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Messages recommandés

Des membres du congrès US veulent poursuivre exxon en justice pour tromperie et dissimulation de preuves du changement climatique.

 

https://lieu.house.gov/sites/lieu.house.gov/files/documents/2015.10.15%20Rep.%20Ted%20Lieu_DOJ_ExxonMobil.pdf

 

Les recherches internes du groupes avaient conduit à la rédaction de ce genre de synthèse :

 

http://insideclimatenews.org/sites/default/files/documents/1982%20Exxon%20Primer%20on%20CO2%20Greenhouse%20Effect.pdf

 

A priori, il n'y a même pas de contradiction entre les recommandations faites en internes, qui sont liés à la nécessité de continuer la recherche ou liés à des considérations opérationnelles pour le groupe ET la position publique du groupe sur le sujet des mesures politiques  qui était que l'état de la recherche n'était pas assez avancé pour motiver des mesures légales.

 

Le mémo ci dessus indique clairement dans son sommaire qu'il reste d'énorme incertitudes. Il inclut notamment un graphe simple mais très pertinent sur la très large dispersion des estimations de la réponse du climat à un doublement de la concentration de co2 dans les différents modèles.

 

Bonus : Les articles qui ont lancé la polémique

http://graphics.latimes.com/exxon-arctic/

http://insideclimatenews.org/news/15092015/Exxons-own-research-confirmed-fossil-fuels-role-in-global-warming  ( partie 1 sur 5 )

 

Update : le procureur général de New York va lancer une enquête suite au courrier.

http://www.zerohedge.com/news/2015-11-05/it-begins-new-york-attorney-general-cracks-down-exxon-over-climate-crimes-global-war

 

Note : Des articles ont été postés sur WWUT pour dégonfler cette affaire.

 

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Un billet d'opinion, mais tout de même sur washingtonpost.com

 

https://www.washingtonpost.com/blogs/post-partisan/wp/2015/11/04/the-insiders-inconvenient-numbers-for-the-global-warming-crowd/?postshare=6801446757592902

 

Après le billet dans le WSJ (cité) ça remue un peu sur les modifications apportées (16 fois en 3 ans !) aux données des températures de surface. 

 

Pour rappel, http://www.contrepoints.org/2015/02/26/198684-climat-pourquoi-les-ajustements-apportes-aux-temperatures

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Tiens, encore une mesure liberticide quand on parle d'écologie.

http://www.lefigaro.fr/politique/le-scan/citations/2015/11/06/25002-20151106ARTFIG00075-cop21-la-france-va-fermer-ses-frontieres-quelques-semaines-annonce-cazeneuve.php

C'est une annonce choc. Tandis que la grande conférence mondiale sur la climat va s'ouvrir au Bourget (Île-de-France) le 30 novembre prochain, la présence de 195 pays à Paris fait peser une importante menace terroriste sur le territoire. Et à l'instar de la police, qui s'inquiète de potentielles actions radicales, le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve entend prendre des mesures préventives. «La France va fermer ses frontières quelques semaines», a-t-il annoncé sur RMC/BFMTV.

«Nous avons une manifestation qui s'appelle la COP21. Elle va rassembler de très nombreux chefs d'État et de gouvernement, des délégations d'organisations non gouvernementales, des personnalités issues d'organisations internationales, dans un contexte de menace terroriste - ou de risque trouble à l'ordre public - qui pourrait venir entacher cette grande manifestation internationale qui porte un grand message pour l'humanité», a-t-il d'abord justifié.

Cazeneuve se défend de suspendre Schengen

Le locataire de Beauvau a ensuite détaillé les conditions de cette mesure: «Nous avons pris la décision, comme cela a été le cas dans d'autres pays au moment de l'organisation de la conférence climat pendant, de procéder à un contrôle aux frontières de telle sorte à ce qu'un certain nombre de personnes susceptible de porter atteinte au bon déroulement de cette manifestation...», a-t-il débuté, avant d'être coupé. «Pendant un mois, nous allons établir des contrôles aux frontières», a-t-il ensuite répété.

Bernard Cazeneuve s'est toutefois défendu de «suspendre Schengen». «Ça n'est pas du tout (cela)», a-t-il martelé, rappelant que «Schengen prévoit, dans un de ses articles, que ses États (puissent suspendre leurs frontières, ndlr) dans des circonstances particulières, qui correspondent à celles de la COP21». De même, le ministre de l'Intérieur a assuré qu'il n'allait pas s'engager ainsi «dans un chemin qui consisterait, face à une crise migratoire majeure, à remettre en cause les principes de Shengen».

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Toujours les modifs de températures, très bon billet de Mr Judith Curry. Y a-t-il eu intervention de la Maison Blanche dans les communiqué des presse de la NOAA ? Et pourquoi a-t-on ajusté les bouées fiables avec les données de navires, moins fiables ?

 

http://www.thegwpf.com/judith-curry-did-white-house-collude-with-noaa-over-temperature-adjustments/

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Très inquiétant. Est-ce une répétition générale en vue d'un contrôle de capitaux ?

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Le rayonnement lié au CO2 est entièrement stoppé par une couche de 10 mètres d’atmosphère. Dans cette couche, il se forme un rayonnement CO2 plus faible et qui sera lui aussi stoppé par la couche d’atmosphère au dessus. Et ainsi de suite jusques en haut de l’Atmosphère.

 

C'est un peu comme si il y avait un empilement de couvertures. L'émission d'une couche est stoppée par la couche au-dessus. Le rayonnement CO2 qui s'échappera dans l'espace sera donc infime, voire nul. Et en effet, un satellite ne parvient pas à mesurer ce rayonnement CO2, tant il est faible. Le CO2 est tellement un gaz a effet de serre, si puissant qu'il isole parfaitement bien même avec une faible épaisseur de 10 mètres seulement.

 

C'est comme si vous avez mis une isolation de dix centimètres de polystyrène d'isolation thermique sur les murs de votre maison. Si vous ajoutez une autre couche de 10cm, l'isolation sera un peu meilleure, mais l'amélioration sera infime. Une troisième couche de polystyrène de 10cm sera inutile car votre isolation est déjà presque parfaite.

 

Dans le cas du CO2, nous avons 500 couches isolantes, et parfaitement isolantes, empilées les unes au dessus des autres sur une épaisseur de 10km. On comprend bien que le nombre de couches isolantes ne changera rien à l'isolation. Si on double la concentration de CO2, cela reviendrait à doubler le nombre de couches. La chaleur provenant du CO2 qui s'échappe dans l'espace ne sera pas sensiblement modifiée en doublant cette concentration de CO2. 

 

De même si vous entourez votre maison de 500 plaques de polystyrène de 10cm d'épaisseur, votre isolation est déjà suffisante, quel que soit le nombre de plaque. 3 ou 4 plaques auraient suffit même si vous étiez en Finlande aux limites de l'Arctique. Mais 500 plaques, vous comprenez bien que cette quantité est totalement inutile pour isoler votre maison.

 

La concentration du CO2 pourra donc doubler sans aucune incidence sur le rayonnement CO2 qui s'échappera dans l'espace. Ou la différence de rayonnement CO2 est si faible qu'on ne peut pas la mesurer. 

 

Ces couches isolantes superposées sont un raisonnement simplifié de thermodynamique. Deux universitaires Jean-Louis Dufresne et Jacques Treinier ont eux aussi utilisé cette même comparaison de vitres superposées, isolantes et émettrices. Mais ils ont conclu autrement en insérant une convection dans leur thèse.

 

Je ne suis pas convaincu par leur démonstration. Il aurait été, à mon avis, nécessaire au préalable de réfuter, dans un premier temps, cette approche sans convection que je développe ici. En effet, les mouvements de convection de l'air sont trop incertains pour qu'on puisse les inclure, a priori, dans le raisonnement thermodynamique que ces deux chercheurs proposent. 

 

Le raisonnement par un empilement des couches isolantes, mais émettrices, permet une première approche facile à imaginer et à calculer. Ces deux chercheurs proposent un raisonnement très proche de ce raisonnement en couches isolantes successive avec leur "vitre isolante" et émettrice. Mais bizarrement, au lieu de poursuivre leur raisonnement dans cette voie, et d'en voir ensuite les évidentes limites, ils ajoutent, d'emblée leur hypothèse contestable sur la convection. Ce qui affaiblit, à mon avis, leur démonstration.

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J'ai lu leur article en diagonale. C'est une série de petits modèles assez sympas, niveau prépa, mais compréhensibles en terminale je pense. J'essaie de vulgariser sans faire de calculs ci-dessous, en simplifiant peut-être encore un peu plus leurs modèles. L'idée générale, c'est que pour faire un bilan thermique, un bilan radiatif est insuffisant.

 

Tout d'abord, il faut noter qu'il y a trois types majeurs d'échanges thermiques : radiation, convection et conduction.

Le modèle "couche de polystyrène", tel qu'on se l'imagine naïvement, est un modèle purement conductif. Au sens où tu imagines que la surface tout en haut se réchauffe, et qu'elle diffuse une partie de sa chaleur à la plaque du dessous, etc. A l'équilibre, tout devrait avoir la même température que la couche supérieure. En fait, il n'y a pas d'effet de serre.

 

Le véritable modèle de l'effet de serre est un modèle de type "N vitres", qui va être purement radiatif. Sans écrire les équilibres, il faut juste retenir que les propriétés de ces "N vitres" ne sont pas modifiées par l'ajout de CO2 au delà de 200ppm. Il ne devrait donc pas y avoir d'effet de serre supplémentaire.

 

Toutefois, le bilan thermique qui est écrit est insuffisant, dans la mesure où il ne s'agit que d'un bilan radiatif. Il faut ajouter la convection et la conduction. Dans le cadre d'un fluide comme l'atmosphère, la conduction va être négligeable devant la convection. Pour simplifier leur modèle, ils font l'hypothèse que leur convection impose un gradient de température constant dans l'atmosphère.

Dans notre modèle à N vitres, le rayonnement était globalement arrêté à la 10ème vitre. Si tu saupoudres un peu de CO2 là-dessus, tu vas t'arrêter à la 6ème vitre, par exemple. Tu n'as plus que 6 vitres pour arrêter la chaleur ; ces 6 vitres vont plus chauffer. Comme on a fait une hypothèse de gradient constant : si le haut est chaud, le bas doit suivre.

 

Si ce petit modèle était vrai (ou approchait suffisamment la réalité), on devrait observer une augmentation de la température de la haute atmosphère. Je sais qu'il s'agissait d'un sujet de discussion assez important quand je m'étais intéressé à l'effet de serre, résolu à coup de screenshots de mesures satellites NASA sur la haute atmosphère, mais je ne sais pas si ça a été vérifié. Enfin, les ressources devraient se trouver sur WUWT ; les mecs sont plutôt bons.

 

Le problème actuel de la climatologie - ou plutôt de l'argumentaire grand public de la climatologie réchauffiste, je ne suis pas allé assez loin dans les publications pour vérifier -, ce n'est pas vraiment qu'ils utilisent des modèles très compliqués, mais plutôt qu'ils n'ont pas vraiment d'approche expérimentale claire de la forme : "si notre modèle est bon, alors on devrait observer tels phénomènes". On a plutôt l'impression qu'ils font de l'overfitting sur les données pour dire : "Eh ! Les mecs, on réussit à prévoir les 20 dernières années en ayant fait tourner notre ferme pendant deux jours ! Ca veut dire que notre modèle est parfait."

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.

 

Pavé caesar.

 

Il y a des algorithme de calcul ligne par ligne des échanges par radiation ( https://en.wikipedia.org/wiki/Atmospheric_radiative_transfer_codes). Qui permettent de calculer approximativement l'effet "de base" d'un accroissement de la concentration en GES. Ce forcage radiatif de base est faible et tous les cllimatologues admettent qu'en soit, il ne pose pas problème. La où les modèles merdent gravement, c'est quand ils essayent d'intégrer d'autres phénomènes, de simuler des situations dont la complexité est hors de portée. C'est la que le grand n'imp, les ajustements arbitraires et biaisés, apparaissent.

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Pavé caesar.

 

Il y a des algorithme de calcul ligne par ligne des échanges par radiation ( https://en.wikipedia.org/wiki/Atmospheric_radiative_transfer_codes). Qui permettent de calculer approximativement l'effet "de base" d'un accroissement de la concentration en GES. Ce forcage radiatif de base est faible et tous les cllimatologues admettent qu'en soit, il ne pose pas problème. La où les modèles merdent gravement, c'est quand ils essayent d'intégrer d'autres phénomènes, de simuler des situations dont la complexité est hors de portée. C'est la que le grand n'imp, les ajustements arbitraires et biaisés, apparaissent.

 

Oui, vous me confirmez ce que j'ai lu en lisant le papier des chercheurs Jean-Louis Dufresne et Jacques Treinier. Mon modèle en plaques de polystyrène est destiné à être pédagogique. Ce modèle "polystyrène" me semble comparable au modèle N vitres. Chaque plaque de polystyrène, d'une certaine épaisseur, émet des radiations de type corps noir vers la plaques au dessus et vers la plaque en dessous. En supposant un gradient de température entre les plaques empilées, ainsi que dans la masse des plaques. Dans la masse de chaque plaque, une certaine conduction remplace, avec une certaine valeur, le transfert de chaleur. Pour les radiations CO2, le forçage radiatif de ce modèle N plaques de polystyrène me semble pouvoir être identique au forçage radiatif d'un modèle N vitres.  Encore une fois, mon but est pédagogique pour bien comprendre les transferts radiatifs du rayonnement CO2 avec une approximation valable.

 

Ci-joint le papier en francais des deux chercheurs francais

meteo_2011_72_31-effetdeserre.pdf

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Je suis assez surpris de voir des représentants du mouvement zététique, a priori sceptique, traiter les climato-sceptiques de climato-négationnistes.

Parce que la zététique ne veut plus rien dire depuis un moment.

C'est triste d'ailleurs. C'est une branche de la Science qui a été corrompue avec succès par le courant de pensée mainstream.

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Oui voilà, c'est triste. Ils se croient originaux, alors qu'ils ont perdu tout ce qui faisaient le sel de leur mouvement.

Ils sont devenus des moutons blancs comme les autres en se croyant noirs.

Je fais le parallèle avec la politique française.

Les rebelles, les anti-systeme, se ralient très volontiers à l'extrême gauche.

Sans se rendre compte qu'il n'y a rien de plus calé dans le-dit système que l'extrême gauche française. J'ai déjà entendu des communistes crier "liberté ! Liberté !"

C'était triste.

Aussi triste de voir un zététicien (?) adouber les résultats du GIEC. C'est terrifiant.

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J'ai lu leur article en diagonale. C'est une série de petits modèles assez sympas, niveau prépa, mais compréhensibles en terminale je pense. J'essaie de vulgariser sans faire de calculs ci-dessous, en simplifiant peut-être encore un peu plus leurs modèles. L'idée générale, c'est que pour faire un bilan thermique, un bilan radiatif est insuffisant.

 

J'ai essayé de relire le fichier pdf que j'ai envoyé ce matin. Je peine. C'est le papier des deux chercheurs sur le flux de chaleur du au CO2. J'ai du mal à comprendre après avoir quitté la thermodynamique depuis si longtemps. Je n'aime pas leur papier, mais j'ai du mal à dire pourquoi ;-) Je n'aime pas énormément leur approche du problème. Leur analyse ne me semble pas être la bonne. C'est juste une intuition. J'aime bien partir de ce qui se passe au niveau de chaque molécule, plutôt que d'appliquer des formules, surtout lorsque j'en ai oublié la démonstration et les conditions de validité :-) Je me suis fais plusieurs petites réflexions préalables.

 

1. Une isolation thermique est un retardateur de flux d'énergie. Les radiations sont immédiates dans le gaz. Il reste les chocs inélastiques entre les molécules. Ces chocs inélastiques provoquent de transfert d'énergie aléatoires qui redistribuent l'énergie totale des deux molécules. Chaque molécule fait un choc à chaque nanoseconde environ. La durée entre ces chocs est la cause du retard, donc la cause du réchauffement. Apres un tel choc, une certaine proportion des molécules émettra plus de radiations. Une partie de ces radiations ainsi émises quitteront la Terre. Une autre partie de l'énergie sera redistribuée dans d'autres chocs. Une autre partie de l'énergie sera émise par radiation et captée par d'autre molécules.

 

2. Un satellite voit l'énergie quitter la Terre, mais ne voit pas de rayonnement CO2, du moins pas à un niveau qui serait supérieur à son erreur de mesure. C'est ce que j'avais lu (peut être de travers?). Toute l’énergie du rayonnement CO2 devra donc se transmettre, au travers de multiples chocs, aux molécules O2 et N2 avant de quitter la Terre. Or le CO2 ne représente que 0.04% des molécules. Lors d'un choc, il va transmettre son énergie à une molécule qui, à 99%, ne sera pas CO2. Une certaines quantité d' "énergie du CO2" va donc très vite être transférée vers N2 et O2. Après une nanoseconde, le transfert d'énergie sera fait par un nouveau choc. Comme les chocs sont aléatoires, l'énergie d'une molécule variera beaucoup en plus ou en moins. Je me demande si l'approche par cette mécanique serait ou non fructueuse. Combien de chocs avant de transmettre son énergie? Pourrait on définir une mesure du retard du flux d'énergie vers l'espace? En quoi plus de CO2 modifierait le retard à transmettre l'énergie dans l'espace?

 

3. Une molécule de CO2 ne capte qu'une seule "onde", qui représente plusieurs plages de fréquences. Et elle ne peut émettre que ces ondes là, que des "radiations CO2". 

Suis je sur une bonne piste?

Edit: correction du CO2 à 0.04%

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Le problème principal de leur papier est que tout à la fin est raccourci, sans vraiment expliquer les phénomènes. Au début, tu es sur un bilan énergétique global. Tu termines sur un bilan énergétique qui ne prend en compte que les couches supérieures de l'atmosphère, et une cause du réchauffement qui est intégralement due à une hypothèse super forte sur le gradient de température.

C'est effectivement peu convaincant :).

 

Ensuite, tenter de partir du niveau moléculaire, je pense que tu vas galérer :D. Il faut quand même pouvoir passer de l'échelle micro à la macro pour capter certains phénomènes (type convection, inhomogénéité de l'atmosphère...), et ça dépasse de loin ce que je suis capable de faire en physique statistique.

 

Quelques notes toutefois :

C'est globalement l'idée. Lorsqu'une molécule "rencontre" un photon, elle va soit le laisser passer, soit l'absorber, selon sa longueur d'onde. Si elle l'absorbe, elle réémet une partie de l'énergie sous forme de lumière, dans une direction qu'on va dire aléatoire, et l'énergie qu'elle conserve va grosso modo lui faire augmenter sa vitesse. Si sa vitesse augmente, son libre parcours moyen avant choc diminue, et la température du système augmente via la constante de Boltzmann (il y a identité entre le "temps" que mettent les molécules à se choquer et le concept de température).

 

Et sinon, 2%, ça surestime de beaucoup la quantité de CO2 :P. On est plutôt à 0.02%/0.03%. Je pense tout de même qu'on doit pouvoir capter la quantité de CO2 depuis l'espace en regardant dans certaines longueurs d'onde (ou alors c'est masqué par H20 ?).

 

 

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Et sinon, 2%, ça surestime de beaucoup la quantité de CO2 :P. On est plutôt à 0.02%/0.03%. Je pense tout de même qu'on doit pouvoir capter la quantité de CO2 depuis l'espace en regardant dans certaines longueurs d'onde (ou alors c'est masqué par H20 ?).

 

wikipedia dit que la concentration de CO2 (en 2014) en volume est de 0.04%. J'ai corrigé dans mon post ci-dessus.

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La grande mode en ce moment, c'est "le réchauffement va aggraver la pauvreté et envoyer 100 millions de personnes dans l'extrême pauvreté, il faut multiplier par 10 les aides"

Ou comment prôner les mauvaises solutions pour soulager une situation inverse de ce qui existe causée par un problème qui n'existe pas.

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Corinne Lepage sur le fichage des climato-sceptiques: « Je pense quand même qu’à un moment donné du temps, il va falloir tenir un registre très précis de tous ceux qui se seront prononcés et qui auront agi dans un contexte climatosceptique, pour que dans quelques années ils portent la responsabilité au moins morale de ce qu’ils auront fait. » (cf: http://www.franceinter.fr/player/reecouter?play=1180861).

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Corinne Lepage sur le fichage des climato-sceptiques: « Je pense quand même qu’à un moment donné du temps, il va falloir tenir un registre très précis de tous ceux qui se seront prononcés et qui auront agi dans un contexte climatosceptique, pour que dans quelques années ils portent la responsabilité au moins morale de ce qu’ils auront fait. » (cf: http://www.franceinter.fr/player/reecouter?play=1180861).

 

On attendra la longtemps la liste de ceux qui ont empêché telle ou telle médicament/découverte d'être mise sur le marché et de sauver des vies. Ou la même chose avec la création d'entreprise. Ou la liste des responsables de la création et de l'application de lois débiles qui engorgent les tribunaux et laissent des vrais criminels en liberté.

 

Toujours pareil.

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La grande mode en ce moment, c'est "le réchauffement va aggraver la pauvreté et envoyer 100 millions de personnes dans l'extrême pauvreté, il faut multiplier par 10 les aides"

Ou comment prôner les mauvaises solutions pour soulager une situation inverse de ce qui existe causée par un problème qui n'existe pas.

Entendu ce matin sur France Info, à priori ça vient de la Banque Mondiale?

 

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On parlera plus des pauvres potentiels du RCA qui n'arriveront probablement jamais que des centaines de millions de personnes sorties de la misère la plus noire par le commerce international.

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