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Alternative Libérale - Questions


(V)

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Encore cette histoire de contrat unique… J'avoue ne pas comprendre: un contrat unique, par définition, ne peut s'adapter à la multitude de situations, de postes et de métiers.

Cette idée me semble être le summum du collectivisme.

Voulais-tu parler de contrat libre?

Oui. C'est à dire laisser à chacun le choix du papelard (si papelard il y a) qu'il signe avec l'entreprise. A la relecture, je me suis mal exprimé. J'envisageais une sorte de document unique fournissant simplement le minimum des éléments juridiques signifiant contrat, pas le maximum (i.e nom & qualité des contractants, et tribunal compétent en cas de litige, guère plus).

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Selon moi, outre la cohérence et le simplicité, il faut aussi marquer les esprits. Qu'on les prennent à revers sur les questions de moeurs par exemple. Nous ne sommes pas conservateurs de droite ou de gauche mais libéraux ! Qu'on rappelle l'histoire des libéraux également. Bref qu'on fustige l'ignorance et la récup qui sévit.

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Invité Arn0
Qu'on les prennent à revers sur les questions de moeurs par exemple.
C’est large les mœurs. Légalisation des drogues, de la prostitution, de l'adoption par les homosexuels, de l'euthanasie ou encore prise de position sur la liberté d’expression ou la régularisation des sans papiers?

Au moins comme ça on est sur que AL risque pas de se faire pervertir par le pouvoir, elle l’aura jamais. :icon_up:

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Qu'est-ce que le code du travail en France ?

Un ensemble de règles qui empêchent qu'un individu puisse avec son propre libre-arbitre (et la moi du marché du moment) de louer son travail à quelqu'un qui en a besoin et d'en toucher le prix.

Ce qui entraîne en France dans le paroxysme qui est le sien qu'un nombre de plus important de la population n'est plus employable dans les conditions "légales". Ils sont de fait acculés, soit de vivre de l'aide publique, soit de se livrer à des délits pour subsister. Et c'est de plus en plus insupportable. Faussant le marché et enfermant les libertés individuelles elles tuent l'économie.

Un acte salutaire à faire et à mon avis hautement dans l'esprit du libéralisme, sera de supprimer le code du travail pour laisser les relations contractuelles s'établir librement entre les individus sous le seul code civil. C'est simple et facilement compréhensible par tous. C'est à expliquer dans ses effets libérateurs aux français, mais c'est un vrai clivage.

On est pour ou on est contre. Mais comment vouloir que des gens puissent commencer à adhérer au libéralisme s'ils ne sont pas convaincus que le code du travail ne prétend défendre que ceux dont le seul travail fourni n'est pas en adéquation avec les besoins de l'employeur.

Si on assorti cette mesure d'un moratoire sur la répression du travail au noir afin que chacun puisse avoir tout de suite et en totalité le prix de son travail qui est sa première propriété, je suis persuadé que ces deux mesures simples et compréhensibles permettront une plus grande justice sociale, ne coûtera rien à la collectivité, permettra une véritable croissance de notre économie.

Tout ceci, je dis cela pour les anarchistes, peut se réaliser en parallèle à ce que nous connaissons actuellement. il n'est pas question d'empêcher dans le même temps que des relations contractuelles se fassent entre les individus sous les conditions antérieures, c'est aussi leur liberté. Je ne prétend défendre ici la conquête d'une liberté à faire autrement sans être pénalisé.

Voilà deux mesures sur 4 ou 5 dont je voulais parler. Je ne pense pas qu'elles soient "Canada Dry" ni innaplicables, puisque je pense que la situation économique les rendront naturellement nécessaires. Mais ce sera là une véritable rupture, tourner le dos au collectivisme et revenir dans l'économie mondiale. Nos politiciens actuellement nous obligent à faire la "course" avec un gros sac à dos, l'on ne peut gagner.

Si Alternative Libérale veut construire un projet de société sans rien laisser au hasard, c'est une belle construction intellectuelle et ils pourront avoir réponse à (presque) tout. mais est-ce là la véritable Alternative dont la France à besoin. Si par contre un tel discours radical, n'entraîne pas demain l'adhésion d'un nombre important de français c'est qu'ils n'ont pas compris l'état actuel de la France et il faudra attendre la "banqueroute".

Par contre, qu'Alternative Libérale intègre bien dans sa démarche que personne n'a la possibilité de faire deux fois une "première impression".

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Invité Aurel

Nous n'aurons certainement pas réponse à tout, mais nous exposerons ce que nous entendons par "projet de société". Nous faisons confiance à l'homme, aussi bien dans sa négociation avec un employeur que dans le choix de l'école de ses enfants ou dans son mode de vie. Nous ne souhaitons plus que l'état impose son moule républicain, sorte de rouleau compresseur déresponsabilisant, aux individus.

Comment peut-on reprendre confiance en soi pour signer son contrat de travail si tout le reste de notre vie reste encadrée, bridée et paupérisée par un collectivisme insidieux ? Ce n'est pas cohérent de vouloir laisser une personne négocier librement son contrat de travail, surtout dans un environnement de chômage de masse et de sentiment général de précarité, sans en même temps laisser cette même personne se réapproprier des décisions fondamentales dans sa vie.

Bref, c'est très ambitieux, trop peut-être. Le curseur qui permet de faire passer le message sans trop effrayer la "ménagère de moins de 50 ans" n'est pas facile à fixer. Malgré toutes ces difficultés, j'ai bon espoir de voir cet OVNI politique se transformer en succès. On jugera avec le temps, on s'adaptera…

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(…) de l'emploi (prospérité et auto-valorisation)

La prospérité je ne sais pas trop ce que c'est, mais si c'est la croissance de la production je ne vois pas en quoi ça concerne l'emploi. Depuis des années on produit chaque jour plus que le précédent, et pourtant la société exclut et menace d'exclure toujours autant. Peut-être même de plus en plus, je suis un peu jeune pour juger.

La seule politique d'emploi qui tienne, c'est la liberté de contracter. Si un salarié veut bosser trois jours dans la semaine, il ne faut pas lui mettre des bâtons dans les roues. De même pour l'employeur qui aujourd'hui en France, sert d'assistante sociale… Evidemment qu'à l'heure actuelle un employeur préfère gérer les petits soucis d'un minimum d'employés, donc les faire bosser un maximum de temps ! Si la liberté de contracter était réelle, ça jouerait beaucoup moins.

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De même, concernant l'ambiance au boulot, le mieux est de promouvoir des comportements responsables, donc libres.

Exemple : quand mon employeur (ou maintenant mon client) me demande de me mettre sur une tâche (/un projet) donnée, si le projet ne me plait pas, je refuse. J'ai toujours fait ça. Evidemment je lui propose en échange les deux ou trois projets qui m'intéressent et qui me semblent pouvoir apporter quelque-chose à la boîte. C'est à dire que mes relations avec mes supérieurs ont toujours été des négociations et collaborations. Personne ne s'est jamais avisé de me forcer puisque ça me ferait partir.

Si chaque employé raisonnait comme ça, les entreprises fonctionneraient beaucoup mieux. Tous les goûts sont dans la nature. Dans une entreprise, seules quelques tâches ne trouveraient pas preneurs. Et pour celles-là, on peut en faire une question d'argent. Ca m'arrive d'accepter avec le sourire un truc qui m'embête, ça n'est pas gratuit simplement. Aujourd'hui ce qui se passe, c'est que les tâches les plus merdiques attérissent sur l'employé le moins payé, alors que celles les plus valorisantes sont réservées aux mieux payés.

Ce n'est pas avec des lois protectrices qu'on arrivera à progresser. Il n'y a que ça à faire comprendre. C'est étonnant le nombre de travailleurs de la génération des soixantuitards de mon entourage, qui comprennent ces logiques aujourd'hui seulement. Et qui se mettent subitemment à n'accepter que les projets qu'ils apprécient. Ils se sont pourris la vie au boulot depuis vingt ans uniquement parce qu'ils étaient sur une logique de non-coopération et de lutte des classes.

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Au moins comme ça on est sur que AL risque pas de se faire pervertir par le pouvoir, elle l’aura jamais.

Et bien oui je préfère encore ça. J'en ai marre qu'on assimile Sarko ou Bush au Libéralisme.

Qu'on quitte un peu le domaine économique, sinon on aura toujours la même image de petits économistes crapuleux. Par ailleurs "on" a déjà pas le pouvoir en faisant le lèche-lèche avec l'UMP donc pourquoi persister ? Il faut montrer ce qu'est la philosophie libérale et quand tout se cassera la figure dans ce pays alors on nous regardera d'un tout autre oeil. Autrement nous serons encore les éternels responsables.

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Pour faire avancer le débat et expliciter un peu plus avant mon point de vue.

Pour ceux qui ne l'ont pas encore lu, l'analyse de Faré sur les causes de la défaite de Madelin en 2002 dans son combat pour promouvoir le "libéralisme".

Comme quoi dans la vie pour gagner il ne faut pas vouloir tout et son contraire et ne pas rester au milieu du gué.

La défaite du Crypto-libéralisme

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Invité Arn0
Et bien oui je préfère encore ça. J'en ai marre qu'on assimile Sarko ou Bush au Libéralisme.

Qu'on quitte un peu le domaine économique, sinon on aura toujours la même image de petits économistes crapuleux. Par ailleurs "on" a déjà pas le pouvoir en faisant le lèche-lèche avec l'UMP donc pourquoi persister ? Il faut montrer ce qu'est la philosophie libérale et quand tout se cassera la figure dans ce pays alors on nous regardera d'un tout autre oeil. Autrement nous serons encore les éternels responsables.

Je suis tout à fait d'accord.
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Et bien oui je préfère encore ça. J'en ai marre qu'on assimile Sarko ou Bush au Libéralisme.

Qu'on quitte un peu le domaine économique, sinon on aura toujours la même image de petits économistes crapuleux. Par ailleurs "on" a déjà pas le pouvoir en faisant le lèche-lèche avec l'UMP donc pourquoi persister ? Il faut montrer ce qu'est la philosophie libérale et quand tout se cassera la figure dans ce pays alors on nous regardera d'un tout autre oeil. Autrement nous serons encore les éternels responsables.

Je rejoins assez ce propos. Comme je l'ai répété à de nombreuses reprises (quitte à lasser les lecteurs et participants du forum), les libéraux doivent abandonner le costard de l'expert-comptable (surtout en se basant sur les chiffres étatistes: les bien nommées statistiques). Notre combat est aussi d'ordre moral.

Je crois que le système présent est allé tellement loin dans l'étatisme qu'il est voué à s'effondrer. Mais si un parti libéral peut lui flanquer la pichenette en guise de coup de grâce, je suis preneur.

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Sans chemise et sans pantalon, absolument !

(Les deux T que tu as mis dans "cravate" me rappellent une vieille blague bruxelloise.)

Fini le string en cuir clouté ?!

roooh ….

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Je crois que le système présent est allé tellement loin dans l'étatisme qu'il est voué à s'effondrer.

Cela fait penser aux communistes qui parlaient des "contradictions intrinsèques du capitalisme" qui le vouaient à s'effondrer. Les communistes se sont effondrés, le capitalisme marche toujours.

Le système actuel, qui repose sur l'Etat, sera toujours plus résistant qu'un non-système flou ("l'anarcho-libéralisme"). La nature a horreur du vide et la trop grande liberté n'a jamais survécu nulle part, de même qu'elle est totalement stérile dans tous les domaines. Même l'art vit de la contrainte et s'en nourrit.

La multiplication prévisible de catastrophes climatiques, de pandémies, de guerres terroristes, ne fera qu'accentuer la dépendance des individus devant l'Etat. Seul l'Etat est capable de faire face avec ses infrastructures à ces phénomènes qui dépassent de beaucoup les capacités de gestion d'un individu.

Qu'on ait besoin d'assouplissements économiques oui, c'est une évidence ; mais ceux qui rêvent à l'effondrement du système étatiste ne sont pas plus malins que les communistes d'hier qui ont perdu leur vie à attendre la fin du capitalisme.

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La multiplication prévisible de catastrophes climatiques, de pandémies, de guerres terroristes, ne fera qu'accentuer la dépendance des individus devant l'Etat. Seul l'Etat est capable de faire face avec ses infrastructures à ces phénomènes qui dépassent de beaucoup les capacités de gestion d'un individu.

Il suffit d'ailleurs d'observer la puissance de feu de la très modeste DDE lorsqu'elle sort ses pelleteuses à 18h30, au milieu de toutes les bagnoles bloquées, après une journée de neige tenace et trois jours de bulletins d'alerte.

J'ai personnellement hâte d'observer nos "state's heroes" quand on vivra "the day after".

Il est aussi connu que l'état n'est à l'origine d'aucune négligence lorsqu'on dresse le bilan très tardif de catastrophes sanitaires ou écologiques n'est-ce pas ? Les hémophiles et les employés du nucléaire apprécieront.

Mais suis-je bête, j'oubliais qu'il suffit juste que l'état immaculé passe enfin du rose au bleu en 2007.

Vous savez comment on va soigner votre tumeur mon bon monsieur ? On va déjà dire que vous n'en avez pas et on va changer l'étiquette sur votre radio.

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La multiplication prévisible de catastrophes climatiques, de pandémies, de guerres terroristes, ne fera qu'accentuer la dépendance des individus devant l'Etat. Seul l'Etat est capable de faire face avec ses infrastructures à ces phénomènes qui dépassent de beaucoup les capacités de gestion d'un individu.

Qu'on ait besoin d'assouplissements économiques oui, c'est une évidence ; mais ceux qui rêvent à l'effondrement du système étatiste ne sont pas plus malins que les communistes d'hier qui ont perdu leur vie à attendre la fin du capitalisme.

Tiens je te présente l'état :

Bel engin, hein ? Impressionnant, 56 tonnes sur la balance.

Combat tous les maux qui se présentent, la mauvaise haleine, les coups de soleil, les incivilités etc.. mais qui est engagé sur un chemin qui quelque part ne supporte que 50 tonnes. Que va t il se passer ?

(je sous titre le film pour que tu comprennes bien : quand le poids à supporter excéde les moyens des contribuables la "terreur" étatique se casse la gueule qq soit l'épaisseur de son blindage et sa puissance de feu).

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La multiplication prévisible de catastrophes climatiques, de pandémies, de guerres terroristes, ne fera qu'accentuer la dépendance des individus devant l'Etat. Seul l'Etat est capable de faire face avec ses infrastructures à ces phénomènes qui dépassent de beaucoup les capacités de gestion d'un individu.

Qu'on ait besoin d'assouplissements économiques oui, c'est une évidence ; mais ceux qui rêvent à l'effondrement du système étatiste ne sont pas plus malins que les communistes d'hier qui ont perdu leur vie à attendre la fin du capitalisme.

Je suis d'accord avec toi. Si le système se "casse la gueule", il en ressortira par défaut un système plus liberticide. Il faut convaincre les gens avant que ça ne dérape totalement. Après, il ne sera plus temps.

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Bon pour en revenir à AL, voici ce que j'ai retenu de ce que j'ai entendu ce matin sur Europe 1 dans le journal de 6h30:

"La couleur de ce parti est le violet car il se situe entre le rouge (la gauche) et le bleu (la droite)"

"Un nouveau parti clairement très à droite"

"Des idées piochées chez Christine Boutin et Alian Madelin

Heureusement, on a entendu un responsable d'AL (je ne sais plus si c'était Aurel ou Edouard F.) se démarquer nettement de Sarkosy.

Conclusion:

1) va falloir travailler le "très à droite" et vite vite vite essayer de rattraper le coup

2) Le "Christine Boutin" n'est pas très séduisant, il faudrait contrebalancer cela par une saillie sur le mariage gay par exemple :icon_up: , le mariage libre ou sur l'immigration libre.

J'ai zappé sur d'autres radios jusqu'à 7h30 environ mais rien entendu d'autre.

Modifié par Rocou
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2) Le "Christine Boutin" n'est pas très séduisant, il faudrait contrebalancer cela par une saillie sur le mariage gay par exemple :icon_up: , le mariage libre ou sur l'immigration libre.

Et l'arrêt de toute subvention aux entreprises : c'est libéral et ça plaît aux gens de gauche.

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Et l'arrêt de toute subvention aux entreprises : c'est libéral et ça plaît aux gens de gauche.

+1 !

Quand je parle de ca ca fout pas mal de gauchistes sur le cul

"Mais mais tu n'es pas pour subventionner les patrons pour qu'ils écrasent la gueule des salariés"

-Bah non, subventions= argent volé public prelevé sur les citoyens

Je pense au demeurant que le mariage gay passera mieux que l'immigration libre dans un programme, dire que les homos payent des impots comme nous sans avoir les même droits peut bien montrer l'hypocrisie dans laquelle on vit.

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Cela fait penser aux communistes qui parlaient des "contradictions intrinsèques du capitalisme" qui le vouaient à s'effondrer. Les communistes se sont effondrés, le capitalisme marche toujours.

Le système actuel, qui repose sur l'Etat, sera toujours plus résistant qu'un non-système flou ("l'anarcho-libéralisme"). La nature a horreur du vide et la trop grande liberté n'a jamais survécu nulle part, de même qu'elle est totalement stérile dans tous les domaines. Même l'art vit de la contrainte et s'en nourrit.

La multiplication prévisible de catastrophes climatiques, de pandémies, de guerres terroristes, ne fera qu'accentuer la dépendance des individus devant l'Etat. Seul l'Etat est capable de faire face avec ses infrastructures à ces phénomènes qui dépassent de beaucoup les capacités de gestion d'un individu.

Qu'on ait besoin d'assouplissements économiques oui, c'est une évidence ; mais ceux qui rêvent à l'effondrement du système étatiste ne sont pas plus malins que les communistes d'hier qui ont perdu leur vie à attendre la fin du capitalisme.

On lisait parfois dans les années 60 ou 70: "Ceux qui rêvent à la fin des régimes communistes se trompent autant que ceux qui croient en l'effondrement du monde capitaliste"…

Ensuite, je trouve plaisant que vous accusiez les anarcaps de défendre un système flou, vous qui nous trouviez naguère trop dogmatiques et pas assez soucieux du "flou de la réalité"… Sans compter votre signature qui ressemble à une profession de foi floutesque: "Tu bâtiras sur l'incertain du sable" (Ronsard) :icon_up:

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