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Le Communisme Est-il Un Humanisme?


Domi

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Sur le fond, je pense que Franck se trompe: peu de gens ici considèrent que le libéralisme serait une fin en soi. De toute façon, ceux qui réfléchissent ainsi se fourvoient et manquent d'ailleurs le sens du libéralisme. Pour paraphraser Lord Acton, la liberté est la fin politique la plus haute; cela ne signifie pas la fin tout court. La charité, la recherche du bonheur, fonder une famille et lui permettre de vivre sans trop de soucis matériels, sont en réalité des buts que la liberté permet d'atteindre bien plus justement que ne le permet la coercition d'Etat.

Quant à Franck, j'ai le regret de dire à Thomas que notre maître Jedi s'est récemment mal comporté sur ce forum (cf. ses fils à répétition sur Benoït XVI en dépit des demandes fermes mais polies des modérateurs pour obtenir des explications sur ses allégations). Par conséquent, je me dispense de ses leçons de morale. Fin de la parenthèse.

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Quand je lis que le libéralisme c'est d'abord respecter le droit des gens, cela me fait doucement rire. Quand on lit les propos qui sont tenus régulièrement sur ce forum, ne le prenez pas personnellement "Dilbert", force est de constater que le décalage est flagrant.

Certes vous parlez de droit, mais où est donc la part humaine dans la plupart des sujets qui se tiennent sur ce forum ?

Je trouve sincèrement, qu'il y a un véritable fossé entre vos belles paroles sur la place de l'homme dans le libéralisme.

Au lieu d'attendre vainement dans un forum que le libéralisme s'installe par enchantement dans une société pour mieux respecter les droits et biens des personnes, apprenez avant tout à respecter votre prochain, les plus démunis, dans leur intégrité, et leurs valeurs humaines.

Beaucoup de personnes dans ce site, considèrent le libéralisme comme une sorte de fin en soi. Donc elles s'arrêtent, car elles pensent qu'elles sont plus réalisées que d'autres, mais je m'interroge, et je me demande si ce ne serait pas mieux, qu'à l'avenir, quelqu'un de plus lucide que moi, leur brise cet idéal relevant davantage d'une autre vaine utopie humaine, oui se prétendant plus patati et patata qu'une autre.

C'est la version bac+5 de "sales individualistes égoïstes" ?

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Invité FRANCK 2
Sur le fond, je pense que Franck se trompe: peu de gens ici considèrent que le libéralisme serait une fin en soi. De toute façon, ceux qui réfléchissent ainsi se fourvoient et manquent d'ailleurs le sens du libéralisme.

J'aimerais tellement te croire mon très cher Ronnie.

ha si le sens du libéralisme pouvait au moins permettre aux personnes de ce forum ainsi qu'aux autres de s'en détacher davantage, au lieu d'éprouver

constamment le besoin vital et alimentaire de le défendre au quotidien, en

se soutenant mutuellement sic pour le fan club.

Dis-moi ce que tu manges, je te dirais qui tu es ?

Je fesais allusion à votre trop grand attachement au libéralisme, par là même à votre défaut d'objectivité. Oui je me demande bien comment le fait de s'attacher un peu trop longtemps à une chose, pourrait bien vous amener à une meilleure compréhension de mes écrits.

Hélas j'ai l'impression que vous débattez beaucoup plus du libéralisme avec attachement que détachement.

Alors où est-elle cette liberté si chère et si prônée par bon nombre d'entre-vous sur ce site ?

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Certes vous parlez de droit, mais où est donc la part humaine dans la plupart des sujets qui se tiennent sur ce forum ?

Je trouve sincèrement, qu'il y a un véritable fossé entre vos belles paroles sur la place de l'homme dans le libéralisme.

Et bien prenons quelques exemples concrets :

Je suis passé cet après midi devant un marchand de fringues qui vendait des jeans à 1,5 euros.

J'ai vu dans un supermarché des steaks hachés à 2 euros les 4.

4 sachets de riz à 0,50 euros

Un marchand de bouquins d'occasion les propose à 2 euros pièce.

etc…

Ces type là ne passent pas leur temps à gémir sur la misère, à accuser les autres d'inhumanité ou à pleurer sur les inégalités et pourtant je peux te dire qu'ils en font infiniment plus pour ceux qui ont de faibles revenus que tous ces parasites acariatres du social qui prétendent donner des leçons de morale aux autres en vivant à leur dépens.

Ils en font plus que tous ces faux culs associatifs qui passent leur temps à verser des larmes de crocodiles sur le sort des déshérités sans rien faire pour eux, tout en déclarant qu'ils ont, comment dis tu déjà ? Des préoccupations humaines, c'est ça ! Et la préoccupation humaine à ton avis on la trouve où au fait ? A un guichet de la Sécu, du fisc ou chez le commerçant de ton quartier ?

Alors oui ! Il se trouve que nous soutenons ici les commerçants (appât du gain, profit, pas beau) contre les administrations (désintéressées, altruistes, gentilles, chevaleresques).

Oui, nous assumons notre méchanceté.

(j'espère que le niveau de théorisation te conviens ?)

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Alors où est-elle cette liberté si chère et si prônée par bon nombre d'entre-vous sur ce site ?

Ne confondez pas la liberté sociale, extérieure, et la liberté intérieure, qui est un tout autre sujet. Il y aurait énormément à dire là-dessus, mais à mon avis ce n'est pas l'objet principal du forum.

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Je fesais allusion à votre trop grand attachement au libéralisme, par là même à votre défaut d'objectivité. Oui je me demande bien comment le fait de s'attacher un peu trop longtemps à une chose, pourrait bien vous amener à une meilleure compréhension de mes écrits.

Il vous est totalement loisible, objectivement bien sûr d'apporter votre critique constructive du libéralisme en disant exactement, avec un ou des principes solides éventuellement étayés d'exemples parlants, en quoi ce dernier ne peut pas fonctionner en tout ou partie.

Si objectivement vous n'arrivez pas à contrer nos arguments, si objectivement vous ne pouvez croire que l'humain par nature n'est ni bon ni mauvais, pas spécialement altruiste et pas spécialement égoïste, mais veut coûte que coûte améliorer son quotidien et que le marché est une méthode très très efficace pour, alors force sera de constater que nous sombrons dans le domaine de la simple croyance, perdant alors toute objectivité.

Chacun est libre de croire ce qu'il veut.

Tant qu'il ne l'impose pas aux autres, hein.

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Invité FRANCK 2
Il vous est totalement loisible, objectivement bien sûr d'apporter votre critique constructive du libéralisme en disant exactement, avec un ou des principes solides éventuellement étayés d'exemples parlants, en quoi ce dernier ne peut pas fonctionner en tout ou partie.

Vous me posez la question d'un éventuel dysfonctionnement du libéralisme. Or la question première de mon propos n'est pas de savoir, une énième fois, si le libéralisme est plus défaillant ou moins défaillant qu'un autre système humain pour la société.

Mais de savoir si le rapport un peu trop excessif que l'homme peut éprouver envers une doctrine économique ou non, peut parfois le rendre plus ou moins libre dans sa propre appréhension des choses.

J'attends d'ailleurs qu'on me réponde précisément sur ce sujet, mais visiblement

c'est encore un sujet tabou ou trop difficile à entendre.

Et dans ma lancée laissez-moi revenir au contenu de mes propos:

Oui, n'est-ce donc pas avant tout le trop grand attachement idéologique des

hommes au libéralisme ou au socialisme, ou autre, qui les pousse tellement

à se juger, à se haïr ou à maudire la doctrine d'un autre clan. Mais bon sang

pourquoi vouloir toujours s'attacher à une doctrine économique ou sociale,

c'est-à-dire à une même marque dualiste qui divise et oppose tellement

les hommes?

"J'appelle mal ou bien tout ce qui est plus social ou moins économique que moi"

On se demande d'ailleurs si on est vraiment sorti de l'âge de Pierre ou de Karl Marx !

Comme si le fait de se sentir plus économique ou plus social qu'un autre était

aussi le produit d'une meilleure objectivité humaine pour l'histoire et la société.

Alors je vous repose la question suivante: Mais qu'est-ce qui règne actuellement

dans la société pour que l'homme se sente si mal ?

Serait-ce peut-être le fait de lire un peu trop les mêmes auteurs libéraux ou

socialistes, ou autres, qui pourrait empêcher les hommes de s'entendre ou

s'apprécier au quotidien.

Et que valent vraiment les propos d'un auteur libéral ou socialiste, quand on

sait encore qu'ils tirent si bien commerce intellectuel de la division et le mal-être des hommes.

Hypocrite, celui qui parle toujours de social ou de liberté, avec des lèvres amères,

et des canines prêtes à mordre le discours achevé…

Beaucoup érigent le libéralisme et le socialisme, comme seul remède aux maux

de cette société, mais comme il y en a bien peu qui sont prêts à se remettre en

question, prêts à se dégager, à se détacher de tout ce qu'il y a de plus terreux

en eux.

Alors faut-il oui ou non plus ou moins de socialisme ou de libéralisme ? Mais

enfin quand est-ce que l'homme finira par sortir de ce mauvais cauchemar

idéologique. Que s'est-il donc pour qu'il en ait perdu le choix et le sens

critique.

Pourtant vous savez bien que rien ne dure dans l'histoire, tout s'écroule, tout change. Alors pourquoi continuez-vous à vous accrocher ou à vous attacher tellement au libéralisme comme d'autres au socialisme, auriez-vous donc si peur que l'homme passe enfin à autre chose ?

A force de prétendre être le plus fort, le plus grand, le plus négociant, le plus

économe, le plus social, le plus malin, voir le plus pédant aux yeux d'autrui,

ne pensez-vous pas qu'il serait préférable pour les gens d'apprendre tôt ou

tard à se passer de leur Etat actuel ?

Et si l'homme à venir devait toujours continuer à prendre parti pour l'un ou pour l'autre, comment alors pourrait-il prétendre à amener quelque chose de mieux pour la tribu ?

Si objectivement vous n'arrivez pas à contrer nos arguments, si objectivement vous ne pouvez croire que l'humain par nature n'est ni bon ni mauvais, pas spécialement altruiste et pas spécialement égoïste, mais veut coûte que coûte améliorer son quotidien et que le marché est une méthode très très efficace pour, alors force sera de constater que nous sombrons dans le domaine de la simple croyance, perdant alors toute objectivité.

Une fois de plus, vous ne saisissez pas le sens de mes propos. Je ne faisais aucun

rapport à la base d'une question de marché ou d'efficacité de celui-ci. Je veux simplement vous mettre en garde d'un trop grand attachemet à une idéologie humaine, et cela quel que soit le plus grand auteur que vous ayez pu lire…

Vous savez, vous pouvez très bien me sortir tous les meilleurs livres de la terre

écrits sur le libéralisme ou sur le socialisme. Mais ce n'est pas cela qui vous permettra de mieux voir les choses avec détachement et objectivité. C'est pourquoi je pense que les blocages que les idéologies provoquent, amènent indirectement l'homme, dans son for intérieur, à se diriger vers quelque chose

de mieux dans l'histoire.

Chacun est libre de croire ce qu'il veut.

Certes mais parfois trop de croyance ne

suffit pas à mieux voir ce que l'on souhaite.

Tant qu'il ne l'impose pas aux autres, hein.

Et le fait de s'attacher à un peu trop à une doctrine économique ou non,

n'est ce pas aussi vouloir l'imposer indirectement à ses proches, ses parents, ses enfants, ses ami(e)s, son prochain. Et c'est cela la part de liberté du libéralisme que vous prônez tellement sur ce forum ou dans d'autres !

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Invité FRANCK 2
Ne confondez pas la liberté sociale, extérieure, et la liberté intérieure, qui est un tout autre sujet. Il y aurait énormément à dire là-dessus, mais à mon avis ce n'est pas l'objet principal du forum.

Au contraire, je vois bien que l'objet principal de ce forum, est de passer constamment son temps à parler du manque de liberté qui règne dans la société ou de ceux qui nous oppressent. Alors maintenant, à la suite de ma réponse, dites-moi donc quel est l'objet principal de ce forum ?

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Invité FRANCK 2
Et bien prenons quelques exemples concrets :

Je suis passé cet après midi devant un marchand de fringues qui vendait des jeans à 1,5 euros.

J'ai vu dans un supermarché des steaks hachés à 2 euros les 4.

4 sachets de riz à 0,50 euros

Un marchand de bouquins d'occasion les propose à 2 euros pièce.

etc…

Ces type là ne passent pas leur temps à gémir sur la misère, à accuser les autres d'inhumanité ou à pleurer sur les inégalités et pourtant je peux te dire qu'ils en font infiniment plus pour ceux qui ont de faibles revenus que tous ces parasites acariatres du social qui prétendent donner des leçons de morale aux autres en vivant à leur dépens.

Ils en font plus que tous ces faux culs associatifs qui passent leur temps à verser des larmes de crocodiles sur le sort des déshérités sans rien faire pour eux, tout en déclarant qu'ils ont, comment dis tu déjà ? Des préoccupations humaines, c'est ça ! Et la préoccupation humaine à ton avis on la trouve où au fait ? A un guichet de la Sécu, du fisc ou chez le commerçant de ton quartier ?

Alors oui ! Il se trouve que nous soutenons ici les commerçants (appât du gain, profit, pas beau) contre les administrations (désintéressées, altruistes, gentilles, chevaleresques).

Sache qu'une des caractérisques des gens qui aiment un peu trop le socialisme c'est qu'on ne peut plus rien leur dire, alors ils se ferment, ils se défendent, ils s'attaquent aux biens comme aux personnes.

Alors la question que je me pose est-ce vraiment bien plus raisonnable de soutenir aveuglément tous les marchands pas beaux à voir, et de s'en prendre systématiquement à toutes les administrations humaines par ressentiment ou réflexe idéologique ?

Mais encore, les gens qui aiment trop le libéralisme ne risquent-ils pas aussi

de tomber dans la même caractéristisque comportementale que ceux qu'ils dénoncent si souvent dans leurs propos.

Oui, nous assumons notre méchanceté.

(j'espère que le niveau de théorisation te conviens ?)

Parle-tu vraiment au nom de tous les autres dans ce forum,

demande-toi plutôt si ton niveau de théorisation est-il vraiment

bien en phase, aux nombreuses attentes des gens aujourd'hui ?

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Invité FRANCK 2
@Franck2 Décalage entre paroles et actes peut-être ? Mais qu'en savons-nous, où qu'en sais-tu ? Personnellement je ne vois pas en quoi on pourrait me reprocher de ne pas être humain…

Si vous ne faîtes pas la démarche de le savoir ou non si vous êtes humains, quelles prétentions avez-vous alors ?

Nous sommes tous des humains, mais je me demande si le fait de s'attacher un peu trop à une doctrine économique ou non, nous rend vraiment plus aptes à voir et à mieux comprendre le prochain dont la vie ne s'apparente pas exactement à la notre.

Et qu'entends-tu par "part humaine", par rapport à certains débats ici faits ?  :icon_up:

Et bien je me demande, aux vues de certains fils qui sont tenus sur ce forum, si l'objet de vos propos est vraiment en mesure de faire passer une vision plus

humaine du libéralisme.

Quand je constate que le libéralisme est toujours aussi mal aimé et mal perçu par

notre société, je ne suis plus étonné. Oui, il est tout-à-fait possible que les plus

intellectuels d'entre-vous ne soient toujours pas en mesure de le rendre plus

abordable.

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Invité FRANCK 2
"Force est de constater" est généralement la phrase qu'on emploie quand on ne sait pas argumenter.

"Force est de voir" que votre propos est généralement la marque

d'une personne qui prétend débattre mieux qu'une autre.

Et bien tant mieux pour vous, ainsi vous n'aurez donc plus rien

à craindre de quelqu'un comme moi…

Soyez précis : de quels propos parlez-vous.

Phrase qui ne veut rien dire. Le fossé se situe entre les belles paroles et ?… et quoi au fait ? :icon_up:

Pourquoi persistez-vous maladroitement à réduire le sens de mes réflexions ?

Sont-elles aussi désagréables à entendre pour les balayer d'un revers de la main ou de la souris ? Bien que je me sois donné la peine de répondre personnellement à bon nombre d'entre vous à ce propos, je vais quand même vous le redire à vous.

Ne pensez-vous pas que trop d'attachement à l'égard d'une doctrine

économique ou non, conduit l'homme à une meilleure objectivité ?

Je ne vois pas la contradiction. Comment savez-vous que les personnes ne respectent pas, en actes, leurs prochains ? ça m'a tout l'air d'être un procés d'intention, ça. Ce n'est pas trés respectueux de son prochain, Monsieur.

Ce n'est pas parce que j'ose émettre une opinion différente sur le rapport

que certaines personnes peuvent avoir au libéralisme, que je ne respecte

pas mon prochain, ou encore les libéraux de ce forum.

Sinon n'avez vous jamais éprouvé l'impression de ressentir que quelque

chose n'allait pas dans le libéralisme de certaines personnes ?

Oui, j'en fais partie. Je mets la liberté par-devant tout. ça vous pose un problème que je veuille vivre librement ? Vous n'aimez pas la liberté ?

Pourquoi vouloir absolument une chose que l'on possède ? L'homme

n'est-il pas déjà un homme libre à la base de ces ou ses croyances ?

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Sache qu'une des caractérisques des gens qui aiment un peu trop le socialisme c'est qu'on ne peut plus rien leur dire, alors ils se ferment, ils se défendent, ils s'attaquent aux biens comme aux personnes.

Mais encore, les gens qui aiment trop le libéralisme ne risquent-ils pas aussi

de tomber dans la même caractéristisque comportementale que ceux qu'ils dénoncent si souvent dans leurs propos.

Le libéralisme est à consommer sans modération car ses fondements sont naturels et il provoque une accoutumance bienfaisante. Il en va autrement du socialisme qui est un produit artificiel dont les effets sont souvent néfastes pour celui qui en abuse sans discernement.

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Sinon n'avez vous jamais éprouvé l'impression de ressentir que quelque

chose n'allait pas dans le libéralisme de certaines personnes ?

Que voulez-vous précisemment dire par là ?

Certains auraient le libéralisme honteux ?

Ils auraient ingurgité le libéralisme de travers ? Qui ?

Des noms, des noms !

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(le) socialisme est un produit artificiel dont les effets sont souvent néfastes pour celui qui en abuse sans discernement.

… En plus il file des boutons, la diarrhée et des feuilles d'impôts illisibles.

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Comme si le fait de se sentir plus économique ou plus social qu'un autre était

aussi le produit d'une meilleure objectivité humaine pour l'histoire et la société.

Qu'est ce que ça va dire "être plus économique"? C'est quand on est un paquet de papier toilette et qu'on coûte moins cher?

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Invité FRANCK 2
Le libéralisme est à consommer sans modération car ses fondements sont naturels et il provoque une accoutumance bienfaisante. Il en va autrement du socialisme qui est un produit artificiel dont les effets sont souvent néfastes pour celui qui en abuse sans discernement.

Vous ne croyez pas que c'est un peu trop facile de dire cela,

donc à vous entendre tout ce qui sort du libéralisme c'est quelque

chose de sain et naturel, et tout ce qui ne sort pas de ce cadre

c'est quelque chose de néfaste et artificiel pour l'homme.

Bref c'est exactement ce que pensent les gens de l'autre coté à

l'égard du libéralisme.

:icon_up:

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[…]

Bref c'est exactement ce que pensent les gens de l'autre coté à

l'égard du libéralisme.

:icon_up:

Le libéralisme n'est pas symétrique du socialisme, de même que la légitime défense n'est pas symétrique de l'agression.

Oui, l'instauration du libéralisme sera peut-être violente. Ni Spartacus ni Robin des Bois n'étaient des enfants de choeur. Mais leur violence n'était que la juste réponse à une oppression violente. Le socialisme et l'étatisme paraissent non violents aujourd'hui parce qu'il ont remplacé la violence ouverte par la menace, la manipulation, la propagande et le mensonge propres à la social-démocratie. Mais leur fond reste le même.

Bref, le libéralisme est au socialisme ce que l'innocent est à l'assassin. On ne peut renvoyer dos à dos un innocent qui clame son innocence et un assassin qui se prétend non-coupable.

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Sache qu'une des caractérisques des gens qui aiment un peu trop le socialisme c'est qu'on ne peut plus rien leur dire, alors ils se ferment, ils se défendent, ils s'attaquent aux biens comme aux personnes.

Alors la question que je me pose est-ce vraiment bien plus raisonnable de soutenir aveuglément tous les marchands pas beaux à voir, et de s'en prendre systématiquement à toutes les administrations humaines par ressentiment ou réflexe idéologique ? 

Mais encore, les gens qui aiment trop le libéralisme ne risquent-ils pas aussi

de tomber dans la même caractéristisque comportementale que ceux qu'ils dénoncent si souvent dans leurs propos.

Parle-tu vraiment au nom de tous les autres dans ce forum,

demande-toi plutôt si ton niveau de théorisation est-il vraiment

bien en phase, aux nombreuses attentes des gens aujourd'hui ?

Repassons à un peu de théorisation.

Il n'y a pas lieu de s'interroger sur une pseudo opposition entre croissance et développement par exemple, qui appellerait une quelconque action politique, pas plus qu'il est nécessaire de se lamenter sur de prétendus "problèmes de société" puisque de toute façon ce qui améliore le sort des gens c'est la croissance économique et rien d'autre. Une fois lancé, le processus multiplie les possibilités et améliore le bien être de tout le monde. Les gesticulations politiques et sociales sont non seulement inutiles mais nuisibles car elles handicapent l'économie qui est le seul moyen qu'ont trouvé les hommes pour améliorer durablement leur condition.

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[…]

Pourquoi vouloir absolument une chose que l'on possède ? L'homme

n'est-il pas déjà un homme libre à la base de ces ou ses croyances ?

Avec cette définition de la liberté, n'importe quel prisonnier, n'importe quel esclave est en fait un homme libre.

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Le libéralisme est à consommer sans modération car ses fondements sont naturels et il provoque une accoutumance bienfaisante. Il en va autrement du socialisme qui est un produit artificiel dont les effets sont souvent néfastes pour celui qui en abuse sans discernement.

Je ne suis pas certain de ça. En fait j'ai toujours et partout constaté l'inverse. Les hommes se regroupent naturellement en société autour d'une minorité de leaders. La sociale-démocratie, c'est quand la masse des dirigés formalise son pouvoir sur l'élite des dirigeants.

Pour moi le libéralisme serait au contraire un ordre construit. Ce qui n'empêche pas que je trouve aussi ses fondements "naturels" dans le sens "humanistes" (qui correspondent à la nature humaine). Mais ça n'en fait pas un ordre spontané.

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Là, mon ami, tu rêves en Glorious Technicolor.

Il y a pourtant tout le temps un rapport de pouvoir. Dans une royauté les sujets ont du pouvoir sur le roi. Même dans une dictature les individus ont du pouvoir sur le dictateur. Ce pouvoir n'est pas sur une base d'égalité, mais il existe. Dans la sociale-démocratie il est formalisé.

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