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Punu

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Messages postés par Punu

  1. Si vous êtes amateurs de blockbusters popcorniens, ce film, le nouveau Godzilla en l'occurrence (prévu en mai 2014), pourra peut-être vous intéresser. En tout cas, perso, je trouve que le trailer envoit du steak. :jaifaim:

     

     

    Mettre du Ligeti sur un nanard SF... espérons que ce soit du second degré.

  2. J'ai mis en vente sur eBay trois livres libéraux (je suis en train de faire de la place dans les bibliothèques) :

     

    - Ce qu'on voit et ce qu'on ne voit pas, de Bastiat, dans une étonnante édition de 1873 : http://www.ebay.fr/itm/Frederic-Bastiat-Ce-quon-voit-et-ce-quon-ne-voit-pas-liberalisme-capitalisme-/171183606438?pt=FR_GW_Livres_BD_Revues_LivresAnciens&hash=item27db568aa6

     

    - Le gouvernement omnipotent, de Ludwig von Mises, relié et en édition française originale (1947) : http://www.ebay.fr/itm/Ludwig-von-Mises-Le-gouvernement-omnipotent-liberalisme-capitalisme-socialisme-/171183940539?hash=item27db5ba3bb

     

    - La route de la servitude, de Hayek, également relié et en édition française originale (1945) : http://www.ebay.fr/itm/Friedrich-Hayek-La-route-de-la-servitude-liberalisme-capitalisme-socialisme-/171183967525?pt=FR_GW_Livres_BD_Revues_LivresAnciens&hash=item27db5c0d25

  3. Je résurrecte ce fil pour donner des nouvelles. Patrick a fait du bon boulot puisqu'une nouvelle collection va bientôt voir le jour aux Belles Lettres : "Les Insoumis". Les livres auront le même format que les fameux "Iconoclastes" (9 x 18 cm, entre 50 et 100 pages). Les deux premiers volumes paraîtront le 15 janvier 2014 : il s'agit de "Libérons-nous" de Pascal Salin et de "Le silence de la loi" de Cédric Parren (un membre de ce forum). Suivra le 15 février 2014 "Prohibitions" de François Monti, un autre (ex-)membre du forum.

     

    Maintenant que la collection est bel et bien lancée, les personnes intéressées peuvent s'adresser à Patrick Smets (voir le premier message de ce fil) pour lui proposer un autre essai.

  4. Quand je lis ce fil, et tous les sites/forums financiers, je me dis que l'argent est une malédiction. Quelle somme d'inquiétude le capital représente ! Mais quelle est la solution, sachant que vivre sans économies est tout aussi angoissant. Dans ces conditions, on comprend mieux les gens qui placent leur argent en obligations AAA ou dans des actions de tout repos.

  5. Pour le dernier, je sais c'est facile, mais on pourrait appeler ça "franceterne".

     

    Sinon, j'adore le disque-volant (frisbee) ! Il paraîtrait même qu'en Belgique on appelle ça un "discoplane", un terme que je n'ai jamais, absolument jamais entendu de ma vie.

  6. Non, un seul. Mais tu n'es pas obligé d'acquérir un coffre Honda. En gros, les atouts du SH300 : 3,5 l/100 en tirant dedans comme un porc, une très belle accélération jusqu'à 90 km/h (je laisse tous les autres scoots derrière), une tenue de route impeccable, une excellente maniabilité malgré les grandes roues (qui stabilisent l'engin à haute vitesse), une fiabilité totale (jamais eu le moindre problème en 4 ans à 10.000 km/an). Points négatifs : l'ABS qui merde sur les pavés (secs ou mouillés), l'amortisseur arrière qui est un peu dur (mais il paraît qu'il a été changé en 2012), et c'est tout.

  7. Ma première fut une Bandit S 600 (à peu près la même que sur la photo), mais elle s'est révélée être beaucoup trop lourde pour la ville (je compte sur les doigts d'une main le nombre de fois par an où je monte sur une autoroute).

     

    2002SuzukiBandit600s002.jpg

     

    Puis j'ai versé dans l'excès inverse, une Vespa bien trop légère (125 cc). Très mécontent de la "qualité" Vespa par ailleurs ; toute la visserie s'est mise à rouiller après deux semaines, par exemple.

     

    arton36-703dd.jpg

     

    Depuis quelques années je suis remonté à un 300 cc, qui est grandiose : Honda SH300. La seule chose que je n'aime pas, c'est l'ABS (imprévisible sur pavés), mais à part ça ce scoot tue.

     

    Honda_SH300i_ABS_2010_stpz.jpg

  8. J'ai vu The Bridge, un documentaire réalisé en 2006 sur les suicides du Golden Gate Bridge. Ce documentaire est captivant, car le réalisateur a filmé de nombreux suicides puis a retrouvé la famille et les amis de ces suicidés - ainsi que les témoins du suicide sur le pont. Ceux-là évoquent le disparu, parlent des raisons qu'il avait ou n'avait pas de commettre son geste, de leurs propres sentiments (culpabilité, incompréhension, "satisfaction", ...). Les images du pont sont fascinantes, hypnotisantes, alors que, dégagées de leur contexte, elles seraient absolument vides de sens. L'ensemble n'est pas vraiment triste, mais plutôt étrangement relaxant - méditatif presque. On perce un peu ce mystère - en tout cas pour moi qui n'ai jamais eu cette idée. Je conseille absolument.

     

     

     

  9. Que l'administration déconne ("ni cible ni projet" c'est suffisant pour elle apparemment), ce n'est pas une nouveauté - c'est dans ses gènes depuis des siècles. On verra la réaction de la justice - elle poursuivra probablement pour ne pas désapprouver le juge d'instruction, mais il y a peu de chances qu'il soit condamné - peut-être pour des conneries du genre détention illégale de ceci ou cela. Mais dans l'intervalle il est dans la merde, c'est sûr.

     

    Quoiqu'il en soit, on ne peut pas pleurer jour et nuit sur l'angélisme de l'état puis lui reprocher d'avancer. Les appels incessants à la répression policière qu'on entend dans la population (bien sûr à destination de populations ciblées) ont évidemment pour conséquence de libérer le Moloch.

  10. Comme j'en suis intimement convaincu, les gens vont acheter leur alimentation vers les hypermarchés et supermarchés parce que c'est l'endroit où les prix sont marqués sur l'emballage et ils peuvent réfléchir et éventuellement reposer leur achat avant de passer en caisse.

    Chez Auchan ou Carrefour, les consommateurs pèsent eux-mêmes leurs fruits, collent l'étiquette du prix, puis en rajoutent deux ou trois dans le paquet pensant "niquer" l'enseigne (qui a déjà répercuté cette fraude endémique dans le prix de base au kilo)

    Chez le commerçant traditionnel lorsque le client rentre il ne sait pas pour combien il va en avoir à la sortie, et cette incertitude sur le montant total est redouté par le consommateur qui est ric-rac.Il est inenviseageable chez ce genre de commerçant de dire "non c'est trop cher, finalement je ne prends pas les tomates que vous venez de peser"

    Même phénomène en restauration; chez McDo ou KFC tu sais combien tu vas débourser avant d'entrer, alors qu'en restaurant tradi l'addition c'est parfois la grosse surprise.

     

    Pour ma part, je trouve justement qu'on paie bien plus cher au supermarché puisqu'on ne peut pas choisir les quantités. Combien de fois, alors que j'avais besoin de 200 g par exemple, j'ai été obligé d'acheter 250, 300 voire 400 g ? Et pour ne pas jeter le surplus, on augmente les quantités des autres produits, ce qui fait qu'au final on bouffe trop. Chez un petit commerçant, je reçois le poids dont j'ai besoin à 5 % près, pas à 50 %.

  11. Pour relier les deux discussions du fil : il me semble (article lu) que les gens n'osent généralement pas acheter du frais au drive, le réservant aux trucs déjà emballés et standardisés, et qu'au final ils vont chez les petits commercants pour leur viande/légumes.

     

    C'est logique, les cinq sixièmes des fruits et légumes au supermarché sont soit pourris, soit pas assez mûrs. Ce truc de "drive", ça me fait penser à un rêve de geek pour qui la pizza livrée à domicile est l'alpha et l'omega de la gastronomie.

  12. D'abord je tombe presque toujours sur des insatisfaites chroniques, instables ou manipulatrices.

     

    Peut-être les prendre plus jeunes ? Les femmes de 30 à 40 ans qui n'ont jamais été mariées et n'ont pas d'enfants ont généralement un problème qui explique cette situation (surtout après 35). Je dirais qu'il faut viser les 25-30. Elles savent un peu plus ce qu'elles veulent et les femmes agréables ne sont pas toutes maquées.

  13. Nan vraiment, des filles super bonnes, spéciales, que j'ai essayé de me faire. J'ai échoué. Elles me l'ont dit : t'es un pote, tombe pas amoureux de moi, merci, si j'avais de l'attirance j'aurais fais quelque chose il y a bien longtemps.

     

    ça vient de moi. J'aurais agis différemment elles y seraient passées. 

     

    D'accord sur le pressant, ça fait le mec en chien de toute façon, et c'est comme ça qu'on se fait trié à l'entrée. Justement cette soirée, pour la première fois, je n'étais pas en attente de résultats, je voulais juste essayer et apprendre. Et j'ai eu beaucoup plus de résultats qu'habituellement. Aussi parce que d'hab, je me torche avec mes potes car je suis étais déjà maqué. Mais là...

     

    Aucune décision humaine n'est ferme. Une fille qui te dit que vous allez être copains, tu acceptes le coup sans broncher et, mine de rien, tu lui parles de ta nouvelle conquête quelques semaines plus tard. Voyant que le produit suscite de l'intérêt, elle va penser à l'acheter. Par ailleurs, une fille qui n'est pas intéressée ne te dit pas que vous allez être copains, elle ne te parle tout simplement pas.

  14. Tu seras attirant le jour où tu le croiras. C'est aussi simple que ça. Faut se convaincre soi même, comme un mytho. Et ça marche, si tu contrôles un peu (car on ne peut pas) le langage corporel, tu peux tromper n'importe qui. 

     

    Même quand tu vas choper de la drogue. Si tu montres trop de signes positifs, trop de besoin d'avoir ce deal conclu, ça va merder pour toi. Montre par tes jambes et tes épaules que tu es prêt à partir immédiatement si le mec ne fait pas un effort, et t'auras un meilleur deal. 

     

    Tu te compliques la vie. Habille-toi bien (90 % du boulot), sois positif (quel que soit le sujet de discussion : météo, politique, etc.) et laisse-la finir ses phrases. Ne sois pas trop pressant (le concept complètement idiot de "friend zone" est un truc inventé par des puceaux qui espèrent baiser dans les cinq minutes - ce qui peut arriver mais uniquement avec des filles faciles, donc pas utiles à long terme) mais montre néanmoins ton intérêt (au risque qu'elle croie que tu veux être son ami). Et même si ça ne marche pas, garde-la comme fréquentation/amie, car c'est en connaissant des femmes, et non des hommes, qu'on rencontre des femmes.

  15. http://pit-trader.blogspot.be/2012/08/7-mistakes-every-gold-trader-must-avoid.html

     

    MISTAKE #1 - TRADING WITHOUT A PLAN

    MISTAKE #3 - OVER THINKING THINGS

    MISTAKE #4 - GETTING TUNNEL VISION FOR YOUR BIAS

    MISTAKE #7 - SHOOTING FOR THE MOON
     
    (je ne dis pas que ça ne va pas remonter. Toutefois, je connais des gens qui sont toujours accrochés à leurs actions Internet achetées en 2000. On a tort d'avoir raison contre le marché.)
  16. Vivant avec une Brésilienne, voici ce qu'elle m'en a dit :

     

    - le système scolaire public "gratuit" est lamentable jusqu'au bac

    - les écoles privées, depuis la maternelle jusqu'au bac, sont meilleures, mais excessivement coûteuses (de l'ordre de 1.000 euros par mois et par enfant, voire plus), ce qui ne les empêche pas d'avoir beaucoup de succès

    - les universités publiques "gratuites" sont les meilleures mais très difficiles d'accès (examens d'entrée)

    - les diplômes universitaires occidentaux permettent d'accéder aux plus hautes positions

  17. Moi je suis en train de lire "Éloge de l'ombre" de Tanizaki. C'est merveilleusement bien écrit et inspire de nombreuses réflexions sur la civilisation occidentale. Le passage sur les mérites des toilettes à la japonaise est un chef-d'oeuvre du genre.

     

     

    « Car un laque décoré à la poudre d'or n'est pas fait pour être embrassé d'un seul coup d'oeil dans un endroit illuminé, mais pour être deviné dans un lieu obscur, dans une lueur diffuse qui, par instants, en révèle l'un ou l'autre détail, de telle sorte que, la majeure partie de son décor somptueux constamment caché dans l'ombre, il suscite des résonances inexprimables. De plus, la brillance de sa surface étincelante reflète, quand il est placé dans un lieu obscur, l'agitation de la flamme du luminaire, décelant ainsi le moindre courant d'air qui traverse de temps à autre la pièce la plus calme, et discrètement incite l'homme à la rêverie. N'étaient les objets de laque dans l'espace ombreux, ce monde de rêve à l'incertaine clarté que sécrètent chandelles ou lampes à huile, ce battement du pouls de la nuit que sont les clignotements de la flamme, perdraient à coup sûr une bonne part de leur fascination. Ainsi que de minces filets d'eau courant sur les nattes pour se rassembler en nappes stagnantes, les rayons de lumière sont captés, l'un ici, l'autre là, puis se propagent ténus, incertains et scintillants, tissant sur la trame de la nuit comme un damas fait de ces dessins à la poudre d'or. »

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