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Si J'étais Ministre Des Finances


William White

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Je parlais dans le cadre de l'euro.

Oui, je pense que tu as compris. Mais cela doit être très bien encadré juridiquement évidemment.

Mais un exemple comme Carrefour a très bien compris l'intérêt d'avoir sa propre banque, et il y a ATT, General Electric, maintenant WallMart.

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Oui, je pense que tu as compris. Mais cela doit être très bien encadré juridiquement évidemment.

C'est là qu'il faut s'attendre au pire …

Bon ceci dit, en fait, il y a déjà création monétaire par les entreprises : quand une société emet des actions ou des obligations, celles-ci pourront ensuite être utilisées comme instrument d'échange. On peut donc dire que l'entreprise a créé de la monnaie.

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Oui, je pense que tu as compris. Mais cela doit être très bien encadré juridiquement évidemment.

Personnellement, si je dois utiliser de la monnaie, je me demande si c'est viable et sans risque. Comme tout placement, en fait. Et je peux suivre les conseils de personnes privées qui s'y connaissent, pas besoin de réglementation (qui si elle est mauvaise - c'est probable - risque à la fois de pénaliser de bonnes monnaies potentielles et faire croire en la fiabilité de mauvaises monnaies).

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Wapiti a écrit :

"Bon ceci dit, en fait, il y a déjà création monétaire par les entreprises : quand une société emet des actions ou des obligations, celles-ci pourront ensuite être utilisées comme instrument d'échange. On peut donc dire que l'entreprise a créé de la monnaie."

Effectivement, c'est bien le cas, sauf que ceux sont des titres sur lesquels elles doivent payer des intérêts ou dividendes (même si ceux-ci ne sont pas obligatoires), la banque elle se charge de percevoir les intérêts dans le cas de création monétaire via l'emprunt.

Et en fait non, il n'y a pas de création monétaire stricto-sensu dans le cas d'émissions d'actions, il y a juste échange de monnaie contre des titres.

J'aurais du être banquier :icon_up:

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Sous Commandant Marco a écrit :

On est à peu près d'accord là-dessus, mais ce n'est pas à cause de ces monnaies, cela est sur.[…]

Aux Etats-Unis, la libéralisation de la monnaie est très limitée, car il y a un salaire minimal et les entreprises sont tenues de faire leurs déclarations et de payer leurs impôts en dollars.
C'est à dire que les entreprises ont droit de création-destruction de monnaie afin de s'autofinancer.
Cela ne pourrait marcher que si la monnaie est libéralisée dans le même temps. Sinon, les entreprises continueront à utiliser l'euro et ce droit restera limité à l'état.
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Wapiti a écrit :

"Bien sûr, il a échange de monnaie contre des titres. Mon argument, c'est que ces titres peuvent jouer eux-mêmes le rôle de monnaie."

Dans quels cas, car là s'arrête mes connaissances visiblement ?

Sous Commandant Marco a écrit :

"Cela ne pourrait marcher que si la monnaie est libéralisée dans le même temps. Sinon, les entreprises continueront à utiliser l'euro et ce droit restera limité à l'état."

Oui, mais cela serait étonant que dans le cas d'une libéralisation de la monnaie, les banques qui ont émis leurs monnaies, appelons les les bank-currencies , autorisent des entreprises cette création-destruction monétaire de bank-currencies.

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A une époque, Visa a caressé l'idée de lancer une monnaire privée. Ils ne l'ont pas fait pour des raisons politiques, trop peur d'affronter les gouvernements…

Il y a aujourd'hui de véritables projets de monnaies privées comme le projet "Open Money"

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Et le e-gold ? N'est-ce pas une sorte de monnaie privée ?

En ce qui concerne les banques centrales, je rappelle que c'est une institution historique, que pour les premières d'entre elles, ce sont des rois en manque de finance qui ont échangé l'obligation de preter gratuitement à l'Etat contre le monopole de battre monnaie…

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Wapiti a écrit :

"Bien sûr, il a échange de monnaie contre des titres. Mon argument, c'est que ces titres peuvent jouer eux-mêmes le rôle de monnaie."

Dans quels cas, car là s'arrête mes connaissances visiblement ?

Ils peuvent jouer le rôle de monnaie parcequ'ils sont très "liquides", tu peux à tout moment les échanger contre autre chose. Or c'est ça une des caractéristiques d'une monnaie, c'est une marchandise que tu peux à tout moment échanger contre une autre, et que tu es donc amené à posséder non pour ses propriétés propres, mais pour sa facilité d'échange contre d'autres biens.

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L'autre particularité de la monnaie, c'est qu'elle doit être facilement divisible en de très petites unités. Donc, les titres, c'est pas top.

Des très petites quantités, c'est relatif. Des titres peuvent tout à fait servir d'instrument d'échange en vue de grosses transactions.

Tu gardes des pièces dans ton porte monnaie pour pouvoir acheter une baguette ultérieurement, tu gardes des titres pour pouvoir acheter une maison, une voiture ou une entreprise ultérieurement. Je ne vois pas de grande différences conceptuelles, mais j'avoue que je ne suis pas sûr à 100% de mon coup.

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Pour m'expliquer, je dirais que je préfère la coexistence d'un état et de la liberté de mes actes à un état tout régulant (communisme) ou à un libéralisme total.

Dans le secteur économique par exemple, je considère que le privé n'aurait pu porter à bien des projets comme Airbus, Arianne, TGV, centrales nucléaires, le CERN, ou le canal de Panama.

Le secteur privé se détourne très souvent de la recherche fondamentale ou des projets pharaoniques (contre-ex : Eurotunnel).

Il y a donc, de mon point de vue, une complémentarité états - libéralisme économique qu'aucune mise en oeuvre d'autres paradigmes n'a réussi à supplanter pour l'instant.

Cependant, cela ne m'empêche pas de regretter l'inflation législative en France (en plus elle n'est pas assortie de simplification et de rationalisation, comme aux US), ou d'être choqué par la dénonciation de dissidents chinois par Microsoft ou Yahoo aux autorités chinoises, suite aux pressions de ces dernières.

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Dans le secteur économique par exemple, je considère que le privé n'aurait pu porter à bien des projets comme Airbus, Arianne, TGV, centrales nucléaires, le CERN, ou le canal de Panama.

D'une part c'est faux, d'autre part la différence entre le privé et le public est que le privé se préoccupe de la rentabilité, tandis que le public n'a aucun scrupule à dilapider l'argent du contribuable. Ce n'est pas parce qu'un état mène un projet que ce projet a un intérêt. Bizarrement vous ne citez pas Concorde, le plan calcul, et autres joyeusetés faites pour siphonner l'argent du contribuable et nourrir des parasites. Sans l'Etat et la vaine gloriole nationaliste, on ne serait peut-être pas allés sur la lune : et après ?

Relisez la fenêtre cassée de Bastiat. L'Etat ne fait pas autre chose que de casser des fenêtres pour montrer quel excellent vitrier il est.

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Perso Dilbert, je ne suis pas physicien, mais j'attends avec grande impatience de savoir si le CERN et son LHC vont trouver ou pas le boson de Higgs et autres 4è dimension. Le concorde a sans doute été un échec par lobbying américain. Le plan calcul, pas très grave, par contre le world wide web est bien sorti du CERN (Tim Berners Lee). Une prise de risque, qu'elle soit publique ou privé, comporte inévitablement quelques échecs.

Je vois mal les plus grosses fortunes de la terre porter un projet comme Iter sur 50 ans.

Le problème du libéral tel que je le découvre sur liberaux.org est qu'il s'arroge des lois naturelles, alors que ce n'est qu'une culture née au XVIIIè (avec prémices antérieurs). Et, si vous reconnaissez les lois naturelles comme fondamentales, vous devrez reconnaitre que le parasitisme, où l'utilité dans la nature a été maintes fois prouvé pour les hôtes par les biologistes, est dès lors utile à une société humaine.

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Dans le secteur économique par exemple, je considère que le privé n'aurait pu porter à bien des projets comme Airbus, Arianne, TGV, centrales nucléaires, le CERN, ou le canal de Panama.

Quelques contre-exemples : Le Canal du Midi, nombre de réalisations d'Eiffel et récemment d'Eiffage avec le Viaduc de Millau, Fondation Gugennheim et ses grands musées, etc.

Le secteur privé se détourne très souvent de la recherche fondamentale ou des projets pharaoniques (contre-ex : Eurotunnel).

Plein de chercheurs "fondamentaux" dans l'Antiquité, et en dehors de l'état : Thalès, Pythagore, etc. Sans parler de nombre de grands philosophes, découvreurs, etc., depuis.

C'est justement des fondations privées (Macy) qui ont permis des échanges transdisciplinaires dans les années 40-50 et voir émerger de nouvelles disciplines : sciences des systèmes, cybernétique II, thérapies brèves, théories de la communication, etc.

Et plus récemment la théorie du chaos n'aurait pas émergé si on n'avait imaginé un mode de fonctionnement osé et novateur pour un laboratoire, en dehors de la lourdeur administrative et/ou de la nécessité de publier à "tout prix" : voir la vie d'Edward Lorenz au Santa Fé Institute. Et toutes les branches développées depuis en biologie, i.a., dynamique des systèmes non-linéaires, automates cellulaires, etc.

Fondation Bill & Melissa Gates : à eux seuls ils financent annuellement autant que l'OMS la recherche sur les maladies orphelines.

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Je vois mal les plus grosses fortunes de la terre porter un projet comme Iter sur 50 ans.

Aouaaaaaaaaaarf ! Voilà qui montre votre extrême naïveté !!! Iter, comme le reste, est une escroquerie destinée à faire vivre quelques privilégiés aux dépens du contribuable !

Iter : un "projet de Société" :

http://www.jp-petit.com/science/ITER/iter1.htm

ITER, une connerie à 10 milliards d'euros :

http://www.jp-petit.com/Presse/radio_grenouille.htm#iter

Pourquoi il faut stopper le projet ITER :

http://www.jp-petit.com/science/ITER/fermer_ITER.htm

Connaissez-vous en France, ou même en Europe une région aussi "bénie des dieux" que ce site de Cadarache question qualité de vie ? De la place. On est loin du milieu urbain. Aix en Provence est à une demie heure d'autoroute. Belle campagne environnante, tourisme. La mer pas loin, la montagne non plus. Quand on aura, ce qui ne tardera pas, installé un arrêt TGV près d'ITER ceci mettra le site à quelques heures de Paris pour les Week-ends. Avoir un poste à ITER représentera l'assurance de mener une vie de patachon pendant un temps équivalent à celui d'une carrière entière ( ITER ne devrait commencer à balbultier que d'ici 15-20 ans). ITER a un côté combine passée entre les scientifiques à la fois partisans et partie prenante du projet, et ce dans tous les pays du monde. Le Japonais, les Anglais, les Allemands vont se battre pour avoir un poste sur ce projet, en se moquant éperduement que celui-ci représente avant tout un fantastique gâchis d'argent, de moyens, de postes. Les politiques écoutent ce qu'on leur dit, signent, font des discours, puis s'en vont. Quand la conclusion s'imposera : qu'on aura dépensé des sommes hallucinantes pour un projet s'étendant sur trois quarts de siècle et conduisant à un résultat nul, n'ayant strictement rien apporté au passage au plan de la recherche fondamentale, les auteurs de ce forfait, qu'il s'agissent de politiques, de scientifiques ou d'ingénieurs couleront tous des jours paisibles dans les jolies propriétés qu'ils se seront faites construire dans la région, le Lubéron, etc, bénéficiant de retraites confortables.

C'est un peu comme si l'Etat, en 1870, avait décidé d'investir sur 50 ans pour inventer la "locomotive à vapeur du futur" ou le "bateau à voile du futur". Heureusement à cette époque on avait plus de mesure et de sagesse.

Par ailleurs, les "grosses fortunes", avant que l'Etat ne vienne les détruire, planifiaient sur bien plus que 50 ans, et pas pour faire des conneries à la Iter ou Concorde.

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Le problème du libéral tel que je le découvre sur liberaux.org est qu'il s'arroge des lois naturelles, alors que ce n'est qu'une culture née au XVIIIè (avec prémices antérieurs). Et, si vous reconnaissez les lois naturelles comme fondamentales, vous devrez reconnaitre que le parasitisme, où l'utilité dans la nature a été maintes fois prouvé pour les hôtes par les biologistes, est dès lors utile à une société humaine.

A dire vrai… non je ne reconnais rien du tout là.

A quoi comparez-vous l'homme ?

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[…]Le problème du libéral tel que je le découvre sur liberaux.org est qu'il s'arroge des lois naturelles, alors que ce n'est qu'une culture née au XVIIIè (avec prémices antérieurs). Et, si vous reconnaissez les lois naturelles comme fondamentales, vous devrez reconnaitre que le parasitisme, où l'utilité dans la nature a été maintes fois prouvé pour les hôtes par les biologistes, est dès lors utile à une société humaine.
Tu confonds droits naturels et naturalisme, de même que tu confonds parasitisme et symbiose.
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J'aimerais connaître vos avis sur la question: quelles sont les mesures prioritaires à prendre pour un ministre des finances libéral?

(réduire la dette, la part de remboursement de celle ci, baisser les impôts, tenir compte de la confiance des marchés, des taux d'intérêt, privatisations, redéfinition du périmètre de l'État, etc. …)?

Vos mesures libérales entraineraient - elles à court terme de la "casse sociale"?

Pour en revenir au sujet du fil, que je viens de parcourir, me voilà avec une proposition à contresens de celles que j'ai pu voir ici.

Nous sommes bien d'accord que, globalement, il faut réduire les dépenses et revoir les formes de prélèvements.

Et justement, ces prélèvements, je pense qu'il faut les repenser à la fois en terme de quantité, d'assujettis, et d'effets globaux.

Je m'aperçois que l'impôt, de façon systématique, a des effets "pervers" pour la plupart prévisibles. En gros, les gens veulent éviter d'en payer, ce qui est parfaitement compréhensible. En conséquence, tout le monde essaie de trouver la niche fiscale, la bonne exonération, le privilège qui tue. Pour éviter cela, il faut, je pense, drastiquement simplifier la fiscalité, au point de ne plus guère laisser d'impôts.

Mon idée serait de supprimer progressivement tous les impôts et taxes, sauf trois, en rebasculant les prélèvements sur ces derniers.

Les taxes restantes seraient :

- Une taxe sur les salaires. Un pourcentage identique, ou presque, quel que soit le montant du salaire brut

- Un impôt local, à la charge des communautés urbaines des villes, et/ou des régions, basé sur les services rendus à la personne et non sur ses revenus

- Une forte TVA

Je m'explique :

Les taxes salariales sont là pour limiter les flux migratoires qui risqueraient de se déclencher si, tout d'un coup, les salaires n'étaient plus du tout imposés. Le risque serait de voir une fuite à l'étranger des sommes perçues via les salaires afin d'éviter une TVA jugée trop importante. Les taxes ainsi touchées permettraient de limiter un peu la hausse de ladite TVA, tout en récupérant un peu la mise au cas où les fonds quitteraient effectivement le territoire.

Les impôts locaux sont évidemment nécessaires, dans un pays non anarcapiste. Il faut bien entretenir les services publics, si réduits soient-ils.

Et enfin, ma mesure phare, la hausse de la TVA, en remplacement des presque toutes les autres formes de taxation, a pour but de transférer la charge des impôts du domaine de la production à celui de la consommation. En diminuant ainsi le poids de la fiscalité sur la production, on incite, d'une part, la création et la domiciliation d'entreprises en France, par simple concurrence avec l'étranger (voir Irlande pour exemple), et, d'autre part, on réduit, de fait, les coûts de production, permettant du même coup une forte compétitivité de nos entreprises à l'étranger, ce qui favoriserait grandement notre balance commerciale.

Mais comme il faut bien prélever l'argent quelque part, la TVA me semble être une bonne piste, car c'est une taxe qui a de nombreux avantages techniques :

- Tout le monde la paye de façon très équitable, proportionnellement à sa consommation personnelle.

- Tous les produits sont ainsi taxés, ceux fabriqués en France, comme les importations de l'étranger. Les produits étrangers, taxés à la source dans les pays de production, sont ainsi naturellement désavantagés par rapport aux nôtres sur notre territoire, tandis que nos produits exportés se trouvent dans la situation inverse.

- Le coût de prélèvement est limité, car à la charge des commerces, ce qui limite grandement l'incurie étatique dans ce domaine.

- C'est une taxe très difficile à éviter. L'achat au noir n'est pas gérable de façon générale, ce qui limite à la fois les fraudes et le besoin de contrôle.

- C'est une taxe très simple à gérer et à ajuster.

Voilà, que pensez-vous de ma copie?

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Je suis également partisan de la TVA et de la suppression des autres impôts. Je me suis d'ailleurs déjà exprimé dessus dans le sous-forum de gauchelib.

Lire la page 3 de ce document sur la mesure de la richesse. Cela rejoint tes propos il me semble.

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Je suis entièrement d'accord pour transférer la majorité des impôts et taxes sur la TVA (d'après certains calculs nous aurions alors une TVA tournant autour de 50 %). De ce fait les entreprises ne se font plus concurrence sur la pression fiscale comme aujourd'hui (un des vecteurs du transfert de croissance des pays riches vers les pays émergents).

Sous Commandant Marco a écrit :

"Tu confonds droits naturels et naturalisme, de même que tu confonds parasitisme et symbiose."

Je reconnais mon erreur. Mais la frontière étant très mince entre parasistisme et symbiose, je prendrais ce raisonnement.

Les capacités de production sont aujourd'hui supérieures aux capacités de consommation. Entretenir des agents qui sont improductifs et qui consomment permet de réajuster ce déséquilibre. Ce n'est pas la panacée certes, mais la redistribution étatique a au moins le mérite de transférer des moyens financiers de l'accumulation de capital vers la consommation.

Dilbert, je connais les points de vue de JP Petit en général :icon_up: , et sur Iter en particulier. La prise de risque est énorme, mais les résultats s'il y en a ne le sont pas moins.

La différence entre états et secteur privé est essentielle : les états peuvent répondre à des besoins non solvables (handicap, besoin de connaissances, culture, etc) ce que les acteurs privés ne peuvent faire que trop rarement. Il me suffit d'allumer mon poste de télé pour voir la différence entre le tout audimat des TF1 et M6 et l'apport culturel de France Télévision ou d'Arte.

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Il me suffit d'allumer mon poste de télé pour voir la différence entre le tout audimat des TF1 et M6 et l'apport culturel de France Télévision ou d'Arte.

ça c'est ton opinion. Que celui qui n'a rien à foutre de la culture subventionne de façon forcée des chaïnes culturelles est une injustice sans nom.

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