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Je viens de finir cette semaine plusieurs livres, dont Destin Français de Zemmour. Que l'on aime ou non le personnage, ce livre montre, confirme toute la culture histoire de Zemmour, qui n'est pas uniquement un réac "c'était mieux avant parce que c'est comme ça". Par ailleurs, Destin Français est plus fin, subtile que Suicide Français. N'étant pas conservateur (ni progressiste), encore moins réactionnaire, je fus assez étonné d'avoir une certaine empathie pour les idées de l'auteur, aussi liberticides et souvent maladroites sont-elles. Cela étant dit, on retrouve le même Zemmour, toujours dans l'enchère d'interprétations et d'analogies avec nos jours, ce qui fait peut-être de lui un excellent commentateur de l'histoire, mais piètre en politique.

 

Ensuite, il y a La Présomption fatale d'Hayek, sans doute la dernière ou l'une de ses dernières œuvres que je n'ai pas encore lu. Toujours pas d'originalité, on a un Hayek fidèle à lui-même, toujours présent pour cogner du socialisme, pas de repos pour le brave guerrier dont le livre fut publié quatre ans avant son décès. J'ai eu du plaisir à lire le chapitre prophétique de l'empoisonnement de notre langage par le socialisme. Et aussi le sous chapitre : Le capitalisme a donné vie au prolétariat ; si seulement Marx était vivant pour le lire !

 

Autrement, je ne vais pas tarder à finir Debunking Economics, ou L'Imposture économique de Steve Keen. Bien que l'auteur soit post-keynésien, et qu'il s'attaque assez maladroitement à l'école autrichienne ; malheureusement ses attaques sur les théories néoclassiques sont justes, et je regrette que beaucoup de libéraux reprennent certaines de ces erreurs d'analyse. Je ne reproche rien au libéralisme sur le plan moral, mais sur le plan de l'analyse économique c'est autre chose.

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il y a 2 minutes, Flandre a dit :

un excellent commentateur de l'histoire

:icon_surpris: Surtout les mêmes anecdotes qu'il répète non-stop sur un ton de directeur de conscience, non?

Il faudrait vérifier mais j'avais l'impression en feuilletant Mélancolie française que c'était truffé de clichés à la "les barbares ont causé la chute de Rome qui allait grave bien sans ça", les barbares étant subtilement rapprochés des migrants. Pas sûr qu'on puisse distinguer ses causeries d'instituteur d'histoire et ses diatribes politiques de plus en plus wtf.

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il y a 14 minutes, Vilfredo Pareto a dit :

Surtout les mêmes anecdotes qu'il répète non-stop sur un ton de directeur de conscience, non?

 

Je ne nie pas le fait qu'il puisse être désagréable par moment ; ceux qui commentent en usant excessivement d'anecdotes ont peut-être souvent des arguments de pacotilles, mais ils satisfont très bien les petites curiosités.

 

Autrement, je ne me suis intéressé à Zemmour qu'après Suicide Français, je ne saurais rien dire sur ses écrits antérieurs.

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Il y a 16 heures, Flandre a dit :

 Je ne reproche rien au libéralisme sur le plan moral, mais sur le plan de l'analyse économique c'est autre chose.

 

Le deuxième plan n'est pas le libéralisme. Le libéralisme n'est pas une école de théorie économique (le fait que les libéraux aient tendance à être attirés par certaines et que certaines aient tendance à voir émerger des gens qui sont libéraux en politique n'est qu'une corrélation, pas un trait essentiel à la définition du libéralisme. On peut être libéral sans avoir de culture économique même minimale, même si c'est factuellement rare).

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@F. mas avait raison, ce bouquin est bien.

 

Et donc, l'illusion propriétariste a émergé au sein de la boutique anglaise afin d'entourlouper la bourgeoisie et lui arracher des droits politiques, rien de moins:

 

 "Sans fonds de roulement, pas d'indépendance, pas de liberté. Les Niveleurs le savent fort bien, puisqu'ils en font l'expérience quotidienne. Pourtant, ils ne le disent jamais explicitement. Pourquoi ? Parce qu'ils ont beaucoup plus à cœur de proclamer les droits de l'homme que le droit de propriété, plus précisément encore, parce qu'ils s'efforcent de fonder les droits de l'homme moins sur le droit que les hommes peuvent avoir sur les choses, que sur celui qu'ils possèdent sur eux-mêmes. Tout à la tâche de revendiquer la plénitude des droits pour tous ceux qui n'ont pas aliéné leur force de travail, comment pourraient-ils admettre publiquement, sans donner des armes à leurs adversaires, que la propriété exclusive de leur force de travail n'assure l'indépendance qu'à ceux qui possèdent, en outre, des biens matériels ? Rares sont les textes où les Niveleurs admettent clairement que propriété du travail et propriété des choses sont liées dans leur esprit. […] Mais qu'ils le reconnaissent explicitement ou pas, le fait demeure: le critère de liberté que les Niveleurs utilisent impliquent nécessairement que l'homme libre est celui qui, outre sa force de travail, possède quelques biens matériels. […]
Leur idée de la liberté est le produit de la généralisation qu'ils opèrent à partir des données de leur propre expérience, c'est-à-dire à partir du phénomène complexe qu'est la liberté telle qu'ils la connaissent, celle du petit producteur indépendant qui ne l'est que dans la mesure où il dispose librement de ses facultés personnelles et d'un fonds de roulement. Qu'ils aient mis l'accent sur le premier de ces deux termes n'a rien de surprenant. Qu'ils aient appelé "propriété" cette liberté de disposer de ses propres facultés n'est pas un hasard.
"
-Crawford B. Macpherson, La théorie politique de l'individualisme possessif, Gallimard, coll. Folio essais, 2004 (1962 pour la première édition anglaise), 606 pages, pp.250-252.

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Mises, ce libéral pragmatique :D

 

It was not the only time Mises would justify and implement emergency monetary policies that are difficult to reconcile with classical-liberal principles. In accord with F.A. Hayek, one could call such positions desperado policy: it is “essentially the policy of the desperado who has nothing to lose and everything to gain from a short breathing space.” But keep in mind that Mises approached policy matters from a utilitarian point of view. Strictly speaking, there is no such thing as scientific “classical liberal principle” from his perspective. There are only effective and inenfective policies. Using the monetary printing press in the winter of 1918–1919 was the only suitable way to keep the government going, he thought. »

-Jörg Guido Hülsmann, Mises. The Last Knight of Liberalism, Auburn (Alabam), 2007, 1143 pages, p.345.

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  • 2 weeks later...
il y a une heure, Filibert a dit :

Tyler Cowen en a fait un résumé (je ne vous garantie pas que ce résumé est objectif) :

https://marginalrevolution.com/marginalrevolution/2019/12/charles-murrays-human-diversity.html

Tiens, il y a Steve Sailer dans les commentaires.

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Il apparaît que la fameuse distinction entre les crimes (punissables par la puissance publique) et les vices (non punissables) soit déjà dans Holbach ; je me demande dans quelle mesure la maîtrise de cette distinction morale n'est pas un prérequis pour être libéral :

 

"L'on doit appeler crimes, forfaits, attentats, péchés graves tous les actes qui causent un grand désordre dans la société, ou qui annoncent dans celui qui les commet des dispositions très fatales pour ses associés. On appellera vices toutes les dispositions soit naturelles soit acquises dont il résulte du mal, ou dont il ne résulte aucun bien. On appellera défauts, imperfections, faiblesse la privation des qualités nécessaires pour nous concilier la tendresse et l'estime des êtres avec qui nous vivons. Nos défauts sont des dispositions qui nous rendent incommodes, ridicules, méprisables dans le commerce de la vie. Les crimes méritent la haine et les punitions des hommes. Les vices méritent leurs mépris." (p.73)
-Paul-Henri Thiry d’Holbach, Système social ou Principes naturels de la Morale & de la Politique avec un Examen de l’Influence du Gouvernement sur les Mœurs, 1773 in Œuvres philosophiques (1773-1790), Éditions coda, 2004, 842 pages, pp.5-314.

 

 

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  • 2 weeks later...

En ce moment, je lis De la Raison et Notre Jeunesse de Péguy (les deux dans le même bouquin)

 

Ensuite, je lirai Crashed. How a decade of financial crises changed the world d'Adam Tooze.

 

Je feuillette aussi régulièrement un livre graphique sur le capitalisme, c'est rigolo. 

  • Yea 2
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Très bien tout ça @Jukebox !

 

Pendant ce temps, j'explore toujours plus d'anticapitalisme de droite:

 

 

"Dans cet article [d'hommage à Maurras, dans la Revue universelle] […] Thierry Maulnier s'emploie d'abord à dissiper les malentendus concernant les idées sociales de Maurras. […]
"Ceux qui connaissent tant soit peu la pensée maurrassienne, écrit Maulnier, savent qu'elle fut orientée dès ses débuts contre ce qu'elle considérait comme le principal adversaire -on pourrait dire le seul adversaire: le libéralisme. Or le libéralisme a deux faces: l'une politique, l'autre économique. Ces deux faces, l'analyse maurrassienne ne pouvait les séparer. Si l'action, si l'intérêt portaient de préférence Charles Maurras vers l'aspect proprement politique du problème libéral: la critique de la démocratie, les terribles désordres provoquées dans l'économie par le libéralisme capitaliste ne pouvaient lui échapper. Si le libre jeu des volontés individuelles ne produit pas naturellement, en politique, le bien de la cité, il n'y a aucune raison pour que le libre jeu des volontés individuelles produise davantage, en économie, le bien de la cité".
De ce fait, remarque Maulnier, la pensée maurrassienne a rejoint la pensée socialiste à la fois sur l'idée d'un intérêt général qui est autre chose et plus que la somme des intérêts particuliers, et aussi sur l'idée que la société où les individus sont livrés à eux-mêmes est une société barbare, vouée à l'anarchie ou à la tyrannie des plus forts. Et pour en apporter la preuve, Maulnier se réfère au Dictionnaire politique et critique de Maurras. Il y a trouvé une sévère condamnation de l'attitude bourgeoise en face du monde ouvrier: "L'histoire de la grande industrie en témoigne, écrit notamment Maurras ; si le prolétariat résiste, si cette résistance a pris la forme d'une offensive violente, ce n'est pas lui qui a commencé ; l'oppression ou l'exploitation capitaliste est la première en date". Dans d'autres textes, Maurras a montré que la condition du prolétaire moderne était pire que celle du serf et de l'esclave de jadis, il a également souligné que les revendications ouvrières procédaient non seulement de besoins matériels, mais d'une exigence de dignité.
On a prétendu que, pour Maurras, le problème social était secondaire. Thierry Maulnier réfute cette affirmation en citant les lignes suivantes de Maurras sur l'économie:

"L'économie étant la science et l'art de nourrir les citoyens et les familles, de les convier au banquet d'une vie prospère et féconde, est une des fins nécessaires de toute politique. Elle est plus importante que la politique. Elle doit donc venir après la politique, comme la fin vient après les moyens, comme le terme est placé au bout du chemin, car c'est le chemin que l'on prend si l'on veut atteindre le terme".
Bien mieux: Maurras a lui-même employé le mot de socialisme pour désigner l'organisation sociale qui lui paraît souhaitable. "Il y a opposition, contradiction à angle droit, entre le marxisme, égalitaire, international, et la protection de la nation et de la patrie, a-t-il écrit. Mais un socialisme libéré de l'élément démocratique et cosmopolite peut aller au nationalisme comme un gant bien fait à une belle main."
Thierry Maulnier a également retrouvé un vieil article de Maurras sur Renan dans lequel il prédisait "de curieuses formes de contre-révolution" le jour où le nationalisme s'allierait à un mot populaire, "celui de socialisme, par exemple". Et Thierry Maulnier ajoute à ce sujet: "On ne force nullement la pensée de Charles Maurras en disant que, le premier en Europe, et bien avant la guerre, il avait songé à la formule de ce "national-socialisme" qui devait connaître en Europe, sous des formes d'ailleurs différentes, une fortune si singulière." (pp.286-257)
-Paul Sérant, Les Dissidents de l'Action française, Paris, Éditions Pierre Guillaume de Roux, 2016 (1978 pour la première édition), 417 pages.
 

  • Yea 1
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:icon_fete: Tu nous en diras des nouvelles !

 

(Pour ma part, je dois aussi recevoir aujourd'hui des bouquins : un sur l'endocrinologie évolutive des femmes, et deux sur le Big Data appliqué à l'exploration de la vie privée des gens.)

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Voilà la revue de presse sur le bouquin de Murray

 

Steve Sailer

https://www.takimag.com/article/charles-murray-goes-meta/#.XjEGIcSzxLU.twitter

 

Quillette (podcast) 

https://quillette.com/2020/01/28/podcast-75-charles-murray-talks-about-his-new-book-human-diversity/

 

The Federalist

https://thefederalist.com/2020/01/29/charles-murray-how-genetics-disprove-woke-dogma-on-race-gender-and-class/

 

Foxnews (vidéo) 

https://video.foxnews.com/v/6126829907001/

 

Podcast The Remnant

https://podcasts.apple.com/us/podcast/episode-170-gender-and-race-and-class-oh-my/id1291144720?i=1000464147850

 

Update du 06 fevrier:

Review pour la National Review par Robert Verbruggen (un jouranlsite super intéressant)

https://www.nationalreview.com/magazine/2020/02/24/what-science-can-tell-us-about-race-gender-and-class-differences/

 

Inside Highered sur le sujet de la race et de la classe

https://www.insidehighered.com/news/2020/01/23/intelligent-argument-race

 

Review pour vdare <- altright limite

/!\ https://vdare.com/articles/the-first-duty-of-intelligent-men-john-derbyshire-on-charles-murray-s-human-diversity /!\

 

Review par Nicole Barbaro, PHD en evopsy

https://nicolebarbaro.com/2020/02/23/thoughts-on-human-diversity/

 

Review de Emil Kierkegaard, une importante figure du mouvement HBD <- personnage trèèèèèès limite 

/!\ https://www.researchgate.net/publication/339426524_Human_Biodiversity_for_Beginners_A_Review_of_Charles_Murray's_Human_Diversity /!\

 

Revue du NYT

https://www.nytimes.com/2020/02/12/books/review-human-diversity-charles-murray.html

 

Revue du National Policy Institute <- organisation suprémaciste blanche

/!\ https://nationalpolicy.institute/2020/02/14/bravery-signaling/ /!\

 

Revue de l'Occidental Observer <- suprémacistes blancs

/!\ https://www.theoccidentalobserver.net/2020/02/20/murray-on-race-differences-in-iq/ /!\

 

Review de Russell Barne

https://russellwarne.com/2020/01/28/initial-thoughts-on-charles-murrays-human-diversity-the-biology-of-gender-class-and-race/

 

Update du 04 juin

Review su un blog de chercheur, The genome's Take, par Greg Gibson (chercheur en genetique)

http://genomestake.blogspot.com/2020/05/seventy-seventh-take-on-human-diversity.html

 

Autres:

Réponse (pour le Lol) du comité pour l'Inclusion et la Diversité de Middleburry Campus

https://middleburycampus.com/48142/opinion/on-engaging-with-charles-murray/

 

Pas Charles Murray mais sur le même thème: les 10 prédictions de Razib Khan sur la génétique et l'homme pour la décennie

https://blog.insito.me/top-10-human-genetics-evolution-predictions-for-the-2020s-c93f3ef74b4f

 

WSJ (en fait un article de Murray sur le sujet) 

https://www.wsj.com/articles/genetics-will-revolutionize-social-science-11580169106?redirect=amp#click=https://t.co/1L3kmmi5wb

 

Revue de Murray sur un autre bouquin mêlant SHS et génétique

https://www.wsj.com/articles/book-review-a-troublesome-inheritance-by-nicholas-wade-1399066489

 

Un article de Bo Winegard sur le sujet de la HBD

https://medium.com/@winegabo/human-diversity-what-i-believe-b7955749f895

 

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Quelques extraits de Charles Murray pour les feignants et les pauvres

Murray HBD props intro.jpg

Murray HBD 10 propositions.jpg

Murray HBD conclusions.jpg

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Ca va boxer sévère pour un bon paquet d'années...prévoir des containers de pop corn.

En attendant faut que je me remette à la génétique, je comprends à peu près rien à l'article wikipédia des polygenic scores.

@Lancelot une vulgarisation sous le coude ?

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31 minutes ago, Boz said:

@Lancelot une vulgarisation sous le coude ?

Pas une vulgarisation mais tu peux regarder ça pour l'autre son de cloche : https://www.mdpi.com/2624-8611/1/1/3/htm

Quote
Flynn, J. R. (2019). Reservations about Rushton. Psych, 1(1), 35-43.

 

Rushton believed not only that East Asians, whites, and blacks could be ranked in that order for desirable traits but also that the black/white IQ gap is predominantly genetic in origin. Concerning the first, he relied on the “ice ages hypothesis”to show that the evolutionary history of the three races had varied as East Asians were subjected to the most demanding environment (north of the Himalayas), whites to the next most demanding (north of the Alps), and blacks to the least demanding (Africa). As to the second, he appealed to arguments based on the method of correlated vectors (Jensen effects) and regression to the mean. To assess his contribution I argue: (1) That the racial ranking for desirable traits is not as tidy as it seems; (2) That the ice ages hypothesis has been falsified; (3) That the black/white Q gap is more likely to be environmental, with black American subculture as the culprit; and (4) That appeals to correlated vectors and regression cannot disentangle genetic and environmental causes.

 

  • Yea 2
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En fait à la relecture c'est plus accessible que dans mon souvenir. Peut-être que ça vaudrait le coup de faire une traduction ?

 

Notez qu'il y a d'autres critiques de la method of correlated vectors (sur laquelle repose à peu près toute l'argumentation des différencialistes), par exemple ici, mais elles sont plus velues à appréhender.

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il y a une heure, Vilfredo Pareto a dit :

Le nouveau livre de NNT et vous ne devinerez JAMAIS de quoi ça parle

https://www.researchers.one/article/2020-01-21

Fat shaming.

Ma préférée c'est celle-là :

Most of the failures of financial economics, econometrics, and behavioral economics can be attributed to using the wrong distributions

Va dire ça aux profs d'université...

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Il y a 8 heures, Vilfredo Pareto a dit :

Le nouveau livre de NNT et vous ne devinerez JAMAIS de quoi ça parle

https://www.researchers.one/article/2020-01-21

"This book, the first volume of the Technical Incerto..."

 

Mais on ne l'arrête plus !

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  • 2 weeks later...
il y a 3 minutes, frl a dit :

Hello,

Est-ce que par hasard quelqu'un aurait déjà lu : https://www.lesbelleslettres.com/livre/4175-responsabilite (il est sorti début février) ?

Extrait dispo ici https://en.calameo.com/read/005295962c9be9f563f4e, rien de nouveau sous le soleil on dirait, non ?

Pas lu,

mais article CP récent :

Responsabilité : au cœur de la tradition intellectuelle libérale  

https://www.contrepoints.org/2020/02/11/364096-responsabilite-au-coeur-de-la-tradition-intellectuelle-liberale

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