Aller au contenu

Mariage Homosexuel


Messages recommandés

pourcentage de 5 à 6% de la population comme étant homo

principales études qui ont établi le pourcentage de personnes homosexuelles

Pourcentage des personnes
homosexuelles ou bisexuelles

                     Kinsey  Hite  Janius
Hommes
bisexuels          20 %      20 %    13 %

Hommes
homosexuels    10 %  11 %  9 %

Femmes
bisexuelles        9 %      9 %     12 %

Femmes
homosexuelles  4 %  8 %  5 %

Lien vers le commentaire

Et enfin, (et après je me tais :icon_up: )

Aujourd'hui, je suppose, les organismes chargés d'organiser l'adoption vérifient un certain nombre de critères et de qualités que doit posséder la ou les personnes désirant adopter.

L'objectif de ces vérifications est de maximiser les chances que l'enfant bénéficie d'un environnement familial propice à un développement harmonieux, qu'il recevra de l'amour, etc etc… et qu'il y ait une certaine affinité entre l'enfant et la famille d'accueil, etc. Je suppose que certains critères financiers entrent également en jeu, etc.

Ne pensez-vous pas qu'il existe des études qui tentent de répondre à des questions du genre:

- quelle est l'influence du montant des revenus sur le développement de l'enfant adopté?

- quelle est l'influence de l'éducation (bac + x..) des parents sur le développement de l'enfant?

- quelle est l'influence du type de musique qu'écoutent les parents?

etc etc

Je veux dire qu'il y peut-être des critères plus significatifs que la sexualité des parents pour déterminer les chances d'une adoption réussie..? RIEN ne prouve aujourd'hui que le critère "homoparentalité" soit plus significatif qu'un autre.

Permettre l'adoption par des couples homosexuels, c'est ajouter des candidats, augmentant les chances de trouver "de bons couples" pour l'adoption.

De là, un marché libre de l'adoption ne devrait-il pas permettre à chaque entreprise ou organisme proposant l'adoption d'identifier les critères qu'il juge significatifs pour assurer la réussite d'une adoption? (et ainsi consolider sa réputation)

Lien vers le commentaire
Je veux dire qu'il y peut-être des critères plus significatifs que la sexualité des parents pour déterminer les chances d'une adoption réussie..? RIEN ne prouve aujourd'hui que le critère "homoparentalité" soit plus significatif qu'un autre.

Permettre l'adoption par des couples homosexuels, c'est ajouter des candidats, augmentant les chances de trouver "de bons couples" pour l'adoption.

:icon_up:

De là, un marché libre de l'adoption ne devrait-il pas permettre à chaque entreprise ou organisme proposant l'adoption d'identifier les critères qu'il juge significatifs pour assurer la réussite d'une adoption? (et ainsi consolider sa réputation)

"Entreprise" étant pris au sens très large du terme, j'imagine. (association notamment)

Lien vers le commentaire
Je veux dire qu'il y peut-être des critères plus significatifs que la sexualité des parents pour déterminer les chances d'une adoption réussie..? RIEN ne prouve aujourd'hui que le critère "homoparentalité" soit plus significatif qu'un autre.

Permettre l'adoption par des couples homosexuels, c'est ajouter des candidats, augmentant les chances de trouver "de bons couples" pour l'adoption.

Sans doute, d'autant que les couples homos sont en général composés de jeunes cadres dynamiques à fort pouvoir d'achat, et habitant les beaux quartiers (branchés).

Lien vers le commentaire
Invité jabial
principales études qui ont établi le pourcentage de personnes homosexuelles

Pourcentage des personnes
homosexuelles ou bisexuelles

                     Kinsey  Hite  Janius
Hommes
bisexuels          20 %      20 %    13 %

Hommes
homosexuels    10 %  11 %  9 %

Femmes
bisexuelles        9 %      9 %     12 %

Femmes
homosexuelles  4 %  8 %  5 %

Ca me paraît positivement énorme par rapport à ce que je sais de mes amis.

J'ai connu en tout et pour tout deux homo hommes et une homo femme.

Sans doute, d'autant que les couples homos sont en général composés de jeunes cadres dynamiques à fort pouvoir d'achat, et habitant les beaux quartiers (branchés).

Cliché, cliché. Parmi les homosexuels hommes que j'ai connus, le premier était pauvre et abonné à la malchance la plus sévère, et le second avait de l'argent mais je te garantis que ce n'était pas le profil jeune cadre dynamique.

Lien vers le commentaire

On ne doit pas habiter les mêmes quartiers, ni fréquenter les mêmes boîtes. Je connais pas mal d'homos lyonnais, et je puis t'assurer qu'ils correspondent, grosso modo, à cette CSP-là.

Lien vers le commentaire

Comme Jabial; ces chiffres me semblent totalement aberrants.

Ca donne à réfléchir sur la valeur de données "scientifiques".

Sinon Turuk, il me semble que le problème n'est pas tant la sexualité des parents que le rôle du père et de la mère ainsi que la vision qu'a le monde extérieur d'un couple homo, et ça, c'est tout de même autrement plus significatif que le type de musique qu'ils écoutent…

Lien vers le commentaire
Invité jabial
On ne doit pas habiter les mêmes quartiers, ni fréquenter les mêmes boîtes. Je connais pas mal d'homos lyonnais, et je puis t'assurer qu'ils correspondent, grosso modo, à cette CSP-là.

Je pense que c'est dû au fait que tu fréquentes surtout la population qui va en boîte. Et donc, tous les homos que tu connais viennent de là.

Lien vers le commentaire
Cliché, cliché. Parmi les homosexuels hommes que j'ai connus, le premier était pauvre et abonné à la malchance la plus sévère, et le second avait de l'argent mais je te garantis que ce n'était pas le profil jeune cadre dynamique.

(…)

Je pense que c'est dû au fait que tu fréquentes surtout la population qui va en boîte. Et donc, tous les homos que tu connais viennent de là.

Comme Jabial; ces chiffres me semblent totalement aberrants.

Ca donne à réfléchir sur la valeur de données "scientifiques".

Bon, pour ce qui est de ces études: ce sont les principales études qui tentent, entre autres choses, d'évaluer le pourcentage d'homosexuels dans la population. C'est ce qu'on a de mieux jusqu'ici apparement.

Si ça vous semble totalement aberrant ou que vous mettez en cause la valeur des données scientifiques, toute référence ou contre-argument autre que "j'en connais seulement 3 sur tous les amis que j'ai" est le bienvenu.

Sinon, pour ce qui est des clichés sur le mode de vie des homos, notre perception est sans doute biaisée comme le dit Jabial. Mais là encore, y a-t'il des études qui confirment ou infirment ces clichés?

Ah, et à partir de quel pourcentage peut-on parler d'une norme?

Sinon Turuk, il me semble que le problème n'est pas tant la sexualité des parents que le rôle du père et de la mère ainsi que la vision qu'a le monde extérieur d'un couple homo, et ça, c'est tout de même autrement plus significatif que le type de musique qu'ils écoutent…

Par sexualité, je voulais dire orientation sexuelle.

Le critère de la musique qu'ils écoutent, c'était évidemment une boutade. Mais vous les connaissez l'ensemble des critères pris en compte aujourd'hui pour une adoption?

Mélodius, quand tu dis quelque chose comme "il ne faut pas prendre à la légère les problèmes psychologiques potentiels que pourrait rencontrer l'enfant, surtout quand on voit les problèmes qu'en enfant de parents hétéros peut avoir." (corrige-moi si je me trompe mais il me semble que tu as dit ça plus haut). Tu sembles sous-entendre que les problèmes seront plus importants ou plus fréquents. He bien rien aujourd'hui ne permet de le penser, voilà.

Dernier point: pour ce qui est de "la vision qu'a le monde extérieur d'un couple homo", cela revient à dire que l'on ne veut pas de l'adoption par un couple homo à cause des moqueries ou de la discrimination dont l'enfant pourrait faire l'objet. Ca me semble une mauvaise raison. Ayons l'espoir d'une évolution des mentalités, non?

Lien vers le commentaire
Mélodius, quand tu dis quelque chose comme "il ne faut pas prendre à la légère les problèmes psychologiques potentiels que pourrait rencontrer l'enfant, surtout quand on voit les problèmes qu'en enfant de parents hétéros peut avoir." (corrige-moi si je me trompe mais il me semble que tu as dit ça plus haut). Tu sembles sous-entendre que les problèmes seront plus importants ou plus fréquents. He bien rien aujourd'hui ne permet de le penser, voilà.

Dernier point: pour ce qui est de "la vision qu'a le monde extérieur d'un couple homo", cela revient à dire que l'on ne veut pas de l'adoption par un couple homo à cause des moqueries ou de la discrimination dont l'enfant pourrait faire l'objet. Ca me semble une mauvaise raison. Ayons l'espoir d'une évolution des mentalités, non?

Pari bien risqué de la part de personnes qui refusent de voir la nature humaine comme elle est réellement. Pari d'autant plus criminel que l'enjeu n'est pas matériel, économique mais humain. Tordre la réalité pour la plier à son idéologie, ne s'est jamais révélé payant, au contraire.

Lien vers le commentaire

J'ai l'impression qu'avec les pédés l'argumentation est du même type que pour la légalisation du cannabis : la majorité des gens promeuvent la "qualité" des parents homosexuels (sans la moindre étude, bien évidemment), comme les "dépénaliseurs" disent que le cannabis n'est pas nocif, alors que ça n'a rien à voir avec la question. La question c'est simplement : est-ce que chacun a le droit de consommer des drogues et est-ce que chacun a le droit d'élever ses enfants ou les enfants qu'on lui confie comme il veut ? Oui aux deux. Sinon on finira par avoir des assistantes sociales avec pouvoir de perquisition qui viendront vérifier que tu as bien l'intégrale des Walt Disney chez toi et qui t'enlèveront ton gosse si ce n'est pas le cas. Pour le reste, de la même façon que consommer du cannabis n'est pas bon pour la santé, je suis persuadé que les enfants éduqués par deux parents du même sexe auront quelques infirmités par rapport à ceux qui auront eu deux parents de sexes différents (et c'est valable pour les enfants de femmes seules, de femmes divorcées, etc.). Même si tout devrait rentrer dans l'ordre vers l'âge de 18 ans, puisqu'à ce moment la part génétique dans la détermination de la personnalité monte à 70-80 %. Il faut également tenir compte du fait que les enfants passent bien plus de temps avec leurs condisciples et avec la télé qu'avec leurs parents.

Lien vers le commentaire

Dernier point: pour ce qui est de "la vision qu'a le monde extérieur d'un couple homo", cela revient à dire que l'on ne veut pas de l'adoption par un couple homo à cause des moqueries ou de la discrimination dont l'enfant pourrait faire l'objet. Ca me semble une mauvaise raison. Ayons l'espoir d'une évolution des mentalités, non?

Pari bien risqué de la part de personnes qui refusent de voir la nature humaine comme elle est réellement. Pari d'autant plus criminel que l'enjeu n'est pas matériel, économique mais humain. Tordre la réalité pour la plier à son idéologie, ne s'est jamais révélé payant, au contraire.

Gnia gnia gnia.

De quelle nature humaine tu parles? du fait qu'il est dans la nature humaine de se moquer des noirs? des métis? des nains? des enfants adoptés par des couples homosexuels?

De quelle idéologie tu parles? Je dis que si on doit s'arrêter de faire des trucs parce que les autres vont se moquer de nous, alors on fait plus rien.

Lien vers le commentaire
Invité jabial

Comme Gadrel : je ne suis pas convaincu qu'avoir des parents homo soit une très bonne chose, mais je considère l'idée d'empêcher l'adoption homo comme incompatible avec le libéralisme.

Pour les utilitaristes qui considèreront mon argument comme contradictoire, je vous rappelle tout de même quelle est la conséquence de l'interdiction de l'adoption homo - la vie à la DDASS pour de nombreux gamins. Et franchement, entre les deux, il n'y a pas photo.

Lien vers le commentaire

+1

Pour amener de l'eau au moulin de Turuk, il y a vingt ans, les gamins de parents divorcés subissaient railleries, insultes avec toute la tendre cruauté dont savent faire preuve les enfants, souvent encouragés par la connerie parentale.

Aujourd'hui, avec une pointe de cynisme on peut penser que les gamins de parents mariés sont plus sujets à moquerie sous les préaux.

Alors oui c'est désolant de vivre cette évolution mais le problème n'est pas de savoir ce qui est mieux pour les gens, c'est de savoir s'ils l'ont choisi librement, s'ils ont vécu leur expérience et surtout assumé les responsabilités que ça implique.

On tirera les bilans dans une génération et on pourra j'espère se baser sur des éléments plus concrets pour causer.

Et si le battage d'une minorité supposée (c'est souvent utilisé avec un peu de mépris cet argument d'ailleurs) d'homosexuels revendicatifs dérange certains, qu'ils fassent eux-mêmes le plus grand bruit pour mettre en lumière tous les bienfaits de leur mode de vie parental.

Lien vers le commentaire

Très intéressant ce fil, dommage je n'ai pas beaucoup de temps pour tout lire.

Comme beaucoup ici, je ne serais pas opposée au mariage homo , dans la mesure où cà n'ôte rien aux autres. Seul un marige religieux poserait problème, puisque contraire aux préceptes de la plupart des religions ( je pense)

Un seul point me chiffonne: la possibilité d'adopter va devenir très vite un "droit à " et on peut faire confiance aux associations d'homos pour hurler au scandale s'il s'avère que ce "droit à" n'est pas immédiatement un "droit à tout ce que je veux tout de suite"

On verra donc des administrations comme la DDASS tentées de recourir à une sorte discrimination positive en faveur des homos et au détriment des couples hétéros stériles pour éviter la mise au pilori…dossiers d'adoption, dons de sperme, d'ovules, on sait qu'il s'agit d'un vrai parcours du combattant. Comment éviter toute dérive dans un sens comme dans l'autre?

Sinon, les pourcentages autour de 10 % me semblent aussi terriblement surestimés.

Mais si une loi passe, il est possible qu'il y ait un certain rush au début, pour marige et pour adoption.

Lien vers le commentaire
Comme Jabial; ces chiffres me semblent totalement aberrants.

Au contraire, ils me semblent très proches de la réalité. C'est le chiffre de 5 ou 6 % qui me parait incroyablement bas. Je n'ai pas vu une seule étude sur le sujet où l'on n'était pas aux alentours de 10%. Ceci-dit, l'étude Kinsey est, de façon notoire, biaisée.

Le pourcentage évolue sans doute selon le milieu dans lequel on évolue. Par exemple, les homos sont clairement surreprésentés dans les études artistiques ou de communication. Là où j'ai étudié, ils étaient bien 20%, sans exagération.

Lien vers le commentaire
Mais si une loi passe, il est possible qu'il y ait un certain rush au début, pour marige et pour adoption.

Au passage ceux que l'image non représentative de la folle bourgeoise people du Marais adoptant un enfant effraie devraient juste se demander avec un peu plus de bonne foi si ce profil de parent adoptif est réellement prêt à faire le pas et à bousculer sa vie agitée de noctambule pour s'occuper d'un gamin.

Cela permet au moins de ne pas réduire le débat à la caricature.

Lien vers le commentaire
Bon, pour ce qui est de ces études: ce sont les principales études qui tentent, entre autres choses, d'évaluer le pourcentage d'homosexuels dans la population. C'est ce qu'on a de mieux jusqu'ici apparement.

Si ça vous semble totalement aberrant ou que vous mettez en cause la valeur des données scientifiques, toute référence ou contre-argument autre que "j'en connais seulement 3 sur tous les amis que j'ai" est le bienvenu.

Ben écoute, désolé, mais j'ai du mal à imaginer que seul un bon 60% des hommes sont hétérosexuels, les autres étant bis ou homos.

Si on entend par "bisexuel" tout homme ayant joué au touche-pipi ne serait-ce qu'une seule fois à l'âge de cinq ans, je veux bien, mais alors il s'agit clairement d'une tentative de donner à l'homosexualité et à la bisexualité une importance qu'elles n'ont pas en réalité.

Par sexualité, je voulais dire orientation sexuelle.

Moi aussi.

Je parle très précisément de l'importance pour un enfant d'avoir un parent qui joue le rôle de père et un autre parent qui joue le rôle de mère.

Mélodius, quand tu dis quelque chose comme "il ne faut pas prendre à la légère les problèmes psychologiques potentiels que pourrait rencontrer l'enfant, surtout quand on voit les problèmes qu'en enfant de parents hétéros peut avoir." (corrige-moi si je me trompe mais il me semble que tu as dit ça plus haut). Tu sembles sous-entendre que les problèmes seront plus importants ou plus fréquents. He bien rien aujourd'hui ne permet de le penser, voilà.

Enfants ADOPTES (sinon la comparaison n'aurait pas de sens).

Dernier point: pour ce qui est de "la vision qu'a le monde extérieur d'un couple homo", cela revient à dire que l'on ne veut pas de l'adoption par un couple homo à cause des moqueries ou de la discrimination dont l'enfant pourrait faire l'objet. Ca me semble une mauvaise raison. Ayons l'espoir d'une évolution des mentalités, non?

Ah ça, on peut toujours espérer, c'est évident. :icon_up:

Lien vers le commentaire

Tiens, puisqu'on parle d'homosexualité et de bisexualité, y a-t-il moyen de faire un sondage anonyme pour savoir combien de bis et d'homos fréquentent ce forum ? C'est peut-être un peu anecdotique, mais a priori je ne vois pas de corrélation possible entre orientation sexuelle et libéralisme.

Lien vers le commentaire
Si on entend par "bisexuel" tout homme ayant joué au touche-pipi ne serait-ce qu'une seule fois à l'âge de cinq ans, je veux bien, mais alors il s'agit clairement d'une tentative de donner à l'homosexualité et à la bisexualité une importance qu'elles n'ont pas en réalité.

Là, tu mets le doigt sur le biais principal de l'enquête Kinsey. Les chiffres en matière de bisexualité sont effectivement gonflés. Par contre, en ce qui concerne l'homosexualité, ils sont confirmés par les autres enquêtes que j'ai pu voir.

Il faut savoir que quand Kinsey débarquait dans une ville pour "sondé", il demandait aux personnes intéressantes de lui amener des proches pour les interroger aussi. A NY par exemple, son "rabatteur" principal était un type proche du groupe des beats, le mec qui avait fait découvrir les drogues "dures" à W.S. Burroughs. Je te laisse le soin d'imaginer ce qu'on dut donner les stats pour cette ville…

Lien vers le commentaire

Personnellement, je ne vois pas en quoi la religion à son mot à dire en la matière et encore moins l'état.

Le mariage est un contrat que deux personnes libres et consentantes passent entre elles.

On n’est pas obligé de se marier devant dieux, pour être marié. Cette idée selon laquelle les religions ont le monopole du mot "mariage" est vomitive, collectiviste et autoritaire.

Le mariage n'est ni un bien, ni un service en soi, il n'est donc la propriété de personne.

Personne n'as le droit d'imposer à qui que ce soit le nom qu’il désire donner à son union.

Si demain j'ai envie de m'unir avec un/une partenaire, et que nous décidons de donner à notre contrat le nom de « mariage » ou « copatatement solidaire » ou « glougloutement interhumanoïde » c'est notre problème et celui de personne d'autre.

Lien vers le commentaire
Tiens, puisqu'on parle d'homosexualité et de bisexualité, y a-t-il moyen de faire un sondage anonyme pour savoir combien de bis et d'homos fréquentent ce forum ? C'est peut-être un peu anecdotique, mais a priori je ne vois pas de corrélation possible entre orientation sexuelle et libéralisme.

N’hésite pas, je serais curieux des résultats.

A propos des statistiques, ce sont les pourcentages que j'ai toujours entendues, et il me semble qu'elles sont justes, il faut tout de même savoir que la très grosse majorité des gays et lesbiennes ne correspondent absolument pas au stéréotype qu'on peut croiser à la gay pride ou dans le milieu gay en général,

La plus part des gay et lesbienne ne fréquente d'ailleurs pas le milieu. Si vous en connaissez peu, c'est tout simplement parce que la majorité le cache. Vous ne connaissez certainement beaucoup plus que vous ne l'imaginez.

Lien vers le commentaire

Pari bien risqué de la part de personnes qui refusent de voir la nature humaine comme elle est réellement. Pari d'autant plus criminel que l'enjeu n'est pas matériel, économique mais humain. Tordre la réalité pour la plier à son idéologie, ne s'est jamais révélé payant, au contraire.

Gnia gnia gnia.

De quelle nature humaine tu parles? du fait qu'il est dans la nature humaine de se moquer des noirs? des métis? des nains? des enfants adoptés par des couples homosexuels?

De quelle idéologie tu parles? Je dis que si on doit s'arrêter de faire des trucs parce que les autres vont se moquer de nous, alors on fait plus rien.

De toute façon ces gosses existent déjà, ils sont pus de 100 000 rien qu'en France et il n'y aucun problème, on peut se maquer d'un enfant pour 'importe qu'elle raison, et chaque gosse est potentiellement sujet à la moquerie, la différence entre ceux qui subissent et les autres c'est tout simplement la force de caractère et rien d'autre.

Cet argument revient à dire qu'il faut interdire aux parents d'appeler leur fils Thomas parce que les enfants vont l''appeller Thomas la tomate ! Je sais, ça sent le vécu. :icon_up:

Je m’appelle justement Thomas, tu crois que je dois attaquer mes parents en justice ?

Lien vers le commentaire
Je ne suis qu'un vieux con qui croit encore qu'un enfant a besoin pour se construire à la fois d'un père et d'une mère en lieu et place de deux pères ou de deux mères

Donc tu pense qu'un enfant qui n'a ni père, ni mère est dans une situation plus souhaitable que celle d'un enfant qui grandi dans une cellule familiale remplie d'amour et de bienveillance.

Soit, mais n'impose pas ta vision des choses aux autres, Qui es tu pour oser dire : « toi tu a le droit de faire çà et toi tu n'en a pas le droit. »

Ensuite si un enfant peut être adopté par un célibataire, où est la complémentarité sexuelle des parents si y a qu'un seul parent !!!

.

Par ailleurs j'avais posé la question de savoir sur les 5 à 6%, supposés, d'homosexuels censés évoluer au sein de la société humaine, combien étaient vraiment travaillés par cet épineux problème. je suis étonné de n'avoir pas encore eu de réponse. Cela implique t'il que je doive me contenter du battage médiatique d'une minorité d'allumés violents et blasphémateurs ? Si mon opinion doit se fonder sur ce seul échantillon d'humanité, vous permettrez que je conserve mon jugement.

Explique moi un peu où t'as vu de la violence et des blasphème, ceci dit moi les blasphème j'y suis indifférent, par respect j'évite d'en dire. Mais j'ai du mal à imaginer qu'on puisse manquer de respect en dieu ou au père noël puis qu'a mes yeux ils n’existent ni l'un ni l'autre. Mais de la même manière que j'évite d'insulter le père noël devant en enfant, j'évite d'insulter Dieu devant un croyant. Et puis comme je n'y croie pas, pour quoi je leur voudrais du mal ?

Ceci dit, je repose ma question qui a été violent, qui à émis de blasphèmes et qui traite tu d'allumés? (va voir au dictionnaire le définition du mot insulte)

"Mais qui les sauvera de leur sauveur ? » Nietzsche. :icon_up:

Lien vers le commentaire
Invité Aurel
nb : il me semble tout à fait rationnel de dire que l'homosexualité est un comportement sexuel anormal. La norme, c'est l'hétérosexualité ; sans elle nous aurions déjà disparu depuis bien longtemps.

Qui dit norme dit intervention contre les hors normes, surtout s'ils n'ennuient personne. FInalement, c'est un bon motif pour renforcer l'Etat, surveilleur des bonnes normes. Surveillance, contrôle, sanction. Normal.

Lien vers le commentaire
Au contraire, ils me semblent très proches de la réalité. C'est le chiffre de 5 ou 6 % qui me parait incroyablement bas. Je n'ai pas vu une seule étude sur le sujet où l'on n'était pas aux alentours de 10%. Ceci-dit, l'étude Kinsey est, de façon notoire, biaisée.

Evidemment, puisqu'il était lui-même homosexuel. J'ai pour ma part lu des études qui parlaient de 2 % de la population.

Lien vers le commentaire

Archivé

Ce sujet est désormais archivé et ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.

Invité
Ce sujet ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.
×
×
  • Créer...