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il y a 21 minutes, Marlenus a dit :

C'est le lien avec l'effet rebond utilisé par les écolos (qui dit en gros que cela ne sert à rien de diminuer de 20% la consommation en énergie d'un produit si 50% de gens en plus l'utilisent suite à la diminution du coût) que je ne comprends toujours pas.

Ce qui, soit dit en passant, est donc littéralement le paradoxe de Jevons (mais l'appellation devait être trop ringarde pour les escrcolos, toujours en manque de nouveautés).

 

Ça dépend de l'élasticité de la demande face au prix (qu'on sait très faible à court terme pour l'énergie).

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On 8/15/2022 at 2:43 PM, Marlenus said:

... Sans parler de l'explosion des coûts et des personnes impactés.

...

Au contraire, parlons en. Les humains se sont entasses dans des metropole geantes, presque toutes cotieres. 

 

Impactés est tout aussi logique et que le risque de mort ce soit autant effondré dans ce contexte est précisement ce qui est remarquable. 

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2 minutes ago, Nick de Cusa said:

 

 

Impactés est tout aussi logique et que le risque de mort ce soit autant effondré dans ce contexte est précisement ce qui est remarquable. 

On pourrait se poser la question de savoir dans quelle mesure cette réduction de risques n'est pas du à des mesures illibérales (interdiction de construction en zone inondables, normes de sécurité contraignantes, etc.).

 

Mais pas sûr d'avoir envie de refaire ce débat ici.

 

 

On pourra remarquer les progrès de la médecine, de l'efficacité de l'aide internationale notamment pour gérer les problèmes d'épidémies, de famine, etc.

 

 

Maintenant, ce qui m'intéresse c'est ce que tu en sors pour le futur et le RC.

 

 

 

 

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La raison dominante en est la disponibilte de quantites massives d'energie fiable et bon marche.

 

On peut en sortir, pour le futur, que l'adaptation est une bonne approche, que la planete se rechauffe un peu, esperons, ou qu'elle se refroidisse, perspective authentiquement effrayante. 

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Il y a 7 heures, Marlenus a dit :

On pourrait se poser la question de savoir dans quelle mesure cette réduction de risques n'est pas du à des mesures illibérales (interdiction de construction en zone inondables, normes de sécurité contraignantes, etc.).

 

Les constructions en zone inondable sont couramment autorisées. Probablement pour des raisons vénales, de la corruption ou tout simplement de l'incompétence.

Ces autorisations rendent les gens confiants. Par conséquent les "mesures illibérales" augmentent les risques.

Les gens devraient simplement être informés de façon claire, des risques. Ils construiraient (ou non) en connaissance de cause en prenant des précautions (pilotis, par exemple) et une assurance adaptée.

Pareil pour le "réchauffement climatique". Le rôle de la collectivité devrait se borner à éditer des cartes de danger, basées sur les modèles de prévision les plus probables.

Ensuite, les gens font ce qu'il veulent. (Ceci dit, il est désormais interdit de construire à moins de 100 mètres de tout rivage en métropole, mais cette interdiction n'a rien à voir avec le "réchauffement").

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3 minutes ago, Calembredaine said:

 

Les constructions en zone inondable sont couramment autorisées. Probablement pour des raisons vénales, de la corruption ou tout simplement de l'incompétence.

Ces autorisations rendent les gens confiants. Par conséquent les "mesures illibérales" augmentent les risques.

 

Je connais cette théorie.

 

 

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Il y a 16 heures, Marlenus a dit :

Je connais cette théorie.

 

Ce n'est pas une théorie, ce sont des faits. 

 

Exemple, zone inondable de Bordeaux et alentours:

https://umap.openstreetmap.fr/fr/map/communes-de-bordeaux-metropole-concernees-comme-te_140125#10/44.8651/-0.6345

 

Aménager et construire en zones inondables.

 

carte_france_part_des_logements_en_zone_

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3 minutes ago, Calembredaine said:

 

Ce n'est pas une théorie, ce sont des faits. 

 

Exemple, zone inondable de Bordeaux et alentours:

https://umap.openstreetmap.fr/fr/map/communes-de-bordeaux-metropole-concernees-comme-te_140125#10/44.8651/-0.6345

 

Aménager et construire en zones inondables.

 

carte_france_part_des_logements_en_zone_

 

Lol

 

Pour connaître un peu les Pyrénées Orientales, il y a une fois une crue exceptionnelle en 1940. Et on classerait toutes les zones ou il y a eu une cave avec une infiltration d'eau en "innondable" pour atteindre ce chiffre débile de "Plus de 30% de logements en zone inondable" ? 

 

Cette carte me paraît être le produit d'une agence gouvernementale alimentant un catastrophisme débile pour justifier son existence, et par là même augmentant le risque pour le public de sous-estimer le danger réel des zones réellement inondables, avec des morts à la clé.

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il y a 1 minute, Lameador a dit :

 

Lol

 

Pour connaître un peu les Pyrénées Orientales, il y a une fois une crue exceptionnelle en 1940. Et on classerait toutes les zones ou il y a eu une cave avec une infiltration d'eau en "innondable" pour atteindre ce chiffre débile de 30% ?

 

Tu regardes le doigt au lieu de regarder la Lune.

Il y a des inondations qui fond des victimes et des destructions chaque année. Toujours dans des zones classée "inondables". Ces constructions ont été autorisées par la collectivité.

Les acheteurs ont sans doute raisonné comme tu le fait: "pas d'inondation depuis 1940, constructions légales, par conséquent c'est sans risque".

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Ça n'arrive peut-être pas souvent mais est-ce une raison pour ne pas évoquer ces drames ?

Par exemple, la tempête Xynthia : en Vendée, une petite ville cotière a subi de très lourdes pertes, elle était construite entre l'océan et une rivière

 

https://www.contrepoints.org/2019/12/02/180947-construire-zone-inondable

 

il apparaît que les habitations endommagées par la tempête Xynthia, et dont la destruction définitive est annoncée par une nouvelle décision préfectorale, avaient toutes fait l’objet d’un permis de construire délivré en bonne et due forme conformément à un document d’urbanisme approuvé par le Préfet. Les propriétaires ont donc pu penser, à juste titre, que leur sécurité était de ce fait garantie. D’où leur colère légitime contre une décision visant à tout raser, y compris certaines habitations non touchées par la tempête.

On peut même penser que l’autorisation administrative exonérait de toute responsabilité le vendeur du terrain, le promoteur et le propriétaire. En l’absence d’assurance et d’autorisation, il est probable que peu de personnes auraient pris le risque de construire dans des zones inondables. L’assurance crée le risque… et la réglementation exonère les responsables.

 

 

 

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15 minutes ago, Bisounours said:

Ça n'arrive peut-être pas souvent mais est-ce une raison pour ne pas évoquer ces drames ?

Par exemple, la tempête Xynthia : en Vendée, une petite ville cotière a subi de très lourdes pertes, elle était construite entre l'océan et une rivière

 

C'est précisément à cette affaire que je pensais. 

 

Ca ne serait peut-être pas arrivé si une définition plus raisonnable de "zone innondable" était retenue plutôt que d'agiter des croque-mitaines en faisant croire que 1/3 des logements dans les Pyrénées orientales est en risque d'inondation.

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18 minutes ago, Calembredaine said:

 

Ce n'est pas une théorie, ce sont des faits. 

 

La théorie c'est de dire que des mesures illibérales comme l'obligation de construire avec des nomes anti-sismiques dans les zones où il y a un risque, cela augmente le risque de décès.

 

Cela me fait penser à la théorie que j'ai lu que le préservatif augmentait le taux de contaminé au VIH.
Les gens se sentent libre de forniquer et comme il y a des fois où cela craque, hop.
Sans préservatif, pas de fornication, pas de contamination.

 

 

 

 

 

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3 minutes ago, Mathieu_D said:

Il appartient aux acquéreurs d'évaluer leur risque de construire ou d'acquérir un bien en zone de crue centennale, je ne vois pas le problème, autorisé ou pas.

Mais ça on est tous, ici, d'accord.

 

Le fait que je sois pour la sélection naturelle, ne m'empêche pas de reconnaitre que celle-ci provoque des victimes.

 

 

Me fait penser à ce couple, qui a décidé de braver la mesure illibérale d'interdiction de faire du canyoning en Corse alors qu'il était clairement prévu que l'endroit où ils allaient faire leur descente allait être envahi par une énorme crue vu les orages.

Résultats ils ont dut appeler les secours et un hélico est intervenu pour les secourir.


 

Le problème ce sont les gens qui décident et après demande le service public.

Mais pour que l'on passe à un système privé de tout ça, faudra du temps...

 

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29 minutes ago, Mathieu_D said:

Il appartient aux acquéreurs d'évaluer leur risque de construire ou d'acquérir un bien en zone de crue centennale, je ne vois pas le problème, autorisé ou pas.

 

 Tu as la réponse dans l'article :

"Réduire considérablement le champ d’application des lois de 1982 et 1995 en limitant sensiblement les « catastrophes naturelles » indemnisables à des épisodes climatiques ou autres véritablement imprévisibles".

 

Aujourd'hui les inondations sont considérées comme "catastrophes naturelles" et indemnisées par l'état. Les assureurs n'ont pas le droit de moduler les primes d'assurance sur ce critère. Revenir à un système d'assurance libre permettrait de construire en connaissance de cause dans des zones "peu inondables" ou le risque de dégât des eaux en cas de crue centennale serait facilement assurable, tout en évitant que les inconscients en bordure de rivière Méditerranéenne (susceptibles de crues très violentes) ne transfèrent leur risque à la collectivité.

 

On pourrait aussi avoir des habitations "adaptées". Je me souviens d'un ranch habité au bord d'un étang, il était inondé plusieurs fois par an mais rien de périssable n'y était stocké à moins de 1m du sol.

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il y a une heure, Marlenus a dit :

Cela me fait penser à la théorie que j'ai lu que le préservatif augmentait le taux de contaminé au VIH.
Les gens se sentent libre de forniquer et comme il y a des fois où cela craque, hop.
Sans préservatif, pas de fornication, pas de contamination.

Où l'en reparle du paradoxe de Jevons. ;)

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il y a une heure, Marlenus a dit :

Le problème ce sont les gens qui décident et après demande le service public.

En quoi est-ce un problème? C’est toi qui en fait un problème alors que c’est le fondement de la république française: liberté + service public = fraternité

bien entendu cette équation est impossible mais si tu y vois un problème, tu n’as que deux voies possibles:

1 - tout privatiser

2 - Assommer la population d’interdictions: pas de baignades, pas de ski, pas de spéléo, pas de rafting, pas de randonnées, etc.

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Le souci, ce sont les comportements de certains alors qu'ils sont avertis des risques encourus, et qui sont ensuite dépannés à grands frais par la collectivité.

La solution est peut-être à mi chemin entre la privatisation irréaliste de certains lieux, et les interdictions débiles.

 

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On pourrait aussi dire que dans les lieux désignés comme trop dangereux le service public ne viendra pas vous sauver. Ce qui aurait pour intéressante conséquence d'inciter à la création de systèmes de sauvetage parallèles en concurrence.

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Ou sinon comme pour n'importe quelle assurance : une expertise pour savoir si tu as fait n'imp avant que l'assurance te rembourse les frais d'evacuation.

 

C'est d'ailleurs, pour ce que j'ai vu, encore plus strict dans les Landes pour l'evacuation par hélicoptère des baigneurs imprudents entraînés au large par une baine : tu payes.

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Il y a 2 heures, cedric.org a dit :

Ou sinon comme pour n'importe quelle assurance : une expertise pour savoir si tu as fait n'imp avant que l'assurance te rembourse les frais d'evacuation.

 

C'est d'ailleurs, pour ce que j'ai vu, encore plus strict dans les Landes pour l'evacuation par hélicoptère des baigneurs imprudents entraînés au large par une baine : tu payes.

 

C'est tout de même dangereux pour la collectivité: le consentement à l'impôt va encore baisser et les gens vont demander le démantèlement des services publics qui ne servent à rien.

C'est sans doute pour cela que ce genre d'initiatives ne se développent pas plus malgré les tentations de certains élus excédés.

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5 hours ago, Calembredaine said:

 

C'est tout de même dangereux pour la collectivité: le consentement à l'impôt va encore baisser et les gens vont demander le démantèlement des services publics qui ne servent à rien.

C'est sans doute pour cela que ce genre d'initiatives ne se développent pas plus malgré les tentations de certains élus excédés.

Les électeurs, c'est à dire ceux qui habitent sur place et connaissent vaguement (pun intended) le concept de baïne, ne se font que peu avoir par rapport aux touristes "t'inquiete moi je connais la mer", donc sur le coup c'est au contraire une mesure facile à prendre.

 

Mais en effet ça ne change pas le fond du probleme.

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J'ai lu un fil interessant sur Tweeter. Il semble que ce fil a fait polémique et Le Monde s'est fendu d'un article pour démonter le livre du scientifique.

L'article ne remet pas en cause les données précisées dans le fil twitter suivant.

Les ordres de grandeur que donne ce physicien sont corrects et sont calculés à partir des chiffres du rapport du GIEC.

Pour ceux qui auraient la flemme de suivre le fil, voici quelques informations:

  • Une tonne de CO2 réchauffe l'atmosphère de 1 pico degré. C'est à dire un millième de milliardième de degré Celcius.
  • La totalité des émissions de CO2 en France représente une augmentation de la température de 10 millième de degré par an.
  • Avant la hausse constatée du taux de CO2, celui-ci était en baisse constante et frôlait le seuil en dessous duquel les plantes dépérissent et meurent.

Données à comparer avec les efforts très couteux qu'exigent de nous les politiques et les décisions démagogiques (interdiction des jets privés 🙄 ) qui tombent en cascade...

 

 

 

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Je ne sais pas si cela a toujours été le cas mais il m'apparait clairement aujourd'hui que le GIEC n'est pas un organisme neutre de scientifiques. 

Le GIEC est clairement une secte politique de la pire espèce. Il s'agit de l'officine respectable des tenants de la domination totale. Une démolition systématique de la liberté.

 

Tout d'abord, "GIEC" est un acronyme qui signifie en français :  Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat.

La vraie dénomination est anglaise: IPPC dont l'acronyme signifie littéralement, en français:  Comité intergouvernemental sur le changement climatique 

 

Notez que le mot expert n'apparait que dans la dénomination française. En anglais, donc pour le reste du monde, c'est un groupe politique.

Voici ce que l'on nomme un "expert". Je vous conseille de prendre quelques minutes de votre temps afin de vous rendre compte vers quel monde nous allons ->

Yamina Saheb est une contributrice du GIEC :

https://www.bfmtv.com/environnement/climat/jet-prive-piscine-individuelle-golf-la-crise-climatique-fait-que-certaines-activites-doivent-disparaitre-affirme-yamina-saheb-giec_VN-202208230705.html

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