu'en pensent aussi les élites de l'UE. Discuter d'un retrait c'est vraiment pratiquer une forme de bluff. Les politiciens grecs font allusion à cette possibilité afin d'obtenir de meilleures conditions de leurs bailleurs de fonds de l'UE, et les eurocrates leur répondent en disant «Allez y donc, pour voir si nous nous en soucions vraiment». En vérité, cependant, aucune des deux parties ne veulent une dévaluation - Athènes parce qu'elle voit l'euro comme la confirmation de ses orientations européennes, plutôt que levantine; Et Bruxelles parce qu'elle ne veut pas créer un précédent déclarant que l'adhésion à l'euro puisse être temporaire. On peut démasquer le bluff, bien sûr, et il est possible d'envisager le scénario où la Grèce trébucherait dans un configuration que personne n'avait particulièrement prévu. Mais en pesant le pour et le contre, je ne pense pas que ce soit le cas. Dès le départ, ce blog a pris le parti pris impopulaire que la Grèce finirait par se révéler défaillante au sein de l'euro. Ce serait évidemment le pire résultat possible pour la Grèce. Ce serait également désastreux en termes de confiance sur les marchés dans la zone Euro. Mais, comme je le répète, ces questions n'ont jamais été abordées sur le plan économique. Parce que si elles l'avaient été, nous ne serions pas dans ce pétrin.
  18. Ne rangez pas encore les ciseaux, señor Rajoy par OpenEurope Le nouveau gouvernement Espagnol de centre droit a pris ses fonctions le 22 Décembre, juste le temps de lâcher un véritable cadeau pourri dans les souliers de Noël des citoyens de toute l'Espagne: un ensemble de réductions des dépenses publiques et de hausses des impôts d'un montant d'environ € 16 milliards pour 2012. Pour être correct envers le cabinet du Premier ministre espagnol, Mariano Rajoy, quelques-unes des mesures qui doivent être adoptées sont assez franches. En particulier: Les impôts sur le revenu individuel ainsi que du capital seront soumis à une augmentation temporaire, au prorata du revenu individuel. Le ministre du trésor espagnol Cristóbal Montoro (voir photo) a expliqué que la décision a été prise afin d'éviter de répercuter l'augmentation sur la TVA, une option qui, selon lui aurait été plus dommageable pour la croissance du pays; Les employés Espagnols du secteur public verront; cette année, leurs salaires gelés, et il leur sera également demandé de travailler plus (37,5 heures par semaine au lieu des 35 actuels). Les salaires de ceux qui refusent de le faire seront diminués en conséquence; La fonction publique sera considérablement allégée, avec la suppression de 30 directions générales; Les subventions d'Etat aux partis politiques, syndicats et associations patronales seront réduites de 20%. En dépit de ce plan d'austérité historique, un autre pourrait se profiler dès jeudi. En fait, la cible d'une réduction de 16 milliards € était basée sur l'objectif que l'Espagne s'est donné qui est d'atteindre un déficit de 6% du PIB d'ici la fin de 2011. Malheureusement, à en juger par ce que plusieurs ministres espagnols ont annoncé au cours du week-end, la cible va être manqué par au moins 2% du PIB. Le ministre de l'intérieur, Jorge Fernández Díaz, a déclaré hier que le déficit espagnol pourrait être de 8,2% du PIB à la fin de 2011. Si tel était le cas, a t-il ajouté, le gouvernement devrait procéder à une réduction budgétaire d'environ € 38 milliards pour coller à son engagement qui est de réduire le déficit public à 4,4% du PIB d'ici à la fin de cette année. En d'autres termes, des sacrifices difficiles attendent les espagnols, et ils ne vont pas être reçues particulièrement bien dans le pays qui a engendré le mouvement indignados et dans celui où, selon des chiffres gouvernementaux publiés ce matin, près de 4,5 millions de personnes n'ont pas trouvé un emploi en 2011 (une augmentation de 7,86% sur les chiffres de 2010). Une chose est certaine: Rajoy va passer son plus grand test qui reste la réforme radicale du marché du travail, qu'il avait promis lors de la dernière campagne électorale. Les syndicats - éventuellement avec l'appui du Parti socialiste dans l'opposition en ce moment - peuvent descendre dans la rue, grâce à plusieurs manifestations et des grèves générales qui auraient lieu à travers le pays. Cependant, si Rajoy et son cabinet ne tiennent pas leurs promesses maintenant et, en plus, ne parviennent pas à les mettre en œuvre, l'économie espagnole va rater une occasion cruciale de tenter de renforcer sa compétitivité à long terme – ce qui, dés lors, pourrait soulever des questions sur l'avenir de l'Espagne au sein de la zone euro.
  19. salut à tous petit ajustement sur l'article http://www.contrepoints.org/2012/01/04/63255-en-espagne-la-loi-sinde-rajoy-veut-porter-un-coup-a-internet si vous pouviez utilisé les infos et le logo du Partido por la libertad individual, ca serait mieux je pense (les infos sont là) https://www.contrepoints.org/2011/12/11/59937-democratie-espagnole-le-pouvoir-au-peuple merci
  20. En Espagne, la loi Sinde-Rajoy veut porter un coup á Internet Par le Partido de la libertad Individual en Espagne. Après avoir approuvé au Conseil des ministres d'hier la loi Sinde-Rajoy, le gouvernement quasi-socialiste du Parti Populaire a fini par parachever un coup contre la liberté d’utiliser Internet ce qui avait déjà été bien entamé, pendant la législature précédente, par la coalition du parti socialiste espagnol, PP [Parti Populaire actuellement au pouvoir] et CiU [Parti Nationaliste Catalan]. Le gouvernement espagnol s'éloigne ainsi du modèle hollandais ou suisse, et fait la sourde oreille au Conseil d’état, se refuse de dialoguer avec les organisations d'internautes et décide d’emprunter, pour le profit du lobby de l’oligarchie politique toute-puissante et ses administrations (et, surtout, en vue de soutenir la croisade de ses propres administrations contre Internet), la voie la plus nuisible pour la liberté et la plus invasive pour la vie privée des citoyens et des entreprises. Le gouvernement se prémunie d’un ensemble d’autorisations exceptionnelles qui limitent considérablement tout recourt et menacent gravement le secret des communications. Ainsi, le pouvoir exécutif peut déjà décider de fermer des sites privés de communication. La chasse aux sorcières commence. Que personne ne se trompe: l'état utilise la propriété intellectuelle, la lutte contre divers délits sur Internet, comme autant d’excuses grossières et simplificatrices. Ce qui préoccupe l’état, c’est l'action humaine libre et désordonnée qui génère un ordre spontané à la marge de la vision étatique de la réalité. L’état s’inquiète de la dimension sociale et culturelle d’Internet qui échappe à l’ingénierie étatique et il se méfie des activités économiques qui ne sont pas soumis au contrôle centralisé de la monnaie fiduciaire et qui pourrait échapper aux prélèvements voraces de l'état. Internet est le lieu de la communication, des relations humaines et des transactions économiques qui n’avaient jamais atteint un tel niveau de liberté. Et c’est bien ce qui incommode, déplaît et effraie á juste titre les partisans de l'étatisme. Les réseaux sociaux distribués au travers d’une maille plurielle et changeante, qui ont émergés en conséquence des nouvelles technologies, constituent la plus grande menace contre l'establishment. Celui-ci s'agite contre Internet et réagit de la seule manière qui lui est familière: en réprimant notre action et en limitant notre liberté. L'état essaie de prendre le contrôle d'Internet. Nous ne pouvons pas le permettre. Pour éviter d’encourir des problèmes légaux, le Parti de la Liberté Individuelle (P-LIB) n'effectue pas d'appel à la rébellion citoyenne légitime contre cette loi injuste, répressive et indigne d'un pays libre mais rend explicite son opposition indignée et absolue ainsi que sa volonté inébranlable d’union commune á la résistance, par tous les moyens légaux à sa portée, qui émergera sans doute spontanément de la société civile. Le P-LIB réitère son soutien à la plate-forme # RedResiste et toutes les organisations, les médias, les blogueurs, les internautes et autres personnes physiques et morales qui ont courageusement exprimé leur opposition à la loi tyrannique Sinde Rajoy. Le P-LIB s’est proposé de collaborer à la mobilisation citoyenne, á l’action judiciaire, aux stratégies de communication et autres initiatives qui sont contre la loi Sinde-Rajoy. Aussi aux états-Unis, ces jours-ci, la menace plane sur la liberté avec la loi SOPA (Stop Online Piracy Act) (étroitement liée aux administrations internationales de gestion de réseau) qui est proposée par le vice-président Biden et qui rencontre l'opposition profonde des libertaires et en particulier du congressman Ron Paul. Le P-LIB espère un dénouement positif aux initiatives conjointes de Google, Facebook et Twitter contre la SOPA. Internet est global et sa défense doit l’être aussi parce que sans un Internet libre dans un monde hautement technologique, les citoyens seraient entièrement soumis à la volonté étatique. Le P-LIB se méfie de l'annonce de Christóbal Montoro [ministre des finances et de l’administration publique] concernant la « compensation » qui remplacerait la redevance numérique (appelée digital canon) aux yeux des organismes de régulation. Souvenez-vous que la redevance fut abandonnée parce qu’elle était illégale, ce qui fait que la compensation n’est pas justifiée. D’un côté, l’augmentation des subventions à la SGAE et autres administrations légales pour qu’elles contrôlent l'usage possible que les acheteurs vont faire de leur appareils est une aberration juridique qui revient au pillage de l'argent des contribuables. De l’autre, la nomination de Carmen Vela, qui brille par son soutint à la plate-forme de Zapatero (le "Sourcil"), et qui n’est rien moins qu’une Secrétaire d'état á la recherche, au développement et á l’innovation nous donne une idée de la continuité du gouvernement Rajoy par rapport au précédent sur toutes les questions liées à l'innovation et aux nouvelles technologies. Le P-LIB invite ceux qui se considèrent libéraux et qui ont voté PP à réfléchir á deux fois.
  21. @Nick merci du tuyau @anton K, je ne crois pas que ce soit que le probleme de la rigidité mentale se place dans la perspective de l'hédonisme vs le conflit (marxiste perspective au fond), c'est plus une question d'etat d'esprit dans le sens de Wittgenstein: si on est disposé a réviser ses idées á la lumiére de contre-évidence ou á la lumiére des faits vis-a-vis une confiance "aveugle" (et c'est bien le probléme) dans les dogmes (les idées déja prédéfinies : exemple type des communistes ou alliés qui traitent les libéraux de supos du capitalisme parce qu'ils ne peuvent eux-même difficilement se représenter ce que penser en dehors d'une affiliation ideologique serait. Wittgenstein parle de "one side feeding", la méthode qui consiste á ne nourrir qu'un aspect de la réalité au détriment d'autres (ou d'occulté la réalité toute entiére et de la remplacer par des constructions idéales).
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