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Messages postés par Punu
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"The Artist" est un grand film pour dormir. Musique douce, pas d'explosions sonores ni de couleurs criardes, aucune réaction dans la salle (mis à part quelques ronflements de sexagénaires en couple). Je recommande les séances après le déjeuner.
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En attendant le film sur Lady Tatcher, je vais peut etre me laisser tanter par Hoover
Ce qui est logique vu l'orientation sexuelle de Hoover.
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Très déçu de mon Blackberry Bold (batterie de merde, passe son temps à se rebooter pour des "mises à jour de sécurité", navigateur ultra lent (Opera n'est pas mieux), etc.). Le prochain (dans pas trop longtemps) sera un Samsung.
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C'est une maladie mentale.
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Il doit y avoir y raison.
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Merci de ne pas souiller ce sanctuaire avec des vidéos politiques absconses et absolument pas comiques (titre du fil). Je comprends que certains soient obsédés par la politique : ils ont tous les autres fils du forum (des milliers) pour s'adonner à leur vice. Il y a une vie en dehors de cette merde.
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C'est tellement 2000, le mème. Un peu comme l'evopsy.
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Lamentable.
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I hate it when people say "Fuck the police".
Don’t just fuck the police.
Take the police out on a couple dates. Take the police to the movies or a nice stroll in the park. Feed the police some delicious fondue. Make the police fall in love with you. Then, fuck the police. And then out of nowhere, stop taking calls from the police. Ignore the police. Make the police miss you. Make the police cry.
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Un peu d'électro allemande :
Magnifique.
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CLrNmX_fAUw
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F-oomS4awqY
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Il s'agit d'un travail fort obscur, tout à fait byzantin mais confondant par son culot. Bravo au plumitif qui l'a fini.
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Équatoriennes. Les Équatoriennes. Des Équatoriennes. À. Àlala. Àaala
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T'as pas compris le véritable intérêt de la danse : justement pouvoir toucher autant une femme et en rester là.
Sagesse, vacances, toussa… un jour, je te prendrais comme disciple.
Mais, en attendant, tu vas organiser un dîner chez toi avant qu'il n'y fasse trop froid.
Il fait déjà froid, mais c'est néanmoins une bonne idée. J'en profiterai pour t'expliquer comment tu casses le coup de tous les libéraux auprès des équatoriennes.
(qu'est-ce qui se passe : il n'est plus possible de mettre une majuscule accentuée ?)
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J'y suis allé avec une Congolaise joyeuse, t'inquiète. C'est d'ailleurs formidable de pouvoir toucher autant une femme dès le départ car le reste coule alors de source.
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^–^ Je risque ma vie pour la perpétuer.
(à la Tentation. Peu de concurrence car beaucoup de vieux. énormément de gonzesses seules et l'air triste.)
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Hier j'ai franchi une étape de plus vers la réconciliation avec le dionysiaque en moi en allant à un cours de salsa. Monstrueux pour draguer !
2AzpHvLWFUM
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Well done.
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Tu ne l'avais pas déjà lu ?! Je suis tout surpris.
Et effectivement, on peut le rapprocher du Principe de Lucifer par cet aspect "synthèse" de plusieurs idées.
Le prix du livre m'a toujours rebuté. Ici je l'ai acheté 5 euros chez un bouquiniste.
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Gaudi à propos du Corbusier : « La maquette que j'ai vue de cet architecte est un assemblage de parallélépipèdes, on dirait le quai d'une gare où l'on décharge des caisses d'emballage, quelques-unes d'entre elles évoquent des rayonnages. Cet homme possède une mentalité de menuisier. »
^–^
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Je suis en train de lire "Gödel Escher Bach" de Hofstadter et c'est pas mal du tout, surtout les parties historiques. Les sections sur la génétique ou l'IT ont vieilli, mais dans l'ensemble c'est un livre vraiment intéressant par l'éventail des sujets abordés et les croisements effectués, même si l'on est très loin d'un livre scientifique (ça me fait fort penser au "Principe de Lucifer" de Howard Bloom).
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Après une dizaine d'années de travail à la maison : toujours se préparer le matin comme si on devait quitter son appartement ! C'est en tout cas pour moi le seul moyen de maintenir une bonne hygiène de vie, un relatif cloisonnement du pro et du perso… et ainsi profiter de tous les bénéfices du travail à domicile ! Recréer des routines, c'est la clef
Ca fait 7 ans que je bosse chez moi. Je ne vois pas l'avantage de créer des routines et ainsi de vivre comme un employé. Non, il faut au contraire changer de programme tous les jours, vivre selon l'inspiration du moment. Il faut travailler quand il y a du travail au lieu de travailler quand c'est l'heure. À mon sens, le vrai problème du statut d'indépendant, ce n'est pas la solitude (des tonnes de gens travaillent dans un bureau qu'ils occupent seul ou dans un open space cloisonné) : c'est qu'on finit par devenir vénal. On ne pense plus qu'en termes d'heures prestées et de tarif horaire, ce qui peut parfois pousser à accepter des jobs rémunérateurs mais faciles (car on a l'habitude) ou peu intéressants. On peut aussi être tenté de surfacturer. Enfin, gagner plus que la moyenne n'est pas une mince affaire ; il faut essayer de comprendre quelle est sa valeur ajoutée.
Je raconte my life II - Le retour
dans La Taverne
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Plutôt heureux là. Un peu trop même. Ca m'inquiète.