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Fables Libérales


WALDGANGER

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Si la suppression du SMIC entraîne la mort de la consommation, alors vive la décroissance!

Nous venons donc de définir ce qu'est la décroissance libérale. C'est bien ce que je dis, le libéralisme n'était plus qu'un dogmatisme stérile. Hélas, nous avons inventé une alternative pas très féconde.

Tu l'as dit, bouffi. Tu n'avais jamais remarqué que les hommes politiques sont vaniteux et creux?

Ils creusent gentiment leurs tombes et coulent le bateau avec. Tout ce que l'on (les citoyens et le monde politique) a trouvé, c'est de mettre une femme à la place, qui n'est pas encore élue, c'est bien vrai. Sans médire par antériorité sur ce qu'elle fera, on va en prendre pour 5 ans. Mais si c'est nico-nico, je lui souhaite bon vent !

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Nous venons donc de définir ce qu'est la décroissance libérale. C'est bien ce que je dis, le libéralisme n'est plus qu'un dogmatisme stérile.
Si le libéralisme est, comme tu le penses, aussi stérile que la théorie de la relativité générale d'Einstein, alors l'état finira bien par disparaître dans un trou noir un jour.
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Si le libéralisme est, comme tu le penses, aussi stérile que la théorie de la relativité générale d'Einstein, alors l'état finira bien par disparaître dans un trou noir un jour.

Comme j'ai réédité mon post précédent, aujourd'hui la vie politique semble se régénérer autour d'une femme (ex : Allemagne, France).

Mais dans la course concurrentielle à la taille que se font les structures supranationales (Europe, etc) et les multinationales, j'ose espérer que le fait politique (évidemment s'il est démocratique) aura toujours force et droit sur le fait économique.

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barrières à l'emploi : pas d'accord, cela reste facile à faire comprendre à un salarié qu'il est indésirable, une petite transaction et hop, c'est fait (on a acheté auparavant le CE comme je l'ai constate, et l'affaire est dans la chaussette).

Discours stupide.

Au moins, ce système éducatif n'est pas complètement vendu à la dictature mercantile et enseigne encore la philosophie.

Et quelle brillante philosophie, on nous enseigne!

Dis-moi, tu sais ce qu'est l'esprit critique ou tu ressors toujours bêtement les conneries qu'on te raconte à l'école?

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Discours stupide.

Roniberal, si les états s'affranchissent autant du droit que vous le stipulez, veuillez croire mon expérience que le monde économique aussi.

Roniberal a écrit :

Et quelle brillante philosophie, on nous enseigne!

Dis-moi, tu sais ce qu'est l'esprit critique ou tu ressors toujours bêtement les conneries qu'on te raconte à l'école?

Lorsque j'étais à l'école, l'altermondialisme n'existait et que le communisme (et même le socialisme) dans mes contrées était damné. Et l'esprit critique ne vient pas que de l'enseignement, il vient également de l'expérience.

Donc mes réflexions ne viennent très certainement pas de l'enseignement scolaire, par contre les votres proviennent essentiellement de vos lectures il me semble.

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Si l'enseignement de la philosophie est un endoctrinement, je peux comprendre que l'enseignement en HEC soit une émancipation de l'âme.

Bizarrement, c'est cette philosophie d'HEC qui attire les employeurs…

j'ose espérer que le fait politique (évidemment s'il est démocratique) aura toujours force et droit sur le fait économique.

C'est effectivement le cas actuellement…

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Comme j'ai réédité mon post précédent, aujourd'hui la vie politique semble se régénérer autour d'une femme (ex : Allemagne, France).[…]
Régénérer? Avec le R de République ou le D de démocratie?

Il est vrai cependant que la femme est l'avenir de l'homme politique: en effet, il faudra bien des qualités féminines pour augmenter encore le pouvoir de l'état. Nous avions déjà évoqué cette évolution de la dictature paternaliste vers la dictature maternelle.

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La féminisation des états, affaiblissement souhaité par les libéraux ?
Ce n'est pas un affaiblissement, c'est une évolution naturelle. Les "citoyens" croient de moins en moins aux idéaux collectivistes (p.ex. la "grandeur de la France", la "cohésion sociale") inventés par les hommes politiques. Pour pouvoir accroître encore plus le pouvoir politique, il faut inventer de nouveaux prétextes tels que "c'est pour votre bien" ou "c'est pour préserver le bien-être de vos enfants". Les femmes seront bien placées pour cela.
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Sous Commandant Marco a écrit :

Ce n'est pas un affaiblissement, c'est une évolution naturelle. Les "citoyens" croient de moins en moins aux idéaux collectivistes (p.ex. la "grandeur de la France", la "cohésion sociale") inventés par les hommes politiques. Pour pouvoir accroître encore plus le pouvoir politique, il faut inventer de nouveaux prétextes tels que "c'est pour votre bien" ou "c'est pour préserver le bien-être de vos enfants". Les femmes seront bien placées pour cela.

En tout les cas, la crédibilité de l'état semble effectivement passer par sa féminisation, ce qui lui est salutaire. Sans quoi, on aurait pu constater des citoyens recommencer à sur-bricoler avec les lois, voire à jouer aux allumettes avec les extrêmes.

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Citoyen quel est ton nom ?

Danton.

Hey Danton !

L'œuvre de la Révolution Française, citoyens,

Quand tout ira très bien, tiens :

En 1973,

Quand tout ira très bien,

Quand le peuple devenu sage,

Aura bâti son paysage

Et fait de la France un jardin,

L'œuvre de la Révolution Française,

Dans les années 73,

Débordera nos religions.

Citoyen quel est ton nom ?

Danton.

Ne sombrez pas dans le délire, citoyens.

Les révolutions engendrent l'Empire, tiens :

A trop purifier la nation,

Vous mettrez ma révolution

Entre les mains d'un militaire

Qui fera sauter sabre au clair

Les remparts de vos illusions.

Il s'appropriera nos victoires

Et identifiera son nom

A se briser par vos déboires.

Citoyen quel est ton nom ?

Danton, Danton, Danton.

Les pauvres ont besoin de l'église.

C'est un peu là qu'ils sont humains.

Brûler leur Dieu est la bêtise

Qu'ont déjà commis les Romains.

Ils ont toujours, dans leur malheur,

La certitude d'un sauveur.

Laissez les croire à leur vision

Chassez de nous ce Robespierre,

Rongé de haine et de colère,

Cet impuissant fou d'ambition,

Cet impuissant fou d'ambition.

Citoyen quel est ton nom ?

J't'ai déjà dit : Danton.

Ne cédez pas à la terreur, citoyens.

Laissez vivre les innocents, tiens :

N'abreuvez pas les dictateurs

Qui demain boiront votre sang.

Président laisse-moi parler.

Toi aussi je veux te sauver.

Tu te prépares un avenir

Où les chiens de la Convention,

A leur tour, seront les martyrs

D'une contre-révolution.

Danton.

Je n'ai jamais eu peur de rien, citoyens.

Et je n'ai pas peur de ces chiens : tiens

Qui s'acharnent à mordre la main

Qui leur a montré le chemin.

Ils ont peur ils aboient de loin.

Tu te caches, Maximilien.

Quant à toi, tribunal pourri,

Tu m'assassines la patrie.

C'est pour l'honneur de tout un peuple

Que Danton te crache à la gueule.

Citoyen quel est ton nom ?

Danton, Danton, Danton.

Je n'ai pas eu d'autre ambition

Que le bonheur de la nation

Et pas d'autre cupidité

Que de paix et de liberté.

Louis Capet m'aurait-il payé

Pour l'avoir fait guillotiner,

Et Mirabeau et Dumourier…

La vraie Révolution Française,

Malgré les fous du comité,

C'est ma Révolution Française,

Et c'est moi qui l'ai inventée.

Citoyen quel est ton nom ?

Danton ! Tu es sourd ou quoi ?

C'est votre père que l'on tue, citoyens.

On a peur de la vérité, tiens :

L'incorruptible est corrompu.

C'est de lui qu'il faut vous laver

Mais l'histoire le jugera

Et c'est mon nom qui restera.

Dans les écoles de demain,

Au seul mot de Révolution :

Les enfants lèveront leur main :

"La Révolution, c'est Danton !"

Accusé de tiédeur par Robespierre,

Il est guillotiné en 1794.

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