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Non c'est la température qui suit l'augmentation de la concentration en CO2. Quand un rayon lumineux frappe une molécule de CO2, celle-ci se met a vribrer selon de nombreux axes, d'ou émission de chaleur , d'ou augmentation de la température.

:icon_up: après l'altermondialisme on a droit à l'alterphysique.

J'aimerai connaître la représentation mentale de la notion de chaleur qu'a l'auteur de cette phrase mémorable. Je passerai volontiers sur les aspects qu'on pourraient qualifier de vulgarisant tels que "rayon lumineux", "vibrer selon de nombreux axes" . C'est "émission de chaleur" qui m'interpelle. Qu'elle est la particule support de cette force fondamentale nouvelle ? Quels liens mystérieux entretiennent elles avec la "température" ?

:doigt::mrgreen:

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J'aimerai connaître la représentation mentale de la notion de chaleur qu'a l'auteur de cette phrase mémorable. Je passerai volontiers sur les aspects qu'on pourraient qualifier de vulgarisant tels que "rayon lumineux", "vibrer selon de nombreux axes" . C'est "émission de chaleur" qui m'interpelle. Qu'elle est la particule support de cette force fondamentale nouvelle ? Quels liens mystérieux entretiennent elles avec la "température" ?

:icon_up::doigt:

Le caloriféron ?

Pour ma part, lorsqu'un photon émis par une accorte demoiselle vient frapper ma modeste personne, je me mets furieusement à vibrer ce qui a pour effet de m'échauffer.

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:icon_up: après l'altermondialisme on a droit à l'alterphysique.

J'aimerai connaître la représentation mentale de la notion de chaleur qu'a l'auteur de cette phrase mémorable. Je passerai volontiers sur les aspects qu'on pourraient qualifier de vulgarisant tels que "rayon lumineux", "vibrer selon de nombreux axes" . C'est "émission de chaleur" qui m'interpelle. Qu'elle est la particule support de cette force fondamentale nouvelle ? Quels liens mystérieux entretiennent elles avec la "température" ?

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Media de m.rde + EdNat = :doigt:

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Non c'est la température qui suit l'augmentation de la concentration en CO2. Quand un rayon lumineux frappe une molécule de CO2, celle-ci se met a vribrer selon de nombreux axes, d'ou émission de chaleur , d'ou augmentation de la température.

couscous, je ne voudrais pas remettre en cause ton évidente connaissance du sujet dont on traite actuellement, mais pour que nous restions tous polis et cordiaux, il vaudrait mieux, pour nous tous, que tu daignes lire ce fil depuis le début avant de te permettre de sortir des énormités pareilles, et ce, sans même avoir la décence de citer une seule source !

En attendant, j'insiste : La l'augmentation de température, sur les derniers millions d'années, a toujours suivi précédé, d'environ 800 ans (une paille, non ?) l'augmentation du taux de CO2 dans l'air. De là à en voir une conséquence et non une cause du réchauffement…

Les "gens" qui fiancent ont en général plus interet a financer des études qui dénigrent la thèse du réchauffement, pour continuer tranquille leur buisness. Quoique ce soit de moins en moins vrai avec le marché du carbone qui se met en place.

Le GIEC (ou IPCC en anglais), tu connais ? Tu sais qui il finance ? Et qui le finance, lui ?

Certes, l'Afrique a tendance a être prise pour une poubelle géante. Mais même en France niveau pollution, c'est vraiment pas gégé. Dernier exemple, le Rôhne au pyralène… (merki Monsanto!!)

Le coup du Rhône, c'est pas gentil. Voilà un problème local et ponctuel qui vient de sortir, dont on ne sait encore rien de précis, et déjà il sert d'argument à la généralisation ! Pitoyable. Pendant ce temps, les forêts françaises ne se sont pas portées aussi bien depuis le XVIIIe siècle, les saumons reparaissent dans nos rivières, la pollution des villes est en chute libre exception faite de l'ozone qui augmente très légèrement, etc.

Et l'accéleration de la fonte de la banquise qui atteint des records ?

Ah, ça…

Ben…

C'est faux.

Cf le fil que tu devrais vraiment, vraiment lire.

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Je suis extrêmement sceptique sur le CO2.

Il n'y a qu'un fait qui est accepté par tous les scientifiques c'est l'usage d'eau chaude qui réchaufferait les mers par conservation du pouvoir calorifique.

Mais là on est à une augmentation de quelques centièmes de degrés: une bêtise.

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La l'augmentation de température, sur les derniers millions d'années, a toujours suivi, d'environ 800 ans (une paille, non ?) l'augmentation du taux de CO2 dans l'air. De là à en voir une conséquence et non une cause du réchauffement…

Le contraire plutôt :icon_up:

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Si l'on prend l'exemple de la calotte Antarctique, excepté la péninsule, elle est tellement froide que malgré le réchauffement climatique, elle ne fondera probablement pas… Mais la cryosphère ne se résume pas à l'Antarctique.
Ni à l'Arctique. Et pourtant, dès que ça fond, on n'entend parler que de lui. Alors que la surface de glace mondiale n'a pas varié depuis que les mesures existent, soit depuis 30 ans. Quoi, vous ne le saviez pas ?

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Et l'accéleration de la fonte de la banquise qui atteint des records ?

Ah, ça…

Ben…

C'est faux.

Cf le fil que tu devrais vraiment, vraiment lire.

On lui a dit mais il persiste :icon_up:

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Non c'est la température qui suit l'augmentation de la concentration en CO2. Quand un rayon lumineux frappe une molécule de CO2, celle-ci se met a vribrer selon de nombreux axes, d'ou émission de chaleur , d'ou augmentation de la température.

d'où comme c'est pas compliqué ! Merci de tes explications, c'est très clair désormais dans ma tête.

A se demander pourquoi certains font des études.

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Quel altruisme de ta part!

Pour le moment, c'est tout de même toi qui vient nous seriner qu'il faut couper les vivres aux (salauds de) pauvres. J'attends de ta part une explication, une tentative de justification, ou, au mieux, une excuse…

C'est vrai t'as raison, continuons exactement sur le même rythme, encore plus fort même, et accueillons avec joie les millions de réfugiés et ces chers clathrate de méthane (vous savez celui du prout des vaches qui a l'air de beaucoup vous amuser) qui n'attendent qu'un petit coup de pouce pour remonter des profondeurs océaniques et du permafrost.

Tiens, justement, on comptait bien sur ton pouce pour libérer des prouts de vache. Mission accomplie.

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Tiens, justement, on comptait bien sur ton pouce pour libérer des prouts de vache. Mission accomplie.

Franchement, c'est l'un des trolls les plus rigolos qu'on ait eu depuis longtemps. Tu ne trouves pas ?

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Franchement, c'est l'un des trolls les plus rigolos qu'on ait eu depuis longtemps. Tu ne trouves pas ?

Ça se discute. Maurice b. attend des sommets. Involontairement, je te l'accorde. Et puis, faut voir à l'usure. Celui-ci est encore tout frais. Le troll de compagnie est dur à dénicher.

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Ça se discute. Maurice b. attend des sommets. Involontairement, je te l'accorde. Et puis, faut voir à l'usure. Celui-ci est encore tout frais. Le troll de compagnie est dur à dénicher.

Maurice b. est un troll ? Je pensais qu'il était payé par l'asso pour nous détendre entre deux lectures sérieuses. Bref…

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Maurice b. est un troll ? Je pensais qu'il était payé par l'asso pour nous détendre entre deux lectures sérieuses. Bref…

Si on est payé pour ça, je file derechef prendre ma carte au PS, concurrence oblige.

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Maurice b. est un troll ? Je pensais qu'il était payé par l'asso pour nous détendre entre deux lectures sérieuses. Bref…

Je vais me renseigner, mais je ne crois pas. En tout cas, le bureau n'est pas au courant.

Peut-être s'agit-il d'une tentative d'infiltration par l'UMP ? Bon, ok, elle a foiré lamentablement. Mais bon. Je m'interroge…

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Honnêtement, je ne sais pas quoi penser de tout cela : je doute.

Mais j'ai l'impression que ceux qui avancent l'idée qu'il y a un réchauffement global et qu'il est non négligeable et qu'il est d'origine humaine et qu'il a un impact uniquement négatif vont un peu vite en besogne.

Parce que, comme par hasard, ceux qui crient au cataclysme ont une certaine affinité idéologique (on va dire "gauchiste", pour résumer). Bien sûr, le fait que "x soutient la thèse y" et que "x est idiot" n'invalide pas nécessairement y. Mais on peut néanmoins se poser des questions.

:doigt: Idem, et je ne sais pas si nous ne sommes pas naturellement inclinés à soutenir les écoseptiques de part notre penchant pour la liberté individuelle. Ou alors nous sommes mieux informés que d'autres parce que justement nous cherchons d'autres réponses que les raisonnements simples (simplistes?) mais pas forcément faux des gauchistes sur ce sujet. Bref, j'ai des doutes dans les deux sens, et je ne sais moi non plus que penser :icon_up:

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Je suis, pour ma part, d'un caractère où je présume de tout (ça va du racisme à ma position de libéral en passant par la façon de nouer mes lacets le matin)

Je pense que c'est une qualité essentielle à l'avancement de la société et à la fuite de l'endoctrinement néanmoins il est indéniable que si on m'offre une vérité toute crue, un fait clair, je le remette en question malgré qu'il soit correct et que je remette aussi ce sur quoi il repose en question.

Le problème est alors là; nous ne sommes jamais sûrs de rien. Dans ce cas comment prendre des décisions ou entreprendre des actions?

Je me dis que les penseurs libéraux ou les personnes étudiant et réfléchissant sur le libéralisme sont bien plus inactives que les personnes s'instruisant de celui-ci.

Ca doit expliquer l'inactivité ou la passivité de nombre d'entre nous face à ce qui se met en place.

On quitte le libéralisme? Ah bon, ben j'vais continuer à en faire mais si personne ne me laisse m'exprimer alors tantpis.

Ca ne répond pas vraiment à ta question car je pense qu'il n'y a pas de réponse car, en tant que matheux et scientifique, on ne peut rien affirmer; on ne peut que constater, théoriser et vérifier. La remise en question permet d'obtenir un modèle de concordance toujours plus proche mais je n'admets pas qu'un modèle puisse être la traduction exacte d'un constat et que ce constat lui-même, hors du modèle théorique, puisse reposer sur des bases suffisantes pour l'accepter universellement. Il suffit de prendre le cas des valeurs expérimentales en chimie; on doit toujours admettre une marge d'erreur et une marge de négligeabilité.

A bon entendeur…

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Le problème est alors là; nous ne sommes jamais sûrs de rien. Dans ce cas comment prendre des décisions ou entreprendre des actions?
C'est étrange comme argument. Dans le business, on agit tous les jours que Dieu fait en prenant des décisions basées sur l'incertitude. On est confronté couramment à des problèmes dont on n'est jamais sûr de l'issue, ça n'a jamais empêché d'agir.

En ce qui concerne l'origine humaine du réchauffement climatique, la question n'est même pas là. Quand on entend à longueur d'antenne que la banquise arctique est en lambeaux et que les ours polaires vont disparaître dans 20 ans et que ce serait l'Homme le responsable alors qu'il suffit de consulter des données disponibles publiquement pour savoir que la surface de la banquise mondiale n'a pas varié depuis 30 ans, il faut soit avoir fait beaucoup d'étude soit pas du tout pour ne pas s'apercevoir qu'il y a arnaque. :icon_up:

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Pour le moment, c'est tout de même toi qui vient nous seriner qu'il faut couper les vivres aux (salauds de) pauvres. J'attends de ta part une explication, une tentative de justification, ou, au mieux, une excuse…

Couper les vivres à tout le monde, pas qu'aux "salauds de pauvres".

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:icon_up: après l'altermondialisme on a droit à l'alterphysique.

J'aimerai connaître la représentation mentale de la notion de chaleur qu'a l'auteur de cette phrase mémorable. Je passerai volontiers sur les aspects qu'on pourraient qualifier de vulgarisant tels que "rayon lumineux", "vibrer selon de nombreux axes" . C'est "émission de chaleur" qui m'interpelle. Qu'elle est la particule support de cette force fondamentale nouvelle ? Quels liens mystérieux entretiennent elles avec la "température" ?

:doigt::mrgreen:

Vulgarisant oui, mais pas faut. Les vibrations de certaines molécules frappées par le rayonnement solaire provoquent effectivement un dégagement de chaleur. Si cette définition superficielle mais néanmoins juste ne te convient pas, propose ta définition, c'est plus intelligent que de dénigrer.

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Couper les vivres à tout le monde, pas qu'aux "salauds de pauvres".

Quand les riches ont faim, les pauvres meurent.

Non seulement, tu veux faire payer les plus faibles, mais en plus tu comptes ainsi les éliminer. Tu es un monstre.

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Vulgarisant oui, mais pas faut.

Le terme que tu cherches est "faux", avec un x. Et si si, c'est faux. Tu mélanges chaleur, température, énergie avec un certain brio comique. Mais bon… Wikipedia.

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C'est de l'égalitarisme des plus morbides :icon_up:

Churchill disait : "Le vice inhérent au capitalisme consiste en une répartition inégale des richesses. La vertu inhérente au socialisme consiste en une égale répartition de la misère."

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Quand les riches ont faim, les pauvres meurent.

Non seulement, tu veux faire payer les plus faibles, mais en plus tu comptes ainsi les éliminer. Tu es un monstre.

Autre vérité choc : plus il y a de riches, moins il y a de pauvres

Formule empruntée au journaliste Brunet, auteur de "Etre riche, un tabou français"

http://www.evene.fr/livres/livre/eric-brun…ncais-29703.php

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GIEC, GIA, GSPC, que des terroristes… les premiers ayant la particularité d'être un groupe de terroristes écologistes passés maîtres dans l'art du "recyclage", fondement de l'écologie : recyclage d'altermondialistes, d'anticapitalistes, de communistes désoeuvrés qui ont trouvé dans le terrorisme écologique une méthode de "revalorisation de leurs propres déchets". Il fallait trouver un truc énorme pour "lutter contre l'économie de marché et le capitalisme". Rien de tel que semer la terreur écologique, le catastrophisme climatique. Instaurer la peur pour avoir l'ordre et la paix (fussent-ils écologiques), n'est-ce pas une dictature ?

Je pense qu'il y a, comme de tous temps, des changements climatiques, mais je ne suis pas (encore) convaincu qu'ils soient néfastes et d'origine anthropique. Il existe trop de scientifiques médiatiquement étouffés pour qu'un débat contradictoire parfaitement squizzé jusqu'à présent puisse s'installer sereinement. Et les politiques, surtout ceux des pays où les caisses sont vides, ont trouvé là un filon fiscal en "béton" (tant pis pour l'environnement) pour massacrer de taxes en tous genres le citoyen-pollueur judéoc(h)réti(en)nement culpabilisé.

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Le consensus? Y en a plus… mais ce n'est pas forcément une bonne nouvelle.

The end of the climate "consensus"?

Category: climate

Posted on: February 27, 2008 9:59 AM, by James Hrynyshyn

Joseph Romm of the Climate Progress blog makes a case this week in Salon for the retirement of the term "consensus" when it comes to discussion the science of the imminent climate crisis. It's an Interesting proposition, and although I suspect it's ultimately doomed to fail, worth examining.

Romm's central thesis is wrapped up in the observation that the official reports from the Intergovernmental Panel on Climate Change seriously underestimate the severity of climate change. This is not a particularly new or even remarkable idea. The IPCC cut off submissions of science for consideration in the spring of 2006, in order to give its reviewers time to do their job thoroughly. Since then, however, a fair bit of new science points to much more dramatic changes in store than the IPCC "consensus" would suggest. Sea level rise, for one, may be underestimated by a factor of 5 of even 10 in the IPCC projections.

More importantly, though, says Romm, the term "consensus" implies to a majority opinion to most lay people, not unanimity. And because the IPCC consensus represents a watered-down agreement on out of date science, it's actually a minority opinion. So, he says, let's ditch "consensus," although he doesn't suggest any alternative phraseology.

Romm's points are well taken and his essay is well worth the time, regardless. It seems to me, however, that he's placing too much emphasis on the disconnect between the IPCC reports and the current understanding of climatology. Yes, the IPCC consensus is not particularly useful to those hoping to draw attention to the actual severity of the problem, but it's still useful in drawing attention to the existence of a consensus, which is very real.

Here's a couple of quotes from respected folks who have embraced the idea of a climate consensus;

Consensus as strong as the one that has developed around this topic is rare in science. -- Donald Kennedy, Editor, Science magazine.

There's a better scientific consensus on this than on any issue I know, except maybe Newton's second law of dynamics. -- James Baker, NOAA administrator

The consensus to which each is referring is the causal relationship between observed warming of the Earth and rising fossil-fuel emissions. Anthropogenic global warming, in other words.

The incontrovertible and annoying reality is that there are still plenty of otherwise intelligent people out there who refuse to accept even that much, let alone the specifics of the seriousness of the situation.

I wrote a rebuttal essay to a column in a local newspaper a couple of weeks back for this very reason. The author of the column continued to parrot the nonsensical notion that climate change is either not real, or not our fault. I drew on four facts that most if not all climatologists would consider integral to the "consensus."

First, our atmosphere and oceans have been warming at an unusual rate since about 1850, when we started burning fossil fuels in large quantities. We know this thanks to analyses of air bubbles trapped in glaciers and ice sheets for as long as 800,000 years, among other lines of evidence.

Second, the concentration of carbon dioxide and other "greenhouse gases" in the atmosphere has been rising, too. Because each source of carbon has a unique atomic "signature," we know the additional carbon dioxide comes from the burning of coal, oil and gas, not natural biological cycles.

Third, the laws of nature tell us to expect that the world will warm if we add heat-trapping gases to the atmosphere. The tendency of carbon dioxide, methane and other gases to do exactly that was worked out more than a hundred years ago,

Fourth, increasingly sophisticated computer models that have successfully "backcasted" global air and ocean temperatures of the past now predict that both will continue to rise in the future.

Maybe Romm is right, and the phrase "consensus on global warming" no longer accurately describes the science, as it's understood by climatologists, in the minds of non-climatologists. But I'm not ready to abandon it just yet.

http://scienceblogs.com/islandofdoubt/2008…ate_consens.php

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Vulgarisant oui, mais pas faut. Les vibrations de certaines molécules frappées par le rayonnement solaire provoquent effectivement un dégagement de chaleur.

Et la chaleur se déplace dans l'éther, j'imagine. :icon_up:

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