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Et encore les profs…


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en général ce sont les esprits très scolaires qui réussissent et tous ceux qui ont une autre forme d'intelligence, malgré un potentiel peut-être parfois énorme, passent à la trappe.

Tout à fait exact, et dans ce domaine, le délit d"intié des profs est relativement intolérable, leurs enfants, miraculeusement, réussissent mieux que les autres, ou, pour être plus précis, légèrement mieux que les CSP+. (catégorie socio professionnelles supérieures)

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Je ne sais pas si c'est paradoxal mais je serais plutôt d'accord avec les critiques exprimées ici concernant les enseignants.

Je trouve aussi que la faible curiosité intellectuelle est courante chez les enseignants (en tout cas en France). La charge de travail est effectivement assez basse et tout est fait pour les infantiliser.

Le travail est peut-être peu évalué dans l'Education nationale mais je pense que les choses vont changer. Nos "élites" se sont aperçu que le système était peu productif et la seule réponse que les hauts-fonctionnaires et les politiciens peuvent imaginer est la mise en place de contraintes toujours plus précises et bureaucratiques.

Par ailleurs, je ne suis pas sûr qu'il y ait plus de dépressions nerveuses dans l'EN qu'ailleurs. Si quelqu'un a des sources ?

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Je ne peux qu'approuver, à se demander si nous n'avons pas fréquenté les mêmes établissements…

Sans aller jusqu'à professer la même haine que Valentin envers le corps enseignant, force m'est de reconnaître que la plupart des profs que j'ai subis au cours de mon tumultueux cursus scolaire étaient des crétins finis, voire pour certains des ordures de première. Je ne garde un bon souvenir que des mes profs de CP et de CE1/2, des vieilles ganaches certes un peu rudes mais qui nous permirent à mes camarades et à moi d'échapper à l'illettrisme. Les choses commencèrent à se gâter en CM1, quand nous écopâmes d'une jeunette fraîche émoulue du CAPES, pas fichue d'écrire le mot "dinosaure" correctement mais très portée sur les méthodes pédagogiques "modernes". C'est à partir de ce moment-là que j'ai appris malgré mes profs, et non plus grâce à eux.

Sans vouloir te flatter (tu me connais…) si tu es l'exemple type des illettrés produits par l'EN, ça n'a pas l'air d'aller trop mal.

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Tout à fait exact, et dans ce domaine, le délit d"intié des profs est relativement intolérable, leurs enfants, miraculeusement, réussissent mieux que les autres, ou, pour être plus précis, légèrement mieux que les CSP+. (catégorie socio professionnelles supérieures)

Les enseignants connaissent bien le système de l'intérieur et savent ce qu'on attend des élèves. Ils recourent aussi beaucoup aux dérogations pour mettre leurs enfants dans les moins mauvaises écoles.

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Je ne crois pas avoir dit que je trouvais que "faire cours" était à la portée du premier venu. Je pense au contraire que ce travail nécessite un certain nombre de "compétences relationnelles" (communication, pédagogie, autorité, etc.) indépendantes du niveau de connaissance disciplinaire. Ma critique portait sur le volume de travail que j'estime trop faible et qui contribue de ce fait à inscrire les profs dans un rythme routinier…

C'est possible.

Je ne pense pas que c'est au niveau du volume que se situe le problème. Par contre, la manque d'autonomie dû à des programmes trop restrictifs contribue certainement à la sclérose.

Concernant "l'absence de réflexion", j'y suis peut-être allé un peu fort…

Certes, la plupart des enseignants réfléchissent à la manière de dispenser leurs cours. Mais ce que je voulais souligner, c'est l'écart énorme qu'il existe entre le concours et la réalité du métier. Pour moi, c'est un peu comme si on sélectionnait des ouvriers sur la base d'un processus de recrutement de cadres. Le concours d'agrégation, par exemple, est d'un niveau très élevé. Pourtant, par la suite, on réduit ces enseignants à des "hommes-mains". La seule exigence que l'on a vis-à-vis d'eux, c'est qu'ils exécutent un programme défini dans les moindres détails. On n'attend pas d'eux qu'ils mettent régulièrement à jour leurs connaissances, qu'ils fassent preuve de créativité ou d'autonomie. Bien sûr, certains enseignants, plus curieux que d'autres, continueront - mais tout seul, dans leur coin - à stimuler leurs neurones. Mais, personnellement, ce que j'ai observé durant mon court passage dans le secondaire, ce sont surtout des enseignants fainéants intellectuellement. Pour préparer leurs cours, ils se contentent de recopier les manuels (et ne vont jamais vérifier les informations à la source en allant consulter les ouvrages scientifiques). Pour les exercices, ils puisent dans des ouvrages des exercices prêts à l'emploi avec corrigés. Bref, aucune créativité, aucune curiosité.

Le travail d'un épicier, par exemple, fait beaucoup plus appel à la réflexion, pour toutes les micro-décisions qu'il doit prendre quotidiennement.

Il est sûr qu'il est facile de céder à la facilité. Les exercices des manuels ne me convainquent qu'à moitié, alors je conçois mes propres exercices. Ca prend parfois énormément de temps mais au moins je suis satisfait du résultat. Meme chose pour la mise à jour des connaissances. Mais je reconnais qu'il s'agit là plus d'un trait de caractère qui m'est propre (et qu'heureusement je partage avec certains collègues).

Encore une fois, c'est le système que je dénonce, système qui n'encourage pas du tout les enseignants à se surpasser intellectuellement ou à continuer de développer leurs connaissances. Et on en connait le résultat. Comme Gadrel, je trouve surprenant de rencontrer des enseignants si peu cultivés. N'est-il pas paradoxal de vouloir sélectionner des gens d'un bon niveau pour après leur prescrire toutes leurs tâches, jusqu'à leur indiquer les exemples à développer dans leurs cours pour illustrer tel point du programme… ? :icon_up:

Effectivement.

De fait, le système n'encourage pas l'initiative et a parfois même tendance à la décourager. Pour ma part, je ne serais pas opposé à une privatisation. Le système des programmes est beaucoup trop centralisé et surtout laissé à des gens qui ne sont plus en contact avec le terrain.

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De toutes façons, un système bureacratique et rigide tel que l'EN ne peut qu'engendrer ce genre de conséquences :

- les programmes sont imposés

=> moins de place pour l'initiative

=> faible réactivité pour éliminer les méthodes pédagogiques merdiques

- les profs sont invirables

=> prolifération de j'menfoutistes ou de gens qui n'ont aucune prédispositions pour ce métier (absence d'autorité, absence d'intérêt pour la matière qu'ils enseignent) et qui sont là pour la sécurité de l'emploi

=> vivier de syndicalistes privilégiés qui s'opposent à toute réforme

- le placement dans les établissements est fait de manière centralisée

=> aucune possibilité pour les directeurs d'établissements de sélectionner des équipes pédagogiques cohérentes

- gestion étatique des effectifs

=> abhérations du genre mettre les instits qui ont échoué au concours dans les zones sensibles

etc.

Enfin un dernier truc, je trouve que pour pas mal de matières cette idée de penser que prof est un métier qui peut s'exercer toute la vie après un concours est vraiment stupide. J'ai eu la chance d'être dans une école privée dont nombre d'enseignants avaient eu une autre activité professionnelle auparavant, et c'est vraiment un plus.

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J'ai déja répondu au sujet des profs sur d'autres listes. Pour faire bref, il y a deux catégories : les motivés et les autres. Les motivés sont géniaux, ils sont prêts à tout pour exercer le métier. Les autres… mmh.

Actuellement, le statut de prof de l'éduc nat empêche que des gens normaux (motivés par l'argent quand même) ne fassent le métier de prof. Alors les seuls qui le font sont ceux qui sont si motivés qu'ils acceptent le salaire de merde même s'ils bossent comme des tarés, et ceux qui sont surtout intéressés par la possibilité de ne pas bosser sans subir aucune conséquence.

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Sans vouloir te flatter (tu me connais…) si tu es l'exemple type des illettrés produits par l'EN, ça n'a pas l'air d'aller trop mal.

Je ne suis pas un exemple type, hélas. :icon_up:

Mon parcours scolaire, comme je le disais dans mon précédent message, fut pour le moins tortueux, notamment du fait de ma mauvaise santé qui faisait que je n'étais pas très souvent en classe. A la fin, j'ai carrément laissé tomber la voie traditionnelle et j'ai donc terminé ma scolarité à la maison, grâce à cette merveilleuse invention que l'on appelle les cours par correspondance.

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Euh, ca, ca ne trompe personne. On sait bien que pour une grande partie de profs, ils préparent leurs cours sur leur première, deuxième, voir troisième année d'enseignement, et qu'ensuite, il rebalance la même sauce les autres années.

Et après on fait des extras pour arrondir les fins de mois… Mais les premières années sont violentes

(en tous cas je fais plus de 60 heures/semaine).

VeloDeus, dans sa deuxième année d'enseignement, et qui a déjà son cours sur polycopiés…

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Vélodeus, Sylvain et moi sommes des profs assez "jeunes". Quand je vois mes collègues jeunes enseignants, je suis frappé par la motivation et l'implication de ces gens dans leur travail, dans la vie de l'école, et dans le côté "assistant social" de notre métier. Mon école est une école "difficile" (mais pas ingérable et sans trop de problèmes de violences) et un des aspects agréables du métier est la possiblité que nous avons d'être plus que de simples profs pour les élèves, de les accompagner et de les aider à surmonter les situations parfois tres dures qu'ils vivent.

Mais je me demande si cette motivation et cette implication ne sont pas "broyées" par le système étatique et les syndicats au bout de quelques années.

Personnellement, je suis un enseignant assez atypique, il faut bien l'avouer. D'abord parce que j'ai travaillé 5 ans dans le privé. Ensuite parce que je suis également musicien. Ensuite parce que je vais sytématiquement plus loin que les programmes, ce qui va sans doute m'attirer des ennuis avec les inspecteurs. Heureusement, dans le système belge, la direction peut contrebalancer les avis des inspecteurs et ainsi soutenir les enseignants qui veulent faire plus, mieux et différemment.

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Invité Pentium
Personnellement, je suis un enseignant assez atypique, il faut bien l'avouer. D'abord parce que j'ai travaillé 5 ans dans le privé.

Tiens, moi je vais faire le chemin inverse…

Ensuite parce que je suis également musicien.

Comme Velodeus.

Et quand on chante à la messe, ça compte ?

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Tiens, moi je vais faire le chemin inverse…

Comme Velodeus.

Et quand on chante à la messe, ça compte ?

Ca dépend.

D'abord, chantes-tu juste ?

Ensuite, que chantes-tu ?

Si c'est des trucs du genre "Allez-vous en sur les places et sur les parvis, allez-vous en sur les places, y chercher mes amis. Tous les enfants de mon Père, séparés de Lui, tous les enfants de lumière, perdus dans la nuit", ça compte pas.

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Invité Pentium
Ca dépend.

D'abord, chantes-tu juste ?

Oui.

Ensuite, que chantes-tu ?

Si c'est des trucs du genre "Allez-vous en sur les places et sur les parvis, allez-vous en sur les places, y chercher mes amis. Tous les enfants de mon Père, séparés de Lui, tous les enfants de lumière, perdus dans la nuit", ça compte pas.

Gné ? 'Connait pas ce chef d'oeuvre de l'art liturgique.

Bon, je chante avec le peuple. En général, c'est des trucs assez simples, sauf parfois les kyrie, et le salve regina (je précise que je suis le rite Vatican II).

Cela dit, je trouve que certains chants simples sont très beaux, comme le Notre Père de Rimsky Korsakov par exemple.

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Ah. J'applaudis à la plupart des réalisations de Vatican II, mais d'un point de vue liturgique, je suis fermement dans le camp de Brassens:

Tempête dans un bénitier

Le souverain pontife avecque

Les évêques, les archevêques

Nous font un satané chantier

Ils ne savent pas ce qu'ils perdent

Tous ces fichus calotins

Sans le latin, sans le latin

La messe nous emmerde

A la fête liturgique

Plus de grand's pompes, soudain

Sans le latin, sans le latin

Plus de mystère magique

Le rite qui nous envoûte

S'avère alors anodin

Sans le latin, sans le latin

Et les fidèl's s'en foutent

O très Sainte Marie mèr' de

Dieu, dites à ces putains

De moines qu'ils nous emmerdent

Sans le latin

Je ne suis pas le seul, morbleu

Depuis que ces règles sévissent

A ne plus me rendre à l'office

Dominical que quand il pleut

Il ne savent pas ce qu'ils perdent

Tous ces fichus calotins

Sans le latin, sans le latin

La messe nous emmerde

En renonçant à l'occulte

Faudra qu'ils fassent tintin

Sans le latin, sans le latin

Pour le denier du culte

A la saison printanière

Suisse, bedeau, sacristain

Sans le latin, sans le latin

F'ront l'églis' buissonnière

O très Sainte Marie mèr' de

Dieu, dites à ces putains

De moines qu'ils nous emmerdent

Sans le latin.

Ces oiseaux sont des enragés

Ces corbeaux qui scient, rognent, tranchent

La saine et bonne vieille branche

De la croix où ils sont perchés

Ils ne savent pas ce qu'ils perdent

Tous ces fichus calotins

Sans le latin, sans le latin

La messe nous emmerde

Le vin du sacré calice

Se change en eau de boudin

Sans le latin, sans le latin

Et ses vertus faiblissent

A Lourdes, Sète ou bien Parme

Comme à Quimper Corentin

Le presbytère sans le latin

A perdu de son charme

O très Sainte Marie mèr' de

Dieu, dites à ces putains

De moines qu'ils nous emmerdent

Sans le latin

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Invité Pentium
Ah. J'applaudis à la plupart des réalisations de Vatican II, mais d'un point de vue liturgique, je suis fermement dans le camp de Brassens:

Je suis d'accord. Mais à mon avis, le problème ne vient pas de l'abandon du latin (même si j'aime bien pour les chants traditionnels), mais plutôt du fait que beaucoup de gestes ne font plus sens pour la plupart des fidèles, voire ont un sens dévoyé (le prêtre à l'envers…).

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Pour avoir la conscience tranquille :

Je me suis aperçu que dans ce fil j'avais ommis un détail important. Quand je dis que les profs ne travaillent que très peu, qu'ils reprennent les cours des années précédentes, je me met en position dangereuse car on pourrait penser deux choses (qui sont bien sûr fausses) :

:icon_up:

1- Que les libéraux sont des gens qui font des généralités et qui ont une haine farouche envers les fonctionnaires du service public, et plus particulièrement envers les profs.

Ce qui est faux car il existe des exeptions parmi les profs : la mère de mon ami, prof d'HG s'oblige à brûler ses cahiers en fin d'année pour ne pas être tentée de recopier les cours. C'est une exeption au sein de son établissement. Et comme par hasard, c'est aussi la seule qui ne fait jamais la grève…

2- Que je fais tout cela car j'ai un compte personnel à régler envers les profs.

Tout cela est faux et il faut bien comprendre que je considère qu'il y a des exceptions parmi les profs et qu'il y en a des courageux, que je ne peux que féliciter.

Voilà, j'ai la conscience tranquille… :doigt:

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J'ai un ami qui prépare l'agrégation de biologie et je suis vraiment impressionné par ses connaissances et du niveau de réflexion requis pour espérer décrocher l'agrégation.

Mais quand je pense aux cours de SVT dispensés au secondaire je me dis que c'est du gâchis et qu'avec un niveau pareil un enseignement dans le supérieur serait plus approprié.

Alors que les véritables compétences pour être prof dans le secondaire ne sont pas du tout requises par le concours. La talent d'enseignant pour moi, est analogue au talent d'un manager en entreprise : c'est quelque chose qu'on a ou pas, c'est une question de personnalité.

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Ma mère à moi est commerçante, elle aura droit à moins d'un RMI pour sa retraite, elle à 47 ans, 4 enfants, et doit encore bosser 7 ans pour ouvrir les droits minimums (si elle veut toucher sa pension complète elle doit bosser jusqu'à 65 ans).

Si les fonctionnaires étaient vraiment des gens biens (comme on arrete pas de nous le bassiner) ils demanderaient l'égalité.

On a les fonctionnaires qu'on mérite :icon_up:

A mon niveau je me fais régulièrement mal voir en militant pour la refonte du statut des fonctionnaires mettant fin à la garantie de l'emploi à vie, fixant des objectifs pour chaque fonctionnaire, augmentation individuelle après examen des états de service, possibilité de sortir de la sécu, etc…

Résultat je me fais traiter d'e….é, de traître, etc… par les cégétistes!

Ceci dit, j'aimerais qu'un léger distingo soit effectué quant aux fonctionnaires. Il y a les gratte-papier qui ont toujours l'oeil sur la pendule, qui arrivent en retard, partent en avance, etc… et il y a les agents actifs, de terrain comme les pompiers, les flics, les infirmières qui eux font rarement les 35 heures (et s'en foutent d'ailleurs sinon ils seraient dans des bureaux, bien planqués), ne rechignent pas à la tâche et qui en définitive se voient octroyer par décision ministérielle la même augmentation que le planqué de l'état-civil ou des archives locales.

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A mon niveau je me fais régulièrement mal voir en militant pour la refonte du statut des fonctionnaires mettant fin à la garantie de l'emploi à vie, fixant des objectifs pour chaque fonctionnaire, augmentation individuelle après examen des états de service, possibilité de sortir de la sécu, etc…

Résultat je me fais traiter d'e….é, de traître, etc… par les cégétistes!

Ceci dit, j'aimerais qu'un léger distingo soit effectué quant aux fonctionnaires. Il y a les gratte-papier qui ont toujours l'oeil sur la pendule, qui arrivent en retard, partent en avance, etc… et il y a les agents actifs, de terrain comme les pompiers, les flics, les infirmières qui eux font rarement les 35 heures (et s'en foutent d'ailleurs sinon ils seraient dans des bureaux, bien planqués), ne rechignent pas à la tâche et qui en définitive se voient octroyer par décision ministérielle la même augmentation que le planqué de l'état-civil ou des archives locales.

Il n'y a pas de militaires ou de policiers gratte-papiers ? Dans certains cas, cela vaudrait d'ailleurs mieux !

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Pour les militaires je m'abstiendrais de répondre ne l'étant pas moi même, pour ce qui est de la police il y a encore des flics gratte-papiers, de moins en moins quand même depuis quelques temps, mais il n'en reste pas moins vrai que ces derniers ne devraient pas être rémunérés comme les collègues de terrain.

Maintenant en ce qui concerne votre petite pique finale tous ne correspondent pas au bon vieux cliché usé du flic borné. Mais j'avoue que lorsque je vois une mère de famille avec ses enfants être obligée d'emprunter la chaussée carrossable pour continuer son chemin parce qu'un gros c.. a garé sa bagnole en plein sur le trottoir, il est clair que le carnet me démange. C'est quelque chose que je déteste faire mais je déteste également les sans gêne qui se foutent royalement des autres, la vie serait certainement plus facile avec un peu plus de considération pour autrui. Non?

Ceci dit, vous pouvez circuler sans ceinture, je m'en contrefout, c'est votre peau, tout ce que je vous demande c'est d'attacher vos gamins, eux ils n'ont pas demandé à naître et vous leur devez la sécurité.

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C'est quelque chose que je déteste faire mais je déteste également les sans gêne qui se foutent royalement des autres, la vie serait certainement plus facile avec un peu plus de considération pour autrui. Non?

Ô combien ! Mais je ne vois pas en quoi le manque de courtoisie devrait être verbalisé.

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Il ne s'agit pas là d'un manque de courtoisie que je verbalise mais un comportement qui met en danger la vie d'autrui en l'occurence les mères avec leurs enfants, les handicapés qui ne peuvent utiliser le trottoir pour circuler.

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Il ne s'agit pas là d'un manque de courtoisie que je verbalise mais un comportement qui met en danger la vie d'autrui en l'occurence les mères avec leurs enfants, les handicapés qui ne peuvent utiliser le trottoir pour circuler.

Garer sa bagnole sur le trottoir ne met en danger la vie de personne, ou alors je ne comprends pas (NB: je ne dis pas que j'approuve ce comportement - ahhh, si les trottoirs étaient privatisés… -, je réponds seulement à votre dernier argument). Ensuite, excusez-moi, mais l'argument des handicapés, des femmes et des enfants, je trouve cela un peu larmoyant - typiquement celui qu'emploient les politiciens faisant la pêche aux voix.

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