Aller au contenu

Bar du football


Messages recommandés

C'est vrai qu'à Saint-Etienne ils n'aiment pas du tout l'argent

https://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_de_la_caisse_noire_de_l%27ASSE

 

Mais évidemment. C'est du folklore, de la mauvaise foi, faut pas prendre ça au premier degré...

 

Maintenant comme je le disais, autant cette comparaison économique entre l'ASSE et l'OL n'a pas beaucoup de sens historiquement (car les deux clubs se sont construits sur un modèle à peu près similaire), autant je comprends totalement qu'on oppose ce modèle là à celui du PSG ou de Manchester City (argent tombé du ciel, qui ne découle pas d'un travail ou d'un projet).

 

Pour Astha, je me renseignerai, mais il me semble avoir lu un travail intéressant sur le sujet il y a longtemps. J'essayerai de retrouver ça.

Lien vers le commentaire

Je n'aimerai vraiment pas être un supporter d'un autre club français que le PSG en ce moment, vraiment pas.

 

Même le plus pourri des clubs de PL peut acheter un joueur de L1 15 M pour peu qu'il aligne quelques bons matchs.

 

J'ai hâte de voir Angers en C1!

 

C'est vrai, c'est chiant. Mais cela dit, je n'aimerais pas particulièrement être un supporter du PSG non plus en ce moment, l'absence totale de concurrence n'étant pas un truc hyper enthousiasmant dans mon esprit.

Lien vers le commentaire

C'est vrai, c'est chiant. Mais cela dit, je n'aimerais pas particulièrement être un supporter du PSG non plus en ce moment, l'absence totale de concurrence n'étant pas un truc hyper enthousiasmant dans mon esprit.

 

Je déplore l'absence de concurrence en L1, mais il reste la C1 où Paris a un rôle à jouer.

 

Le PSG n'est pas si loin du Bayern et du Barca.

Et lors de la double confrontation contre le Real, il y avait jeu égal, et Paris dominait le match lors de la défaite 1-0 à Madrid.

Lien vers le commentaire

Mais évidemment. C'est du folklore, de la mauvaise foi, faut pas prendre ça au premier degré...

 

Maintenant comme je le disais, autant cette comparaison économique entre l'ASSE et l'OL n'a pas beaucoup de sens historiquement (car les deux clubs se sont construits sur un modèle à peu près similaire), autant je comprends totalement qu'on oppose ce modèle là à celui du PSG ou de Manchester City (argent tombé du ciel, qui ne découle pas d'un travail ou d'un projet).

 

Pour Astha, je me renseignerai, mais il me semble avoir lu un travail intéressant sur le sujet il y a longtemps. J'essayerai de retrouver ça.

 

A la base ce n'est pas une rivalité footballistique, c'est juste l'histoire de deux villes qui ne s'apprécient pas.

 

 

Lyon - Saint-Etienne : les raisons d’une rivalité historique.

Lyon jouera dimanche son 110e derby face à Saint-Étienne à Gerland. Comme lors de chaque rencontre entre les deux clubs, l’atmosphère devrait être électrique. Mais cette rivalité entre les deux villes voisines n’est pas que sportive. Depuis plus de 200 ans, Lyon et Saint-Étienne s’affrontent en dehors du foot. Voici les vraies raisons d’une rivalité historique.

Les gones inventaient le cinéma quand vos pères crevaient dans les mines.” Cette banderole déployée par les supporters lyonnais en 2000 dans les travées du stade de Geoffroy-Guichard résume à elle seule la rivalité existant entre l’OL et l’ASSE. Mais cet antagonisme visible dans les tribunes lors de chaque match opposant les deux clubs s’explique par des raisons qui n’ont, à l’origine, pas grand- chose à voir avec le football.

Premières tensions. Début 1800, alors que Lyon est la plaque tournante de la soierie mondiale, les relations entre les deux villes commencent à se tendre. “L’activité de la soierie lyonnaise s’est développée jusqu’à Saint-Étienne. Sauf que quand on travaillait les grands tissus à Lyon, à Saint-Étienne on faisait des rubans”, explique Georges Gay, professeur de géographie à l’université Jean-Monnet de Saint- Étienne. Des premières tensions liées aux différences socio-économiques entre les deux villes qui obligent les soyeux stéphanois à “affirmer le plus possible leur autonomie pour ne pas se faire manger par Lyon”, dixit Georges Gay. Mais la volonté de Lyon d’asseoir sa supériorité sur le voisin stéphanois ne s’arrête pas là. Quelques décennies plus tard, au milieu du XIXe siècle, les chefs d’entreprise lyonnais décident d’investir massivement dans le bassin minier et métallurgique stéphanois. “Il y a eu une forme de dépossession des entrepreneurs locaux qui a été très mal vécue sur place”, confirme l’universitaire. Des affrontements sur fond de domination de la grande ville sur la petite, qui se propageront aux terrains de football environ un siècle plus tard. “On n’a la trace de matchs tendus entre Lyon et Saint-Étienne qu’à partir de l’entre-deux-guerres. Les premiers incidents remontent au début des années 1920”, explique Pascal Charroin, historien du sport à l’université de Saint-Étienne et chercheur à l’université Lyon 1. À l’époque, il s’agit de clubs amateurs. D’un côté l’ASS (sans le “E”) et de l’autre l’AS Villeurbanne ou le LOU, qui fusionneront au cours de la saison 1935-1936 pour devenir le Lyon Olympique Villeurbanne. C’est justement au cours de cette saison que la rivalité entre les deux villes va vraiment prendre forme dans le football. Précisément le 29 mars 1936, où après une déculottée (3-0) prise par les Lyonnais au match aller sur le terrain de l’ASSE – devenue entre-temps professionnelle –, le match retour à Lyon au stade des Iris se termine par des incidents d’une rare violence. “Après avoir reçu des menaces, l’arbitre de la rencontre a été évacué par la police. Des bagarres ont éclaté entre joueurs et il y a même eu un dirigeant lyonnais qui a dérobé la recette du match pour ne pas qu’une partie soit reversée aux Stéphanois”, rapporte Pascal Charroin. À cette époque, les tensions entre les deux clubs n’en sont alors qu’à leurs balbutiements. Une décision politique prise durant la Seconde Guerre mondiale va renforcer encore un peu plus cette opposition. En 1943, sous le régime de Vichy, le ministre des Sports Joseph Pascot décide qu’il n’y aura plus qu’un seul club de football professionnel par académie en France. Résultat : Lyon, qui n’avait plus de club de football professionnel depuis 1936, est choisi au détriment de Saint-Étienne, reversé dans les bas-fonds du football amateur. Le club du Lyon-Lyonnais est alors créé de toutes pièces et plusieurs joueurs professionnels stéphanois sont obligés d’intégrer l’équipe. Là encore, Saint-Étienne fait de la résistance et certains de ses joueurs refusent de jouer à Lyon. Pour rester dans le Forez, tout en jouant en amateur, ils font appel à Pierre Guichard, le patron du groupe Casino, qui leur produit de faux contrats de travail pour faire croire que les footballeurs travaillent dans son entreprise et ne sont pas des joueurs professionnels. “Les historiens ne peuvent pas assurer que cette décision politique a renforcé la rivalité entre Lyon et Saint-Étienne, mais ça s’est su par les grands-parents et ça se sait peut-être toujours dans certaines familles”, confie Pascal Charroin.

Revanche verte. Les relations tendues entre les deux villes, et donc les deux clubs, vont ensuite prendre un autre tournant dans les années 1970. Saint-Étienne va prendre de plein fouet la crise industrielle, mais trouve dans le football et son équipe de légende un moyen de contrer Lyon, qui de son côté tient le coup économiquement mais n’a pas d’équipe de foot performante (malgré la création de l’OL en 1950). “Les Stéphanois vont s’en donner à cœur joie en utilisant les bons résultats de leur équipe pour railler les Lyonnais”. C’est l’époque où Roger Rocher, alors président des Verts, affirme qu’ “en football Lyon a toujours été la banlieue de Saint-Étienne”. Des petites piques plus provocatrices que méchantes, avant que les groupes de supporteurs ultras ne voient le jour dans les années 1980 et fassent de cette rivalité leur fonds de commerce. Jets de fumigènes, banderoles insultantes, vols de bâches : les supporters des Bad Gones du côté lyonnais et des Magic Fans du côté stéphanois n’ont qu’un seul objectif lors de chaque derby : humilier le camp adverse. Dimanche à Gerland, ils ne devraient pas déroger à la règle. Pourquoi s’en priver ? Cela fait plus de deux cents ans que ça dure..

http://www.tribunedelyon.fr/?actualite/societe/44206-lyon-saint-etienne-les-raisons-d-une-rivalite-historique

 

L'épisode Lyon Lyonnais

 

 

Quand Vichy a failli tuer le derby dans l'œuf…

Le derby entre Saint-Étienne et Lyon propose un énième acte de son mélodrame ce soir. Les supporters se détestent avec conviction et les dirigeants miment avec une gourmandise commerçante la comédie pour essayer de maintenir en vie une rivalité si rentable. Pourtant les deux clubs ont failli fusionner. La faute à un régime de Vichy qui n'aimait ni le foot ni le professionnalisme, et encore moins le peuple du ballon rond... Récit de l'incroyable saison 1943-1944 du «  Lyon-Lyonnais  » .

4 juillet 1943. Dans son rapport mensuel envoyé à Vichy, le préfet de la Loire s'inquiète que la suppression de l'équipe de foot professionnelle de Saint-Étienne, à la suite de la réorganisation du championnat de première division autour d'équipes régionales, déclenche «  une très forte effervescence  » . L'ampleur du mécontentement le pousse à demander une «  reconsidération de décision  » . Onze jours plus tard, le haut fonctionnaire essaye toujours de convaincre sa hiérarchie au nom du maintien de l'ordre public : «  La présence à Saint-Étienne d'une bonne équipe de football a une influence d'ordre moral sur la jeunesse et en particulier la jeunesse ouvrière des houillères.  » Il n'est pas nécessaire de rappeler à quel point il fut rare, voire exceptionnel, que ces fidèles serviteurs de l'État s'opposent aux décisions émanant, y compris indirectement, du maréchal Pétain.

Ce cri d'alarme survient pourtant à un moment particulier. Le foot français aborda la difficile période de l'occupation alors qu'il traversait déjà une période cruciale de son évolution. Le professionnalisme venait tout juste d'être instauré, notamment sous l'impulsion des clubs liés, comme Sochaux ou Saint-Étienne, aux grands groupes industriels du moment. Or le nouveau régime regarde d'un très mauvais œil ce sport à la fois «  métèque  » , ouvrier, urbain et désormais professionnel. Pour ceux qui s'intéressent à la question dans les couloirs de la ville d'eau transformée en capitale de la France «  allemande  » , il se révèle trop loin des belles valeurs «  de chevalerie  » athlétique que certains rêvent d'insuffler à la jeunesse du pays. «  Il est encore dans la doctrine de la révolution nationale de donner à la jeunesse le goût de l'effort ; non de l'effort pour le gain, mais de l'effort pour l'effort  » , précisera à ce propos Jep Pascot, commissaire général à l'EGS, autrement dit le «  ministre des Sports  » de la collaboration.

Vichy et l'anti-professionalisme«  Lorsque Jean Borotra, en avril 1942, a été viré de ce poste, son successeur, Jep Pascot, ancien rugbyman, notamment à l'USAP, a en effet repris les affaires en main, et radicalisé avec beaucoup plus d'autoritarisme la politique sportive du régime  » , précise Pascal Charroin - historien au département STAPS de Saint-Étienne et chercheur au CRIS à Lyon. «  Ce dernier a voulu réaffirmer le préalable anti-professionnel du gouvernement, et de manière plus virulente que Borotra. Le foot se vit toutefois accorder certes une petite exception, au regard notamment de son apport au rayonnement de la France. Il eut le droit de maintenir une équipe pro dans chaque chef-lieu d'Académie. Au départ, il a laissé faire la FFFA, pour qu'elle établisse ce championnat "nouvelle formule". Sauf que la fédé a traîné des pieds, laissant ainsi la situation pourrir. Résultat, Jep Pascot a tapé du poing sur la table et a ordonné aux préfets d'appliquer la consigne avec intransigeance.  » Les frictions entre le monde du football et le commissariat ne cesseront de se multiplier ensuite, à l'instar du conflit avec la Ligue de Paris.

Pour en revenir au championnat, il est ainsi procédé à des fusions contre-nature, heurtant la petite histoire du foot français, avec de pseudo-formations régionales qui ne s'appuient sur aucune autre réalité que des découpages administratifs ou vaguement «  folkloriques  » . Tout comme le régime tente d'imposer son mythe ruraliste à une France de plus en citadine et industrielle, il décide d'ignorer les spécificités propres à chaque «  terroirs  » footballistiques. 16 équipes s'inscrivent de la sorte pour la saison 1943-1944, et les joueurs deviennent des moniteurs rémunérés.

L'amateurisme ou trahir ?«  Pour le cas de Saint-Étienne, continue Pascal Charroin, on imposa donc aux pros de l'ASSE d'aller jouer pour une équipe montée de toute pièce "le Lyon-Lyonnais". Le professionnalisme à Lyon n'existait pas alors, contrairement à Saint-Étienne qui avait adopté ce statut dès le départ en 1933. Le FC Lyon restait une équipe constituée d'amateurs, comme d'ailleurs celle de Bourg-en-Bresse qui devait également fusionner. On a bricolé une formation en additionnant soi-disant les "meilleurs" de chaque club. Elle ne signifiait rien sur le plan sportif. Ils ont été rencontrer Paris-Île-de-France. Ils étaient tout juste neuf et ils ont dû emprunter deux remplaçants, des anciens du Red Star. Y compris l'entraîneur de 51 ans a dû chausser les crampons.  »

C'est peu dire que cette décision provoqua une réaction d'incompréhension dans l'ensemble du monde du foot et évidemment, au premier chef, dans les villes qui hébergeaient des clubs «  puissants et fondateurs  » , condamnés à mourir. Surtout que globalement, l'opinion commence, comme en témoignent les rapports des préfets, à se défier du régime depuis le retour de Pierre Laval en avril 42 (et au fur et à mesure que la victoire des alliés se dessine), avec le tournant ouvertement assumé du collaborationnisme (Jep Pascot est un proche de René de Chambrun, gendre du chef du gouvernement). «  La réponse locale a d'abord été politique. Les notables du cru, comité des Houillères y compris, ont envoyé Antoine Pinay, le futur papa du nouveau franc, expliquer en haut lieu qu'il s'agissait d'une très mauvaise idée. Le préfet de la Loire a été sollicité par le conseil municipal et départemental pour faire remonter l'incompréhension à ses supérieurs et à Pierre Laval, ce qu'il fit facilement, en étant lui-même convaincu. Le sentiment d'injustice était d'autant plus grand que le Nord et le Pas-de-Calais se virent accorder une dérogation pour Lens et Lille. Cela dit, Sochaux avait été rayé de la carte, et ce qui demeurait de l'effectif avait dû aller jouer a Besançon, une cité sans aucune tradition foot.  »

Jep Pascot et Vichy ne cèdent pas d'un pouce. L'heure n'est plus aux compromissions. «  Comment l'affaire s'est solutionnée ? Trois Stéphanois sont effectivement partis à Lyon, tous les autres se sont fait délivrés des certifs bidons de la société Casino de Guichard, une façon de prouver qu'ils n'étaient pas pros. D'autres ont dégainé des prétextes plus ou moins vrais, comme la maladie d'une mère ou de tenir un bistrot à Sainté, pour ne pas rejoindre la nouvelle équipe.  »

Une revanche sur le terrainC'est dans cette nouvelle configuration que le «  nouveau  » championnat reprend, dans lequel la création «  Lyon-Lyonnais  » peine évidemment à briller, finissant 13e sur 16. «  L'ASSE, de son coté, continue Pascal Charroin, a été reversée chez les amateurs. Elle s'est retrouvée face à des associations du coin telle que la Roche-la-Molière, pour résumer d'un niveau de DHR ou au mieux de CFA2. Elle survole évidemment la compétition. Il y eut cependant une forme de confrontation directe. Une rencontre entre amateurs du Lyonnais, comptant donc désormais de nombreux, voire quasiment que des ex-pros de l'ASSE, et l'équipe fédérale «  pro  » récemment créée ex-nihilo, se déroula le 5 décembre 1943 à Geoffroy-Guichard. Le public acclama les ex-Verts et hua ceux passés à «  l'ennemi  » . La défaite 3 à 1 de ces derniers suscita la liesse populaire dans un stade plein malgré les moins 5 de ce dur hiver.  »

À la libération, tout reprend son cours normal, ou presque. Cette aventure ne sera sûrement pas pour rien dans les raisons qui conduisirent à la création de l'Olympique lyonnais en 1950...

Lien vers le commentaire

On entend souvent que le PSG ne serait pas loin du Bayern et du Barça. Je trouve cette assertion assez vraie et très fausse à la fois. D'une part, c'est sûr que le PSG actuel et passé a fait de grands matches contre de grandes équipes et que jouer au Parc n'est jamais aisé pour les visiteurs.

Mais, d'autre part, les effectifs des équipes top sont quand même qualitativement supérieurs à celui du PSG à presque tous les postes (quels joueurs du PSG seraient titulaires au Real, au Bayen et au Barça ? Deux ou trois, pas plus) et si ça ne se voit pas tant que ça, c'est parce que le football, par nature, ne retranscrit pas toujours sur le tableau d'affichage l'écart qui existe entre deux équipes.

Pour finir, ce qui fait la grandeur de ces clubs, ce n'est pas tant l'effectif actuel que la promesse qu'ils seront compétitifs quoi qu'il arrive dans les saisons à venir. Tandis que le PSG va devoir se trouver de nouveaux tauliers bientôt et ça ne se trouve pas si aisément même avec de l'argent (parmi l'effectif actuel, qui pourra remplacer le leadership d'un Thiago Silva et, surtout, d'un Zlatan ?).

Donc l'écart me semble encore assez grand, au final.

  • Yea 1
Lien vers le commentaire

On verra ça lors de l'affrontement entre ces équipes.

 

Vous sous estimez la qualité de l'effectif du PSG.

 

Le milieu est excellent et les titulaires font partie des meilleurs à leur poste.

 

Cavani est un des meilleurs buteurs européens sur les dernières années, Di Maria a fait partie des meilleurs joueurs du Real lors de la victoire en C1 en 2014 et Ibra, même si il ne sait un peu vieux n'est plus à présenter.

 

Au niveau de la défense, Luiz et Silva font partie des meilleurs DC au monde, Maxwell a été souvent titulaire à l'Inter et au Barca avant et Aurier est vraiment bon cette saison.

 

Et parmi les remplaçants, il y a des joueurs de très bon niveau.

 

C'est un peu en dessous du top 3 européen, mais ça n'en est pas très loin à mon sens.

Lien vers le commentaire

:icon_ptdr:

 

La Chine serait revenue à la charge pour Lavezzi
Selon le journaliste italien Gianluca Di Marzio, le club chinois du Shanghai Shenhua serait revenu à la charge pour Lavezzi, augmentant fortement son offre de contrat pour l'Argentin.

Le mercato vient de se finir en France mais les clubs chinois ont jusqu'à la fin février pour se renforcer et il semblerait que l'un d'entre eux soit revenu à la charge auprès d'Ezequiel Lavezzi. Ce dernier a repoussé dernièrement un contrat qui lui offrait pourtant un salaire très conséquent mais le Shanghai Shenhua aurait augmenté sa proposition et le joueur ne serait plus aussi fermé à l'idée departir en Chine selon les informations du journaliste italien spécialisé dans les transferts Gianluca Di Marzio.

Au cours des dernières heures, le salaire proposé serait passé à plus de 10M€ annuels, et même 15M€ en comptant les éventuels bonus, une proposition dure à refuser pour l'Argentin de 30 ans en fin de contrat avec le PSG en juin 2016. Les contacts continuent entre le club chinois et le PSG tandis que l'Argentin réfléchirait à son futur. Selon Di Marzio, les prochaines heures seront décisives pour l'avenir du Pocho et il pourrait bien relier la Chine dès maintenant plutôt que l'Inter au mois de juin comme cela semblait déjà écrit.

En revanche, le journaliste italien ne donne aucun détail sur l'offre qu'aurait reçu le PSG pour transférer son joueur quelques mois avant la fin de son contrat.

http://www.culturepsg.com/news/mercato/la-chine-serait-revenue-a-la-charge-pour-lavezzi/7688

Lien vers le commentaire

Payés en Yuan. Juste avant la dévaluation. malin les mecs.

 

Je ne connais pas la monnaie utilisée par Lavezzi mais j'ai souvenir qu'un Argentin comme Bielsa se faisait payer en dollars à Marseille. Un argentin a intérêt à demander des dollars car c'est une monnaie très utilisée en Argentine.

Lien vers le commentaire

J'ai regardé PSG-Lorient mais je viens de voir que Valence a pris 7-0 à Barcelone.

 

Je suis choqué même si Valence fait une mauvaise saison.

Valence est dans une mauvaise passe, mais je dois dire que hier soir le Barça a fait un match parfait. 

Lien vers le commentaire

Bah un péno raté quand même. C'est presque parfait.

Oui en plus la petite histoire c'est qu'ils se permettent même de rater un penalty qui va sur le poteau.

A mon avis l'entraineur de Valence Gary Neville va pas durer longtemps, son parcours est chaotique.

Lien vers le commentaire

Oui en plus la petite histoire c'est qu'ils se permettent même de rater un penalty qui va sur le poteau.

A mon avis l'entraineur de Valence Gary Neville va pas durer longtemps, son parcours est chaotique.

 

Gary Neville = PPH (passera pas l'hiver).

Lien vers le commentaire

Gary Neville = PPH (passera pas l'hiver).

Hier soir en conférence de presse, les journaleux lui ont posé 5 fois  la question de savoir s'il allait démissionner. Soit il n'avait pas compris la question, soit il répondait à côté, soit les journalistes sont durs de l'oreille ou teubés.

Lien vers le commentaire

Je viens de voir le résumé de Lyon - Bordeaux, des deux côtés l'efficacité offensive est vraiment naze, le score aurait du être 7-1 à minima. Et les 3 buts lyonnais sont tous pour le gardien bordelais qui sort vraiment à contretemps, et mal. 

Lien vers le commentaire

Hier soir en conférence de presse, les journaleux lui ont posé 5 fois  la question de savoir s'il allait démissionner. Soit il n'avait pas compris la question, soit il répondait à côté, soit les journalistes sont durs de l'oreille ou teubés.

 

Il se souvenait sûrement de cette déclaration qu'il avait faite.

 

CaU5SXAWQAE3D4x.jpg

 

Lien vers le commentaire

Je viens de voir le résumé de Lyon - Bordeaux, des deux côtés l'efficacité offensive est vraiment naze,

 

Assez d'accord avec toi, et peu enclin à partager l'optimisme des chroniqueurs de la chaine OLTV.!

 

Lyon 3 - 0 Bordeaux /  Mon analyse

 

1- Ce score est trop sévère pour Bordeaux qui aurait pu revenir à 1-1 au cours de la seconde mi-temps, puis fermer le jeu.

 

2- On n'a pas assisté à la "resurrection" du buteur Lacazette, qui était fantomatique sur les terrains depuis des mois.

Il a certes marqué deux buts mais il faut voir de quelle manière..

Sur le premier but, il bénéficie d'une bonne passe en profondeur de Tolisso et trompe le gardien, mais son tir est complètement foiré et heureusement qu'un arrière bordelais ne trainait pas  vers la ligne de but car il n'aurait eu aucune difficulté (vu le manque de puissance de la frappe) à dégager le ballon avant qu'il ne vienne mourir dans les filets des Girondins.

Sur le second but , il y a une attaque lyonnaise sur l'aile droite mais terminée par un  centre médiocre sur le gardien qui saute et se saisit aisément  du ballon; mais pour une raison incompréhensible, le ballon lui échappe des mains et tombe dans les pieds de Lacazette qui marque .

Bref, pas de quoi s'extasier.

 

3. Valbuena a t-il un quelconque rayonnement au sein de l'équipe lyonnaise ?

 

NON !

 

Au niveau du recrutement , Lyon a  peu souvent fait appel à des joueurs internationaux évoluant en EDF.

Ces joueurs sont chers, en raison de leur CV qui s'appuie beaucoup sur leurs sélections et matches avec l'équipe de France.

 

On ne reviendra pas sur l'échec monumental du recrutement de Yoann Gourcuff.

Plus récemment, l'acquisition de Jallet s'avère, elle, plutôt positive pour le club.

Mais le bilan de Valbuena , après plus de 20 journées de championnat, est très décevant.

 

Je dirai que Valbuena c'est pratiquement Gourcuff  mais juste sans l'indisponibilté pour blessures récurrentes.

 

 

 

 

 

Lien vers le commentaire

 

Médias : Vincent Bolloré annonce le rapprochement entre Canal+ et beIN Sports
Les discussions entre Canal+ et beIN Sports pour un rapprochement (voire un rachat) ont très bien avancé. Vincent Bolloré, président de Vivendi et propriétaire de Canal+, a réuni les dirigeants du foot français vendredi midi pour les rassurer.
Vincent Bolloré, le président de Vivendi (propriétaire de Canal+), est en discussion avancée avec le fonds souverain du Qatar pour distribuer en exclusivité beIN Sports, voire racheter purement et simplement son rival. Même si cette dernière option n’est pas la plus probable. En grande difficulté avec la perte des droits de tous les grands Championnats étrangers, dont la Premier League anglaise, Canal+ doit réagir et a donc choisi de se rapprocher de son principal concurrent. 
L'Autorité de la Concurrence donnerait-elle son accord ?
Selon nos informations, pour tenter de convaincre les dirigeants du football français que cette association n’est pas une menace pour eux, Vincent Bolloré les a reçus, ce vendredi, à déjeuner, au siège de Vivendi, à Paris. Entourés de tout l’état-major de Vivendi et de Canal+, étaient présents Frédéric Thiriez, le président de la Ligue de football professionnel (LFP), et Jean-Michel Aulas, le président de l’OL. Vincent Bolloré leur a annoncé un prochain rapprochement entre Canal+ et beIN Sports, les deux principales chaînes payantes de sport en France, sans entrer dans tous les détails.

Une fois effectif, il faudra de toute façon pour que ce «deal» soit autorisé par l’Autorité de la Concurrence, ce qui ne sera pas simple. Quoi qu’il en soit, une telle association entre Canal+ et beIN Sports va évidemment provoquer, à l’avenir, une baisse des droits un peu partout. La LFP et son président ont donc eu raison d’anticiper la vente du Championnat, qui a désormais des contrats jusqu’en 2020, en hausse sensible (748,5 millions d’euros par an à partir de la saison prochaine, contre 626 millions aujourd’hui). Une riche idée qui va permettre d’éviter une catastrophe.

 

http://www.lequipe.fr/Medias/Actualites/Bollore-annonce-le-rapprochement-entre-canal-et-bein-sports/631968

Lien vers le commentaire

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
×
×
  • Créer...