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Droâdezanimos ?


Cédric

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Si Snow n'est pas un nazi, alors c'est un communiste.

Non, c'est un non-nazi.
Un communiste ?

Pour ceux qui n'auraient pas suivi c'est une bonne métaphore de la discussion jusqu'à maintenant :icon_ptdr:

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Ah bah si tu décide délibérément de niquer la logique il n'y a plus rien à faire  :jesaispo:.

La victime c'est le canard, et il est victime à partir du moment où il subit des violences qui dépassent celles qui sont nécessaires pour faire du foie gras. L'alternative n'est pas uniquement entre empêcher toutes les violences contre les animaux comme les nazis ou les autoriser toutes comme les communistes.
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Je dis qu'il peut y avoir plusieurs critères de séparation entre A et non-A et que ça ne sert à rien d'essayer de m'en faire adopter un que je n'ai jamais défendu. Rien de plus logique que ça.

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La victime c'est le canard, et il est victime à partir du moment où il subit des violences qui dépassent celles qui sont nécessaires pour faire du foie gras. L'alternative n'est pas uniquement entre empêcher toutes les violences contre les animaux comme les nazis ou les autoriser toutes comme les communistes.

 

Je pense que désigner l'animal comme "victime" est déjà aller trop loin dans la direction dangereuse, c'est l'humanité qui est victimisée par les sévices, pas vraiement les animaux (si ça ne concernait que les animaux, par définition ça ne ferait pas partie du droit).

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Il fallait faire un statut des juifs pour empêcher les nazis de les considérer comme des sous-hommes. Et puis dans les faits le juif était déjà discriminé, autant que la loi le reconnaisse. Du coup, pour empêcher les non-fumeurs de faire n'importe quoi, je propose un statut spécial pour protéger les fumeurs : on n'aura le droit de les agresser uniquement si ça sert à nourrir un être sensible, si ça rend une femme plus jolie ou si il a pissé à côté de la cuvette. Et si ça passe pas je boude, non mais.

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Du coup, pour empêcher les non-fumeurs de faire n'importe quoi, je propose un statut spécial pour protéger les fumeurs : on n'aura le droit de les agresser uniquement si ça sert à nourrir un être sensible

Ne tente pas JIM16 !

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Je pense que désigner l'animal comme "victime" est déjà aller trop loin dans la direction dangereuse, c'est l'humanité qui est victimisée par les sévices, pas vraiement les animaux (si ça ne concernait que les animaux, par définition ça ne ferait pas partie du droit).

C'est bien ce que je dis, c'est la salut de toute l'humanité qui est en jeu, on devrait donc envahir les pays qui autorisent la corrida.
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Je pense que désigner l'animal comme "victime" est déjà aller trop loin dans la direction dangereuse, c'est l'humanité qui est victimisée par les sévices, pas vraiement les animaux (si ça ne concernait que les animaux, par définition ça ne ferait pas partie du droit).

La société victime, c'est une autre pente dangereuse.

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La société victime, c'est une autre pente dangereuse.

C'est exact, mais ça a le mérite de poser la problématique réelle sans coller des concepts juridiques hasardeux et non nécessaires, c'est bien parce que des humains sont blessés par la perception du sadisme envers les animaux que la question se pose, elle n'est pas indépendante de l'homme.

Ensuite bien entendu il y à discussion légitime sur l'existence ou non d'une faute, sur la pertinence d'impliquer un processus judiciaire, mais cette discussion ne peut avoir lieu rationnellement que si on décrit bien le problème, et la description du problème par la souffrance humaine est la plus réelle, c'est l'empathie qui crée le besoin juridique, pas l'animal.

Note que je ne répond pas a la question "que faut-il faire" parce que tant que les prémisses sont totalement pourris par la notion de "droits" des animaux, toute réponse est à côté de la plaque.

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C'est comme les ours blancs qui meurent noyés à cause du réchauffement climatique, le vrai problème c'est que ça fait pleurer les cons, la justice n'a rien à voir là dedans.

Mais si c'est pour obtenir de la barbaque ou du rouge à lèvre, tu peux toujours prendre ton 4x4, on ne verbalisera que ceux qui font des choses juste pour le plaisir.

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Ensuite bien entendu il y à discussion légitime sur l'existence ou non d'une faute, sur la pertinence d'impliquer un processus judiciaire, mais cette discussion ne peut avoir lieu rationnellement que si on décrit bien le problème, et la description du problème par la souffrance humaine est la plus réelle, c'est l'empathie qui crée le besoin juridique, pas l'animal.

Et sur qui peut poursuivre. Tout le monde, ceux qui l'ont su, ceux qui l'ont vu ?

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Depuis hier j'ai enchaîné sans temps mort boulot >> apéro >> dîner + bourrage de gueule >> cuvage >> boulot + migraine. En ce moment introspectif je réalise que je me suis laissé prendre au piège que je n'arrête pourtant pas de souligner : l'échelle.

Je pense toujours que clarifier le statut (pénal donc) des animaux en France peut avoir un sens stratégique dans le contexte de la lutte contre l'antispécisme, mais ça n'est pas et ça ne peut pas être légitime.

Ce qui peut être légitime ce sont d'une part les labels (garantissant par exemple que les animaux impliqués dans la production de tel produit n'ont pas subit de traitements inappropriés) et d'autre part les règlements locaux (n'importe quel anarcap admettra qu'ils peuvent être aussi répressif qu'ils veulent). Avec ça je peux suspendre mon jugement sur ce qui se trouve ou pas dans le DN et laisser jouer la concurrence des normes.

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Mon avis sur Cecil :

 

Le déferlement de haine suite à l’abattage du lion Cecil en dit long sur la dépravation morale de nos gauchistes amis des bêtes. Entre les appels au lynchage et au meurtre, ceux toujours si prompts à fliquer les paroles des autres se sont lâchés sans retenue. Pour ces défenseurs de la vie et de la tolérance, une vie humaine vaut apparemment moins qu’une vie animale. En langage marxiste, on appellerait ça des espèces-traitres.

Quel dommage de ne pas voir autant d’indignation lorsque les soldats de l’armée française violent des enfants au Burkina Faso ou rase un village en Centrafrique. Il est vrai que les deux situations sont difficilement comparables. D’un côté, un Américain aisé – anti-capitalist triggering intensifies – tue un lion tout mignon qui pourtant, ironiquement, au vu de son désavantage évolutif – anti-science triggering intensifies – n’aurait sûrement pas vécu aussi longtemps s’il n’avait pas fait gagner autant de devises étrangères au Zimbabwe, pays ravagé par la dictature marxiste interminable de Mugabé (et dire qu’ils voudraient le voir extrader là-bas). De l’autre côté, de glorieux soldats de la déesse République – ceux qui défilent pour la fête nationale à l’instar de leurs homologues (biélo-)Russes, Chinois, Birmans ou Nord-Coréens – qui sauvent la planète de la surpopulation des noirs qu’il faudrait stériliser pour le bien de tous et surtout celui de Gaïa, notre bonne mère.

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