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Le Café Liberté: Annonces, Compte-rendus, Comments


ricotrutt

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Compte rendu du Café Liberté du 14-02-2005

Cette semaine le débat portait sur la réforme Fillon, avec un prolongement vers le modèle d’éducation souhaitable dans un monde libéral. Le monde n’était pas forcément au rendez vous de cette réunion, mais nous avons néanmoins pu survoler les grandes lignes de la réforme et proposer quelques pistes sur l’éducation.

En ce qui concerne le projet de Fillon tout d’abord, il faut savoir que la commission qu’il a ordonnée part d’une constatation d’échec de l’école française parce que celle ci :

1- ne réduit plus les inégalités

2- dispense une formation moyenne

3- la proportion de bacheliers n’augmente plus

4- trop de gens sortent du système scolaire sans aucune qualification

Partant de là, Fillon souhaite définir une politique sur plusieurs années, avec des objectifs quantitatifs, ceux ci seront contrôlés par le Haut Conseil à l’Education. Bref Fillon nous réinvente le planisme à la française !

Les changements qu’il propose sont les suivants :

1- Proposer du soutien individuel aux élèves dès le collège

2- Développer les langues vivantes

3- Inciter les professeurs à remplacer leurs collègues malades

4- S’assurer que personne ne quitte le système sans un socle de connaissance

5- Faire passer le nombre d’épreuves au bac de 12 à 6, avec une certaine dose de contrôle continu

6- Plus intéressant pour nous : il compte faire inscrire la « transmission des valeurs de la république » dans la loi fixant les objectifs de l’école

7- Il compte également faire inscrire les objectifs chiffrés dans cette loi

Il convient donc de faire un bilan de sa proposition :

1- il part d’une analyse des problèmes fausse puisque le fait que l’école ne réduise pas les inégalités n’est pas un problème : ce n’est pas son rôle. Par contre il y a clairement un problème de violence scolaire, un problème d’objectivité dans la formation des maîtres.

2- L’école devrait désormais transmettre les valeurs de la république : mais qui décide de quelles valeurs sont transmises ?

3- Sa vision planifiée de l’école est très dangereuse

Donc pour conclure c’est un projet qui ne change pas grand chose aux problèmes, qui en pose d’autres et qui institutionnalise toujours plus le dirigisme en France. Il part de mauvaises analyses pour conclure sur de mauvaises méthodes. Bref il n’est pas acceptable parce qu’il ne fait pas évoluer les choses, peut être même les fait il régresser.

Nous avons ensuite débattu de plusieurs points, à commencer par le problème des la responsabilité et de la violence à l’école. Il semble évident que les maîtres doivent pouvoir imposer leur autorité, mais comment tracer les limites ? Le problème semble être que les élèves ne risquent aucune sanction aujourd’hui. Même s’il se font renvoyer un autre établissement devra obligatoirement les accepter. A été proposée l’idée qu’un socle de connaissance soit une condition nécessaire à l’octroi d’allocations ; ainsi le jeune qui se fait renvoyer devra trouver lui même un nouvel établissement, ou ne jamais toucher d’allocations.

Est bien entendu venue ensuite la question de la privatisation totale de l’école. Il semble en effet injuste que certains payent pour l’école publique en ayant leurs enfants dans le privé. Mais une simple déduction d’impôts viendrait résoudre le problème, ce qui ramène finalement le système publique à un système privé collectivisé.

Plus précisément sur les réformes proposées par Fillon, en ce qui concerne les langues étrangères qui seront enseignées plus tôt, il semble que l’analyse du problème soit mauvaise : des sociologues vont même jusqu’à dire que l’age du début de l’apprentissage ne change rien. En France le problème semble être la pédagogie et le nombre d’heures qui font gravement défaut : on ne parle jamais anglais en cours d’anglais, on lit et on commente des textes.

Un système par semestres où les cours de langues seraient très nombreux les six premiers mois d’une années et assez rare la seconde partie de l’année a été proposé, puisqu’il semble que ce soit la pratique fréquente lors de l’apprentissage qui fasse la différence. Cependant on peut douter que ce soit une bonne façon de maintenir les acquis.

Une autre idée est de créer des classes multiculturelle, avec des jeunes venant de tous les pays d’Europe dans TOUTES les classes. Mais cela nécessite une uniformisation scolaire européenne qui n’est pas forcément souhaitée.

Concernant le projet libéral sur l’école, il a été rappelé qu’il ne s’agit pas de faire du constructivisme en partant de la situation actuelle pour imaginer ce qu’on pourrait crée, mais plutôt de comprendre le contexte et de vouloir influer sur celui ci pour que les choses évoluent librement d’elle même.

C’est ainsi qu’il a été dit que la suppression de la carte scolaire semble être l’une des mesures les plus simples et les plus importantes à prendre. Cela serait un révélateur du niveau réel des lycées et ne devrait pas aboutir à des changements si radicaux. En ce qui concerne les effectifs des classes, pourquoi les professeurs en concertation avec les parents d’élèves, et l’administration ne proposeraient il pas le nombre d’élève auquel ils se sentent capable d’enseigner ?

D’autre part il serait souhaitable que les corps des professeurs soit géré comme un ensemble de salariés. Pour cela ils doivent être managés, et les inspecteurs qui existent déjà pourraient voir leur rôle évoluer de simple agent de promotion de carrière à celui de responsable des ressources humaines de l’éducation nationale. On peut imaginer une agences des inspecteurs qui passeraient un contrat avec l’Etat où elle s’engagerait à assurer un certain niveau d’exigence de l’enseignement.

Pour conclure, il a été rappelé que l’élément central de la réflexion sur l’éducation est l’enfant et non le professeur, que le rôle de l’Etat est d’offrir des capacités (le choix du mot importe) aux enfants, et qu’il s’agit d’une de ses fonctions régaliennes. Il a été aussi affirmé qu’il n’y a pas de déterminisme social dans l’éducation mais une différence d’accès à l’information (ceux qui ont connaissance des moyens mis à leur disposition et les autres. Enfin dans un sens plus politique que l’Education Nationale ne pouvait pas se réformer en rasant tout pour repartir de zéro mais que son poids prépondérant dans l’équilibre économique et social nécessite une réforme lente mais profonde et censée, ce que ne semble pas vouloir mener Fillon.

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Invité Aurel
j'essaie effectivement de centraliser les infos, mais bon c'est pas toujorus très bien fait comme me l'a gentiment expliqué hier jabial… :icon_up:

en tout cas meric pour tes encouragements

Bon, visiblement, il n'y avait pas que des libéraux dans la salle !

Lundi prochain, je vais devoir reprendre tout ça en main…sereinement !

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Bien le bonjour !

C'est reparti pour notre Café Liberté lundi prochain..

Au programme, nos commentaires sur la soirée de mardi des cercles libéraux

et l'intervention de Madelin et de ses copains ( et un petit résumé pour

ceux, nombreux qui n'étaient pas là ). La directive Bolkenstein que nous

n'avons pas eu le temps d'aborder lundi dernier, et la suite du feuilleton à

non-suspens Fillon et les Lycéens.

Et une surprise que va nous dévoiler Christophe Vincent.

Lundi 21 février, 20H, au Café Le Luxembourg 58, boulevard Saint Michel,

75006 Paris.

A lundi

L'équipe du Café Liberté

et alors le fait d'avoir des non-libéraux est mal aurel? :icon_up:

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Tous les comptes rendus sur le site officiel

Compte rendu du café liberté du 21 02 2005

Ce café liberté avait pour thème la directive bolkestein, mais les conversations ont porté sur trois autres sujets le plan fillon, les indicateurs conjoncturels et le SMIC en france, et le projet de Parti libéral de Christophe Vincent

Concernant la directive Bolkestein nous avons juste présenté de manière synthétique le projet, tant il est évident que les libéraux sont clairement en faveur de ce projet.

Le contexte de la mise en place de cette directive est la continuation du projet de création de marché unique, projet qui date de la signature des traités de Rome de 1957. La directive vient s'ajouter au processus d'ouverture des frontières aux flux de marchandises et d'hommes. L'enjeu est pourtant considérable puisque les services représentent 70% du PNB européen.

Les objectifs sont très clairement définis puisqu'il s'agit "d'établir une cadre juridique qui supprime les obstacles à la liberté d'établissement des prestataires de services[…]et qui garantisse aux prestataires ainsi qu'aux destinataires la sécurité juridique nécessaire à l'exercice effectif de ces deux libertés fondamentales" (il est là question des libertés fondamentales définies dans le traité de Rome). Pour cela la commission se donne comme objectif de supprimer les entraves à l'implantation de prestataires de services à l'étranger ainsi que celles à la prestation de services à l'étranger.

Pour cela la directive affirme le "droit des destinataires à ne pas être empéchés ou dissuadés par des mersures restricitves de la part de leur pays ou par des comportements discriminatoires des autorités publiques de consommer des services prestés par un fournisseur étranger". Deux choses très importantes sont à noter tout d'abord on se soucie du droit du "destinataire", c'est à dire de l'individu et non de l'entreprise ou des masses. D'autre part les "comportements discriminatoires" n'incluent pas les services publics (qui pourtant en sont) puisqu'il est clairement spécifié dans le text de loi que ceux ci sont exclus de la libéralisation. On peut le regretter, mais on peut surtout souligner les mensonges de la démagogie gaucharde qui soutient que c'est une directive qui signifie la mort des services publics. En ce qui concerne le principe du pays d'origine, il est spécifié que le prestataire de services appliquera le droit du pays dans lequel il est "établit" ce qui signifie que pour qu'un polonais applique le droit polonnais en france, il faut que ses employés ne travaillent que temporairement en France (il est serait étonnant que des maçons puissent se payer l'aller retour tous les jours Vienne paris!!) Encore une fois sur ce point la gauche ment.

Parmi les complaintes exprimées contre cette directive, celle de Chirac ou de Raffarin sont particluièrement mal venues puisque cette directive a été demandée au congrès de Lisbonne de 1997 auquel ils ont assisté et a été confirmée par le conseil d'état européen où ils siègent.

Il faut également noter l'important nombre de dérogations suivant certaines catégories de métiers. En gros la directive libéralise le petit commerce, c'est tout.

Concernant le principe du pays d'origine, il faut noter qu'il s'agit du prolongement d'une jurisprudence européenne qui date des années 1970 qui a autorisé le commerce d'un produit sur tout le territoire européen dès lors qu'il e=était visé par un pays membre, et qui a permis une harmonisation très rapide des normes. L'objectif est le même ici car plutot que d'attendre que les pays s'entendent sur toutes les normes des services, on laisse le marché imposer une harmonisation qui sera demandée par le consommateur.

Outre cet intéret énorme, il est à noter que la directive va surtout aider les PME (car les grandes entrepises jouent à une toute autre échelle) et que ça va donc être très bénéfique en particulier pour la france.

En bref c'est une directive qui part du constat de lenteur des harmonisations de normes et de la réussite du marché pour l'harmonisation des normes pour les marchandises, et qui veut donc laisser le marché libre pour permettre plus d'intégration économique, ce qui est, soulignons le, une solution réelle au problème de délocalisation de nos entreprises en europe de l'est. Il est donc important que les libéraux communiquent sur cette directive car les communistes déforment ce texte à des fins électorales. Nous l'avons vu ils mentent sur un certain nombre de points, il faut absolument leur répondre. C'est ce que nous avons essayé de souligner à l'occasion de cette rencontre.

Nous sommes également brièvement revenus sur le débat de la semaine précédante puisqu'un certain nombre de participants n'y étaient pas présents et qu'ils ne s'étaient de toute évidence pas renseigné ailleurs que dans libé ou l'huma. L'occasion donc de rappeler que ce plan peu difficilement être défendu par des libéraux puisqu'il propose une réformette certes, mais sans conséquence intéressante voire avec des problèmes graves dont le dirgisme que nosu avions souligné lors du débat précédant. L'avancée que présente le socle de connaissance a donné lieu à débat puisque pour certains l'Etat doit absolument fournir cette base. C'est ainsi que certains ont argumenté de la manière suivante la concurrence sert à définir la meilleure solution lorsqu'on ne la connait pas à l'avance, or là on connait la meilleure solution c'est la socle de connaissance. Ceci a été vivement réfuté par ceux d'une part qui pensent que la meilleure solution c'est l'éducation que désirent chaque parents, et que pour cela l'éducation doit être privatisée; et d'autre part par ceux qui considèrent qu'il n'y a pas de meilleure solution, parce que le socle commun n'est pas un objectif mais une condition nécessaire. L'objectif c'est que chacun donne le meilleur de lui même dans son apprentissage, pas qu'il dispose d'un minimum vital. Pour cela il a été souligné que la suppression de la carte scolaire et l'autonomisation des universités et collèges seraient les étapes fondamentales d'un vrai progrès de l'éducation. Il a aussi été souligné que c'est à l'école de se réformer par elle même et non pas à l'Etat d'essayer de définir une école parfaite (ce qui relève du constructivisme), et qu'en cela l'autonomie était essentielle.

Nous avons aussi globalement parlé du fait que les journaux font actuellement leurs gros titres avec les profits qui auraient augmenté plus que les salaires ces cinq dernières années. En réponse nous avons rappelé que la comparaison juste à faire est celle des dividendes face au cout de la masse salariale (qui englobe les taxes patronales, c'est à dire qui représente la vraie somme allouée à l'embauche d'un salarié) et non pas comparer l'évolution des salaires avec celle des dividendes. D'autre part tout est question de long terme si la part des salaires a reculé c'est qu'elle avait fortement augmenté. Regarder l'évolution sur 5 années seulement relève du démagogisme journalistique de base. Enfin il est assez surprenant de voir une opposition salarié-capital alors que dans la réalité les deux sont très fortement liés et ont le même intéret produire de la valeur ajouté. Ils travaillent donc ensemble et ne sont certainement pas en conflit.

Enfin C.Vincent a proposé son idée de parti libréral il part du constat d'un manque de communication sur le libéralisme aujourd'hui, et il considère que l'étiquette "parti" est nécessaire pour être crédible aux yeux des journalistes. Pour cela il propose de créer cette "coquille" qui n'a pas vocation à prendre le pouvoir mais simplement à pouvoir donner une réponse libérale à des attaques des communistes, ou à pouvoir avoir une vitrine explicative du libéralisme pour le citoyen lambda. En cela il semblait globalement suivi par l'ensemble des présents, mais nous n'avons pas eu le temps de dicerter sur les moyens à mettre en oeuvre. Peut être pour une prochaine fois?

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Enfin C.Vincent a proposé son idée de parti libréral il part du constat d'un manque de communication sur le libéralisme aujourd'hui, et il considère que l'étiquette "parti" est nécessaire pour être crédible aux yeux des journalistes. Pour cela il propose de créer cette "coquille" qui n'a pas vocation à prendre le pouvoir mais simplement à pouvoir donner une réponse libérale à des attaques des communistes, ou à pouvoir avoir une vitrine explicative du libéralisme pour le citoyen lambda. En cela il semblait globalement suivi par l'ensemble des présents, mais nous n'avons pas eu le temps de dicerter sur les moyens à mettre en oeuvre. Peut être pour une prochaine fois?

Fédérateur,trice adj 1. Qui organise et favorise une "Fédération" 2. fig Ou qui rassemble par sa mesure, ses propos, sa conduite, un plus grand mouvement Fédérateur.

Réformateur,trice n: Personne qui propose au nom d'un mouvement, d'une

fédération, ou d'un parti, une, ou des réformes. adj Qui vise avant tout à

réformer dans les actes et non dans les beaux discours inutiles et vains.

Espérer vt Souhaiter, attendre avec confiance. Mettre sa confiance, dans la

vie, dans la liberté, dans la Divine Providence et non dans un Etat Providence.

Espérance nf Attente confiante de quelque chose, d'inattendu, d'imprévisible; objet de cette attente contre toute espérance, croire en cela: alors que plus

personne ne semble plus vraiment y croire aujourd'hui dans ce lieu.

Espoir nm Sentiment d'attente confiante: J'ai l'espoir qu'il viendra, que cela se verra un jour ou l'autre 2. Plus grand sentiment d'espoir, plus grand sentiment

de liberté, être vraiment plein d'espoir 3. Alors l'espoir plus grand objet de

liberté ou d'oppression idéologique ?

Libérable adj Qui peut-être libéré (de ses erreurs idéologiques sur le libéralisme)

Libéral,e aux adj et n 1. Favorable aux libertés individuelles de penser par

soi-même, et non selon un peu trop soir après soir par les médias officiels

du socialisme.

Libéralité nf 1. Disposition à donner; générosité: agir avec liberalité 2. Don généreux de son temps pour vous, ou encore pour autrui.

Libéré, e adj et n Dégagé d'une trop grande obligation de parler, d'agir, ou

de penser pareillement comme les autres nombreux singes du socialisme.

Libérer vt 1. Mettre en liberté: libérer un prisonnier du goulag, du socialisme;

laissez les partir: laissez les penser: laissez les faire: laisser les choisir. 2.

Débarasser de ce qui entrave, d'une contrainte: libérer quelqu'un de ses liens,

de ses idées noires sur le libéralisme, de son terrible souci (les médias socialistes) de son désespoir; libérer les coeurs. 3. Délivrer d'une trop grande occupation étrangère, les idées noires des autres. 4. Ou encore rendre un lieu plus libre,

plus propre, en se retirant prochainement de ce forum. 5. Se libérer l'attention,

ne pas trop longtemps captiver l'attention d'autrui, se rendre libre pour penser autre chose dans la paix.

Liberté nf 1. état opposé à la captivité idéologique, au déterminisme idéologique,

aux principes du socialisme: mettre en liberté; rendre la liberté à un peuple, à

un homme, à une femme au Moyen-Orient; parler en toute liberté 2. Liberté

de choisir, d'écrire ou de ne pas écrire comme il faut pour autrui: liberté d'expression, d'opinion, de sentiment sur un sujet. 3. Etat d'une personne

qui n'est liée par aucun engagement d'oppression idéologique ou physique

à l'égard d'une autre. 4. Etat de l'homme qui se gouverne selon son esprit,

sa pelle, sa raison, son espoir, sa foi, en l'absence de tout déterminisme idéologique ou sentimental ?: Peut-être alors une plus grand liberté

de jugement sur l'homme comme sur la société.

Libre adj 1. Qui peut aller et venir à sa guise, qui n'est pas prisonnier idéologiquement ou émotionnellement d'autrui 2. Qui a le pouvoir d'agir, de

se déterminer à sa guise: vous êtes libre de refuser l'espoir, mais sans l'espoir,

comment pourrez-vous vraiment voir cela se faire ? 3. Qui ne subit pas encore

la trop grande jeunesse d'écrit ou de penser d'autrui, jouit alors d'une plus grande liberté d'esprit ou d'opinion sur l'homme. 4. Qui est sans contraintes, sans souci des règles, sans avoir peur du jugement des autres: on est libre dans cette auberge.

Espérer vt Souhaiter, attendre avec confiance. Mettre sa confiance, dans la

vie, dans la liberté, dans la Divine providence et non dans un Etat providence.

Espérance nf Attente confiante de quelque chose, d'inattendu, d'imprévisible,

venant de la providence; objet de cette attente contre toute espérance, croire

en cela: alors que plus personne ne semble vraiment y croire aujourd'hui.

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Invité Aurel

Hier soir, Jabial et Chitah se sont lachés vers la fin, à 23h30 : un intervenant aussi a monté le ton. Bref, tout le monde hurlait.

Au RdC, le barman, les serveurs et les clients ont du se dire :

"ils sont malades, ces libéraux. Toutes les semaines, ils viennent passer la soirée à s'engueuler; des masos, moi je vous l'dis !"

Mais au moins, on se marre bien… :icon_up:

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Invité Aurel

Nous avons commencé en detruisant méthodiquement le plan Borloo, la politique du logement et de "l'aide sociale" en France : injustes et appauvrissantes.

Ensuite, nous avons dérivé sur l'urbanisme, sur la Rééducation Nationale, sur le système de santé puis sur la disparition de l'Etat.

Trois participants qui n'avaient aucune connaissance du libéralisme ont halluciné et se sont fâchés tout rouge, plus effrayés par la harangue de Chitah et de Jabial (qui s'est retenu pour en rajouter une couche sur les armes : merci) qu'excités par cette grande idée de liberté.

Bref, on n'a convaincu personne, mais on a bien rigolé.

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Hier soir, Jabial et Chitah se sont lachés vers la fin, à 23h30 : un intervenant aussi a monté le ton. Bref, tout le monde hurlait.

Au RdC, le barman, les serveurs et les clients ont du se dire :

"ils sont malades, ces libéraux. Toutes les semaines, ils viennent passer la soirée à s'engueuler; des masos, moi je vous l'dis !"

Mais au moins, on se marre bien…  :icon_up:

C'est à cause de plusieurs choses:

1 - le jeune homme deux crans sur ma droite a légèrement commencé à s'exciter vers 22h00, au moment aù Aurel m'entendait dire "on parle de quoi, là"

2 - sa copine, qui, observation faite, n'écoutait absolument pas Aurel, se contentait de le regarder fixement puis d'embrayer sur la suite de son propre monologue "oui, dissocions les moyens des objectifs, et patati et patata, etc…"

3 - le sujet, c'etait le plan Borloo, et on s'est bastonnés sur l'Education Nationale: comme je n'avais rien préparé, je n'étais pas prêt, et donc je me suis enervé.

C'est dommage, mais c'est à 100% leur faute à eux deux, ils n'avaient qu'à pas faire monter la tension, je ne suis pas le genre de gars à la faire redescendre.

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Petite question au passage (j'ai peut-être pas correctement cherché) mais le Café Liberté n'existe qu'à Paris ? Pas ailleurs en France ?

Hé ben monte-la donc, la structure!

Pas compliqué, il te faut un bar (si possible avec une petite salle isolée, afin de ne pas géner la clientèle), et être au moins trois ou quatre, dont un sera exclusivement chargé du planning et des compte rendus (merci, pour nous c'est le grand ricotrutt qui s'en charge!!)

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Hé ben monte-la donc, la structure!

Pas compliqué, il te faut un bar (si possible avec une petite salle isolée, afin de ne pas géner la clientèle), et être au moins trois ou quatre, dont un sera exclusivement chargé du planning et des compte rendus (merci, pour nous c'est le grand ricotrutt qui s'en charge!!)

Ouh, je suis loin d'être un bon orateur, je me serais lancé sinon :/

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Hé ben monte-la donc, la structure!

Pas compliqué, il te faut un bar (si possible avec une petite salle isolée, afin de ne pas géner la clientèle), et être au moins trois ou quatre, dont un sera exclusivement chargé du planning et des compte rendus (merci, pour nous c'est le grand ricotrutt qui s'en charge!!)

en réalité moi je me contente des compte rendus, pour l'organisation c'est camille.!

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en réalité moi je me contente des compte rendus, pour l'organisation c'est camille.!

Bon à l'occase, je te ferai un mail. Je suis intéressé par la mise en place de quelque chose sur Rouen. Faut que je me rapproche de quelqu'un qui à l'habitude d'organiser ce genre de réunions :icon_up:

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