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Bar du football


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Tu parlais des footeux débiles. On entend cela tout le temps dès qu'une affaire se passe dans le football. Quand cela se passe dans d'autres sports, on dit pas qu'un rugbyman, un boxeur ou un nageur sont débiles.

Cela a été dit des handballeurs lors de l'affaire des paris.

 

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Cela a été dit des handballeurs lors de l'affaire des paris.

Que les handballeurs sont tous des débiles? Je n'ai vu ça nulle part répété en boucle. Alors que lorsque Ribéry ouvrait la bouche ou Benzema faisait ses affaires, automatiquement c'est le tous débiles et tous pourris.
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En même temps on se gêne pas pour faire les mêmes raccourcis avec les journalistes ou les français.

Bah pour les journalistes on raconte que beaucoup ne font pas leur boulot, qu'ils sont subventionnés ou qu'ils baignent dans l'idéologie. Non seulement c'est vrai pour la plupart mais en plus on ne raconte pas qu'ils sont débiles.
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Mmmmh l'Equipe se porte bien j'ai cru comprendre.

Pis bon, des footeux c'est des débiles d't'façons.

Sortir les insultes d'Anelka en pleine coupe du monde, c'était du beau sabotage. De toute façon, j'ai cotoyé plein de journalistes sportifs à un moment de ma vie et c'est pas compliqué : ce sont pour la plupart des jaloux qui prennent de haut les sportifs en pensant être des intellectuels.

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Bon je n'y connais rien en journalmisme sportif. Quand je parlais de presse spécialisée je pensais plus à l'Usine Nouvelle ou à Guerres et Histoire.

Sur le cas spécifique de l'Equipe il me semble que cette entreprise va bien, ce qui est très bien par rapport au marché.

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Compte rendu d'une partie de la conversation téléphonique entre Benzema et son pote (je l'ai choppée sur le net et apparemment elle est dispo dans l'équipe du jour).

 

 

 

K. BENZEMA : vas-y, je l'ai vu l'autre, hein.
K. ZENATI : et alors, qu'est ce que t'en penses ?
K. BENZEMA : heu, j'en pense, la vérité ?
K. ZENATI : ouais.
K. BENZEMA : j'en pense qu'il nous prend pas au sérieux.
K. ZENATI : non.
K. BENZEMA : walah.
K. ZENATI : ouais, ça veut dire en vérité, je crois, il va rien lâcher, celui-là non ?
K. BENZEMA : ouais ouais ouais ouais, il nous prend pas au sérieux.
K. ZENATI : qu'est-ce qu’il t'a dit lui ?
K. BENZEMA : kess il m'a dit mais heu tu sais au début il croyait, il croyait que (inaudible) tu vois, que c'était une blague. (...) Moi je vais t’arranger la sauce. Faut que tu vas voir le mec (sic). Il va venir. Il va te parler. Mais je te donne ma parole que y a pas d’autre copie de la sextape). (...) Mais après on parlait, on parlait, dans la vidéo tu vois mes tatouages (demande Valbuena). Tu vois tout, gros. Je lui dis, je suis sérieux, je lui ai dit, franchement, je l'ai vu, moi, la vidéo, je lui dis. Il m'a dit je sais. (...) Mais ils veulent quoi ? Je lui ai dit, j'en sais rien moi qu'est-ce qu'ils veulent, je lui dis, je sais pas moi, il m'a dit ouais, il veut de l'argent. Bah à mon avis t'as vu, j'ai dit moi si j'ai une vidéo comme ça d'un mec... Euh ouais de toute façon ils veulent faire du buzz, heu ça sera pas le même buzz que si c'était toi...
K. ZENATI : il a raison.
K. BENZEMA : ouais.
K. ZENATI : (rires).
K. BENZEMA : mais frère, frère c'est vrai que ça va pas faire le même buzz que moi, mais frère tu lui arrêtes la carrière frère. Il va dehors, il se fait jeter des tomates. Je lui dis, c'est pas une question de buzz mais c'est une question de fierté.
K. ZENATI : hum.
K. BENZEMA : je lui dis de famille, je lui dis ça n'a rien à voir de buzz, on s'en bat les couilles, je lui dis là. Je lui dis maintenant si les gens ils sortent une photo, une vidéo comme ça. Ça pour toi ça te fait rien que ta mère, ton père ils les voient ta femme où je sais pas qui. Tu vois, après il réfléchissait, il réfléchissait. Je lui dis moi de toute façon tu fais comme tu veux. Là je suis en équipe de France jusqu'à dimanche si tu me donnes ton numéro, je lui passe, je lui passe à mon ami. Il vient te voir à Lyon, tu discutes, tu vois avec lui, tu veux pas. Bah, fais ta vie, moi je t'ai prévenu hein.
K. ZENATI : c’est bon frère, t’as super bien fait.
K. BENZEMA : walah, je lui ai dit ça. Après je sais pas ce qu’il va faire. Il va appeler son agent, il va dire ils ont la vidéo. Je lui ai dit écoute gros, il n’y a pas d’intermédiaire, pas d’avocat, pas d’ami, pas d’agent, pas de police, pas de ce que tu veux.
K. ZENATI : hum.
K. BENZEMA : je lui dis si tu veux que la vidéo elle soit détruite, mon ami il vient te voir à Lyon. Tu vois directement avec lui et toi tu parles avec lui, tu envoies per- sonne.
K. ZENATI : bon bah, vas-y, c’est bon.
K. BENZEMA : il m’a dit elle vient d’où la vidéo ? Je lui dis : moi j’en sais rien d’où elle vient. (...)
K. ZENATI : quand il va dormir, il va savoir que tu lui as dit la vérité. K. BENZEMA : mais non, mais il était tout blanc.
K. ZENATI : ouais.
K. BENZEMA : il me dit la vidéo, tu l’as vue où? Il y a combien de temps ? Après il me posait des questions, mais c’était comment. (...) Je l’ai vu avaler de travers, il commençait à avaler deux, trois fois de travers.
K. ZENATI : (rires).
K. BENZEMA : je le vois, tu vois le mec quand il est en panique, t’as vu?
K. ZENATI : tu sais que c’est les meilleurs, quand ils font les beaux mais na, na, na, na et après...
K. BENZEMA : ouais même il me dit : tu sais c’est quoi le premier qui m’a dit, c’est Cissé. Je lui dis ouais mais Cissé il lui est arrivé une galère comme ça.
K. ZENATI : hum.
K. BENZEMA : (...) je lui dis, il (Cissé) a fait quoi? Il me dit : il a payé. Je lui dis : et la vidéo, elle est sortie ou pas ? Il me dit non. Je lui dis : moi quand je te dis que j’ai qu’une parole, c’est que la vidéo elle sort pas. Maintenant, tu fais comme tu veux. Moi je suis venu te voir parce que quand j’ai vu cette vidéo, on m’a parlé, je peux pas rigoler avec toi dans le vestiaire et pas te dire. Il me dit oui mais ils veulent la sortir quand, s’ils la sortent, pour l’Euro ? Je lui dis, bah, je pense, c’est là où il faut la sortir, hein. Je lui dis moi si j’aurais une vidéo comme ça, moi je te demande pas d’argent je la sors, je la vends aux journalistes. T’as vu, je lui ai dit ça.
K. ZENATI : hum.
K. BENZEMA : il m’a dit ouais, bah, gros, merci beaucoup et tout, laisse-moi un jour ou deux et je te dis. (Rire.) Il va m’appeler, donne-moi le contact, s’il te plaît (rires).
K. ZENATI : (rires). C’est pour lui. Moi, nous, frère, nous on l’aide. (...)
K. BENZEMA : moi, je t’aide (de Benzema à Valbuena). (...) Je lui dis regarde, je m’en bats les couilles, c’est pas moi. Oh je suis venu te voir. Ouais merci, et tout t’as la classe. Il me dit : ils veulent quoi?Je lui ai dit : moi je ne sais pas. Mon but, mon truc s’arrête là, tu vois, mon train il s’arrête là. Maintenant mon ami (Zenati), il prend la relève. C’est lui qui con- naît la personne, y’a qu’une seule personne qui a ta vidéo. Moi je ne la connais pas mais mon ami, il la connaît. Maintenant tu veux ré- gler tes histoires, donne ton numéro, je le donne et tu vois avec lui.
K. ZENATI : ouais impeccable. (...) K. BENZEMA : je lui ai dit : c’est mon ami, c’est mon amigo, mon meilleur ami, c’est comme mon frère. C’est comme s’il avait une vidéo de moi.
K. ZENATI : hum.
K. BENZEMA : il me dit, ouais, mais toi tu aurais fait quoi ? Je lui ai dit : moi je m'en bats les couilles du buzz, t'as vu, donc j'aurais payé juste pour ma famille. (...) Je lui dis : toi si c'est pour le buzz, si c'est juste pour le buzz et que t'as prévenu ta famille, qu'ils s'en foutent, bah laisse-les la sortir, je lui dis.
K. ZENATI : bah ouais, même moi je lui dirais ça frère, mais walah... (...)
K. ZENATI : (rires) ah ouais mais après nous c'est nous, frère, nous de toute façon on est là pour l'ar- ranger. S’il veut pas, bah laisse, il se démerde avec ses piranhas, il va se démerder avec ses piranhas et il va...
K. BENZEMA : ils vont lui pisser dessus.
K. ZENATI : ils vont lui pisser dessus frère, moi je m'en pète hein. K. BENZEMA : les piranhas ils vont le manger frérot.
K. ZENATI : ouais quand tu m'as dit que c'était un bon pelo (mec, gars en argot lyonnais), je t'ai dit oui après peut-être que le pelo ils vont demander, ils vont lui dire, je sais pas, deux places de foot où je sais pas quoi mais il se dé- merde.
K. BENZEMA : (rires).
K. ZENATI : voilà hein, c'est rendre service, après il fait comme il veut hein.

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Bon je n'y connais rien en journalmisme sportif. Quand je parlais de presse spécialisée je pensais plus à l'Usine Nouvelle ou à Guerres et Histoire.

Sur le cas spécifique de l'Equipe il me semble que cette entreprise va bien, ce qui est très bien par rapport au marché.

 

Le site internet de l'équipe est en train de tourner en tabloïd qui fait la chasse au clic. Une puteàclic.

 

Ils sont incapables de produire une analyse poussée correcte d'un match de foot et comme tous les journalistes français ils font du copinage avec certains joueurs et en fracassent d'autres constamment.

 

La situation financière de l'équipe n'est pas top.

 

 

Grandes manœuvres chez Amaury

Le symbole de la presse qui disparaît de la ville de Seine-Saint-Denis est la conséquence directe de la cession en octobre 2015 du journal à LVMH

Dans un registre différent, le déménagement prévu du Parisien et le changement de format de L'Equipe attestent d'un changement d'ère au sein des Editions Amaury.

Installé depuis quatre décennies sur cinq hectares à Saint-Ouen, non loin des Puces, le quotidien Le Parisien et son édition nationale Aujourd'hui en France quitteront leur site actuel fin 2017, à l'échéance du bail. Ce symbole de la presse qui disparaît de la ville de Seine-Saint-Denis est la conséquence directe de la cession en octobre 2015 du journal à LVMH (maison mère des Echos). Autre symbole, mais cette fois concernant le groupe, Le Parisien, libéré lors de sa création en 1944 par Emilien Amaury, quitte le giron de la famille. Cette dernière, représentée par la bru du patriarche, Marie-Odile, et ses petits-enfants, Aurore, l'aînée, et Jean Etienne, le cadet, ont préféré se concentrer sur leurs pépites sportives. Amaury Sport Organisation, qui organise une dizaine de manifestations dont le Tour de France, le Marathon de Paris et le Rallye Paris Dakar, est une belle machine à cash. En 2014, la société a réalisé près de 20% de résultat net sur un chiffre d'affaire de 180 millions d'euros. De son côté, la SNC L'Equipe, déficitaires depuis trois ans, devrait renouer avec les bénéfices dès 2015. Surtout, elle constitue autant de supports médias indispensables pour ASO.

Le Parisien était lui en pertes depuis des décennies et ponctionnait à coups de dizaines de millions d'euros la cassette des Amaury. Outre le prix de vente (40 millions d'euros environ), la 167e fortune française (330 millions d'euros en 2014) devrait réaliser une juteuse opération immobilière en se débarrassant du quotidien. Le terrain de Saint-Ouen, vide après 2017, est situé à quelques encablures de la gare Carrefour Pleyel. Ce futur nœud de communication sera stratégique pour irriguer le grand Paris.

Comme si les Editions Amaury voulaient signer de façon claire leur recentrage sur le sport, L'Equipe effectuera une mue profonde le 18 septembre. Le lancement de la Coupe du monde de rugby, en Angleterre, coïncidera avec le passage du quotidien sportif en format tabloïd. Une vraie révolution dans le paysage pour ce journal imprimé en Broadsheet (le double en taille du tabloïd)… depuis 1946. Lors d'un test mi-juin, les lecteurs ont plébiscité la réduction de format pour sa praticité. Les Editions Amaury espèrent donc par ce biais relancer la diffusion de son quotidien. Cette dernière a encore chuté de près de 10% en 2014 et se situe désormais à peine au-dessus des 200000 exemplaires. Une bonne partie de ses lecteurs a certes été récupéré en version digitale. De façon également prosaïque, la réduction du format devrait permettre au groupe de réaliser de substantielles économies de papier. Par les temps de vaches maigres publicitaires, cet argument a lourdement pesé dans la balance des Amaury.

http://www.lopinion.fr/2-juillet-2015/grandes-manoeuvres-chez-amaury-25852

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Compte rendu d'une partie de la conversation téléphonique entre Benzema et son pote (je l'ai choppée sur le net et apparemment elle est dispo dans l'équipe du jour).

 

 

 

K. BENZEMA : vas-y, je l'ai vu l'autre, hein.

K. ZENATI : et alors, qu'est ce que t'en penses ?

K. BENZEMA : heu, j'en pense, la vérité ?

K. ZENATI : ouais.

K. BENZEMA : j'en pense qu'il nous prend pas au sérieux.

K. ZENATI : non.

K. BENZEMA : walah.

K. ZENATI : ouais, ça veut dire en vérité, je crois, il va rien lâcher, celui-là non ?

K. BENZEMA : ouais ouais ouais ouais, il nous prend pas au sérieux.

K. ZENATI : qu'est-ce qu’il t'a dit lui ?

K. BENZEMA : kess il m'a dit mais heu tu sais au début il croyait, il croyait que (inaudible) tu vois, que c'était une blague. (...) Moi je vais t’arranger la sauce. Faut que tu vas voir le mec (sic). Il va venir. Il va te parler. Mais je te donne ma parole que y a pas d’autre copie de la sextape). (...) Mais après on parlait, on parlait, dans la vidéo tu vois mes tatouages (demande Valbuena). Tu vois tout, gros. Je lui dis, je suis sérieux, je lui ai dit, franchement, je l'ai vu, moi, la vidéo, je lui dis. Il m'a dit je sais. (...) Mais ils veulent quoi ? Je lui ai dit, j'en sais rien moi qu'est-ce qu'ils veulent, je lui dis, je sais pas moi, il m'a dit ouais, il veut de l'argent. Bah à mon avis t'as vu, j'ai dit moi si j'ai une vidéo comme ça d'un mec... Euh ouais de toute façon ils veulent faire du buzz, heu ça sera pas le même buzz que si c'était toi...

K. ZENATI : il a raison.

K. BENZEMA : ouais.

K. ZENATI : (rires).

K. BENZEMA : mais frère, frère c'est vrai que ça va pas faire le même buzz que moi, mais frère tu lui arrêtes la carrière frère. Il va dehors, il se fait jeter des tomates. Je lui dis, c'est pas une question de buzz mais c'est une question de fierté.

K. ZENATI : hum.

K. BENZEMA : je lui dis de famille, je lui dis ça n'a rien à voir de buzz, on s'en bat les couilles, je lui dis là. Je lui dis maintenant si les gens ils sortent une photo, une vidéo comme ça. Ça pour toi ça te fait rien que ta mère, ton père ils les voient ta femme où je sais pas qui. Tu vois, après il réfléchissait, il réfléchissait. Je lui dis moi de toute façon tu fais comme tu veux. Là je suis en équipe de France jusqu'à dimanche si tu me donnes ton numéro, je lui passe, je lui passe à mon ami. Il vient te voir à Lyon, tu discutes, tu vois avec lui, tu veux pas. Bah, fais ta vie, moi je t'ai prévenu hein.

K. ZENATI : c’est bon frère, t’as super bien fait.

K. BENZEMA : walah, je lui ai dit ça. Après je sais pas ce qu’il va faire. Il va appeler son agent, il va dire ils ont la vidéo. Je lui ai dit écoute gros, il n’y a pas d’intermédiaire, pas d’avocat, pas d’ami, pas d’agent, pas de police, pas de ce que tu veux.

K. ZENATI : hum.

K. BENZEMA : je lui dis si tu veux que la vidéo elle soit détruite, mon ami il vient te voir à Lyon. Tu vois directement avec lui et toi tu parles avec lui, tu envoies per- sonne.

K. ZENATI : bon bah, vas-y, c’est bon.

K. BENZEMA : il m’a dit elle vient d’où la vidéo ? Je lui dis : moi j’en sais rien d’où elle vient. (...)

K. ZENATI : quand il va dormir, il va savoir que tu lui as dit la vérité. K. BENZEMA : mais non, mais il était tout blanc.

K. ZENATI : ouais.

K. BENZEMA : il me dit la vidéo, tu l’as vue où? Il y a combien de temps ? Après il me posait des questions, mais c’était comment. (...) Je l’ai vu avaler de travers, il commençait à avaler deux, trois fois de travers.

K. ZENATI : (rires).

K. BENZEMA : je le vois, tu vois le mec quand il est en panique, t’as vu?

K. ZENATI : tu sais que c’est les meilleurs, quand ils font les beaux mais na, na, na, na et après...

K. BENZEMA : ouais même il me dit : tu sais c’est quoi le premier qui m’a dit, c’est Cissé. Je lui dis ouais mais Cissé il lui est arrivé une galère comme ça.

K. ZENATI : hum.

K. BENZEMA : (...) je lui dis, il (Cissé) a fait quoi? Il me dit : il a payé. Je lui dis : et la vidéo, elle est sortie ou pas ? Il me dit non. Je lui dis : moi quand je te dis que j’ai qu’une parole, c’est que la vidéo elle sort pas. Maintenant, tu fais comme tu veux. Moi je suis venu te voir parce que quand j’ai vu cette vidéo, on m’a parlé, je peux pas rigoler avec toi dans le vestiaire et pas te dire. Il me dit oui mais ils veulent la sortir quand, s’ils la sortent, pour l’Euro ? Je lui dis, bah, je pense, c’est là où il faut la sortir, hein. Je lui dis moi si j’aurais une vidéo comme ça, moi je te demande pas d’argent je la sors, je la vends aux journalistes. T’as vu, je lui ai dit ça.

K. ZENATI : hum.

K. BENZEMA : il m’a dit ouais, bah, gros, merci beaucoup et tout, laisse-moi un jour ou deux et je te dis. (Rire.) Il va m’appeler, donne-moi le contact, s’il te plaît (rires).

K. ZENATI : (rires). C’est pour lui. Moi, nous, frère, nous on l’aide. (...)

K. BENZEMA : moi, je t’aide (de Benzema à Valbuena). (...) Je lui dis regarde, je m’en bats les couilles, c’est pas moi. Oh je suis venu te voir. Ouais merci, et tout t’as la classe. Il me dit : ils veulent quoi?Je lui ai dit : moi je ne sais pas. Mon but, mon truc s’arrête là, tu vois, mon train il s’arrête là. Maintenant mon ami (Zenati), il prend la relève. C’est lui qui con- naît la personne, y’a qu’une seule personne qui a ta vidéo. Moi je ne la connais pas mais mon ami, il la connaît. Maintenant tu veux ré- gler tes histoires, donne ton numéro, je le donne et tu vois avec lui.

K. ZENATI : ouais impeccable. (...) K. BENZEMA : je lui ai dit : c’est mon ami, c’est mon amigo, mon meilleur ami, c’est comme mon frère. C’est comme s’il avait une vidéo de moi.

K. ZENATI : hum.

K. BENZEMA : il me dit, ouais, mais toi tu aurais fait quoi ? Je lui ai dit : moi je m'en bats les couilles du buzz, t'as vu, donc j'aurais payé juste pour ma famille. (...) Je lui dis : toi si c'est pour le buzz, si c'est juste pour le buzz et que t'as prévenu ta famille, qu'ils s'en foutent, bah laisse-les la sortir, je lui dis.

K. ZENATI : bah ouais, même moi je lui dirais ça frère, mais walah... (...)

K. ZENATI : (rires) ah ouais mais après nous c'est nous, frère, nous de toute façon on est là pour l'ar- ranger. S’il veut pas, bah laisse, il se démerde avec ses piranhas, il va se démerder avec ses piranhas et il va...

K. BENZEMA : ils vont lui pisser dessus.

K. ZENATI : ils vont lui pisser dessus frère, moi je m'en pète hein. K. BENZEMA : les piranhas ils vont le manger frérot.

K. ZENATI : ouais quand tu m'as dit que c'était un bon pelo (mec, gars en argot lyonnais), je t'ai dit oui après peut-être que le pelo ils vont demander, ils vont lui dire, je sais pas, deux places de foot où je sais pas quoi mais il se dé- merde.

K. BENZEMA : (rires).

K. ZENATI : voilà hein, c'est rendre service, après il fait comme il veut hein.

Ouech ouech. C'est tellement écrit en ouech ouech que je suis pas certain de tout comprendre correctement.

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Ouech ouech. C'est tellement écrit en ouech ouech que je suis pas certain de tout comprendre correctement.

Pareil, et eux non plus d'ailleurs j'ai l'impression qu'ils ne comprennent pas qu'ils s'embarquent dans une affaire louche.
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Hmmm ...

 

Hervé Renard et Lille, c'est déjà terminé. Le club nordiste a annoncé, ce mercredi en milieu d'après-midi, avoir mis fin aux fonctions d'entraîneur de l'ancien sélectionneur de la Côte d'Ivoire de manière "amiable." Arrivé cet été au LOSC, le technicien ne sera resté que quatre mois aux commandes. Il est le deuxième technicien à quitter son poste cette saison en Ligue 1, après le départ de l'OM de Marcelo Bielsa au soir de la 1ère journée de championnat.

 

 

http://www.eurosport.fr/football/ligue-1/2015-2016/ligue-1-le-losc-se-separe-d-herve-renard_sto4987244/story.shtml

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D'après le Parisien, le PSG prépare une prolongation de deux ans pour Laurent Blanc.

 

Ceci venant après le match contre Madrid, on peut penser que les dirigeants ont aimé l'équipe et les derniers résultats. Mais le prolonger sans attendre des résultats tangibles en LdC serait une grave erreur.

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D'après le Parisien, le PSG prépare une prolongation de deux ans pour Laurent Blanc.

 

Ceci venant après le match contre Madrid, on peut penser que les dirigeants ont aimé l'équipe et les derniers résultats. Mais le prolonger sans attendre des résultats tangibles en LdC serait une grave erreur.

 

Combien d'entraîneurs de top niveau sont disponibles sur le marché aujourd'hui ? Combien seront libres à la fin de la saison ? Lesquels correspondent à la volonté de la direction du PSG de mettre en place un jeu attrayant ?

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Leonardo a été un bon directeur sportif mais entraîneur est un métier complètement différent et il n'a fait que deux saisons sur un banc de touche.

Tu ne peux pas dire que Leonardo serait un meilleur entraîneur que Blanc sachant qu'on a quasiment aucune idée sur ce que Leonardo vaut à ce poste.

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Oui, et son retour est hautement improbable à cause de son conflit judiciaire avec la Fédé.

Mais c'était quand même le choix des dirigeants avant de de rabattre sur Blanc.

 

Donc on en revient à la question de départ. Il n'y a pas d'entraîneur de top niveau sur le marché à part Ancelotti. Il reste la solution de lancer un newbie dans le métier mais qui a un nom dans le foot comme Zidane. J'ai pas l'impression que QSI soit chaud pour cette option.

 

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