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il y a une heure, poincaré a dit :

Il n'y a pas le marquis de Sade dans la section érotique ?

 

J'ai commencé Les Cent Vingt Journées de Sodome et c'est très nul et glauque. La philosophie dans le boudoir est drôle 5 minutes.

Sacher-Masoch est pas mal surfait aussi.

 

@Moustachu: non, mais tu as le lien du coup.

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Je n'ai pas lu l'Ethique. Goethe l'aurait gardé pendant une année sur lui tellement Spinoza l'avait bouleversé.

Sinon, j'entends que Romain Gary entre à la Pléiade, c'est l'occasion de se plonger dans Les Racines Du Ciel, le premier roman écolo.

 

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Il y a 16 heures, Johnathan R. Razorback a dit :

Mouai, je ne retrouve pas grand-chose de ma bibliothèque idéale, à part Homère, Simonnot, Spinoza et Bellegarrigue.

 

Par contre je lirais bien le D. Friedman.

Tu veux que je te le prête ? 

 

Il y a 14 heures, poincaré a dit :

Il n'y a pas le marquis de Sade dans la section érotique ?

Tu trouves ça erotique les gens qui mangent du caca ? 

 

 

D'ailleurs après avoir lu histoire d'O, Brice Michel, Nalini Singh, un peu de Sade, j'ai essayé Esparbec et c'est incroyable, la littérature porno c'est nul, nul, nul.

 

Le meilleur que j'ai lu pour l'instant c'est chasseuse de vampire de Nalini Singh c'est dire quand même le niveau.

 

Et je trouves ça d'autant plus fort que quand tu compares à la bédé par exemple à I Roved out in Search for Truth and Love de Rupert Everton, Alfie de Incase et Les filles perdues d'Alan Moore, c'est systématiquement meilleur d'un point de vue écriture et d'un point de vue porno. 

 

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Il y a 3 heures, NoName a dit :

Tu veux que je te le prête ?

 

Qui êtes-vous et qu'avez-vous fait à @NoName ? Merci, c'est gentil, mais je me suis débrouillé ;)

 

Sinon, je sens que ça passionne tous le monde cette histoire de littérature érotique. Faudrait que je pense à mettre à jour la section avec quelques textes de ma création croustillants trouvés sur Internet.

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Il y a 4 heures, NoName a dit :

D'ailleurs après avoir lu histoire d'O, Brice Michel, Nalini Singh, un peu de Sade, j'ai essayé Esparbec et c'est incroyable, la littérature porno c'est nul, nul, nul.

 

J'ai commencé un Tara Sue Me mais c'est un pur plagiat de l'intrigue de Cinquante nuances.

 

Le problème avec l'érotisme c'est le dosage psychologie / description, ainsi que la vitesse.

 

Les romans du 17/18ème sont suffisamment lents et souvent psychologiques (le chef-d’œuvre étant celui de Laclos), mais quasiment sans descriptions.

 

La plupart des romans grands publics contemporains sont massivement descriptifs, abusivement rapides et saupoudrés d'une psychologie sommaire ou invraisemblable (changements de personnalités en 2 pages wtf).

 

Par exemple j'ai lu ça et la psychologie de l’héroïne est complètement fanatique et peu crédible. Et puis bonjour l'uro non annoncée aussi... Beurk.

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En littérature érotique il y a Pierre Louÿs qui est trashos.

 

Sinon ce soir je vais lire la correspondance Bastiat Proudhon qui est en ligne. En quelques clics j'en fais un ebook.

 

J'ai jeté un coup d’œil, ils se chauffent sur la fin.

 

Proudhon :

 

"Votre réponse, monument irrécusable d’une intelligence que le Verbe divin n’illumina jamais"

"vous êtes sans doute un bon et digne citoyen, un économiste honnête, un écrivain consciencieux, un représentant loyal, un républicain fidèle, un véritable ami du peuple : mais vos dernières paroles me donnent le droit de vous le dire, scientifiquement, monsieur Bastiat, vous êtes un homme mort."

 

réponse de Bastiat :

 

"La cause est entendue et le débat est clos, dit M. Proudhon, de partie se faisant juge. M. Bastiat est condamné… à mort. Je le condamne dans son intelligence ; je le condamne dans son attention, dans ses comparaisons, dans sa mémoire et dans son jugement ; je le condamne dans sa raison ; je le condamne dans sa logique ; je le condamne par induction, par syllogisme, par contradiction, par identité et par antinomie.

 

Oh ! monsieur Proudhon, vous deviez être bien en colère quand vous avez jeté sur moi ce cruel anathème !"

 

:lol:

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il y a 17 minutes, Johnathan R. Razorback a dit :

 

J'ai commencé un Tara Sue Me mais c'est un pur plagiat de l'intrigue de Cinquante nuances.

 

Le problème avec l'érotisme c'est le dosage psychologie / description, ainsi que la vitesse.

  

Les romans du 17/18ème sont suffisamment lents et souvent psychologiques (le chef-d’œuvre étant celui de Laclos), mais quasiment sans descriptions.

  

La plupart des romans grands publics contemporains sont massivement descriptifs, abusivement rapides et saupoudrés d'une psychologie sommaire ou invraisemblable (changements de personnalités en 2 pages wtf).

 

Par exemple j'ai lu ça et la psychologie de l’héroïne est complètement fanatique et peu crédible. Et puis bonjour l'uro non annoncée aussi... Beurk.

J'essaierai pour voir.

 

Mais c'est ça qui est dingue, lis à côté Alfie de Incase, et tu a soudainement un mec qui écrit un porno qui tiens la route d'un point de vue bagatelle mais aussi un univers entier de fantasy et qui parle de trucs pas simples: homosexualité dans une petite communauté conservatrice, racisme (au sens propre puisque là t'as des hobbits), découverte du monde, prostitution, relations amoureuses,...sans que l'ambiance devienne lourde et tout en gardant le côté fun (et il dessine super bien en plus). On va pas me dire que ça prends plus de temps pour écrire 150 pages de porno qui tienne la route.

 

Tiens d'ailleurs j'ai lu Pierre Louys, et autant le manuel d'éducation des petites filles est hilarant, autant 3 filles et leur mère est dégueulasse et ultra-malsain.

En matière de porno écrit je tombe essentiellement sur 3 catégorie de bouquin

- les bouquins pour gros pervers type Pierre Louys, Sade et Esparbec

- les gogoleries pour adolescentes (Nalini Singh)

- les gogoleries pour Milf (50 shades)

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Il y a 4 heures, NoName a dit :

Tu trouves ça erotique les gens qui mangent du caca ? 

Well...

 

Citation

D'ailleurs après avoir lu histoire d'O, Brice Michel, Nalini Singh, un peu de Sade, j'ai essayé Esparbec et c'est incroyable, la littérature porno c'est nul, nul, nul.

Oui parce que c'est littéralement du porno. L'érotisme par la BD*, c'est mieux.

 

Citation

Et je trouves ça d'autant plus fort que quand tu compares à la bédé par exemple à I Roved out in Search for Truth and Love de Rupert Everton, Alfie de Incase et Les filles perdues d'Alan Moore, c'est systématiquement meilleur d'un point de vue écriture et d'un point de vue porno. 

Tiens merci pour la découverte. Sinon, ce coquinou de @Mégille m'a fait découvrir ça, c'est sympa https://www.oglaf.com/archive/

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Ha oui oglaf, j'aime assez, très drôle et souvent très juste.

 

Mais je comprends pas pourquoi la littérature porno est systématiquement si mauvaise, ça me dépasse.

 

Quand à la distinction érotisme et porno...

 

Le 08/01/2016 à 17:51, NoName a dit :

 

roh là là, entre "Toute image est pornographique, en ce sens" et la deuxième phrase, c'est incroyable ce que tu fais intellectuel.

 

Et la différence entre érotisme et pornographie c'est de la merde en barre. La pornographie de l'un est l'érotisme de l'autre, et vice-versa.

 

sauf peut être une scène de fist anal avec du prolapse. là je veux bien que ce soit difficile de parler d'érotisme.

 

Le 08/01/2016 à 19:31, NoName a dit :

 

On va dire que c'est un peu troll mais quasiment à chaque fois que quelqu'un viens te parler de la différence entre érotisme et pornographie, tu peux être sûr que c'est juste un discret hommage à la vertu pour ensuite faire du gros jugement de valeur en prenant son nombril en exemple et bien dire tout en long, en large et en travers le mal de ce qu'il considère être pornographique et que lui (ou elle) n'apprécie que l'érotisme, attention, parce que Moi je suis quelqu'un de goût et je ne m'abaisserai pas à ce genre de bassesse et de vulgarité, je suis un intellectuel moi Môoossieur.

 

Avec en fond toujours ce dégoût du bassement matériel, un jugement sur la sexualité et les plaisirs de la chairs vus comme sales et cette manière d'essayer, dans l'"eRoTiiiisMeuhhh", d'intellectualiser stupidement l'instinct qui nous pousse à vouloir se satisfaire.

 

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On peut considérer que ce sont deux choses légèrement différentes (c'est pour ça que y a deux mots différents).

Tu as des livres pornographiques non-érotiques (typiquement Les 120 journées), et des livres érotiques non-pornographiques.

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il y a 27 minutes, NoName a dit :

Mais je comprends pas pourquoi la littérature porno est systématiquement si mauvaise, ça me dépasse.

Bah, le porno aussi, un peu pour les mêmes raisons. Les trucs de qualité sont au fond assez rares, et n'existent de manière autre que marginale que depuis que le streaming a rendu tous les sous-genres possibles immédiatement accessibles, poussant les producteurs à se différencier (et une des manières de se différencier, c'est la qualité).

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il y a 33 minutes, NoName a dit :

Quand à la distinction érotisme et porno...

 

Peut-être que ce n'est pas une différence de genre mais plutôt deux catégories esthétiques opposées (au sens au beau et laid sont opposés). Du coup l'absurdité de la distinction risque de recouper l'absurdité ou la non-absurdité de l’objectivité du beau.

 

Sinon ta dernière phrase me fait irrésistiblement penser à ceci:


« Toutes les passions ont un temps où elles ne sont que néfastes, où elles avilissent leurs victimes avec la lourdeur de la bêtise, - et une époque tardive, beaucoup plus tardive où elles se marient à l'esprit, où elles se "spiritualisent". Autrefois, à cause de la bêtise dans la passion, on faisait la guerre à la passion elle-même: on se conjurait pour l'anéantir, - tous les anciens jugements moraux sont d'accord sur ce point, "il faut tuer les passions". La plus célèbre formule qui en ait été donnée se trouve dans le Nouveau Testament, dans ce Sermon sur la Montagne, où, soit dit en passant, les choses ne sont pas du tout vues d'une hauteur. Il y est dit par exemple avec application à la sexualité: "Si ton œil est pour toi une occasion de chute, arrache-le": heureusement qu'aucun chrétien n'agit selon ce précepte. Détruire les passions et les désirs, seulement à cause de leur bêtise, et pour prévenir les suites désagréables de leur bêtise, cela ne nous paraît être aujourd’hui qu’une forme aiguë de la bêtise. Nous n'admirons plus les dentistes qui arrachent les dents pour qu'elles ne fassent plus mal... On avouera d'autre part, avec quelque raison, que, sur le terrain où s'est développé le christianisme, l'idée d'une "spiritualisation de la passion" ne pouvait pas du tout être conçue. Car l'Église primitive luttait, comme on sait, contre les "intelligents", au bénéfice des "pauvres d'esprit": comment pouvait-on attendre d'elle une guerre intelligente contre la passion ? - L’Église combat les passions par l’extirpation radicale : sa pratique, son traitement c’est le castratisme. Elle ne demande jamais : « Comment spiritualise, embellit et divinise-t-on un désir ? » — De tous temps elle a mis le poids de la discipline sur l’extermination (— de la sensualité, de la fierté, du désir de dominer, de posséder et de se venger). — Mais attaquer la passion à sa racine, c’est attaquer la vie à sa racine : la pratique de l’Église est nuisible à la vie... » (p.97-98, §1)

"La spiritualisation de la sensualité s’appelle amour : elle est un grand triomphe sur le christianisme."(p.99, §3)

-Friedrich Nietzsche, Le Crépuscule des idoles, "La morale en tant que manifestation contre nature", trad. Henri Albert, GF-Flammarion, 1985 (1889 pour la première édition allemande), 250 pages.
 

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il y a 58 minutes, NoName a dit :

Tiens d'ailleurs j'ai lu Pierre Louys, et autant le manuel d'éducation des petites filles est hilarant, autant 3 filles et leur mère est dégueulasse et ultra-malsain.

Trois fille de leur mère. Assez abominable oui.

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Lire du porn c'est un peu un truc de gonzesse quand même. Nouzôtres les hommes sommes plutôt des créatures visuelles. D'où la supériorité de la BD qui est le meilleur des deux mondes.

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il y a 4 minutes, Lancelot a dit :

Lire du porn c'est un peu un truc de gonzesse quand même. Nouzôtres les hommes sommes plutôt des créatures visuelles. D'où la supériorité de la BD qui est le meilleur des deux mondes.

C'est un bon entraînement aux sextos justement.

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Citation

Et la différence entre érotisme et pornographie c'est de la merde en barre. La pornographie de l'un est l'érotisme de l'autre, et vice-versa.

 

sauf peut être une scène de fist anal avec du prolapse. là je veux bien que ce soit difficile de parler d'érotisme.

:o

 

Citation

On va dire que c'est un peu troll mais quasiment à chaque fois que quelqu'un viens te parler de la différence entre érotisme et pornographie, tu peux être sûr que c'est juste un discret hommage à la vertu pour ensuite faire du gros jugement de valeur en prenant son nombril en exemple et bien dire tout en long, en large et en travers le mal de ce qu'il considère être pornographique et que lui (ou elle) n'apprécie que l'érotisme, attention, parce que Moi je suis quelqu'un de goût et je ne m'abaisserai pas à ce genre de bassesse et de vulgarité, je suis un intellectuel moi Môoossieur.

 

Avec en fond toujours ce dégoût du bassement matériel, un jugement sur la sexualité et les plaisirs de la chairs vus comme sales et cette manière d'essayer, dans l'"eRoTiiiisMeuhhh", d'intellectualiser stupidement l'instinct qui nous pousse à vouloir se satisfaire.

Sans avoir vraiment réfléchi au truc, je suis allée voir la définition sur wikipédia, et j'en suis parvenue à la conclusion que c'est effectivement de la branlette intellectuelle parce que clivage bidon :  https://fr.wikipedia.org/wiki/Érotisme#Érotisme_et_pornographie

 

N'en déplaise à @Fagotto :P

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Il y a 3 heures, Lancelot a dit :

Lire du porn c'est un peu un truc de gonzesse quand même. Nouzôtres les hommes sommes plutôt des créatures visuelles. D'où la supériorité de la BD qui est le meilleur des deux mondes.

Oui, mais papier alors, parce que les webcomics porn c'est aussi un truc de gonz'.

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Naaan, oglaf c'est trop bien ! Mais c'est plus de l'humour salace que véritablement du porno. Et d'ailleurs, ça ne tourne même pas toujours autour du cul.

(par contre, je suis très triste qu'il ne continue pas l'histoire de l'apprenti et de la sorcière, qui était le fil conducteur principal des premières bd...)

 

Il y a 4 heures, Wayto a dit :

C'est un bon entraînement aux sextos justement.

Voir à des sciences occultes encore plus ésotériques. J'ai un ami qui écrit des nouvelles érotiques pour femme (genre, il se fait vraiment payer pour ça), et il prétend être capable de faire jouir sa copine sans la toucher, par hypnose.

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10 hours ago, Raffarin2012 said:

Je l'avais déjà dit sur un autre fil mais un juge américain avait déclaré : "la pornographie on ne peut pas la définir mais on sait que c'en est quand on en voit".

Voilà : esprit de finesse spotted

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On 5/28/2019 at 5:43 PM, frl said:

C'est finalement plutôt hétéroclite liborg... On passe de Don Camillo à Oakeshott via Spinoza, c'est chouette !

Si "Facing violence" de R. Miller t'intéresse alors ajoute "traité de la violence" de Sofsky qui en est un pendant sociologique.

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il y a 8 minutes, Johnathan R. Razorback a dit :

 

Comment sait-il qui paye pour ça ?

 

Tu lis des nouvelles érotiques pour femmes ?

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Le 28 mai 2019 à 17:39, frl a dit :

Bon, je n'ai pas tout repris, mais voici en gros ce qui va rejoindre ma liste de bouquins à acheter, suite à la lecture du topic...

 

La classification Essai/Fiction Français/Anglais est tout ce qu'il y a de plus mal fichue mais bon, je vous livre le truc brut de décoffrage.

....

 

 

Intéressant. Il y a tout de même une bonne partie d'auteurs relativement classiques dans leur domaine.

Le deuxième point c'est la part important d'auteurs anglophones.

Sinon, j'ai retrouvé des livres que j'ai acheté suite à ma lecture du forum, ce ne sont pas forcément des livres que j'ai lu, l'envie de lire n'est pas contrôlable.

 

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