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Les 10/15 meilleurs essais non politiques


Punu

Messages recommandés

Je retiens. Je connais quelqu'un de mon entourage à qui je pourrais l'offrir. Est-il mieux que celui-ci, dont j'ai beaucoup entendu parler (n'en ayant lu aucun) ?

Je l'ai. Il est complet pour ce qui est de l'environnement sauvage uniquement (espèces d'insectes, araignées, serpents et méduses mortelles, comment soigner sans équipement médical, etc.), donc moins pertinent à mon avis.

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Pas encore lu mais un impératif, parait-il :

Je crois qu'il en dit long sur la vie rurale au XVIIième siècle, sur la naissance des hobbies et des loisirs. On m'a de plus glissé à l'oreille qu'il y est autant question de public houses que de pêche à la ligne.

Je vous en dirai plus si / quand je le lis.

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J'ai bien essayé de lire le livre de Cavell, mais je le trouve à la fois illisible, pédant et sans pertinence aucune. Je ne suis pourtant pas trop rétif à la philosophie américaine habituellement (je pense à Rorty, Quine, James ou Dewey que je lis avec plaisir mais sans trop d'empathie non plus). Peut-être est-ce à cause de sa volonté affichée de ne pas marquer les frontières entre commentaires philosophiques, littéraires et historiques qui me le rend antipathique (et qui par ailleurs le rapproche du Derrida de la différAnce) ?

Un essai non politique qui m'a marqué et continue de me marquer : MJ Oakeshott : Experiences and its Modes.

Pensez aux balises (Sekonda)

Modifié par Sekonda
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en même temps, il s'agit de Stanley Cavell…
J'ai bien essayé de lire le livre de Cavell, mais je le trouve à la fois illisible, pédant et sans pertinence aucune.

C'est le défaut de la philosophie analytique m'a t-on toujours dis lorsque je faisais pareilles remarques :icon_up: ; des pages et des pages qui étirent le propos sans qu'on voit où tout ça nous mène. Mais je crois que Cavell est important en ce qu'il a fait pour la reconnaissance d'Emerson au USA comme un philosophe américain à part entière. Personnellement, je ne comprend pas grand chose à Wittgenstein (avec ou sans l'aide de Cavell), et reste sur l'image qu'en a Deleuze, c'est-à-dire l'annonce de la mort de la philosophie par les "Wittgensteiniens".

Cavell reste une référence pour ses mises en perspectives de sa philosophie au champ cinématographique :

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C'est le défaut de la philosophie analytique m'a t-on toujours dis lorsque je faisais pareilles remarques :icon_up: ; des pages et des pages qui étirent le propos sans qu'on voit où tout ça nous mène. Mais je crois que Cavell est important en ce qu'il a fait pour la reconnaissance d'Emerson au USA comme un philosophe américain à part entière. Personnellement, je ne comprend pas grand chose à Wittgenstein (avec ou sans l'aide de Cavell), et reste sur l'image qu'en a Deleuze, c'est-à-dire l'annonce de la mort de la philosophie par les "Wittgensteiniens".

pour le coup, et surtout si tu aimes des auteurs comme Hayek, c'est plutôt Deleuze le fossoyeur de la pensée… pour avoir lu et à peu près compris les deux (Wittgenstein et Deleuze), le premier me semble ouvrir bien plus de perspectives. je ne vais pas tenter une comparaison sur ce topic, mais Deleuze est collectiviste, nie l'autonomie de l'individu, ne le conçoit même que comme une "machine désirante" (sociale), défend toutes les minorités communautaristes, soutient qu'il vaut mieux aimer le "Tartare" plutôt que son voisin (clin d'oeil de ma part à Rousseau), néglige la science (sa notion d'état de choses est insipide, et même Frege dans sa position étroite valorise mieux la science que Deleuze), conçoit la philosophie comme un relativisme (les plans d'immanence… mystification). à la limite il dit des choses pertinentes sur l'art, tout le reste est à critiquer sans concession.

au contraire Wittgenstein conçoit un exercice pratique de la rationalité "en situation", valorise l'analyse du langage, propose un individualisme méthodologique, critique tout occultisme et usage privé du langage, toute idée de confrérie mystique qui détiendrait la vérité cryptée… mais il laisse la place à un mysticisme personnel, tant qu'on ne cherche pas à le dire/l'universaliser. j'ai toujours un peu de méfiance vis-à-vis de la philo analytique, mais je pense que c'est à cause de mon éducation continentale : car j'ai encore plus horreur des existentialistes et de la french theory, tout comme des gender studies et des cultural studies aux USA.

Et alors ?

et alors, Cavell est un grand penseur, qui a écrit plein de bonnes choses. ce n'est pas comme si j'avais mis Nothomb ou jk rowling…

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vous pinaillez vraiment sur tout hein… à vrai dire je ne suis pas spécialiste des mauvais essais, donc j'en connais peu, non pas que je n'en lise que de bons, mais en lisant quasi exclusivement du Aristote, Confucius ou saint Augustin j'ai peu de chance de tomber sur des trucs fades…

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et alors, Cavell est un grand penseur, qui a écrit plein de bonnes choses. ce n'est pas comme si j'avais mis Nothomb ou jk rowling…

C'est un fil de recommandation de livres. Même pour un bon auteur, il est intéressant de recommander un ouvrage en particulier - parmi ceux que l'on a lu. C'est tout.

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C'est un fil de recommandation de livres. Même pour un bon auteur, il est intéressant de recommander un ouvrage en particulier - parmi ceux que l'on a lu. C'est tout.

très bien. je le lis et je reviens donner mon avis sur ce sujet. en attendant, lisez les autres que j'ai conseillé :icon_up:

tiens sinon je conseille aussi Jérusalem de M. Mendelssohn, un libéral assez méconnu, que j'ai bien aimé. et La société ouverte et ses ennemis, de K. Popper (étrangement j'ai trouvé que Rand s'en rapprochait sur certains points). Mais ce qui ne me plaît pas chez Popper (et que l'on retrouve sur l'article wikiberal sur Platon, et même Aristote) c'est qu'il ne comprend tout simplement pas la philosophie politique de Platon. Il vaut mieux lire Leo Strauss sur la politique antique et médiévale.

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à la limite il dit des choses pertinentes sur l'art, tout le reste est à critiquer sans concession.

au contraire Wittgenstein conçoit un exercice pratique de la rationalité "en situation", valorise l'analyse du langage

Sur Deleuze, en gros j'apprécie son ouvrage Qu'est ce que la philosophie ?, même si j'en suis revenu il m'a beaucoup aidé à aborder la philosophie, la littérature et l'art - quand j'ai commencé à m'intéresser à tout ça quoi. Je rajouterais son Anti-Oedipe qui démonte un peu Freud, et puis son analyse sur Sade et Masoch. À part ça, je suis bien d'accord pour critiquer toute la dimension politique - insipide - chez Deleuze. :doigt:

Sur Wittgenstein, on m'a seulement dit que ce qu'il écrit sur le langage, Nietzsche l'a dit avec plus de force. Mais je ne connais pas du tout, du tout ce domaine donc je veux bien te croire. :icon_up:

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tiens sinon je conseille aussi Jérusalem de M. Mendelssohn, un libéral assez méconnu,

Pas méconnu de tous. :icon_up: Je me suis promis il y a bien longtemps que je m'intéresserai à lui.

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Sur Deleuze, en gros j'apprécie son ouvrage Qu'est ce que la philosophie ?, même si j'en suis revenu il m'a beaucoup aidé à aborder la philosophie, la littérature et l'art - quand j'ai commencé à m'intéresser à tout ça quoi. Je rajouterais son Anti-Oedipe qui démonte un peu Freud, et puis son analyse sur Sade et Masoch. À part ça, je suis bien d'accord pour critiquer toute la dimension politique - insipide - chez Deleuze. :doigt:

Sur Wittgenstein, on m'a seulement dit que ce qu'il écrit sur le langage, Nietzsche l'a dit avec plus de force. Mais je ne connais pas du tout, du tout ce domaine donc je veux bien te croire. :icon_up:

Oui, ces livres de Deleuze sont intéressants. Par contre je pense que Freud dit des choses plus pertinentes que lui sur l'inconscient. Et dans Qu'est-ce que la philosophie, son analyse de la science, qui prétend réfuter Frege, est très insuffisante. C'est la mauvaise influence bergsonienne, qui oppose de façon irrévocable la description d'états de choses et la mobilité naturelle, alors qu'Aristote avait en partie réussi à les concilier. Quant à la conception deleuzienne de la philosophie, elle peut se tenir pour jouer un moment, mais quand on devient un peu sérieux ça devient difficile de tenir que chaque philosophie a des "zones d'indiscernabilité" et repose sur un "plan d'immanence" unique, ce qui empêche toute discussion et toute comparaison.

Quant à Wittgenstein… la comparaison avec Nietzsche est bien difficile. En effet Nietzsche parle de la "croyance à la grammaire", qui anticipe l'idée wittgensteinienne qu'aucune essence générale n'existe derrière les entités logiques, mais Nietzsche ne se situe pas sur le même plan : il part d'une analyse qui cherche ce qui est caché dans un texte, là où Wittgenstein s'en tient au discours en tant que tel. La comparaison est très difficile parce que ces auteurs ont une approche vraiment différente, et ont eu un cheminement très différent. Le premier Nietzsche soutient la supériorité des symboles sur les mots, puis le dernier Nietzsche soutient l'absence d'essences et le fait que le langage crée la réalité (un peu à la manière mallarméenne). Le premier Wittgenstein soutient la supériorité des formes logiques sur tout langage, puis le dernier Wittgenstein soutient que chaque langage est un jeu de langage, qui comporte sa grammaire et ses règles. Mais le mieux c'est que tu lises l'un et l'autre pour te faire une idée.

Pas méconnu de tous. :mrgreen: Je me suis promis il y a bien longtemps que je m'intéresserai à lui.

Eh bien n'attends plus, Mendelssohn est bien plus libéral que Kant par exemple. Au passage, c'est moi qui ai rédigé la partie "philosophie" de l'article wikipédia sur Mendelssohn.

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Avant, je me suis mis à Rand pour voir ce que ça donne. Et pour l'instant l'objectivisme me semble surtout être de la paraphrase de Thomas et Nietzsche ; c'est comme un thomisme sans Dieu ou un nietzschéisme rationaliste.

Voilà pourquoi j'ai autant d'embrouilles avec Jabial, qui me traite tantôt d'objectiviste, tantôt d'hérétique obscurantiste.

Alors qu'en fait c'est la secte objectiviste qui a tout pompé en faisant un mix d'Aristote & du moustachu.

un autre grand penseur du Moyen Âge, souvent méconnu.

Celui-ci m'intéresse, je suis passionné de scolatique. Duns Scot inaugure la décadence de la scolastique. Tu nous diras ce que ça vaut et si ça parle des liens avec le nominalisme.

Oui, ces livres de Deleuze sont intéressants. Par contre je pense que Freud dit des choses plus pertinentes que lui sur l'inconscient. Et dans Qu'est-ce que la philosophie, son analyse de la science, qui prétend réfuter Frege, est très insuffisante. C'est la mauvaise influence bergsonienne, qui oppose de façon irrévocable la description d'états de choses et la mobilité naturelle, alors qu'Aristote avait en partie réussi à les concilier. Quant à la conception deleuzienne de la philosophie, elle peut se tenir pour jouer un moment, mais quand on devient un peu sérieux ça devient difficile de tenir que chaque philosophie a des "zones d'indiscernabilité" et repose sur un "plan d'immanence" unique, ce qui empêche toute discussion et toute comparaison.

Deleuze c'est surtout intéressant du point de vue nanarcap : les corps sans organes déterritorialisés, machines désirantes, les réseaux de monades, les mille plateaux, donnent une bonne idée du sujet, dans un monde purement contractuel.

Laisse tomber Freud, aucun intérêt, et Lacan est un escroc patenté. Lucilio a raison: lis Gustave Lebon, si tu veux comprendre la psychologie de la foule. Ou Gabriel Tarde.

mais Nietzsche ne se situe pas sur le même plan : il part d'une analyse qui cherche ce qui est caché dans un texte, là où Wittgenstein s'en tient au discours en tant que tel.

La comparaison est très difficile parce que ces auteurs ont une approche vraiment différente, et ont eu un cheminement très différent. Le premier Nietzsche soutient la supériorité des symboles sur les mots, puis le dernier Nietzsche soutient l'absence d'essences et le fait que le langage crée la réalité (un peu à la manière mallarméenne).

Le premier Wittgenstein soutient la supériorité des formes logiques sur tout langage, puis le dernier Wittgenstein soutient que chaque langage est un jeu de langage, qui comporte sa grammaire et ses règles. Mais le mieux c'est que tu lises l'un et l'autre pour te faire une idée.

W. est d'abord un platonicien de la logique formelle, qui poursuit l'analyse de Frege & du socialiste Russell. Ensuite il tourne sceptique, un peu à la manière d'Occam. Le seul point commun avec N. est la déconstruction des pièges idéologiques du langage ordinaire.

Mallarmé n'a rien à voir dans cette histoire, il cherche surtout un langage poétique épuré.

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pour Nietzsche : je ne me souviens plus l'aphorisme exact, mais dans le Gai savoir Nietzsche défend une conception très mallarméenne du langage.

pour Scot : pourquoi décadence ? avec Thomas il est le plus grand du Moyen Âge. Ockham n'aurait jamais existé sans Scot. Ni Peirce, ni Heidegger, ni Deleuze.

sinon en effet Tarde est très bon. je comprends que vous ayez autant de réticences avec la psychanalyse, mais si on peut laisser tomber Lacan, Freud aura toujours un intérêt, même comme adversaire.

pour Witt': en effet, en lisant Ockham j'ai été frappé de la ressemblance quasi absolue entre ces deux penseurs. par contre justement ils ont en commun leur antiplatonisme, et même dans le Tractatus : car pour Witt' les entités logiques n'ont pas d'existence en soi, elles sont formelles, contrairement à Frege.

pour Rand : je plaisantais bien sûr, mais c'est vrai qu'elle emprunte beaucoup au normativisme aristotélicien et au vitalisme nietzschéen.

pour Deleuze : là je suis vraiment étonné de ce que tu dis. je trouve sa politique totalement antilibérale.

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Freud a pour seul mérite de donner corps à la phrase : "quand il était bon, il n'était pas original et quand il était original, il était nul".

Même quand il n'était pas original, il n'était pas forcément bon (je pense à Moïse et le Monothéïsme, entre autres).

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Lucilio a raison: lis Gustave Lebon, si tu veux comprendre la psychologie de la foule. Ou Gabriel Tarde.

C'est quoi cette histoire de psychologie des foules en deux mots ? J'ai un peu peur que ce soit de la sociologie comme on aime pas trop, avec pleins de cases bien rigides et des simplifications de comportements complexes. Mais je dois me tromper vu que vous avez l'air de tous conseiller cette lecture. :icon_up:

Et puis ce Tarde, décidément je n'arrive pas à le situer. Sur Amazon, on l'assimile à Deleuze-Guattari et à Mai 68 dans les résumés des livres écrits sur lui :

Malgré tout ça, ses textes ont l'air assez riches par ici. C'est un type bien finalement ? :doigt:

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  • 2 weeks later...

Daniel Colson fait de nombreuses références à Tarde dans son petit lexique philosophique de l'anarchisme. C'est une sorte de pensée sociale rappelant un peu celle de Proudhon (elle même issue de son extrapolation de la monadologie de Leibnitz à des fins sociologiques).

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  • 2 years later...

Je suis en train de lire "Gödel Escher Bach" de Hofstadter et c'est pas mal du tout, surtout les parties historiques. Les sections sur la génétique ou l'IT ont vieilli, mais dans l'ensemble c'est un livre vraiment intéressant par l'éventail des sujets abordés et les croisements effectués, même si l'on est très loin d'un livre scientifique (ça me fait fort penser au "Principe de Lucifer" de Howard Bloom).

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Tiens, je l'ai lu il y a très longtemps, je me souviens avoir adoré. Effectivement certaines parties ont dû mal vieillir étant donné l'ancienneté de la publication de ce livre.

Pour la petite histoire, c'est grâce au mensuel Joystick que j'ai découvert ce livre. :online2long:

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Je suis en train de lire "Gödel Escher Bach" de Hofstadter et c'est pas mal du tout, surtout les parties historiques. Les sections sur la génétique ou l'IT ont vieilli, mais dans l'ensemble c'est un livre vraiment intéressant par l'éventail des sujets abordés et les croisements effectués, même si l'on est très loin d'un livre scientifique (ça me fait fort penser au "Principe de Lucifer" de Howard Bloom).

Tu ne l'avais pas déjà lu ?! Je suis tout surpris.

Et effectivement, on peut le rapprocher du Principe de Lucifer par cet aspect "synthèse" de plusieurs idées.

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Tiens, je l'ai lu il y a très longtemps, je me souviens avoir adoré. Effectivement certaines parties ont dû mal vieillir étant donné l'ancienneté de la publication de ce livre.

Pour la petite histoire, c'est grâce au mensuel Joystick que j'ai découvert ce livre. :online2long:

Tu avais 15 en lisant Joystick. C'est une revue des années 90. Or, vu la durée de vie d'un chimpanzé, tu vas donc bientôt mourir…

Blague à part, "Gödel Escher Bach" est intéressant par le fait d'utiliser au moment de l'écriture la technique qui est elle-même décrite lors de l'écriture.

J'avais retrouvé cet effet dans une autre branche, les arts graphiques, en lisant Scott McCloud, notamment l'Art Invisible (en anglais et en français, la traduction est bonne).

Il utilise l'effet graphique expliqué par son texte dans le dessin qui explique le texte.

McCloud.jpg

C'est un plaisir de s'y replonger quand on aime la BD, ou tout simplement l'interaction & le design d'interfaces.

Edit: alors qu'il est tout ce qu'il y a de plus éloigné d'un neuro-spécialiste, ce qu'il présente illustre très bien le fonctionnement de la perception humaine. Un clin d'oeil pour Anthropo, le bouquin explique bien mieux que moi certains concepts que j'avais essayé de détailler sur le cerveau…

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Tu ne l'avais pas déjà lu ?! Je suis tout surpris.

Et effectivement, on peut le rapprocher du Principe de Lucifer par cet aspect "synthèse" de plusieurs idées.

Le prix du livre m'a toujours rebuté. Ici je l'ai acheté 5 euros chez un bouquiniste.

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Tiens, je l'ai lu il y a très longtemps, je me souviens avoir adoré. Effectivement certaines parties ont dû mal vieillir étant donné l'ancienneté de la publication de ce livre.

Pareil. J'étais en école d'ingé, et j'ai pu frimer vis-à-vis de mon prof de LISP, qui m'a confié n'avoir jamais réussi à le terminer. :)

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