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De Sohane à Gofrane


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Trouvé sur le site de AIME, un texte que je trouve très synthétique sur les problèmes liés au non respect des femmes par une frange importante de la population arabe en France; je dis bien arabe, pas arabo-musulmane, car c'est ce caractère là qui détermine ces comportements rétrogrades, ce n'est pas l'islam qui inspire de telles choses.

N'oubliez pas: "post hoc ergo propter hoc".

De Sohane à Ghofrane…

  Des Sohane et des Ghofrane, il y en a plein les rues et on ne sait pas si l’on doit dire que Sohane BENZIANE, 18 ans, et Ghofrane HADDAOUI, 23 ans, ont eu de la chance d’avoir, selon la formule consacrée, leur nom dans les journaux ou si la triste célébrité qu’elles ont bien involontairement acquise est due à leur seule mauvaise étoile.

Quoi qu’il en soit, force est de constater que les victimes des prêcheurs d’une morale si peu républicaine qu’elle en vient tout naturellement à légitimer le meurtre par les flammes ou les pierres sont de plus en plus nombreuses en France. La violence vis-à-vis des femmes s’accroît et se banalise de jour en jour sans que les medias y portent la moindre attention. A chaque fois, c’est au forceps qu’il nous faut arracher auprès d’eux une divulgation et un relais décent de ces sinistres informations. Pourtant, nous sommes conscients de la puissance et la valeur de la pression que les journalistes de tous bords pourraient mettre sur les prédicateurs apocalyptiques de l’Islam radical.

Le corps de Ghofrane avait été retrouvé à la mi-octobre dans un terrain vague des quartiers nord de Marseille. La jeune femme, d'origine tunisienne, avait été totalement défigurée à coups de pierres - ce qui veut dire qu’elle avait été lapidée. Quant à Sohane, elle a été brûlée vive au nom de cette morale fanatique qui se veut au-dessus des lois de la République.

Serions-nous donc par hasard au coin le plus reculé d’une jungle, là où il faut bien tuer si l’on veut survivre ? Non, nous nous trouvons tous au cœur de l’Europe occidentale, dans un pays que l’on a surnommé « le pays des Lumières » et qui restera à jamais celui « des Droits de l’Homme » : nous sommes en France.

Seulement voilà, à peine avait-on commencé à respirer dans les banlieues avec la naissance de nouvelles générations un peu mieux intégrées que l’on vit débarquer les soi-disant gardiens de la Parole d’Allah, avides d’imposer leur dogme dévastateur au nom d’un Dieu de violence et de haine et d’assouvir du même coup une misogynie refoulée et qui exigeait impérieusement qu’on la laissât enfin éclater au grand jour. En soumettant la femme musulmane à des exigences masculines indignes, on claquait ainsi la porte au nez d’une Intégration déjà difficile à mener à bien. Car ne nous voilons pas la face (!!) : pour que l’assimilation des Français d’origine arabo-musulmane s’effectuât en douceur sans pour autant renier, voire gommer totalement les traces de leur culture originelle, il fallait qu’on confiât l’essentiel de cette tâche primordiale aux femmes – et rien qu’à elles. Pour la culture dont elle était issue, la Femme musulmane devenait ainsi l’Espoir de la survie et du renouveau même de cette culture.

Peu soucieux, on le devine, de sacrifier la moindre parcelle de leur pouvoir machiste, bien décidés au contraire à le conforter au cœur même de la République française, les prédicateurs islamistes se sont substitués peu à peu aux caïds et aux grands frères. L’avis des femmes ? Ils n’en ont cure – « Qui se soucierait de ce que pense un être aussi inférieur qu’une femme ? » voici comment raisonnent les intégristes.

Hélas! Les victimes de l’Obscurantisme dans notre pays ne s’arrêteront pas là. Et il y en aura bien d’autres si nous ne réagissons pas et si nous ne faisons pas obstacle, tant qu’il en est encore temps, à ce renouveau intégriste qui, en se réfugiant derrière ce qui devrait être le plus sacré aux yeux de leurs adeptes – le nom de Dieu – risque de faire entrer notre civilisation dans une ère de régression qui précédera inéluctablement sa disparition totale.

Que la peur des représailles éventuelles ne soit pas assez forte pour nous faire reculer ! Femmes et hommes, de toute culture et de tout milieu, nous avons le droit et même le devoir d’exiger la liberté de penser par nous-mêmes, sans nous voir contraints de recueillir pour ce faire le consentement de ceux qui, bien qu’ils s’affirment supérieurs au reste de l’Humanité, ne sont au mieux que nos égaux, au pire que nos inférieurs tant la haine et le fanatisme religieux sont capables d’avilir l’être humain.

Puisse le sacrifice de Sohane, de Khadija* et de Ghofrane ne pas avoir été vain et nous permettre, à toutes et à tous, de tirer les leçons nécessaires pour l’avenir du monde dans lequel, comme nous, elles étaient nées. Disons-le, répétons-le, martelons-le autant de fois qu’il le faudra et de plus en plus fort : ce qui se passe actuellement en France dans certains milieux n’est qu’un échantillon de ce que la complicité, tacite ou non, des gouvernants laisse s’accomplit sans cesse, jour après jour, en toute tranquillité et pour ainsi dire en toute banalité, dans les pays arabo-musulmans. Tandis qu’en Occident, le respect, dit-on, des autres cultures interdit la moindre protestation officielle et encore bien plus l’idée qu’une indignation internationale généralisée serait susceptible de commencer à mettre au pas ce fléau qu’est et que restera l’Islamisme.

* Khadija 34 ans, a été égorgée par son mari sur la place publique à Limoges, pour avoir osé demander le divorce

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Invité jabial

Effectivement il s'agit d'un reste de cultures tribales dont tout semble indiqué que leur origine est préislamique. Le fait qu'elles soient moins répandues dans la population athée est sans doute un phénomène lié au fait que pour l'un comme pour l'autre, c'est le critère moderniste qui est déterminant.

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