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C'est certain que tu n'a que peu de raison de craindre le réchauffement climatique : tes gosses (et accessoirement ceux des autres) certainement un peu plus…..

EDIT : C'est le "nous" qui me fait craindre le pire pour mes gosses (et ceux des autres), moi et pas le réchauffement climatique.

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Alors que les écocondriaques reconnaissent que le Protocole de Kyoto ne pourrait que retarder l'échéance - si leurs scénarios catastrophiques devaient jamais se révéler vrais - que de moins de 10 ans. Le coût de cette aberration économique, lui, coûterait trés cher, et tout de suite :

Meeting 2012 Kyoto target could cost every Canadian $3,500 per year for next several years

Reducing Canada’s greenhouse gas emissions to meet Kyoto Protocol targets by 2012 could cost each Canadian upwards of $3,500 a year for the next several years, according to research done by The Fraser Institute, an independent research organization with offices across Canada.

The alternative is to purchase foreign emission credits, a move that would transfer $30 billion from Canada to other countries.

“In order to meet the Kyoto targets, Canada will have to make drastic cuts in its emission levels. No matter how we go about it, meeting a target that begins less than a year away is going to incur significant costs,” said Nicholas Schneider, a policy analyst with The Fraser Institute and author of Welcome Back, Kyoto, published in the April issue of Fraser Forum, The Fraser Institute’s monthly magazine of critical thought.

“One of the questions governments need to consider is, are Canadians willing to pay those costs?”

Schneider notes that research in the U.S. found people are willing to spend $13 to $21 per month to reduce climate change.

“If you convert that to Canadian dollars in 2007, that works out to a range of $200 to $300 per year – far below the $3,500 per person per year that may be required.”

Schneider’s research looks at Canada’s current emission levels, the Kyoto targets, and compares the results achieved by other countries to the targets for Canada. What he finds is that the easy options available to other countries are not available to Canada.

“You can control emission by lowering a country’s population or its GDP. But it’s unlikely government would choose these policies since Canada has a policy of increasing population largely through immigration, and Canadians would be averse to falling real incomes,” Schneider said.

He predicts policies to reduce greenhouse gas emissions will likely focus on reducing emissions intensity, which can be reduced over time by switching from high-emitting energy sources like coal, to lower-emitting sources like nuclear and renewables, or by increasing the efficiency of existing energy sources. This trend is already occurring in Canada; between 1990 and 2006, GDP per capita and population both increased while emissions per unit of GDP decreased.

But based on current emissions estimates from both the United Nations and Natural Resources Canada, achieving the required reduction in greenhouse gas emissions under the Kyoto Protocol will require emissions intensity to fall roughly 70 per cent below current levels by 2012 in order to offset growth in population and income. This amounts to an average annual percentage reduction in emissions intensity of almost 15 per cent per year, sustained for five years.

Schneider points out that most of the countries that have come close to sustaining an annual reduction rate of 15 per cent consist of several Eastern European countries that experienced economic contraction. The only industrialized country that achieved that target was Luxembourg, mainly by shifting its electrical generation from coal-fired plants to natural gas.

“Canada’s electricity production is already more than 70 per cent from low-emissions hydroelectric, nuclear, and natural gas sources, with about 20 per cent from coal. This effectively eliminates any options we have for easy, large-scale emission reductions in a short period of time through fuel switching,” Schneider said.

Historically, the best any industrialized country has done at reducing emissions is one to five per cent per year. Schneider’s research shows that if Canada can match the highest rate of emissions intensity improvement seen within the majority of industrialized countries – five per cent per year -- then we would still be left to accept annual GDP reductions of roughly 10 per cent for the next five to six years in order to meet Kyoto.

Shutting down 10 percent of Canada’s $1.1 trillion economy would result in a cost of over $100 billion per year, or roughly $3,500, on average, for every Canadian in terms of forgone economic production or income.

“Any attempt to meet Kyoto through a crash-course plan over the next five years will result in unacceptably high costs, and little benefit in terms of developing a flexible, long-term policy,” Schneider said.

“Over the longer term, a more gradual approach to emissions reductions should allow for the development of new technologies and practices to reduce emissions in more cost-effective ways.”

http://www.fraserinstitute.ca/shared/readm…v=nr&id=801

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Quand les Vikings ont découvert cette grande île, ils l'ont appelé "Le Pays Vert", Groenland. Les variations climatiques ne sont pas une nouveauté. Et puis le GIEC est un organisme créé pour nous les briser menu .., pardon, pour faire ce genre de déclaration. Au fait, qui a payé pour cette grand messe ?

C'est l'argument du tueur de mammouth.

Parles-en au Danemark; ils te diront que c'était de la publicité mensongère déjà à l'époque, pour recruter de nouveaux marins.

Mettez des glaçons dans un verre d'eau, remplissez-le à rabord et attendez que la glace fonde.

Le niveau d'eau baisse!!!

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Avis à la population,

Voir ici le documentaire "Le réchauffement climatique : la grande fraude" (The Great Global Warming Swindle)

avec le sous-titrage en français !

Courrez vite le regarder, et matez la brochette impressionnante de scientifiques sceptiques (j'aime bien Paul Reiter, de l'Institut Pasteur avec son histoire de la Malaria ou Piers Corbyn qui sait mieux prévoir le climat en étudiant le soleil que la Met Office).

Pensez à faire des mirroirs du film si vous avez l'ADSL (la procédure est indiquée sur le blog) car ça risque d'être supprimé et faites passer le mot !!!!

Bien joué miniTAX, très beau sujet.

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Bien joué miniTAX, très beau sujet.
….In the part of the "Swindle" film where I am describing the

fact that the ocean tends to expel carbon dioxide where it is warm,

and to absorb it where it is cold, my intent was to explain that

warming the ocean could be dangerous—because it is such a gigantic

reservoir of carbon. By its placement in the film,

it appears that I am saying that since carbon dioxide exists in the

ocean in such large quantities, human influence must not be

very important — diametrically opposite to the point I was making

which is that global warming is both real and threatening in many

different ways, some unexpected….

http://ocean.mit.edu/~cwunsch/papersonline/channel4response

Ce film montre aussi comment manipuler un reportage en placant les interviews au bon endroit …

d'autres liens sur ce reportage :

http://www.lse.co.uk/ShowStory.asp?story=CZ434669U&news_headline=global_warming_is_lies_claims_documentary

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L'hiver aussi.

Puisque tu es toujours si malin, essaies de l'expliquer

  1. C'est pas bien de parler comme ça à un membre aussi drôle et imaginatif ;
  2. La glace emprisonne des bulles d'air qui s'échappent lorsqu'elle fond, et il y a aussi de l'évaporation.

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Ca me fait penser à un militant des verts, qui, dépité, déclarait "à croire que les Français ne sont pas inquiétés par le fait d'avoir 21 degré en avril" lol..

J'en connais pas bcp qui se plaignent d'avoir beau temps au printemps..

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Merci :doigt:

De rien, je te fais parvenir la facture dans les plus brefs délais. Ben oui, selon un grand philosophe comptant pour rien, l'Homme ne cherche que son propre intérêt. :icon_up:

Edit : Merci Dardanus. Tu auras ta rétrocommission. :warez:

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Si tu veux. Je paye en nature et mon unité de compte est le coup de pied aux fesses.

:doigt:

:icon_up:

(Heu, un coup de pied aux fesses, c'est convertible en rouble roublard, en dollar taulard ou en roupie roupille ? A moins qu'on puisse les rand rendre ?)

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Pour relever le niveau de ce débat, voici une information relevée sur le site du figaro

Elizabeth II: compenser les émissions de CO2

La reine Elizabeth II va compenser les émissions de gaz à effet de serre du voyage qu'elle doit effectuer aux Etats-Unis au début du mois de mai, a annoncé mardi une porte-parole du palais de Buckingham. Compenser les émissions de gaz à effet de serre -notamment le dioxyde de carbone, principal responsable du réchauffement climatique- consiste à financer des projets écologiques en contrepartie des émissions produites, pour être "neutre en carbone".

La reine va donc compenser ses émissions de gaz, c'est dire.

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Ce n'est pas la fonte qui fait monter le niveau, mais la dilatation due à l'augmentation de la température.
  • Ce réchauffement ne touche qu'une couche d'eau de quelques centaines de mètres ;
  • Une eau plus chaude, c'est donc davantage d'évaporation dans une atmosphère plus chaude, donc capable de stocker davantage de vapeur d'eau.

Un partout, la balle au centre.

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Invité Arn0
  • Ce réchauffement ne touche qu'une couche d'eau de quelques centaines de mètres ;
  • Une eau plus chaude, c'est donc davantage d'évaporation dans une atmosphère plus chaude, donc capable de stocker davantage de vapeur d'eau.

Un partout, la balle au centre.

Il faut quantifier chaque phénomène pour pouvoir dire qu'ils se compensent.
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Il faut quantifier chaque phénomène pour pouvoir dire qu'ils se compensent.

En effet. Mais ça permet au moins de dire que la résultante n'est plus que du deuxième, voire du troisième ordre.

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Réponse absolument trop courte.
Imaginons un commerce qui augmente ses prix de 30%, et qui, pour faire avaler la pilule à ses fidèles clients, leur fait une réduction "bons clients" de 1% : les effets cumulés d'une hausse et d'une baisse des prix ne se compensent pas, même au premier ordre.
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Imaginons un commerce qui augmente ses prix de 30%, et qui, pour faire avaler la pilule à ses fidèles clients, leur fait une réduction "bons clients" de 1% : les effets cumulés d'une hausse et d'une baisse des prix ne se compensent pas, même au premier ordre.

Ce à quoi il faut ajouter la désertion de ses clients, qui "compensera" elle aussi cette hausse de prix.

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