Aller au contenu

Bar du football


Messages recommandés

 

A quel club de L1 les internautes s'intéressent-ils ?

 

Championnat, Coupe de France, Coupe de la Ligue... En 2015, le Paris Saint-Germain a tout gagné. C'est donc sans surprise qu'il se retrouve également à la tête des clubs les plus recherchés sur Google entre octobre 2014 et octobre 2015.

 

Pour suivre localement les clubs intéressant les internautes, Libération, en partenariat avec le Google News Lab, a cartographié les clubs de Ligue 1 les plus recherchés par les internautes entre octobre 2014 et octobre 2015. Ne sont mis en couleur que les dix clubs intéressant le plus les internautes.

 

mini_141399Capture.png

 

 

Sans surprise, la présence dans un département d'un club de Ligue 1 fait que ce département s'y intéresse principalement. C'est particulièrement visible en Ille-et-Vilaine, où l'ensemble du département favorise le Stade Rennais. Mais également pour l'ASSE ou le FC Nantes, qui arrivent à dépasser les frontières du département.

 

D'autres clubs sont plus éparpillés. Si l'assise géographique de l'OM n'est pas très visible, le club est tout de même le deuxième club le plus recherché en ligne au niveau national. Et les petits points bleus clairs d'apparaître comme des confettis sur l'ensemble du territoire.

 

Parfois, la proximité géographique de deux clubs dessinent une entrelac de couleurs. Autour de Lyon, l'Olympique Lyonnais semble se déplacer vers l'est, poussé par l'ASSE très forte autour de Saint-Etienne. Dans le Nord, le RC Lens et le LOSC se partagent plusieurs départements, avec une prime pour le premier. En revanche, pourquoi les habitants du canton de la Ferté-Saint-Aubin (Loiret) s'intéressent-ils particulièrement à l'AS Monaco ou ceux de Sarras (Ardèche) au Stade rennais? C'est un grand mystère. 

 

 

 

http://www.liberation.fr/sports/2015/10/09/a-quel-club-de-l1-les-internautes-s-interessent-ils_1400337

 

 

 

Je ne reconnais pas la personne sur cette image. Tu te réjouis de l'élimination de la Hollande à tout hasard ?

 

Scandaleux.

Lien vers le commentaire

 

Scandaleux.

 

J'ai découvert il n'y a pas longtemps que la Belgique était un vrai pays alors que j'ai toujours cru que c'était juste une blague. Il ne faut pas m'en vouloir.

Lien vers le commentaire

 

« Dans mon club, les jeunes se partagent les femmes »

Les footballeurs ont la cote auprès de la gente féminine, la chose est entendue.

Mais ces demoiselles sont-elles seulement intéressées par le porte-monnaie de leurs conquêtes ? Sous couvert d'anonymat, un joueur de Ligue 1 balance dans une chronique pour le site de France Football. « Les filles commencent à être de vraies connaisseuses en matière de ballon. Elles voient le footballeur comme un investissement. Du coup, elles sont présentes à la sortie du centre de formation, regardent les matchs de jeunes afin de repérer les mecs qui ont un avenir pour mettre le grappin dessus. Comme des agents en fait ! Les filles ont désormais l'œil pour repérer les futurs grands joueurs », explique-t-il.

L'homme qui raconte se déclare marié, mais il envoie du lourd sur ses coéquipiers : « Dans mon club, les jeunes se partagent carrément les femmes. Il y en a un qui demande à l'autre : "Tu as son Snapchat ? Alors elle est comment ?" L'autre lui répond : "Elle est hyper chaude…" et d'autres détails… Donc le premier devient fou, il dit : "Tu lui parles de moi s'il te plaît ? Je vais faire une soirée à la maison, tu peux la ramener ? Tu peux lui dire de ramener des copines ?" Les mecs aujourd'hui, ils sont malins. Ils habitent seuls et la plupart de leurs fêtes, ils les font à la maison. Au moins, ils sont tranquilles… Pas de photos, ils sont peinards et ça ne remonte jamais aux oreilles du coach. Ils invitent les filles qu'ils souhaitent et ils font ce qu'ils veulent. »

À l'aise.

 

Lien vers le commentaire

L'Allemagne accusée d'avoir acheté le Mondial 2006

 

L'hebdomadaire d'investigation allemand Der Spiegel avance dans son édition de vendredi que l'Allemagne aurait acheté l'organisation du Mondial 2006. D'après le journal, le comité de candidature allemand aurait utilisé un fonds secret de 6,7 millions d'euros pour acheter des voix au sein de la FIFA et ainsi pouvoir organiser la compétition. L'hebdomadaire allemand affirme que ce fonds illégal aurait été alimenté par... Robert Louis-Dreyfus, alors patron d'Adidas et propriétaire de l'OM. L'homme d'affaires aurait versé cette somme à la fédération allemande (DFB) peu avant l'été 2000, date à laquelle le nom du pays organisateur de la Coupe du monde 2006 a été révélé, pour acheter les voix des 4 membres asiatiques du comité exécutif de la FIFA, qui avait finalement attribué l'organisation de la compétition à l'Allemagne à 12 voix contre 11, face à l'Afrique du Sud.

 

 

http://www.sofoot.com/l-allemagne-accusee-d-avoir-achete-le-mondial-2006-210199.html

 

 

 

 

 

 

 

Ce nawak. Combien de fois je tape PSG sur google alors que je peux pas les blairer :D

 

 

psychologue.png

 

 

 

J'ai découvert il n'y a pas longtemps que la Belgique était un vrai pays alors que j'ai toujours cru que c'était juste une blague. Il ne faut pas m'en vouloir.

 

Cette découverte tardive de la Belgique est très franchouille.

 

 

Lien vers le commentaire

Il y a un probléme défensif à Lyon sur les corners.

Les statistiques donnent 51% des buts encaissés par Lyon sur des corners alors que pour l'ensemble de la L1 le chiffre n'est que de 30%.

Pour le dernier match Monaco-Lyon , les lyonnais ne concèdent que 3 corners mais sur les trois il y a un but encaissé !

On ne peut pas mettre cette mauvaise statistique seulement au compte d'un adversaire qui tirerait superbement bien les corners.Il y a un problème défensif latent.

Et curieusement pour les corners offensifs, Lyon en obtient beaucoup mais marque très peu !

Il faut absolument que Fournier tire des conclusions sur ces chiffres.De même que sur la carence de Beauvue qui perdure.

Lien vers le commentaire

 

FC Barcelone: Neymar souffre d'une «très grande insécurité fiscale» selon son père

«Nous avons encore trois années de contrat. Nous, à savoir ma famille, souffrons d'une très grande insécurité fiscale qui affecte la planification de la carrière (du joueur). Nous avons besoin que ces affaires se terminent», explique le père de l'attaquant brésilien de 23 ans. «Comment pouvons-nous prolonger si nous n'avons pas une stabilité fiscale?, s'interroge-t-il. L'Espagne doit me dire si mes entreprises peuvent travailler avec Neymar Jr, on doit me définir le positionnement. Nous voyons en ce moment plusieurs joueurs sanctionnés fiscalement. Pourquoi anticiperais-je une prolongation si je n'ai pas de sécurité juridique à laquelle nous adosser pour travailler? Je veux attendre, rester calme pour prendre la meilleure décision pour Neymar.»

 

http://www.20minutes.fr/sport/football/1712375-20151019-fc-barcelone-neymar-souffre-tres-grande-insecurite-fiscale-selon-pere

 

Neymar, viens en France, ce sera plus stable (élevé mais stable).

 

Lien vers le commentaire

 

Le PSG condamné à verser 5,5 M d'euros à l'Urssaf

Le PSG a été condamné mardi par la cour d'appel de Paris à verser, avec d'autres mis en cause, près de 5,5 millions d'euros de dommages et intérêts à l'Urssaf dans l'affaire des compléments de salaire non déclarés versés à des joueurs du club parisien au début des années 2000. L'équipementier sportif Nike s'est quant à lui vu infliger, au pénal, une amende de 150.000 euros, et a également été condamné à s'acquitter solidairement des dommages et intérêts infligés au PSG, jusqu'à un plafond de 3,778 millions d'euros. Cette affaire a conduit à la barre les anciens présidents Francis Graille et Laurent Perpère, condamnés respectivement à des peines de 8 et 12 mois de prison avec sursis, ainsi que d’anciens agents de joueurs et l’équipementier Nike.

http://www.lequipe.fr/Football/Actualites/Le-psg-condamne-a-verser-5-5-m-d-euros-a-l-urssaf/600478

 

Lien vers le commentaire

Tiens, ils voulaient pas parler de Marseille, plutôt ?

 

Pas crédible comme scénario car on imagine mal Canal Plus (propriétaire à l'époque) et Nike se lancer dans le grand banditisme comme les dirigeants de l'OM.

Lien vers le commentaire

Wenger joue bien le coup en abandonnant complètement le ballon et en jouant très vite vers l'avant en contre attaque.

Guardiola se déchire avec un bloc trop bas et un jeu trop latéral. En Bundesligua, le Bayern joue plus haut et plus vertical et finit par étouffer ses adversaires.

Lien vers le commentaire

Très bon article.

 

 

Quand Thiago Motta ne suffit plus Depuis son arrivée au PSG, Laurent Blanc a imposé un style de management distant, autoritaire et déroutant. D'un côté, l'entraîneur paraît très sûr de lui et suit des certitudes rapidement établies chaque saison. D'un autre côté, cette hâte apparente semble souvent nourrie par une envie de chasser les doutes plutôt que de récolter la solution. Si la méthode a indéniablement porté ses fruits lors de la première partie de la première saison, le PSG n'a jamais montré de signe de croissance tactique face aux grandes équipes depuis. Et si le jeu du PSG n'évoluait plus ?

Lancé au Barça par une coupe de cheveux équestre, des crampons attirés par les cartons et des muscles de fêtard, Thiago Motta a commencé sa carrière tel un curieux phénomène. La taille et le pied gauche de Cocu, un toucher brésilien, mais aussi les cartons rouges et l'inconstance de celui qui n'est pas à sa place à Barcelone. Mais à 26 ans, Motta débarque discrètement au port de Gênes et une seule saison lui suffit pour donner une claque au football italien. En 2009, il se trouve que Mourinho veut donner plus de réflexion au jeu de son Inter limitée par l'âge de Vieira et la verticalité de Stanković. Motta est enfin chez lui : titulaire chez un grand d'Europe dans un football qui apprécie ses fautes tactiques et son « expérience ». Discrètement, il dessine aux côtés de Cambiasso les traits de l'une des équipes les plus intelligentes de tous les temps. Un an et demi plus tard, alors qu'il est devenu le talisman de l'équipe milanaise, Leonardo le fait habilement venir à Paris : pour moins de dix millions d'euros, Motta devient officieusement le joueur le plus important du jeu du PSG.

Le 4-3-3 et les perspectives de progression
Alors que le projet parisien est encore en train de traverser une phase bancale à son arrivée en janvier 2012, l'Italo-Brésilien met de l'ordre dans l'utilisation du ballon, la gestion de la phase défensive et la couverture des espaces. Quand Motta joue, Paris ne déjoue plus. Pour ses adversaires, sa gestion du rythme est une torture silencieuse. Celle dont on parle peu, mais qu'on ressent plus : une torture physique aux séquelles psychologiques. Motta fait peu de bruit. Mais lorsqu'il est demandé à Thiago Silva d'expliquer les différences entre la philosophie d'Ancelotti et celle de Blanc, le Brésilien répond sans hésiter, comme si la réponse était connue de tout le vestiaire parisien : « Si vous regardez bien le calendrier et les matchs, il n'y avait pas Thiago Motta (avec Ancelotti, ndlr). C'est ça, la grande différence avec la saison dernière. » En 2012-13 sous Ancelotti, les blessures empêchent Motta de jouer plus de 12 matchs de Ligue 1. La saison suivante, sous Blanc, il en joue 32. Une philosophie faite de 4-3-3 et de possession résumée par la présence d'un seul joueur ? En tout cas, Blanc a l'intelligence d'en profiter au maximum : son PSG se base sur le trio Motta-Verratti-Matuidi, la création de Zlatan, deux ailiers capables de prendre la profondeur et une grande efficacité sur coups de pied arrêtés.

Lors de cette première saison, les conditions du développement tactique du PSG semblent clairement posées : Paris veut devenir une équipe de ballon et compte sur la paire Motta-Verratti pour la porter vers les sommets du toque. Autour de ce milieu bien réfléchi, les perspectives de progression sont alors nombreuses : il y a la progression de Lucas dans sa compréhension du jeu européen, il y a la progression de Cavani dans ses mouvements en fonction d'Ibra, il y a l'intégration des beaux pieds de Pastore à ce jeu de possession, la possible progression de Matuidi dans le jeu court et enfin l'arrivée attendue d'un latéral droit capable d'offrir une menace supplémentaire à cette animation offensive bien équilibrée. Mais face à Chelsea en 2014, la capitale s'aperçoit des limites de cette progression : Cavani se montre inefficace, Lucas perd le ballon, Pastore reste sur le banc, et le milieu recule sans certitude. Face au Barça en 2015, le PSG croule sous les blessures. Finalement, en Europe, le PSG semble toujours plus attentiste, prudent, dépendant du moment, de l'adversaire, de la forme de Suárez, des changements de Mourinho, de la blessure de Messi, de ses propres blessures. Et aujourd'hui ?
Du besoin de Pastore et de la dépendance de Motta
Aujourd'hui, un an et demi après l'épisode de Stamford Bridge, le PSG semble avoir évolué à coups de compromis. La progression de Lucas stagne ? Matuidi se mute en héros de la profondeur. Cavani n'arrive pas à dialoguer avec ses milieux ? Pastore devient le lien entre possession et création. Matuidi participe moins à la construction ? Verratti prend une nouvelle dimension et fait le boulot de deux milieux, tout seul. Ainsi, au vu de l'évolution positive de l'influence de Pastore au cœur du jeu et de la dimension prise par Verratti l'an dernier, on aurait pu imaginer un changement de cap de Laurent Blanc. Un changement progressif, mais un changement quand même. On aurait pu imaginer une variation dans le système de jeu, un Motta et un Ibrahimović reposés par la verticalité de Pastore et la possession de Verratti, un pressing plus intense, une alternative à l'animation du Suédois au cœur du jeu, un nouveau rôle pour Lucas. L'arrivée de Di María ouvrait même de nouvelles perspectives : un schéma plus élastique et agressif. Plus joueur, aussi.

Mais l'arrivée de l'ailier polyvalent a carrément poussé le meilleur Parisien du dernier exercice – Javier Pastore – sur le banc. Et les matchs importants ont montré que le onze n'allait pas être remis en question pour le moment : le trio du milieu joue parce qu'on ne change pas une équipe qui gagne (même lorsqu'elle perd), et le trident offensif joue parce que c'est le plus évident. Or, cette nouvelle configuration efface la maturité engrangée la saison dernière, et l'absence de Pastore fait mal : alors que l'Argentin soulageait grandement la dépendance d'Ibra et Motta, le jeu parisien dépend à nouveau de deux joueurs de 34 et 33 ans. Et près de quatre ans après son arrivée, Thiago Motta redevient l'élément le plus important du jeu parisien. Lorsque le talisman est dans un bon jour, le PSG se trouve toujours plus vertical, rapide, dangereux et serein défensivement. Mais lorsqu'il lui arrive de jouer avec le frein à main, le PSG ralentit, doute, se précipite, bégaye. En quelques semaines, Motta a aisément démontré qu'il allait répondre présent quand le PSG allait avoir besoin de lui cette saison, comme il l'a toujours fait. Mais le PSG a besoin de plus de variations pour triompher en Europe. Celles des mouvements de Pastore, notamment. Mais aussi celles d'un schéma qui n'évolue plus, alors qu'il semble avoir les armes pour continuer à grandir.

 

Lien vers le commentaire

Ce qui est bien avec Lyon c'est que l'on a même pas le temps d'y croire.

Zenit St Petersbourg 3- 1 Lyon.

Inutile de chercher des excuses, cette saison Lyon n'est vraiment pas au niveau en LDC alors qu'il y a un nombre de joueurs surpayés assez conséquent dans l'effectif.

Vendredi Lyon reçoit Toulouse en L1, et une possible nouvelle contre-performance (car Lyon n'arrive plus à gagner) pourrait provoquer une réaction violente des dirigeants, et mettre fin à un attentisme fondé sur des explications "langue de bois" des joueurs et du coach qui dure depuis 3 mois ;

Faire croire que le travail va finir par payer et que le club est, malgré tout, sur la bonne voie. Non.

Les supporters en ont marre !

Lien vers le commentaire

Zenit St Petersbourg 3- 1 Lyon.

Inutile de chercher des excuses, cette saison Lyon n'est vraiment pas au niveau en LDC alors qu'il y a un nombre de joueurs surpayés assez conséquent dans l'effectif.

Vendredi Lyon reçoit Toulouse en L1, et une possible nouvelle contre-performance (car Lyon n'arrive plus à gagner) pourrait provoquer une réaction violente des dirigeants, et mettre fin à un attentisme fondé sur des explications "langue de bois" des joueurs et du coach qui dure depuis 3 mois ;

Faire croire que le travail va finir par payer et que le club est, malgré tout, sur la bonne voie. Non.

Les supporters en ont marre !

 

Oui. Un peu comme l'EdF de rugby, un tas d'individualités à très haut potentiel, mais ça prend pas. Ajouter à ça des préparateurs en carton, çà fout les boules. 

Lien vers le commentaire

Très bon article.

On va être fixés. Benitez n'est pas né de la dernière pluie et je soupçonne le Real d'être bien équipé en cerveaux capables de décortiquer le jeu de son adversaire à l'avance. Et là, effectivement, il n'y jamais de bluff, avec le PSG on sait déjà la compo et la configuration.

 

À domicile et avec le Real amoindri, sans Benzema ni Bale, ils doivent gagner. Je ne le sens pas trop bien mais bon, la plupart du temps sur les gros RV, on voit un autre PSG. 

Lien vers le commentaire

On va être fixés. Benitez n'est pas né de la dernière pluie et je soupçonne le Real d'être bien équipé en cerveaux capables de décortiquer le jeu de son adversaire à l'avance. Et là, effectivement, il n'y jamais de bluff, avec le PSG on sait déjà la compo et la configuration.

 

À domicile et avec le Real amoindri, sans Benzema ni Bale, ils doivent gagner. Je ne le sens pas trop bien mais bon, la plupart du temps sur les gros RV, on voit un autre PSG. 

 

A domicile, j'aimerai tenté un football total avec Pastore à la place de Matuidi et un schéma 4-2-4 en phase offensive qui se transforme en 4-5-1 en phase défensive vu que Zlatan ne défend jamais. Je suis persuadé que Di Maria et Pastore ont le coffre pour tenir à haute intensité en C1 aussi bien offensivement que défensivement. Mais Laurent Blanc tient à son 4-3-3 prévisible et connu de tous et je sent que le Real va jouer le contre avec la vitesse de CR7 et de Jese.

 

Le Real est vraiment décimé (Pepe, James Rodriguez, Benzema, Bale, Carvajal), Sergio Ramos et Modric reviennent de blessure. Si on les tape pas ce soir c'est qu'on est pas outsider pour la victoire finale tout simplement.

 

C'est marrant je ne me rappelle pas la dernière grosse défaite du Real madrid face à un grand. Ils sont toujours au rendez-vous.

 

4-0 à Vicente Calderon dans le derby de Madrid le 7 février 2015.

Lien vers le commentaire

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
×
×
  • Créer...