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La Peine De Mort!


Messages recommandés

Tu n'as bien compris la prémice .

Si le condamné est déclaré " civilement mort " , il n'existe plus pour la société et on fait comme en cas de décès .

Maintenant pleurer sur l' "humanité " de quelqu'un qui n'en a pas eu, ça frise la sensiblerie ridicule .

C'est là dessus que surfe le laxisme . On voit où ça mène ..

Mais si c'est votre choix…..

C'est surtout que tu nous fait une bigbrotherite aigu mon petit.

Effacer l'existence de quelqu'un entièrement ? Faut aussi rapatrier tous les journaux et livres où il est cité pour l'en effacer ? Et rayer son nom des inscriptions de la tombe du Pharaon ?

Et puis entre nous, est ce vraiment une punition, pour les personnes les plus dangereuses ? Quoi de plus parfait au contraire pour commettre un crime que quelqu'un qui n'existe pas ?

Edit : ça me rappel ce quote du forum du bouclier lu jadis sur le web log de Pankkake, où un type proposait de tatouer les pédophiles pour que les braves gens puissent les reconnaitrent en les voyant et changer de trotoir.

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La mort civile existait sous l'ancien régime.

La constitution belge l'interdit expressément.

perso, je crois qu'on a le droi de reclamation à heuteur du domage subit, mais c'est difficile à appliquer/

tu a violer mon fils, j'ai donc le droit de violer le tient , mais

1 je n'ai pas forcement envie de le violer

2 ton fils n' as rien fait, le pauvre gamin qui vase faire violer à ause de son père !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! :icon_up:

çà marche bien en ce qui concerne le vol, la polution, …

por la peinne de mort :

tu as tué ma femme, j'ai donc le droit de te tuer en son nom.

mais là encore que ce passe t il en cas d'homicide involontaire.

non sérieusemnt pour la peinne de mort reste de la barbarie, quid des innocents jugés par erreur. Et puis je crois que tous le monde à le droit de se racheter, je ne crois pas en la méchanceté éternelle, sauf en cas de trouble psychique.

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Librekom, y aurait-il moyen de faire un léger effort pour l'orthographe, s'il te plait bien ?

non, je suis mauvais,

j'y peut rien monsieur, je suis allez à l'école jusqu'a 2ans et puis j'ai cmmencer à fumer des joints de chicorée en vivant de la revente jusqu' à 20 ans. ansuite je suis parti au bagne pour avoir cuit des frittes avec de l'huile de maurue ( j'ai risqué la peinne de mort figurez vous, en belgique on ne rigole pas avec la fritte) je suis sorti y une semaine et je suis directement venu ici.

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non,  je suis mauvais,

j'y peut rien monsieur, je suis allez à l'école jusqu'a 2ans et puis j'ai cmmencer à fumer des joints de chicorée en vivant de la revente jusqu' à 20 ans. ansuite je suis parti au bagne pour avoir cuit des frittes avec de l'huile de maurue ( j'ai risqué la peinne de mort figurez vous, en belgique on ne rigole pas avec la fritte) je suis sorti y une semaine et je suis directement venu ici.

:icon_up: Ca c'est une bonne reponse! :doigt:

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non,  je suis mauvais,

j'y peut rien monsieur, je suis allez à l'école jusqu'a 2ans et puis j'ai cmmencer à fumer des joints de chicorée en vivant de la revente jusqu' à 20 ans. ansuite je suis parti au bagne pour avoir cuit des frittes avec de l'huile de maurue ( j'ai risqué la peinne de mort figurez vous, en belgique on ne rigole pas avec la fritte) je suis sorti y une semaine et je suis directement venu ici.

Ecrire comme un porc passe encore, avoir l'éducation et la politesse de ce même porc ne passera pas, par contre.

*PLONK* (j'arrette pas en ce moment, je sens que je vais publier la liste pour faciliter la tache des autres).

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Ecrire comme un porc passe encore, avoir l'éducation et la politesse de ce même porc ne passera pas, par contre.

*PLONK* (j'arrette pas en ce moment, je sens que je vais publier la liste pour faciliter la tache des autres).

En effet (mais j'aurais préféré lire sous ton clavier "je n'arrête pas" et "tâche" :icon_up:). A ce sujet, je signale à Librekom le point 6 de la charte du forum:

6. Le respect de l'orthographe est primordial. Tout message truffé de fautes et de barbarismes, ou rédigé dans un style télégraphique sera supprimé [à l'exception de ceux de nos amis non francophones qui font l'effort de pratiquer notre belle, mais difficile langue]. Ce respect est à prendre au sens large afin de garantir une bonne esthétique générale du site. Certains semblent notamment avoir oublié l'emploi des majuscules [notamment au début du Titre d'un nouveau sujet, ce qui est très disgracieux lorsqu'on en consulte la liste], de la ponctuation et des sauts de ligne.

A bon entendeur…

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il est clair que l’administration de châtiments « ne marche pas ».

D’abord, la violence prononcée contre l’auteur d’un crime n’annule pas la violence faite à la victime, elle s’ajoute simplement à la somme des violences perpétrées dans le monde. En plus, l’exemplarité des châtiments n’a jamais été prouvée. Tout au long de l’histoire, les tortures effroyables infligées en public aux criminels n’ont guère servi de dissuasion, ou nos ancêtres, qui ne manquaient pas d’imagination dans la cruauté, auraient vécu dans un monde sans criminalité. Enfin, ce cycle de violence ne semble au bénéfice de personne. Il ne ramène pas le délinquant dans le droit chemin ; on souligne au contraire que la prison est bien souvent l’école du crime.

Les peines de prison ne sont pas seulement inefficaces, elles sont absurdes. Elles font retomber le coût de punir les délinquants sur leurs victimes réelles ou potentielles. (Une discrimination qu’on ne note pas assez à l’égard des femmes est de leur faire supporter le coût d’entretenir des prisons, alors que 90% des détenus sont des hommes).

Une autre critique des libertariens est que le système de justice actuel est fondé sur un principe collectiviste qui place clairement la « société » au dessus des personnes.

La justice aujourd’hui n’est pas rendue à la victime ; la justice est une affaire entre le présumé coupable et la société. La victime est exclue de cette procédure. L’action judiciaire est initiée par un procureur (ou « ministère public »), qui n’agit pas au nom de ceux qui ont subi une agression, mais qui prétend représenter « la société ». Même si la victime retire sa plainte, la procédure ne s’éteint pas Car le but de cette procédure est de punir un coupable et non pas d’obtenir qu’il répare les conséquences de ses actes. Le système ne s’intéresse qu’aux criminels, pas à leurs victimes.

En d’autres termes, la justice d’État a confisqué les droits de la victime. L’appareil judiciaire prétend que les crimes et délits ne sont pas tant commis contre des personnes que contre « la société ». Cependant cette notion même de crimes contre « la société » ouvre la porte aux plus inquiétantes manifestations de l’arbitraire. Un crime dans nos sociétés est ce que le législateur dit être un crime. Or, pour tel législateur, ouvrir sa boutique le dimanche est un délit, et pour tel autre, c’est le samedi. Des centaines de millions de gens vivent sous des régimes qui punissent du fouet les buveurs de vin, mais vous laissent fumer un joint, et à peu près autant de gens peuvent se retrouver en prison sous d’autres régimes parce qu’ils fument quelque chose de plus corsé qu’une Marlboro, mais leur ministre de la santé recommande qu’ils boivent un verre de vin rouge tous les jours. Avec cette logique que le crime peut être défini non par la victime, mais par le législateur, on ne peut rien objecter au législateur qui promulgue une loi contre les rouquins, ou contre ceux qui tournent le dos à une mosquée, ou ceux qui participent à des congrès comme celui d’aujourd’hui. Aussi longtemps que la justice sera rendue au nom de la société, nous resterons à la merci de ceux qui parlent au nom de la société. Selon le bon plaisir du gouvernement en place, tel individu sera déclaré un criminel et tel autre un homme de bien.

Notre plus ancienne définition d’une procédure judiciaire vise pourtant précisément à nous protéger de l’arbitraire des gouvernants.  Le principe fondateur de la justice dans notre société judéo-chrétienne est : « Œil pour œil, dent pour dent ». Par rapport aux mœurs de l’époque, les hébreux voyaient un progrès dans cette identité du crime et du châtiment. Il existait enfin une loi pour limiter l’emportement des juges, qui se voyaient privés du droit de couper la tête à celui qui avait seulement volé un poulet.

Mais le principe « œil pour œil.. » nous enseigne aussi qu’il ne saurait y avoir de crime s’il n’y a pas de victime. Si aucune dent n’a été cassée, alors aucune peine ne peut être prononcée. Ce principe est fondamentalement libertarien. Ce que vous faîtes à vous-même, ou ce que des adultes consentants font entre eux, peut bien être moralement répréhensible, pourquoi est-ce que ce devrait être illégal ?Un vice n’est pas un crime. Il existe une différence essentielle entre les deux.

Si nous sommes d’accord qu’il n’existe pas de crime s’il n’existe pas de victime, et que la seule raison d’être d’une procédure judiciaire est de forcer l’agresseur à rendre ce qui est dû à la victime, nous nous trouvons confrontés à un gros problème :  la restitution est-elle toujours possible ?

Laissez-moi vous donner quelques exemples. Quand une vitre a été brisée, il semble facile pour un juge, assisté d’experts en bâtiment, d’évaluer le montant des dégâts. Il appartient alors au juge d’ordonner aux casseurs de payer le remplacement de la vitre, plus les dégâts annexes, un nouveau tapis, par exemple, si l’ancien a été détérioré par la pluie. Si une voiture a été volée, le voleur doit évidemment rendre la voiture au propriétaire et le compenser pour les dommages éventuellement causés au véhicule, l’essence consommée, le kilométrage effectué abusivement, la location d’un véhicule de remplacement pendant la durée du vol, plus les coûts encourus par la police dans sa recherche du voleur (il n’y a pas de raison que la police, privée ou pas, soit entièrement payée par les honnêtes gens).

Le problème de la restitution apparaît plus complexe, peut être même insoluble, dans les cas de crimes de sang. Que signifie « restitution » dans le cas d’un homicide, par exemple ? A qui cette restitution est-elle due ? Les héritiers y ont-ils droit ?[7]  Peut-être, mais considérons un cas-limite, le meurtre sauvage d’un enfant. Il n’existe pas d’héritier dans ce cas pour réclamer quoi que ce soit. Les parents ? Mais on pourrait prétendre, même si c’est avec cynisme, que les parents, en termes monétaires, ont gagné à la mort de leur enfant, ils épargnent sur les jouets, l’alimentation, l’habillement, la scolarité…, autant d’économies qui amortiront vite le coût inattendu des funérailles. Il reste évidemment le chagrin, mais comment un juge évaluera-t-il le chagrin ? Et si les parents eux-mêmes sont les auteurs du crime (ces horreurs arrivent dans la vie n’est-ce pas ?), qui peut prétendre toucher une quelconque réparation ?

Considérons encore le cas d’un retraité, solitaire comme ils le sont si souvent de nos jours. Son corps poignardé est découvert par des voisins. Personne ne pleure sa mort. De lointains héritiers sont agréablement surpris de l’événement. La caisse de retraite verse une rente de moins. Qui se donnera la peine d’initier une procédure judiciaire ? Qui donc, en fait, peut prétendre à une quelconque réparation pour ce meurtre ? Le paradoxe apparent dans le cas d’agressions contre des personnes seules est que l’agresseur a intérêt à tuer systématiquement ses victimes, car si elles ne sont plus là pour se plaindre elles-mêmes de l’agression, il semble que personne ne sera intéressé à le faire. Sans un ministère public agissant « au nom de la société », on dirait que mon système judiciaire libertarien garantit l’impunité aux tueurs en série de petites vieilles sans famille.

extrait du site http://www.liberalia.com/htm/cm_punir_criminels.htm

Texte établi d’après la transcription d’une intervention en anglais

au cours d’un congrès tenu à Katowice en novembre 1996,

et reprise au congrès d’ISIL à Rome en octobre 1997.

cmichel@cmichel.com

(je crois que c'est le mail de l'auteur , mas c'est peut être celui du raducteur ou de l'herbergeur du site)

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Ecrire comme un porc passe encore, avoir l'éducation et la politesse de ce même porc ne passera pas, par contre.

*PLONK* (j'arrette pas en ce moment, je sens que je vais publier la liste pour faciliter la tache des autres).

C’est quoi cette attaque personnelle, je ne vois pas en quoi j'ai l'éducation d'un porc, j'ironise, c'est tout. On peut me faire remarque mais m'insulter je n'accepte pas.

"On peut savoir pourquoi tu es si agressif alors que personne ne t'attaque ?" m'as t on répondu quand j'ai tenu des propos agressif qui, soit dit en passant, n'était pas insultant et j'ai immédiatement présenté mes excuses.

J’attends la même chose. :icon_up:

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Librekom, le texte est bien de Christian Michel. D'ailleurs, tu as oublié sa réponse à l'objection soulevée dans le dernier paragraphe:

Cette opinion fait fi des ressources du marché. Les hommes de l’État rendent la solidarité obligatoire entre les êtres humains, mais cette solidarité existe naturellement. Elle existe entre les membres d’une même famille, d’une même ethnie, d’une même religion… Elle se construit librement à travers ces entreprises que sont les compagnies d’assurances, les mutuelles, les syndicats, les associations caritatives… Les hommes de l’État ont confisqué cette solidarité naturelle entre les gens. Si nous privatisons l’administration de la justice, nous rendons aux gens la possibilité de constituer des réseaux d’entraide, qui existent dans tous les groupes humains, sauf dans les sociétés socialistes et démocrates sociales.

Nous pouvons donc en confiance fonder les relations sociales sur cette solidarité volontaire. Ses manifestations prendront toutes les formes que l’imagination de l’être humain peut inventer, aussi mon ambition se limite-t-elle ici à suggérer quelques scénarios parmi une infinité d’autres possibles. Commençons par le deuxième exemple que je vous proposais, celui du retraité sans aucun lien familial ni social. Une telle solitude est improbable dans une société libertarienne pour des raisons qui seraient hors sujet ici, mais supposons qu’il en soit ainsi. Même dans ces circonstances extrêmes, la poursuite par la plupart des gens de leur intérêt bien compris assurera la protection de ce solitaire misanthrope ou froidement abandonné.

Comment la poursuite par chacun de son intérêt personnel peut-elle assurer une protection  policière et judiciaire au retraité solitaire ? J’émets l’hypothèse que les voisins de ce retraité pourraient bien prendre une assurance sur sa vie garantissant à leur association de quartier ou à une association caritative de leur choix le versement d’un capital en cas de mort violente de leur voisin. Le propriétaire de l’immeuble lui-même pourrait prendre une telle assurance. Pourquoi feraient-ils ce geste ? Parce que si le bruit courait qu’un individu sans assurance habitait le quartier, cet individu deviendrait la cible facile d’un criminel à qui serait garantie l’impunité. Voilà une situation dans laquelle le propriétaire et les voisins ne souhaitent pas se trouver. Il n’est pas facile de vendre ou louer un appartement s’il existe une victime toute désignée dans l’immeuble. Heureusement, les crimes sont rares dans la société, quoiqu’on dise, et encore plus rares dans une société libertarienne qui ne donne pas l’exemple de la violence institutionnalisée policière et militaire. C’est pourquoi, déjà aujourd’hui, les primes d’assurances contre le meurtre sont minimes. Elles sont à la portée de tous, y compris de propriétaires pingres, de voisins chargés de famille, et, bien sûr, de riches philanthropes. Ces derniers, au moins quelques uns d’entre eux, cessant d’être soumis aux confiscations du fisc, considéreront de leur devoir d’aider les plus pauvres dans la société. Il en va de leur répu­tation. J’imagine même que beaucoup d’institutions caritatives achèteront une prime sur la vie d’enfants et sur celles de sans-logis, d’abord parce qu’il leur appartient de le faire, et ensuite parce qu’elles toucheraient un joli capital si, par malheur, un de leurs protégés était assassiné.[8]

De son côté, la compagnie d’assurances exigera que la personne assurée soit sous la protection d’une société spécialisée (une agence de protection privée), à moins que cette compagnie n’offre le service elle-même. En effet, une personne protégée professionnellement risque moins une agression. Si les clients d’une de ces agences spécialisées étaient trop souvent victimes d’agression et si l’agence ne parvenait pas à en arrêter  les auteurs, cette agence perdrait vite sa réputation et ses revenus. On peut donc imaginer le zèle (inconnu des polices d’État) que ces agences mettraient à prévenir les agressions et, éventuellement, à en retrouver les coupables.

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En effet. A ce sujet, je signale à Librekom le point 6 de la charte du forum:

A bon entendeur…

j'accepte volontier ta remarque, mais je consdère bien plus discgracieuse l'insulte de "legion" que mes fautes d'orthographes.

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extrait du site http://www.liberalia.com/htm/cm_punir_criminels.htm

Texte établi d’après la transcription d’une intervention en anglais

au cours d’un congrès tenu à Katowice en novembre 1996,

et reprise au congrès d’ISIL à Rome en octobre 1997.

cmichel@cmichel.com

(je crois que c'est le mail de l'auteur , mas c'est peut être celui du raducteur ou de l'herbergeur du site)

Durkheim disait, concernant le crime, la chose suivante: Nous ne le reprouvons pas parce qu'il est un crime MAIS il est un crime parce que nous le reprouvons!

Normes et valeurs sont variables et dependent de chaque société.

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Il ne t'a pas insulté, mais a seulement déploré ta grossièreté.

éducation de porc, c'est pas une insulte ?????

en plus je ne vois pas ou j'ai été grossier, je n'ai pas été vulgaire non plus

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:icon_up: Relativisme sociologisant, quand tu nous tiens…

Oui….Je pense qu'il est impossible de comprendre les normes et les valeurs d'une société sans etudier son histoire! Les differentes formes d'organisation humaine sont issue d'une longue evolution. Comprendre pourquoi telle chose est juste a un moment donnée dans une société sans tenir compte des pratiques culturelles propre a ce pays, des evenements historiques, est absurde!

Chaque changement social a sa cause: Conflits sociaux, Role de l'Etat, guerres….!

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Melodius t'avait gentiment prié de faire plus attention à ton orthographe. Tu as vu comme tu lui as répondu ? Je ne trouve pas que cela soit le signe d'une politesse exquise.

j'ai répondu avec dérision et ironie à melodius, s'il s'est senti agressé il peut me répondre. mais je ne crois pas que l'humour est une agression ou un manque de politesse.

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Tu n'as bien compris la prémice .

Si le condamné est déclaré " civilement mort " , il n'existe plus pour la société et on fait comme en cas de décès .

Ce genre de discours me fait peur, où est le respect du vivant dans ces propos ? (Tu me diras où est le respect du vivant pour le gars qui a assassiné à tour de bras…. mais on en revient à un esprit de vengeance qui pour moi n'a pas sa place dans une société "civilisé")

Maintenant pleurer sur l' "humanité " de quelqu'un qui n'en a pas eu, ça frise la sensiblerie ridicule .

C'est là dessus que surfe le laxisme . On voit où ça mène ..

Mais si c'est votre choix…..

Exactement, je citerais la philosophe Evelye Thomas, "c'est mon choix, respecte le"…

Je ne suis pas croyant pour un sous, mais la religion enseigne une notion essentielle que je partage plus que la plupart des croyants il me semble, le pardon…

Libre à toi d'interpréter ça comme du laxisme, ou une flemme à punir les vilains, moi je vois ça comme une évolution "spirituel" de l'être humain…

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Ce genre de discours me fait peur, où est le respect du vivant dans ces propos ? (Tu me diras où est le respect du vivant pour le gars qui a assassiné à tour de bras…. mais on en revient à un esprit de vengeance qui pour moi n'a pas sa place dans une société "civilisé")

Exactement, je citerais la philosophe Evelye Thomas, "c'est mon choix, respecte le"…

Je ne suis pas croyant pour un sous, mais la religion enseigne une notion essentielle que je partage plus que la plupart des croyants il me semble, le pardon…

Libre à toi d'interpréter ça comme du laxisme, ou une flemme à punir les vilains, moi je vois ça comme une évolution "spirituel" de l'être humain…

Moi ce que je cherche c'est la réparation du dommage subit par la victime ou c'est proches, et la peine de mort ne répare rien, elle double la quantité totale de dommage subit au nom de la morale. Çà n'as pas de sens, on s'en fou que le criminel doive souffrir, ce qui m'intéresse c'est que la victime et ses proches ne souffre plus ou moins. Je me répète : la réparation .

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Moi ce que je cherche c'est la réparation du dommage subit par la victime ou c'est proches, et la peine de mort ne répare rien, elle double la quantité totale de dommage subit au nom de la morale. Çà n'as pas de sens, on s'en fou que le criminel doive souffrir, ce qui m'intéresse c'est que la victime et ses proches ne souffre plus ou moins. Je me répète : la réparation .

Va falloir piquer des sarcophages aux Goa'ulds si tu veux réparer les dommages d'un assassin……. Je ne vois pas d'autres solutions !! :icon_up:

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Va falloir piquer des sarcophages aux Goa'ulds si tu veux réparer les dommages d'un assassin……. Je ne vois pas d'autres solutions !!  :doigt:

moi yana pas avoir compris :icon_up:

c'est quoi Goa'ulds ?

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