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Pourquoi Doit-on Se Conformer Au Droit Légitime ?


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Non. Mais je ne les prends pas pour des imbéciles.

Ils sont en effet capables de définir chat. Mais lorsqu'il s'agit de plaisir, liberté, homme, bonheur etc… Ce qui est d'ailleurs normal, on ne va pas leur reprocher.

Pour le reste, le français n'est pas réductible à une équation mathématique, et la définition n'est pas explicite. N'importe quel romaniste peut le dire, et parmi eux n'importe lequel un tant soit peu bon en analyse textuelle te dira la même chose sur cette définition.

Laissons les choses là; puisque visiblement tu n'en démorderas pas.

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Ils sont en effet capables de définir chat. Mais lorsqu'il s'agit de plaisir, liberté, homme, bonheur etc… Ce qui est d'ailleurs normal, on ne va pas leur reprocher.

Mais pour la n-ième fois je répète que je n'ai jamais dis que j'approuve cette définition du mot plaisir.

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Et dans cette représentation comment intègre-t-on le problème du conscient et de l'inconscient ?

L'analogie avec l'informatique rend les choses plus faciles. Le conscient c'est la page de ton écran. L'inconscient a deux niveaux : celui auquel tu peux avoir accès, les données accessibles du disque dur et celui auquel tu n'as pas accès, l'architecture interne des logiciels. A ceci près que les programmeurs connaissent l'architecture des logiciels alors que personne ne connait la structure de la personnalité ou des mécanismes intellectuels.(il n'y a que des théories qui ne décrivent que la partie la plus superficielle).

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L'analogie avec l'informatique rend les choses plus faciles. Le conscient c'est la page de ton écran. L'inconscient a deux niveaux : celui auquel tu peux avoir accès, les données accessibles du disque dur et celui auquel tu n'as pas accès, l'architecture interne des logiciels. A ceci près que les programmeurs connaissent l'architecture des logiciels alors que personne ne connait la structure de la personnalité ou des mécanismes intellectuels.(il n'y a que des théories qui ne décrivent que la partie la plus superficielle).

Ok, mais puisque tu distingues besoins psychologiques et besoins physiologiques, lesquels relèvent de l'inconscient et lesquels relèvent du conscient. Comment est architecturé tout ça ?

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Ok, mais puisque tu distingues besoins psychologiques et besoins physiologiques, lesquels relèvent de l'inconscient et lesquels relèvent du conscient. Comment est architecturé tout ça ?

Les besoins physiologiques sont connus : respirer, boire, manger, dormir etc.. il y en a qui sont inconscients (ex: taux de sucre dans le sang) mais contente toi de manger ton cerveau va s'en occuper.

Pour le reste :

http://www.ship.edu/~cgboeree/maslow.html

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Pour en finir avec cette discussion gramaticale

Ma première question est donc : les deux phrases qui suivent sont-elles interchangeables ?

1) "Le plaisir est un état de contentement que crée chez quelqu'un la satisfaction d'une tendance, d'une besoin, d'un désir."

2) "La satisfaction d'une tendance, d'un besoin, d'un désir (SUJET) crée (VERBE) chez quelqu'un un état de contentement appelé plaisir (COMPLEMENT D'OBJET)"

Etant un élève studieux lors de la primaire, j'ai toujours appris de mes chers professeurs de français que lorsqu'une phrase comporte un SUJET, un VERBE, et un COMPLEMENT D'OBJET elles peuvent s'écrire de deux manières sans changer le sens de la phrase. Ainsi la phrase 2) peut se transformer en la phrase 1).

Tout le monde est-il bien d'accord ou une haie d'objection va-t-elle s'élevée devant moi ?

Ton problème, c'est que tu intervertis la principale (le plaisir est un état de contentement) et la subordonnée (le contentement est créé par la satisfaction).

Puisque tu aimes les x et les y, c'est comme si tu te trompais dans les parenthèses

x+(yX2) =/= (x+y) X 2

de même,

plaisir = (contentement <= satisfaction)

<=/=>

satisfaction => (contentement = plaisir)

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plaisir = (contentement <= satisfaction)

<=/=>

satisfaction => (contentement = plaisir)

En effet, tu as parfaitement raison. Et c'est justement l'erreur que je n'ai pas commise.

A nouvel argument, nouveau contre-argument :

proposition (X)

plaisir = (contentement <= satisfaction d'un besoin)

Cette proposition correspond en effet assez bien à la phrase 1. Relisons la phrase 1 :

1) "Le plaisir est un état de contentement que crée chez quelqu'un la satisfaction d'une tendance, d'une besoin, d'un désir."

proposition (Y)

satisfaction d'un besoin => (contentement = plaisir)

Cette proposition, dont tu dis qu'elle correspond à la phrase 2, ne lui correpond en fait pas du tout. Relisons la phrase 2 :

2) "La satisfaction d'une tendance, d'un besoin, d'un désir crée chez quelqu'un un état de contentement appelé plaisir"

La proposition qui correspond vraiment à la phrase 2 est celle-ci :

proposition (Z)

(satisfaction d'un besoin => contentement ) = plaisir

Je suis d'accord avec toi pour dire que (X) est différent de (Y), mais en revanche (X) est strictement identique à (Z). Or que (X)=(Y), c'est ce que je dis depuis le départ.

Enfin, jamais dans aucun de mes post précédents il ne me semble avoir dis que contentement = plaisir (ce qui correspond à la seconde partie de ta proposition (Y)). Or c'est une des chose que visiblement tu m'imputes.

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Putain, t'es une vrai tête de mule, toi !

proposition (Y)

satisfaction d'un besoin => (contentement = plaisir)   

Cette proposition, dont tu dis qu'elle correspond à la phrase 2, ne lui correpond en fait pas du tout. Relisons la phrase 2 :

2) "La satisfaction d'une tendance, d'un besoin, d'un désir crée chez quelqu'un un état de contentement appelé plaisir"

La proposition qui correspond vraiment à la phrase 2 est celle-ci :

proposition (Z)

(satisfaction d'un besoin => contentement ) = plaisir   

La proposition (Z)

(satisfaction d'un besoin => contentement ) = plaisir

s'écrit en bon français

"La satisfaction d'une tendance, d'un besoin, d'un désir qui crée chez quelqu'un un état de contentement est appeléE (important le "e"qui prouve l'accord avec satisfaction et pas avec état) plaisir"

et est effectivement équivalente à la proposition (X).

Maintenant, tu arrêtes de faire le couillon et tu dis "Oui, Monsieur ! D'accord, Monsieur ! Vous avez raison et j'ai tort."

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Putain, t'es une vrai tête de mule, toi !

La proposition (Z)

(satisfaction d'un besoin => contentement ) = plaisir

s'écrit en bon français

"La satisfaction d'une tendance, d'un besoin, d'un désir qui crée chez quelqu'un un état de contentement est appeléE (important le "e"qui prouve l'accord avec satisfaction et pas avec état) plaisir"

et est effectivement équivalente à la proposition (X).

Maintenant, tu arrêtes de faire le couillon et tu dis "Oui, Monsieur ! D'accord, Monsieur ! Vous avez raison et j'ai tort."

Je pense que je comprends bien ce que tu veux dire. Mais avant de poursuivre, et au risque de passer pour un parfait idiot, j'aimerai te poser une question : qu'entend-tu exactement par => ou par <= ?

Sont-ce des signes d'inclusion (contenant/continu) ou des signes d'implication (Ceci implique cela) ?

Je crois en effet m'être trompé sur la signification que tu donnes à ces signes.

Ne crois pas que j'y mette de la mauvaise volonté. Contrairement à ce que tu prétend je ne cherche pas à jouer au "couillon". Il n'y a que la vérité qui m'interresse.

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