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D'après la NASA, l'année la plus chaude jamais mesurée est… 1934.

La presse ignore consciencieusement cette information. Sauf le Washington Times:

Non, non, ça commence à sentir le roussi pour le GISS et Hansen.

Mc Inctyre, qui est à l'origine de la découverte de ces grossières erreurs de la NASA est interviewé un peu partout, même par la BBC. Voir les différents liens sur climateaudit.org.

Bien sûr, les tenants de l'effet de serre anthropiques font comme d'hab, minimiser leurs c.neries, en disant que ça ne concerne que les USA. La belle affaire, c'est sûr que pour auditer les relevés de tempétures de la Sibérie, de la Mongolie Centrale ou du Sahara, il y a encore du boulot, d'autant plus que les méthodes de correction de température (celles-là même qui ont planté la NASA) ne sont pas rendues publiques.

Désormais, on sait que le RC est sans précédent et global, mais ça ne concerne PAS les USA (puisque chez eux, l'année la plus chaude est 1934). Le GIEC va donc préconiser de nouvelles mesures pour lutter contre le réchauffement climatique: équipez-vous de grosses 4x4 et de clim comme les ricains.

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Je répète, Enron n'est ni théoriquement ni pratiquement "mieux". C'est une boîte qui brasse du vent et qui a fondu les plombs, victime de sa propre incurie, ce qui n'est que le juste retour des choses. L'Etat lui est tout aussi incompétent mais lui, malheureusement ne sera déclaré en faillite que bien après vous (et moi).

Le tord d'Enron pour les libéraux, ça n'est pas d'avoir brassé du vent mais d'avoir fait faillite, car avant cela c'était le modèle, une référence pour tous les fanatiques du libre échange. Ca a fait "pleuvoir un déluge de thunes" pour certains (ce qui est de loin le plus important pour tout bon monétariste qui se respecte) comme vous le dites si bien un peu plus loin. Vous le savez très bien.

Les hedges funds ne sont pas soumis aux réglementations et bénéficient de 0% d'imposition ??? C'est nouveau ça! Laissez moi deviner, vous faites le perroquet de ce genre d'âneries de chez Libé ou au Monde Diplodocus ?

Les îles Cayman vous connaissez ? Apparemment non. C'est un "paradis fiscal" où l'immense majorité de ces institutions sont domiciliées (environ 4 sur 5). D'autre part je confirme, les hedge funds ne sont pas soumis aux réglementations strictes auxquelles sont soumises les banques et organismes de crédits. Cela a d'ailleurs fait l'objet de nombreux débats aux USA et ailleurs ces derniers mois, car certains trouvent (avec raison) que c'est anormal et dangeureux.

Quand aux malheurs des hedges funds, au cas où vous ne le savez pas (mais ça, on s'en serait douté), ils explosent en plein vol en masse tous 3 ou 4 ans (logiquement, c'est pour ça qu'ils s'appellent comme ça) et les faillites actuelles ne sont rien à côté de ceux de 2003 ou de 2000. Mais entretemps, ils ont fait pleuvoir un déluge de thunes sur ceux qui sont assez fous (et toujours fortunés, car le gestionnaire de hedge fund a la fâcheuse habitude de claquer la porte aux clients qui veulent mettre moins d'un million $ chez lui) pour leur confier le fric. Mais bien entendu, comme ne vous ne voyez que les trains qui arrivent en retard, en oubliant de citer les 99% qui arrivent à l'heure, vous "oubliez" de dire ce genre de chose.

Le malheur avec les hedges funds c'est qu'ils font leur beurre en faisant courrir des risques aux autres, à commencer par les banques et donc au système financier tout entier.

Et justement il ne s'agit pas de trains qui arrivent à l'heure ou en retard, ni de production agro alimentaire ou industrielle, il s'agit seulement de gens qui font des paris et qui ne produisent absolument rien et on même un effet destructeur sur l'économie réelle. Ce sont des parasites qui ont besoin de pénuries (de préférence provoquées) pour pouvoir prospérer. C'est comme ça qu'Enron coupait délibérement le courant (inventant de prétendues pannes) pour faire monter les cours. Le dernier truc à la mode c'est les bio carburants, cela permet de diminuer la production agricole destinée à l'alimentation et donc de faire monter les cours. Comme vous dites si bien ca pemet de faire des thunes, beaucoup même, mais il va falloir s'attendre aussi à ce que ça fasse des morts. Comme pénurie encore plus artificielle, vous avez les marchés de droits d'émissions de carbone. En France l'objectif est une division par 4 des émissions vers 2050. Là aussi il va y avoir des thunes à faire. Il ne faut pas rêver, c'est comme cela que ces gens font leur beurre, l'argent ne se réproduit pas comme des lapins font des petits.

Ces gens sont des parasites qui ne prospèrent que lorsque l'économie réelle stagne ou diminue, un spéculateur ne peut PAS vivre dans une économie en expansion. Pour un spéculateur une économie en expansion est trop imprévisible et incontrôlable. C'est pour cela qu'ils n'aiment pas les états, car ce sont les seuls à pourvoir créer les conditions pour une vrai croissance (même si cette relation de cause à effet est loin d'être automatique je vous le concède). Pas la croissance qu'on nous vante depuis des années, qui n'est qu'une croissance des aggrégats monétaires et financiers, et absolument pas une croissance de l'économie réelle qui au contraire se contracte.

C'est bien ce qui me semblait. Vous ne connaissez rien de ce dont vous parlez. Pour info, une banque centrale, c'est un organisme PUBLIC. Aux USA, elle est même étroitement associé à la politique économique du pays et ne se contente pas de ne s'occuper que de ses finances.

Comme vous etes amusant dans votre façon de donner des leçons aux autres. Ce sont les banques nationales qui sont des organismes publics, les banques centrales ne sont peut-être pas privées mais elle sont contrôlées par le secteur privé, ce qui revient au même.

Et si vous alliez visiter le wiki, section économique de Liberaux.org avant de nous sortir d'autres perles du genre "à côté de ça, l'état français, c'est la rolls royce du management" ?

Les spéculateurs ne sont que des tas de fainéants qui n'ont pour ambition que de gagner du fric en restant le cul vissé sur une chaise, à rien foutre, plus fainéants encore que la pourtant légendaire fainéantise du fonctionnaire français.

Malgré le fait que les banques centrales déversent de grandes quantités d'argent sur les marchés avec leur politique de taux bas et maintiennent ainsi le système financier "sous perfusion", malgré le fait que le système dans lequel on est repose au moins en partie sur de gigantesques escroqueries comme Enron ou les bio carburants et même le réchauffement climatique, malgré tout cela ce système n'en peut plus et devient criminel pour arriver à subsister.

On serait bien inspiré en haut lieu de lire ou relire "la poule aux oeufs d'or" de La Fontaine, car ils sont en train de la tuer.

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Hamiltonien illustre à la perfection la dérive de la démocratie vers encore un peu plus de pouvoir centralisé et dictatorial. La réglementation des marchés financiers existante a échoué? Réponse démocratique: il faut plus de réglementation. Le contrôle des énergies fossiles par les états ne permet pas de lutter contre la pollution? Réponse démocratique: il faut le protocole de Kyoto et encore plus de contraintes. Mon bras cassé n'a pas été guéri par l'aspirine? Réponse démocratique: il faut plus d'aspirine.

La difficulté des solutions démocratiques étant dans l'absence à peu près totale de logique et de réalisme (i.e. de raison), il convient d'y pallier par la propagande, la recherche de boucs-émissaires, l'appel aux bons sentiments et d'autres manipulations. A.B. et moi avions déjà prédit que, pour les esprits simples comme Hamiltonien, les "hedge funds" seraient la parfaite victime expiatoire de la crise financière qui ne fait que commencer.

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Hamiltonien illustre à la perfection la dérive de la démocratie vers encore un peu plus de pouvoir centralisé et dictatorial. La réglementation des marchés financiers existante a échoué? Réponse démocratique: il faut plus de réglementation. Le contrôle des énergies fossiles par les états ne permet pas de lutter contre la pollution? Réponse démocratique: il faut le protocole de Kyoto et encore plus de contraintes. Mon bras cassé n'a pas été guéri par l'aspirine? Réponse démocratique: il faut plus d'aspirine.

Vous vouliez surement dire la DEréglementation des marchés financiers n'a pas marché (et non la réglementation). On est allé beaucoup plus loin dans le sens de la déréglementation que dans celui de la règlementation (cf. par exemple les produits dérivés). Je suis aussi fasciné par votre capacité à utiliser des arguments à contre emploi, le protocole de Kyoto est un avatar de la spéculation financière, il a été promu par Al Gore et ses amis, aujourd'hui propriétaire d'un hedge fund spécialisé dans la spéculation sur les marchés de droits d'émission de carbone.

La difficulté des solutions démocratiques étant dans l'absence à peu près totale de logique et de réalisme (i.e. de raison), il convient d'y pallier par la propagande, la recherche de boucs-émissaires, l'appel aux bons sentiments et d'autres manipulations. A.B. et moi avions déjà prédit que, pour les esprits simples comme Hamiltonien, les "hedge funds" seraient la parfaite victime expiatoire de la crise financière qui ne fait que commencer.

Vous etes assez mal placé pour faire ce genre de critique, pour ce qui est de chercher des boucs émissaires vous n'etes pas le dernier, avec vous le coupable est toujours tout désigné : l'état. Un genre d'attitude qui ressemble à celle des communistes à une certaine époque, mais à l'envers.

Même si les hedges funds sont très critiquables, je suis d'accord pour dire qu'ils ne sont pas les seuls responsables. Ils peuvent piller et détruire l'économie, parce qu'on les laisse faire, à commencer par les politiques qui brillent plus souvent par leur couardise et leur incompétence (voire complicité) que par leur courage. Greenspan également est très critiquable, son invention des produits dérivés sont une pure folie.

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Vous vouliez surement dire la DEréglementation des marchés financiers n'a pas marché (et non la réglementation). On est allé beaucoup plus loin dans le sens de la déréglementation que dans celui de la règlementation (cf. par exemple les produits dérivés).

Qu'avez-vous à répondre, par exemple, au fait que c'est l'état qui incite les banques à prêter de l'argent aux ménages modestes, comme l'a démontré cet article, cité dans le fil consacré à la crise des subprimes:

http://www.u-blog.net/liberte/note/57710

(merci à wallonlibre)

Je suis aussi fasciné par votre capacité à utiliser des arguments à contre emploi, le protocole de Kyoto est un avatar de la spéculation financière, il a été promu par Al Gore et ses amis, aujourd'hui propriétaire d'un hedge fund spécialisé dans la spéculation sur les marchés de droits d'émission de carbone.

Le protocole de Kyoto est une réglementation supplémentaire, imposée par des gouvernements démocratiques et dans laquelle certains spéculateurs ont vu une occasion de s'enrichir. Et si vous ne voyez pas le parallélisme avec ce que vous proposez, c'est que vous n'avez pas compris que la législation ne peut résoudre ce genre de problèmes et ne sert souvent qu'à permettre à des proches du pouvoir de se remplir les poches.

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Le tord d'Enron pour les libéraux, ça n'est pas d'avoir brassé du vent mais d'avoir fait faillite, car avant cela c'était le modèle, une référence pour tous les fanatiques du libre échange.

N'importe quoi.

Enron constitue d'ailleurs un exemple très clair des torts causés par le droit positif comparé au droit naturel, pour Patrick Simon, dans "Le droit naturel: ses amis, ses ennemis".

Je vous fournis le tableau de la page 25:

Activité:																	   Illégal ?	   Contraire aux usages ?
Multiplication des activités hors-bilan										 Non			 Oui
Comptabilité à haut risque													  Non			 Oui
Conflits d'intérêts															 Non			 Oui
Rémunération supplémentaire des dirigeants au détriment des actionnaires		Non			 Oui
Passivité et faiblesse du contrôle du conseil d'administration				  Non			 Oui
Manque d'indépendance du conseil d'administration							   Non			 Oui
Fausse information pour recevoir des primes									 Non			 Oui
Manipulation du marché pour diminuer l'offre et augmenter la demande			Oui			 Oui
Actions lésant les actionnaires												 Oui			 Oui
Information insuffisante des actionnaires									   Non			 Oui
Blanchiment d'argent															Oui			 Oui
Contrôle des comptes et contrôle des stratégies confondus					   Non			 Non

Enron est un modèle exemplaire de l'abus que permet la législation (qui ne peut jamais prévoir toutes les techniques criminelles), des dérives frauduleuses, illibérales, qui peuvent s'insinuer dans la société lorsque celle-ci confie à un monopole territorial la gestion des règles de justice. Ce n'est pas, contrairement à ce que vous avancez, la dérèglementation des marchés qui a permis Enron, mais bien la MALrèglementation par l'état, qui interdit la réglementation spontanée (l'application des usages mentionnés dans le tableau). Malrèglementation qui est inévitable, car systémique. Le cœur de la fraude, ici, était dans cette croyance infondée selon laquelle la réglementation de l'état pourrait protéger de ces abus: Enron démontre le contraire. Au passage, vous confondez la dérèglementation et la non-réglementation: ça revient à confondre anomie et libéralisme, une grave erreur, impardonnable pour quelqu'un qui poste ici.

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Comme Pascal Salin nous l'avait rappelé lors de son passage à Bruxelles: la firme qui avait audité les comptes de Enron a disparu.

Ça, c'est le marché: tu triches, tu crèves. Du moins si ce que tu vends est: une garantie d'intégrité.

Par comparaison la règlementation c'est: tu triches, tu te fais taper sur les doigts, tu te fais un bon petit dîner avec tes copains politiciens, et tu repars comme si de rien n'était.

Mon bras cassé n'a pas été guéri par l'aspirine? Réponse démocratique: il faut plus d'aspirine.

Tu oublies de préciser que c'est le fabriquant d'aspirine qui t'a cassé le bras.

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Ce sont les banques nationales qui sont des organismes publics, les banques centrales ne sont peut-être pas privées mais elle sont contrôlées par le secteur privé, ce qui revient au même.

Collector !

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Qu'avez-vous à répondre, par exemple, au fait que c'est l'état qui incite les banques à prêter de l'argent aux ménages modestes, comme l'a démontré cet article, cité dans le fil consacré à la crise des subprimes:

http://www.u-blog.net/liberte/note/57710

(merci à wallonlibre)

Cet article est un gros foutage de gueule, la fed monopole public … qui mène une politique dictée par des intérêts privés et vont exactement dans le sens de ces intérêts privés. Si ça continue les libéraux comme vous prétendrons aussi que les états sont toujours monétairement souverains. L'état en ayant renoncé à sa souveraineté monétaire s'est soumis à la loi des financiers privés et à leurs chantages en tous genres, à leur travail de sape. Les libéraux comme vous ne veulent pas d'un état monétairement souverain, mais il ne veulent pas non plus d'un état défendant des intérêts privés puisque soumis à ceux ci. Pourtant il va bien falloir choisir … ou devenir schizophrène.

Quant à la loi en question, c'est une fois de plus l'état bouc émissaire, et comme si cette loi était le vrai problème.

Le protocole de Kyoto est une réglementation supplémentaire, imposée par des gouvernements démocratiques et dans laquelle certains spéculateurs ont vu une occasion de s'enrichir. Et si vous ne voyez pas le parallélisme avec ce que vous proposez, c'est que vous n'avez pas compris que la législation ne peut résoudre ce genre de problèmes et ne sert souvent qu'à permettre à des proches du pouvoir de se remplir les poches.

Comme je l'ai dit les états font des conneries à cause du chantage auxquels ils sont soumis, et ça peut donner ce genre de conneries.

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Ces gens sont des parasites qui ne prospèrent que lorsque l'économie réelle stagne ou diminue, un spéculateur ne peut PAS vivre dans une économie en expansion. Pour un spéculateur une économie en expansion est trop imprévisible et incontrôlable. C'est pour cela qu'ils n'aiment pas les états, car ce sont les seuls à pourvoir créer les conditions pour une vrai croissance.

:icon_up:

Ce sont les banques nationales qui sont des organismes publics, les banques centrales ne sont peut-être pas privées mais elle sont contrôlées par le secteur privé, ce qui revient au même.

:doigt:

Les spéculateurs ne sont que des tas de fainéants qui n'ont pour ambition que de gagner du fric en restant le cul vissé sur une chaise, à rien foutre, plus fainéants encore que la pourtant légendaire fainéantise du fonctionnaire français.

:warez:

Pour les anti-capitalistes primaires, ce n'est pas le lourdage ninja qui est réservé habituellement ?

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J'avais loupé le passage sur les spéculateurs. C'est évidemment un classique de la liste de sérial-killers des gauchistes.

Au passage, si pour toi Hamiltonien c'est tellement fastoche de se faire de l'argent dans la spéculation, que ne vas-tu donc essayer de les rejoindre ? Un métier pareil c'est d'or, non ?

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Vous vouliez surement dire la DEréglementation des marchés financiers n'a pas marché (et non la réglementation). On est allé beaucoup plus loin dans le sens de la déréglementation que dans celui de la règlementation

Une petite info en cadeau, avant votre probable départ de ce lieu : L'état naturel des choses ne peut pas être la règlementation. Celle-ci nécessite la main de l'homme, plus souvent de l'état. Les marchés financiers ne font pas exception. Il est donc techniquement impossible qu'il y ait plus de dérèglementation que de règlementation, car la dérèglementation nécessite forcément une règlementation préalable.

Capish?

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Une petite info en cadeau, avant votre probable départ de ce lieu : L'état naturel des choses ne peut pas être la règlementation. Celle-ci nécessite la main de l'homme, plus souvent de l'état. Les marchés financiers ne font pas exception. Il est donc techniquement impossible qu'il y ait plus de dérèglementation que de règlementation, car la dérèglementation nécessite forcément une règlementation préalable.

Capish?

Votre culture financière me stupéfie. Non vraiment, parce que dire qu'il n'y a jamais eu de réglementation dans le secteur financier c'est fort, très fort. Vous en avez d'autres comme ça ?

Au passage, si pour toi Hamiltonien c'est tellement fastoche de se faire de l'argent dans la spéculation, que ne vas-tu donc essayer de les rejoindre ? Un métier pareil c'est d'or, non ?

Non merci, j'aurai trop peur d'être inutile et de vivre sur le dos des autres.

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Votre culture financière me stupéfie. Non vraiment, parce que dire qu'il n'y a jamais eu de réglementation dans le secteur financier c'est fort, très fort. Vous en avez d'autres comme ça ?

Où avez-vous lu que Dom P disait cela ? !!! :icon_up:

Non merci, j'aurai trop peur d'être inutile et de vivre sur le dos des autres.

Moi aussi, même mieux, je ne m'inscris jamais pour le 100 nage libre aux JO, j'ai trop peur des victoires faciles qui me procureraient une gloire par trop éphémère et illusoire. :doigt:

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Votre culture financière me stupéfie. Non vraiment, parce que dire qu'il n'y a jamais eu de réglementation dans le secteur financier c'est fort, très fort. Vous en avez d'autres comme ça ?

Vous qui semblez si cultivé en la matière, vous allez m'expliquer ce qu'est un marché, comment il naît, vit, puis disparaît. Vous me citerez quelques exemples passés et montrerez ainsi qu'un marché naît d'office règlementé. Je serai du coup fortement impressionné.

Merci de m'ouvrir ainsi la voie du savoir.

Non merci, j'aurai trop peur d'être inutile et de vivre sur le dos des autres.

Z'êtes fonctionnaire, c'est ça? :icon_up:

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Hamiltonien : votre discours de ces dernières pages m'apparait comme un salmigondi sans argument. Vos positions sont un ramassi de slogan et de poncifs faux, dotés d'une forme élaborée mais d'un fond vide. Pour vous répondre on en est presque réduit à lancer d'autres slogans, ou bien à expliquer les choses de façon très scolaires.

La spéculation, c'est le pari sur l'avenir. Diriger, décider, c'est entre autre spéculer. Le terme de spéculation a été piraté par les marxistes qui ont avec la bêtise et la méchanceté qu'on leur connait réduit ce terme à une sémantique venimeuse, celle de la spéculation prédatrice, sémantique par la suite infligée à toute forme de spéculation, y compris les plus utiles. Or ne pas spéculer, c'est ne pas faire de paris sur l'avenir, donc se contenter de faire du court-termisme.

Quelques catégories de spéculation parmi d'autres :

  • 1- Spéculation technologique : certains acteurs économiques font le pari que certaines technologies pourront efficacement être développées et investissent en direction de ces technologies. La recherche n'est rien d'autre qu'une spéculation scientifique et technologique.
    2- Spéculation de préservation : certains acteurs économiques font le pari que certaines ressources vont devenir rare. Ils acquièrent donc une part de ses ressources, les préservent afin de les vendre fort cher quand ces ressources viendront à manquer. Evidemment les dirigistes et les envieux crieront ultérieurement au scandale et voudront, en cigales carnivores, dévorer le fruit pourtant légitime des fourmis spéculatrices.
    3- Spéculation de cotation : certains acteurs économiques estiment que des cotations sont décalées par rapport à une analyse économique plus fouillée que celle pratiquée par les autres acteurs du marché. Ils investissent donc à contre-marché, faisant le paris que d'ici quelques semaines, années ou décennies, les cotations seront réajustées en leur faveur.
    4- Spéculation prédatrice : certains acteurs cherchent à obtenir un pouvoir de nuisance artificiel puis à le monnayer. Pour cela ils vont engendrer des goulots d'étgranglement en acquérant subrepticement des positions fortes sur certains marchés temporairement incontournables pour certains acteurs de l'économie. Ils peuvent ainsi bénéficier quelques temps d'un abus de position dominante le temps que le marché se réajuste. Exemple : les états de l'OPEP qui ont formé contre la libre concurence un cartel monopolisant quasiment la production de pétrole ; punition : le nucléaire, la découverte d'immenses gisements hors OPEP et peut-être aussi le GIEC:. Autre exemple : une banque suprime soudain sans raison légitime son crédit à une entreprise aux finances complexes qui se trouve prise de court et ne peut rapidement trouver de remplaçant, permettant à labanque où à ses alliés de racheter l'entreprise à vil prix. Bref, des pièges à cons, dont les entrepreneurs avisés se prémunissent à l'avance … en spéculant sur les risques de prédations !

A la suite de la propagande marxiste beaucoup de nos contemporains confondent les points 2, 3 et 4.

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Désolé d'avoir heurté votre susceptibilité.

@Bellegarrigue

Il l'a dit ici : "… car la dérèglementation nécessite forcément une règlementation préalable."

Si vous croyez que cette phrase vous permet de conclure ce que vous avez écrit plus haut c'est que vous n'avez rien compris.

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Il l'a dit ici : "… car la dérèglementation nécessite forcément une règlementation préalable."

Apprenez à lire : Ca ne veut pas dire "qu'il n'y a jamais eu de réglementation dans le secteur financier", ça veut dire qu'on ne peut pas enlever ce qui n'a pas été mis auparavant. C'est pourtant simple!

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Cet article est un gros foutage de gueule, la fed monopole public …

C'est effectivement un monopole public: l'état fédéral américain emploie la force, de manière souvent spectaculaire quand il le fait, pour écrabouiller toute concurrence en matière de monnaie sur le territoire. "this is legal tender" ne veut rien dire d'autre que "Vous utiliserez cette monnaie, de gré ou de force". Cela va jusqu'à la réglementation minutieuse de la détention et du commerce de métaux précieux.

Si demain seules les voitures Peugeot sont autorisées sur les routes françaises, avec des peines de prison de 20 ou 30 ans en guise de bâton, et une brigade spécialisées toute entière consacrée à cette application, est-ce que vous persisteriez à dire que ce n'est pas un monopole public, mais que cela va "dans le sens des intérêts privés" sous prétexte que cela sert avant tout une entreprise privée (Peugeot) et certains spéculateurs privés (concessionaires et exportateurs de voitures, qui rachèteraient pas cher les voitures non-Peugeot pour les vendre à l'étranger) ?

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