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Buaires

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  1. Dans le cas où un groupe de traduction se mettrait en place, je participerai certainement. Disponible surtout le week-end, possibilité entre midi et 2h (mais de manière plus irrégulière).
  2. Un accord avec FreeBanking.org afin de traduire leurs articles sur Contrepoints est-il envisageable ?
  3. Un accord avec FreeBanking.org est-il envisageable ?
  4. La grogne française, vue de l'étranger Il s'agit de la traduction de l'article suivant : http://reason.com/blog/2013/11/20/french-government-deploys-devilishly-cle L'article est à publier sous le nom de Florian H. Bonne soirée à tous ! ---- La grogne française, vue de l’étranger L’économie française est totalement à l’arrêt – et à vrai dire, elle est même entrée dans une phase de récession. Cette situation résulte du lourd et pénible fardeau de taxes et de règlementations qui pèse sur le pays. Les Français sont furieux et organisent des actions contre le niveau élevé des taxes, obligeant les fonctionnaires à faire, dans l’affolement des prédictions, selon lesquelles, la révolte serait imminente. Et alors que les Français cherchent à tout prix comment gagner sa vie et qu’ils courent après chaque petit plaisir, dans lesquels ils pourraient momentanément oublier leurs malheurs, les législateurs proposent de pénaliser la prostitution et ainsi, de rendre la pratique clandestine. C’est une proposition sacrément intelligente, qui empêche encore un peu plus de voir un dénouement heureux à toutes ces politiques … À moins qu’il n’y en ait pas ! La Deutsche Welle a écrit : La France a, de manière répétée, échoué à atteindre les objectifs fixés par l’Union Européenne en terme de déficit public, selon lesquels celui-ci ne devait pas dépasser 3% du PIB. Cette année, le déficit public devrait être d’environ 4% du PIB, et ce malgré l’augmentation des taxes. À partir de 2015, les dépenses publiques devraient être réduites afin d’atteindre l’objectif de 3% de déficit public. Toutefois, Standard & Poor’s a émis de sérieux doutes sur la capacité de la France à être à la hauteur de ses engagements. De plus, la croissance stagne, entravée par la faible compétitivité d’un grand nombre d’entreprises, affirme Uterwedde. « Les entreprises produisent très souvent des produits plutôt simples – une Renault Twingo plutôt qu’une voiture de luxe, par exemple. Avec une telle gamme de produits et dans un contexte de marché concurrentiel, les pressions qui pèsent sur les coûts sont extrêmement importantes. Le taux de chômage en France atteint des niveaux records : près de 11%. Standard & Poor’s estime que ce taux restera supérieur à 10% jusqu’en 2016. « Le chômage des jeunes est deux fois plus important qu’au niveau national, affirme Frédéric Schaeffer, et c’est pour cette raison que la plupart des politiques gouvernementales se concentrent sur cette question ». De manière peu surprenante, Standard & Poor’s a dégradé d’un cran la note de la France, insistant sur le fait que le pays pourrait perdre sa capacité à rembourser sa dette. En réaction à cette période mouvementée, le gouvernement français a, comme d’habitude, pris la décision d’équilibrer ses comptes en tentant de traire encore un peu plus les Français – une décision contre laquelle même l’Union Européenne a mis en garde en France. En conséquence, les Français se sentent accablés, mais ils sont également en colère. Bloomberg rapporte que « le gouvernement socialiste de Hollande fait face à une fronde contre les taxes et le lourd fardeau de règlementations, non seulement de la part des dirigeants – comme chacun pouvait s’y attendre – mais également de la part d’agriculteurs, de commerçants, de chauffeurs de poids-lourds et de joueurs de football. Ces manifestations ne sont pas de petits rassemblements locaux. Un rapport du Ministère de l’Intérieur qui aurait dû rester secret a été dévoilé par le Figaro. Le Irish Times l’a résumé ainsi : Les rapports mensuels du Ministère de l’Intérieur sont généralement rédigés dans une langue aseptisée et utilisent un vocabulaire précautionneusement choisi, ce qui, de manière évidente, rend encore plus alarmant l’avertissement fait au Ministre de l’Intérieur et au Président de la République. « Le bien-fondé et la légitimité des taxes » sont fortement remis en question, indique le rapport. « Un mécontentement latent associé à un sentiment de résignation s’est brutalement manifesté au travers de soudains accès de colère, quasi-spontanés, et qui se sont développés en dehors de tout mouvement social organisé. La publication d’extraits de ce rapport coïncide avec l’émergence d’au moins une dizaine de mouvements de protestations, empruntant des noms d’animaux parmi lesquels on trouve les poussins, les dindons, les abeilles, les moutons, les dodos et les cigognes. Il y a également des bonnets rouges, verts, oranges et les « sacrifiés », qui s’opposent à l’augmentation de la TVA prévue pour le premier Janvier prochain. « La taxation est devenu le principal thème d’opposition au gouvernement », indique le rapport. Ce dernier parle également d’un climat « difficile » en France, d’un « sentiment d’un profond découragement qui prévaut, empêchant les Français de croire en un meilleur avenir». Ceci est le creuset d’une « possible explosion sociale », avertissent les Préfets, reprenant le slogan d’un syndicat d’artisans et de travailleurs du secteur du bâtiment : « Faites attention, ça va exploser ». Et c’est à ce moment précis que le gouvernement français a proposé de verbaliser les clients des prostituées, ce qui a soulevé la colère des travailleuses du sexe, organisées autour de leur syndicat, le STRASS, mais également des clients eux-mêmes, et de célébrités craignant que la fameuse tolérance sexuelle qui existe en France soit remise en question. La contributrice à Foreign Policy, Hanna Kozlowska, résume ainsi l’ampleur de cette colère : Les prostituées ont trouvé de nombreux alliés dans leur lutte contre cette loi, qui, actuellement, n’a le soutien que de 20% des Français. L’industrie culturelle française n’a jamais répugné à mettre en scène l’amour physique (ndlr, en français dans le texte) – après tout, que serait un film français sans scène de nudité ? – et, aujourd’hui, cette industrie apporte tout son soutien aux travailleuses du sexe. Récemment, 70 célébrités françaises - notamment l’actrice Catherine Deneuve, qui a incarné une prostituée dans le film « Belle de Jour » - ont publié une pétition, dans laquelle elles estiment que la loi ne conduira qu’à la clandestinisation de l’activité. « Sans soutenir ou promouvoir la prostitution, nous rejetons la pénalisation de ceux qui se prostituent, tout comme de ceux qui recherchent leurs services », affirme la crème de la crème (ndlr, en français dans le texte) de l’industrie culturelle française dans cette pétition, qui a également reçu la signature de chanteurs tels Charles Aznavour ou Antoine, et du réalisateur Claude Lelouch. Les célébrités Françaises ont néanmoins pris leurs distances d’une précédente pétition, qui contestait cette même loi, et qui a suscité l’indignation. En Octobre, dans leur manifeste controversé, « 343 salauds » qui « en matière de prostitution, sont croyants, pratiquants ou agnostiques » écrivaient que « chacun a le droit de vendre librement ses charmes, et même le droit d’aimer faire cela ». Ils rajoutaient qu’ils « ne (voulaient) pas que les législateurs adoptent des lois réglant (leurs) désirs et plaisirs ». Les agissements de Hollande et de sa clique sont brillants, si par « brillant », vous entendez « ajouter de l’huile sur le feu », juste pour voir le résultat …
  5. Bonsoir à tous, Après une longue période d'absence, je souhaite me réinvestir plus régulièrement dans l'activité de traduction. Cependant, le fonctionnement semble avoir été modifié puisque le GoogleDoc ne semble pas être à jour. Merci de votre aide, A bientôt.
  6. Je viens d'acheter "Le Courage de Réformer", écrit sous la direction de Claude Bébéar Le bouquin date de 2002, mais certaines questions restent d'actualité : "Comment libérer l'activité et l'emploi ?", ou encore un chapitre autour du thème "Libérez l'entreprise !" et un autre "Vers une vraie réforme fiscale ?" ; je verrais ce que ça donne. Vous l'avez lu ?
  7. Pour "1000 milliards", je crois que le terme de trillion est en train de devenir la norme en français. Article très intéressant par ailleurs ; qui a fait beaucoup réagir. Ca fait plaisir ! J'essaye de prendre une autre traduction dans la semaine si j'ai le temps.
  8. La dette n’est pas la solution ; c’est le problème Nous sommes donc sur le point « d’injecter 140 milliards de £ dans l’économie ». Impressionnant, n’est-ce-pas ? Qui aurait cru que c’était aussi facile ? Pourquoi ne pas injecter 280 milliards de £ et ainsi, être deux fois plus riche ? Et pourquoi pas un trillion ? Je ne pensais pas que j’aurais encore à écrire cela, mais nous nous retrouvons dans cette situation en premier lieu à cause d’un excès de dettes : trop de dettes privées, trop de dettes pour les entreprises et trop de dettes publiques (ne cliquez pas sur ce lien, à moins que vous ne vouliez être déprimé : http://blogs.telegraph.co.uk/news/danielhannan/100103024/we-are-doomed-doomed/ NOTE : Je crois que cet article avait été traduit sur Contrepoints, à vérifier). Durant plus de 15 ans, la banque d’Angleterre, en commun avec d’autres banques centrales, a artificiellement maintenu les taux d’intérêts à des niveaux bas, alimentant ainsi une bulle de crédits qui était vouée à exploser tôt ou tard. Depuis que la bulle a explosé, il y a quatre ans de cela, Mervyn King (ndlr : le Gouverneur de la Banque d’Angleterre) a désespérément travaillé à « actionner les soufflets » pour faire gonfler à nouveau la bulle. Les taux d’intérêts ont été réduits considérablement et des spasmes répétés de quantitative easing ont augmenté la masse monétaire pour l’équivalent d’un cinquième de notre PIB. Après avoir hurlé contre les banques qui accordaient leurs prêts de manière trop laxiste, les ministres hurlent maintenant contre elles pour ne pas accorder de prêts sans justifications. Hier, le gouverneur de la Banque d’Angleterre a annoncé qu’il donnerait simplement aux banques plus d’argent à prêter. D’où le fait que nous pénalisions l’épargne et que nous récompensions la dette – c’est, d’ailleurs, précisément cette vision des choses qui nous a conduit à cette situation lamentable. Les travailleurs, les épargnants et les retraités sont frappés par la double-peine des taux d’intérêts à 0% et d’inflation élevée so that bloated state can help itself to their assets Mervyn King a décrit, hier, la politique comme un « manuel » en réponse à la tempête. Le seul problème, c’est que son manuel est périmé depuis 80 ans. Comme tous les Keynésiens à travers le monde, il persiste à croire que la demande est une cause plutôt qu’une conséquence de la croissance économique. Mais on ne peut pas continuer à faire augmenter la consommation sans de commensurables augmentations dans la production. Nombre d’entre nous comprennent cette vérité facilement – après tout, nous l’appliquons tous les jours dans nos propres vies. Est-ce une bonne chose que, comme les ministres nous le rappellent, la Grande-Bretagne puisse emprunter à un taux aussi facile que celui de l’Allemagne en dépit d’un déficit équivalent à celui de la Grèce ? Non. Je le répète : c’est la dette qui nous a plongés dans cette situation lamentable. Le moyen de résoudre le déficit est de réduire les dépenses, et non de créer, par un tour de magie, des centaines de milliards de £ contrefaites, de les distribuer aux banques, et de leur dire d’acheter de la dette d’Etat avec. Lorsque Gordon Brown avait pris cette direction, les Tories avaient nommé cette politique (slash-and-burn) et ils l’avaient accusé de démolir les perspectives de long-terme des anglais comme pour retarder le crash après les élections. Quelle est alors l’alternative ? Plutôt que de prévoir une réduction des dépenses publiques, il en faudrait des concrètes ; il faudrait également une radicale dérégulation du marché du travail ; une volonté de wind down failed banks ; une réduction ciblée de certaines taxes ; et, sur le moyen-terme, se détourner d’une Europe en train de s’effondrer pour se tourner vers les régions du monde qui continuent leur croissance. Ou, pour le dire d’une autre manière, le capitalisme. Les points en italique sont à retraduire, je n'ai rien trouvé d'adapté. Sinon, comme toujours, une relecture est nécessaire (fond/forme).
  9. La dette est le problème ; pas la solution de Hannan, je m'en occupe d'ici vendredi soir ! (C'est noté sur le fichier Google)
  10. Je suis toujours dispo pour faire une traduction de temps à autre, de préférence assez courte. Seulement, je n'ai pas forcément le temps de passer régulièrement sur le forum pour voir les traductions disponibles.
  11. Buaires

    Vocabulaire en anglais

    Je peux te conseiller le bien connu "Journal'Ease Anglais", que j'utilise actuellement. Son coût est modique (aux environs d'une dizaine d'euros si je me souviens bien). Il recense de nombreux termes couramment utilisés dans la presse anglophone. Les mots sont répartis par tranche de 50 (Week 1 : mots 1 à 50 …) ; et il existe le "Journal'Ease Exercices", qui propose des QCM, des exercices corrigés pour chaque semaine. Cela reste un livre d'étudiant (je suis en classe prépa), mais il possède un gros avantage : le vocabulaire que l'on apprend est "utile", et on peut le rencontrer facilement en parcourant quelques articles de la presse anglophone, ce qui aide à la mémorisation.
  12. La situation est bien résumée. Il faut reconnaître que la traduction est quand même très bien avancée (je pense que l'article est traduit à plus de 80%) … quelques points restent encore mal traduits pour ma part (ou non traduits …) Il faudrait donc harmoniser nos deux traductions, vérifier la concordance des temps qui nous a posé souci et finir les traductions non terminées.
  13. J'ai eu le même problème au niveau des temps, il faudra vérifier cela. Je mets ça en ligne samedi soir, ou dimanche matin au plus tard en tout cas.
  14. La traduction de l'article sur la Corée est quasiment finie, il me reste quelques points à peaufiner et quelques paragraphes encore non traduits sur lesquels j'ai buté. Je veux bien t'envoyer ma partie dès qu'elle est finie (d'ici ce week-end, tout devrait être fini) pour avoir une deuxième relecture et pour éviter que le décalage de style entre les deux parties soit trop importante … Dis-moi comment tu veux qu'on procéde (si tu souhaites procéder autrement).
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