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Tututut !… :icon_up: Je crois que tu n'as pas bien suivi. Dans ces cas, on parle plutôt de dérèglement climatique ! :doigt:

Non la plupart des gens parlent bien de réchauffement climatique. C'est rentré dans les esprits, d'où ma remarque.

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:warez:

Ben voyons.

Comme l'écrit avec une concision extrême :warez: Rocou, On peut légitimement soupçonner le responsable de Météo France de chiffrer à la valeur forte ses prévisions :icon_up: et faire comme si sans ses prévisions les français seraient totalement imprévoyants face à la météo :doigt: .

Pour évaluer si les couteux services de Météo France et ses modèles sont rentables, on aimerait avoir des chiffres : coût des informations et prévisions par étape de sophisitcation, gains supplémentaires pour chaque secteur géographique et économique, etc. Par exemple en voyant les images satellites on a déjà une bonne idée de ce qui va se produire dans les prochains jours en matière de précipitations ; dès lors le gain supplémentaire apporté par les modèles sur superordinateurs (dont les versions actuellement à l'oeuvre ne sont que partiellement fiables) s'en trouve amoindri.

Au moins ces prévisions météorologiques marchent à peu près à l'horizon de quelques demi-journées, contrairement aux prévisions climatiques dont les variantes promues par l'ONU/GIEC pour le moment échouent à prévoir les évolutions climatiques nouvelles.

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Non la plupart des gens parlent bien de réchauffement climatique. C'est rentré dans les esprits, d'où ma remarque.

Mais médiatiquement et plotiquement, cette expression s'efface pour changement climatique, ce qui me semble assez significatif. Ca ne chauffe pas? Alors ça change!

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Borloo et le réchauffement climatique (si ça vous chauffe, lisez juste le titre du communiqué).

Bientôt, il va nous faire une loi pour interdire le changement climatique alors qu'il ferait mieux de s'occuper des bouffées chaleur de sa femme (remarquez, j'ai rien contre ellle). :icon_up:

Ben voyons, il n'a qu'a nous dire la météo du prochain été.

Canicule --> réchaufement climatique.

Pluie --> réchaufement climatique.

Etes vous sur de prendre encore la voiture? il risque de neiger cet hiver.

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Survey: Less Than Half of all Published Scientists Endorse Global Warming Theory

Michael Asher (Blog) - August 29, 2007 11:07 AM

Comprehensive survey of published climate research reveals changing viewpoints

In 2004, history professor Naomi Oreskes performed a survey of research papers on climate change. Examining peer-reviewed papers published on the ISI Web of Science database from 1993 to 2003, she found a majority supported the "consensus view," defined as humans were having at least some effect on global climate change. Oreskes' work has been repeatedly cited, but as some of its data is now nearly 15 years old, its conclusions are becoming somewhat dated.

Medical researcher Dr. Klaus-Martin Schulte recently updated this research. Using the same database and search terms as Oreskes, he examined all papers published from 2004 to February 2007. The results have been submitted to the journal Energy and Environment, of which DailyTech has obtained a pre-publication copy. The figures are surprising.

Of 528 total papers on climate change, only 38 (7%) gave an explicit endorsement of the consensus. If one considers "implicit" endorsement (accepting the consensus without explicit statement), the figure rises to 45%. However, while only 32 papers (6%) reject the consensus outright, the largest category (48%) are neutral papers, refusing to either accept or reject the hypothesis. This is no "consensus."

The figures are even more shocking when one remembers the watered-down definition of consensus here. Not only does it not require supporting that man is the "primary" cause of warming, but it doesn't require any belief or support for "catastrophic" global warming. In fact of all papers published in this period (2004 to February 2007), only a single one makes any reference to climate change leading to catastrophic results.

These changing viewpoints represent the advances in climate science over the past decade. While today we are even more certain the earth is warming, we are less certain about the root causes. More importantly, research has shown us that -- whatever the cause may be -- the amount of warming is unlikely to cause any great calamity for mankind or the planet itself.

Schulte's survey contradicts the United Nation IPCC's Fourth Assessment Report (2007), which gave a figure of "90% likely" man was having an impact on world temperatures. But does the IPCC represent a consensus view of world scientists? Despite media claims of "thousands of scientists" involved in the report, the actual text is written by a much smaller number of "lead authors." The introductory "Summary for Policymakers" -- the only portion usually quoted in the media -- is written not by scientists at all, but by politicians, and approved, word-by-word, by political representatives from member nations. By IPCC policy, the individual report chapters -- the only text actually written by scientists -- are edited to "ensure compliance" with the summary, which is typically published months before the actual report itself.

By contrast, the ISI Web of Science database covers 8,700 journals and publications, including every leading scientific journal in the world.

http://www.dailytech.com/Survey+Less+Than+…article8641.htm

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  • 2 weeks later...
Sur le climat, "tout le monde a adhéré à l'objectif de division par quatre des émissions de gaz à effet de serre d'ici à 2050", relève le climatologue Jean Jouzel, qui préside le groupe. Plusieurs pistes sont évoquées : baisse de la vitesse autorisée sur les autoroutes, instauration d'un bonus malus sur les automobiles en fonction des émissions de CO2, lancement d'un grand plan d'isolation de l'habitat, etc. Mais leurs modalités sont déjà très débattues.

Jouzel chargé de présider la réflexion sur le climat, c'est comme un camelot vendeur d'huile de serpent chargé d'en étudier les effets secondaires. Quelle c..nerie (désolé mais il n'y a pas d'autres mots) ! :icon_up:

Ce vieux hystérique aura bien participé à la déchéance de la science. Ca me rend malade de voir la patrie de Pasteur, Curie, Poincarré… tomber aussi bas.

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Manger moins de viande pourrait faire ralentir le réchauffement climatique

Par Maria Cheng AP - Jeudi 13 septembre, 15h45LONDRES - Manger moins de viande pourrait contribuer à ralentir le réchauffement de la planète, en entraînant la réduction du nombre de cheptels ovins et bovins et, du même coup, celle des rejets de méthane émanant des animaux, selon une étude publiée jeudi dans un numéro spécial du journal "The Lancet".

Pour les experts, réduire la consommation globale de viande rouge de 10% suffirait à diminuer les émissions de gaz émis par les systèmes digestifs des vaches, moutons et chèvres, qui contribuent au réchauffement global.

"Si les gens savaient qu'ils menaçent l'environnement en mangeant plus de viande, ils réfléchiraient à deux fois avant de commander un steak", a déclaré Geri Brewster, nutritionniste à l'Hôpital de Westchester-Nord à New York, qui n'a pas participé à l'étude.

D'autres moyens de réduction de ces émissions de gaz, notamment en donnant au bétail du fourrage de meilleure qualité, n'auraient, selon les experts, que des conséquences limitées. Les gaz provenant d'animaux destinés à la consommation représentent en effet le quart des émissions mondiales de gaz à effet de serre.

"Ceci fait de la réduction de la consommation de viande la seule véritable option", a déclaré le Dr John Powles, expert en santé publique de l'Université de Cambridge, un des auteurs de l'étude.

La quantité de viande consommée varie considérablement dans le monde. Dans les pays développés, on mange environ 224 grammes de viande par jour et par personne. Contre seulement 31 grammes par jour en Afrique.

Face à une demande qui ne cesse d'augmenter dans le monde, les experts s'inquiètent de l'augmentation des élevages et de son corolaire, les émissions de gaz, notamment de méthane et de protoxyde d'azote, qui font monter la température. En Chine, par exemple, la population mange deux fois plus de viande qu'il y a dix ans.

Selon John Powles, une consommation de viande moyenne limitée à 90 grammes par jour et par personne dans le monde pourrait éviter l'accélération du réchauffement par les gaz à effet de serre.

Manger moins de viande rouge contribuerait aussi à améliorer la santé de la population. Powles et les co-auteurs estiment que réduire la consommation de viande réduirait aussi le nombre de maladies cardio-vasculaires et de cancers.

"Dans notre société, nous consommons trop de protéines", estime Geri Brewster. "Si on mangeait moins de viande rouge, ça aiderait aussi à réduire l'épidémie d'obésité".

Selon les experts, il faudra probablement des décennies avant que la population accepte de changer ses habitudes. "Nous devons mieux comprendre les conséquences de notre alimentation", a estimé le Dr Maria Neira, directrice du service de santé publique et de l'environnement de l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS).

"C'est une théorie intéressante qui nécessite d'être mieux étudiée", a-t-elle ajouté. "Manger moins de viande pourrait vraiment représenter un moyen de réduire les émissions de gaz et le changement climatique". AP

fs/v0749/nc

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Un papier assez pointu sur la thermodynamique : http://arxiv.org/abs/0707.1161

The atmospheric greenhouse effect, an idea that authors trace back to the traditional works of Fourier 1824, Tyndall 1861, and Arrhenius 1896, and which is still supported in global climatology, essentially describes a fictitious mechanism, in which a planetary atmosphere acts as a heat pump driven by an environment that is radiatively interacting with but radiatively equilibrated to the atmospheric system. According to the second law of thermodynamics such a planetary machine can never exist. Nevertheless, in almost all texts of global climatology and in a widespread secondary literature it is taken for granted that such mechanism is real and stands on a firm scientific foundation. In this paper the popular conjecture is analyzed and the underlying physical principles are clarified. By showing that (a) there are no common physical laws between the warming phenomenon in glass houses and the fictitious atmospheric greenhouse effects, (b ) there are no calculations to determine an average surface temperature of a planet, (c ) the frequently mentioned difference of 33 degrees Celsius is a meaningless number calculated wrongly, (d) the formulas of cavity radiation are used inappropriately, (e) the assumption of a radiative balance is unphysical, (f) thermal conductivity and friction must not be set to zero, the atmospheric greenhouse conjecture is falsified.
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Triple spéculation : supposer qu'on doit et peut empêcher le climat de changer et qu'on sait que les pets de vache y contribuent. De la vanité à l'état sauvage.

J'ai vu un article dans le point où ils notaient que si on donnait de l'ail à manger aux vaches elles produisaient moins de méthane. Un peu comme pour chasser les vampires…

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Un papier assez pointu sur la thermodynamique : http://arxiv.org/abs/0707.1161

Etrange article…

Ce qu'on appelle communément l'effet de serre est pourtant un mécanisme dont le principe général est bien connu, même si le détail de chacun de ses rouages l'est moins. Pour prouver son existence (et une idée de son ampleur), il suffit de comparer les variations de températures à la surface de planètes avec et sans atmosphère, telles que la Terre et Mars.

Il y a cependant une grande différence entre dire que ce mécanisme est réel et défendre l'idée que l'homme l'a perturbé au point que le climat se réchauffe.

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Il parrait même que les néo-zélandais on mis au point des bactéries gastriques pour réduire la production de méthane par le bétail. L'histoire ne dit pas si les animaux s'en trouvent perturbés, psychologiquement ou plus bassement !

A propos de l'article sur l'entropie : je trouve le concept bizare. Il y a absorption d'ondes lumineuses et rejet d'ondes infrarouge. Au passage, l'effet de serre présumé rend plus lent l'évacuation des infrarouge. Je ne vois pas en quoi cela serait non conforme au principe de croissance de l'entropie… Il y a peut-être une subtilité qui m'échappe dans ce sur quoi porte l'analyse faite dans cette publication (que je n'ai pas lue).

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Et ce n'est que le début.

Manque plus qu'on soit taxé sur le CO2 qu'on rejette en respirant. Interdire le sport. Interdire de peter et de roter.

facile à mettre en oeuvre en plus. Il suffit de faire payer une taxe fixe par année de vie écoulée. Simple, clair, net et précis les fonctionnaires de Bercy vont aimer. On peut aussi ponctionner les compétitions sportives en fonction de la durée de l'effort le 20k de Paris coutera deux fois moins par compétiteur qu'un marathon et on laisse aux experts le soin de bosser sur les trails (où le dénivelé rentre en jeu). Ils aiment bien aussi les petites niches fiscales. Bref une nouvelle centaine de pages du code des impôts en perspective…

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A New Record for Antarctic Total Ice Extent?

While the Antarctic Peninsula area has warmed in recent years and ice near it diminished during the Southern Hemisphere summer, the interior of Antarctica has been colder and ice elsewhere has been more extensive and longer lasting, which explains the increase in total extent. This dichotomy was shown in this World Climate Report blog posted recently with a similar tale told in this paper by Ohio State Researcher David Bromwich, who agreed “It’s hard to see a global warming signal from the mainland of Antarctica right now”.
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Une once de bon sens dans un océan de connerie :

http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-…1-816846,0.html

Un juge américain a rejeté, lundi 17 septembre, une plainte déposée par l'Etat de Californie contre des constructeurs automobiles, accusés de contribuer au réchauffement climatique. "Il relève du législateur, plutôt que des juges, de déterminer la responsabilité des constructeurs automobiles dans le réchauffement climatique", a estimé Martin Jenkins. Ce juge fédéral, qui siège à San Francisco, a ainsi donné raison à six fabricants de voitures américains et japonais, qui estimaient non fondées les poursuites au civil lancées contre eux il y a un an par le ministre de la justice californien de l'époque, Bill Lockyer.

Dans une annonce qui fit grand bruit, M. Lockyer, un démocrate, avait annoncé le 20 septembre 2006 avoir lancé des poursuites au civil contre Chrysler, General Motors, Ford, Toyota, Honda et Nissan. "Les émissions des véhicules sont la source augmentant le plus rapidement les émissions de carbone contribuant au réchauffement climatique, mais le gouvernement fédéral et les constructeurs automobiles ont refusé d'agir. Il est temps que ces entreprises soient tenues responsables de leur contribution à cette crise", avait-il affirmé.

La plainte, déposée au nom du "peuple californien", réclamait plusieurs centaines de millions de dollars, selon l'agence Reuters. Elle affirme que les constructeurs automobiles ont créé une "nuisance publique" en produisant des "millions de véhicules qui émettent collectivement des quantités massives de dioxyde de carbone", gaz contribuant à l'effet de serre et au réchauffement climatique.

Selon Bill Lockyer, la pollution des voitures représentait en 2006 "presque 20 %" du dioxyde de carbone émis aux Etats-Unis, et même 30 % en Californie, Etat américain le plus peuplé, où quelque 32 millions de véhicules sont immatriculés pour 35 millions d'habitants. Sa plus grande agglomération, Los Angeles, figure régulièrement en tête du classement des villes américaines les plus polluées.

Le bureau du successeur de M. Lockyer, Edmund Brown, également démocrate, s'est dit"déçu" par la décision du magistrat, mais a promis de poursuivre le combat judiciaire, n'excluant pas de faire appel. La Californie, gouvernée par le républicain Arnold Schwartzenegger, est l'un des fers de lance du combat pour la défense de l'environnement aux Etats-Unis, y compris contre l'administration de George W. Bush.

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Sea-Level Slowdown?

Filed under: Climate History, Sea Level Rise —

We have heard a million times that if we don’t stop emitting greenhouse gases, our inexcusable actions will result in a warmer earth, and the warming of the planet will cause icecaps and mountain glaciers to melt and sea level to rise. Island nations will be drowned, coastlines around the world will go underwater, Florida will cease to exist, and the World Trade Center Memorial could someday be a sight seen only by scuba enthusiasts. The United Nations Intergovernmental Panel on Climate Change says very clearly in the Summary for Policymakers “Global average sea level rose at an average rate of 1.8 [1.3 to 2.3] mm per year over 1961 to 2003. The rate was faster over 1993 to 2003: about 3.1 [2.4 to 3.8] mm per year. Whether the faster rate for 1993 to 2003 reflects decadal variability or an increase in the longer-term trend is unclear. There is high confidence that the rate of observed sea level rise increased from the 19th to the 20th century.” The IPCC crew reminds us that “Global average sea level in the last interglacial period (about 125,000 years ago) was likely 4 to 6 m higher than during the 20th century, mainly due to the retreat of polar ice.” It seems that sea levels fell and rose many times in the past and long before humans had any chance interfere with the natural order of things. There is no reason whatsoever to expect sea level to remain constant – it never has and it never will.

We have covered this sea-level rise issue many times in the past at World Climate Report and we fully agree that sea level is rising – sea level has been somewhat steadily rising for the past 10,000 years. During the last glacial advance, a large amount of fresh water was tied up in ice, and as the glaciation ended, that water returned to the oceans. Furthermore, as the earth warmed up following the last glacial advance, thermal expansion of the ocean water occurred, and sea level rose even more. There is little doubt that the sea-level rise will continue into the future, but the rate of rise is the focus of an interesting paper published recently in Global and Planetary Change by a team of scientists from France and Spain.

Measuring sea-level rise would seem simple at first glance, but the measurement is made quite difficult largely due to vertical movements of the earth’s crust. During an ice age, an enormous volume of ice pushes down on the crust and when the ice melts, the crust rebounds. Scientists have attempted to account for this effect using numerical “Glacial-Isostatic Adjustment” routines in their estimates of true sea-level rise. However, changes in tectonic activity, wind and ocean currents, and gravitational patterns further complicate the measurement of true sea level.

Wöppelmann et al. note that “two important problems arise when using tide gauges to estimate the rate of global sea-level rise. The first is the fact that tide gauges measure sea level relative to a point attached to the land which can move vertically at rates comparable to the long-term sea-level signal. The second problem is the spatial distribution of the tide gauges, in particular those with long records, which are restricted to the coastlines”. The records that we do have contain any number of inhomogeneities related to observer and instrument changes – the IPCC estimates of sea-level rise may be even less accurate that we are led to believe.

Chances are that you now have a hand-held GPS unit for hiking, a GPS upgrade to your cell phone, or a GPS unit in your car or boat. GPS satellites are taking measurements of anything and everything, and data from advanced GPS networks can help resolve questions about sea-level rise. Noting this opportunity, Wöppelmann et al. analyzed data from 224 GPS stations with special interest on the 160 GPS stations located within 15 km of a tide gauge station (see below). The data allowed them to very accurately measure the vertical motion of the crust from January 1999 to August 2005, and although the 7.7 year time span would seem rather short, they effectively argue that vertical motion of the crust is not like the weather – the vertical motion remains the same over long periods of time.

sea_level_slowdown.JPG

Distribution of the GPS stations processed (up to 224, among which 160 are situated less than 15 km from a tide gauge (stars) and 92 (black dots) are included for the reference frame implementation (from Wöppelmann et al., 2007)

OK – here’s the bottom line. When Wöppelmann et al. factored their measurements of land motion into the estimate of sea-level rise, they determined a global value of 1.31 ±0.30 mm per year compared to the 1.8±0.5 mm per year value given by the IPCC for the recent half century. We understand that the IPCC acknowledges a low-end value of 1.3 mm per year in their estimate, but another way to look at this article is that Wöppelmann et al. just reduced observed sea-level rise by 27%! Perhaps the IPCC should reconsider whether they still have high confidence that the rate of sea level rise has in fact increased from the 19th to the 20th century.

Of course, these results gained absolutely no press coverage whatsoever – imagine the coverage they would have received had their results increased sea-level rise by 27% and suggested that sea level rise was occurring faster then previous research indicated!

Reference:

Wöppelmann, G., B. Martin Miguez, M.-N. Bouin, and Z. Altamimi. 2007. Geocentric sea-level trend estimates from GPS analyses at relevant tide gauges world-wide. Global and Planetary Change, 57, 396–406.

http://www.worldclimatereport.com/index.ph…level-slowdown/

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Furthermore, as the earth warmed up following the last glacial advance, thermal expansion of the ocean water occurred, and sea level rose even more. There is little doubt that the sea-level rise will continue into the future,

Le même posteur relayait la veille un article disant que l'Antarctique se dilatait : je reste coi devant un tel sens critique…..

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