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Grand Dieu, un négationniste du refroidissement climatique. :icon_up:

Des chiffres pour quoi faire ? Les donner à un type qui prétend sans vergogne que l'extent, c'est de "l'eau libre avec quelques glaçons", autant donner du caviar aux cochons.

Mon pauvre, tu aurais beau nier avec des arguments bidons que le climat ne change pas dans le sens que tu voudrais, il n'en fera qu'à sa tête. Il est grand temps de t'en rendre compte.

Je ne "veux" rien, et surtout pas ce qui est constaté actuellement, pauvre type.

Si tu tiens tant à ton extent voici à quoi ressemble une mesure plus sérieuse que du comptage de pixels sur une vignette :

AMSRE_Sea_Ice_Extent.png

Mais j'oubliais que ce fil se trouve toujours dans "Politique et questions de société", la réalité des faits n'a donc que peu d'importance il est vrai … :doigt:

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Un prêt à taux zéro pour encourager les économies d'énergie

Le gouvernement s'apprête à lancer un prêt à taux zéro afin d'encourager les particuliers à des travaux d'isolation thermiques et les économies d'énergie, a indiqué mardi le ministère de l'Ecologie, confirmant une information publiée dans le journal économique «Les Echos», mardi matin.

Ce prêt, plafonné à 30.000 euros, serait remboursable en sept à huit ans, soit directement aux banques, soit à un organisme de liaison qui reste à définir. Il est destiné à tous les foyers, sans condition de ressources.

De son côté, l'Etat compenserait l'intérêt dû aux banques. Le coût de cette opération pour le budget de l'Etat est estimé à un milliard d'euros par Bercy, estimation que reprend à son compte le ministère de l'Ecologie.

Le ministre Jean-Louis Borloo espère pour que le dispositif de cet «éco-prêt» soit opérationnel au 1er janvier 2009, ont précisé ses services. Le projet devrait être soumis au conseil des ministres «très vite, d'ici la fin du mois», a assuré le ministère.

Frank Perry AFP/Archives ¦ Un employé du fabricant de portes et de fenêtres, le 4 avril 2008 au Loroux-Bottereau

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avec agence

Taux zéro = taux d'intérêt ?

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Le taux zéro n'existant pas c'est bien sûr l'état les pauvres contribuables qui vont payer la différence aux banques prêteuses.

Effectivement, quel intérêt y'aurait-il pour une banque à prêter à taux zéro sachant qu'elle ne serait pas récompensée du risque encouru par une plus-value.

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Effectivement. Ce prêt n'a aucun intérêt. Comme les gesticulations du ministère, sans intérêt.
L'intérêt est pour les vendeurs de matériaux qui vont pouvoir en profiter pour augmenter les prix.

Ca s'est déjà vu ça avec les chauffes-eaux solaires et les réservoirs d'eau de pluies, vendus à des prix rackets. C'est la suite du feuilleton Subventions, le Retour.

On est en bonne voie vers une économie socialisée.

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Le recours à la fiscalité écologique pour stimuler la "croissance verte" est en train de s'imposer

En plein recul de l'activité, l'idée de "croissance verte" assise sur le développement de la fiscalité écologique est en train de s'imposer. A trois semaines de la présentation du projet de loi de finances pour 2009, prévue au conseil des ministres 26 septembre, François Fillon a commencé à rendre d'importants arbitrages.

Mercredi 3 septembre, lors d'une réunion interministérielle à Matignon sur le Grenelle de l'environnement, à laquelle participaient dix de ses ministres (dont Jean-Louis Borloo, Eric Woerth et Christine Lagarde), le premier ministre a confirmé l'extension du bonus-malus à d'autres produits que l'automobile, à condition qu'elle soit neutre pour le budget. Jean-Louis Borloo plaide notamment pour que les téléviseurs, les ordinateurs et les ampoules électriques soient concernés (Le Monde du 20 août). En revanche, le premier ministre a exclu toute hausse de la TVA sur les matériaux de construction réputés non "propres". Il a aussi rejeté toute idée de péage urbain : il faut éviter autant que possible d'accroître les prélèvements obligatoires.

D'autres pistes de travail ont été validées par M. Fillon : ainsi du reformatage du bonus-malus automobile, victime de son succès, qui va coûter 140 millions d'euros au budget de l'Etat alors qu'il était censé être neutre. Le dispositif sera un peu moins favorable pour le contribuable qui achète une voiture propre. Le gouvernement est aussi à la recherche d'un dispositif qui permettrait de mettre à contribution les propriétaires de terrains, immeubles ou appartements qui prennent de la valeur parce qu'ils se trouvent près d'un nouvel équipement collectif (métro, tramway…). Ce prélèvement permettrait de financer lesdits équipements. Mais si le principe de cette valorisation foncière est acquis, ses modalités concrètes restent à définir.

PRODUITS ÉLIGIBLES

Les arbitrages sur le Grenelle de l'environnement ou sur la fiscalité écologique sont loin d'être terminés. Si huit premiers points ont été réglés - dont certains portaient sur des problèmes d'urbanisme, d'antennes-relais etc., d'autres doivent encore être tranchés. Ainsi, la liste des produits éligibles au bonus-malus n'est pas totalement arrêtée. Pour gagner du temps, le gouvernement envisage de passer par une loi d'habilitation et de légiférer par ordonnances. Mais le premier ministre a demandé à M. Borloo de préciser et de "sécuriser" le dispositif du bonus-malus et, surtout de s'assurer qu'il respecte les prérogatives du Parlement en matière fiscale ou quasi-fiscale. D'autres mesures doivent encore être arbitrées, sur fond de tensions persistantes entre M. Borloo et le ministre du budget, Eric Woerth. Ni le relèvement du crédit d'impôt - prévu dans la loi TEPA du 21 août 2007 - en cas d'achat d'un appartement à basse consommation d'énergie ni l'idée d'un prêt à taux zéro pour l'acquisition de logements verts ni la taxe poids lourds n'ont été décidés, Matignon demeurant soucieux, comme Bercy, de ne pas participer à la multiplication des dépenses fiscales.

Si MM. Fillon et Woerth sont en phase sur le redressement des finances publiques, M. Borloo marque des points sur le terrain de la croissance verte. En cette rentrée compliquée, l'idée d'inciter, via la fiscalité, ménages et entreprises à opter pour une croissance plus soucieuse de l'environnement et du développement durable a le vent en poupe.

A défaut de garantir une sortie de crise rapide, elle permet aux pouvoirs publics d'occuper un terrain d'avenir et ouvre des perspectives porteuses, si l'on en croit plusieurs économistes : "Il y a là une carte à jouer. L'industrie française, qui a perdu en gamme depuis une quinzaine d'années, pourrait trouver dans la mise au point de produits de haute qualité environnementale l'occasion de regagner en compétitivité", analyse Pierre Dockès, membre du Cercle des économistes et auteur d'un essai remarqué sur la mondialisation, intitulé L'enfer, ce n'est pas les autres (Descartes et Cie, 2007). "La fiscalité est un bon outil pour promouvoir un mode de croissance plus respectueux de l'environnement. Elle présente l'avantage, par rapport à l'"édiction" de normes environnementales, de respecter les arbitrages des ménages et des entreprises et d'être, de ce fait, plus respectueuse de l'idée que l'on peut se faire de la liberté dans une économie de marché", relève de son côté Mathieu Glachant, directeur du Cerna, le laboratoire d'économie industrielle de Mines Paris Tech (ex-Mines de Paris).

http://www.lemonde.fr/politique/article/20…421_823448.html

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Si MM. Fillon et Woerth sont en phase sur le redressement des finances publiques, M. Borloo marque des points sur le terrain de la croissance verte. En cette rentrée compliquée, l'idée d'inciter, via la fiscalité, ménages et entreprises à opter pour une croissance plus soucieuse de l'environnement et du développement durable a le vent en poupe.

C'est sûr, avec des maisons en mur de paille et de l'isolant à base de laine de mouton non brossée, l'industrie française va regagner en compétitivité.

On n'est pas fichu de fabriquer des panneaux solaires, même pour chauffe-eaux mais "via la fiscalité" (traduction: avec de nouvelles taxes), on "pourrait" marquer des points.

Ca, pour être du vent, c'est du vent.

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Chapeau à Sammy Wilson, ministre de l'environnement de l'Irlande du Nord, qui ose débattre:

Wilson row over green 'alarmists'

The Environment Minister Sammy Wilson has angered green campaigners by describing their view on climate change as a "hysterical pseudo-religion".

In an article in the News Letter, Mr Wilson said he believed it occurred naturally and was not man-made.

"Resources should be used to adapt to the consequences of climate change, rather than King Canute-style vainly trying to stop it," said the minister.

Peter Doran of the Green Party said it was a "deeply irresponsible message".

Mr Wilson said he refused to "blindly accept" the need to make significant changes to the economy to stop climate change.

"The tactic used by the 'green gang' is to label anyone who dares disagree with their view of climate change as some kind of nutcase who denies scientific fact," he said.

The minister said he accepted climate change can occur, but did not believe the cause had been identified.

"Reasoned debate must replace the scaremongering of the green climate alarmists."

John Woods of Friends of the Earth said Mr Wilson was "like a cigarette salesman denying that smoking causes cancer".

"Ironically, if we listen to him Northern Ireland will suffer economically as we are left behind by smarter regions who are embracing the low carbon economy of the future."

It is the latest clash between Mr Wilson and green groups since his appointment as environment minister in June.

Story from BBC NEWS:

http://news.bbc.co.uk/go/pr/fr/-/2/hi/uk_n…and/7599810.stm

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Chapeau à Sammy Wilson, ministre de l'environnement de l'Irlande du Nord, qui ose débattre:

J'y suis en ce moment, jamais entendu parler …(trop de boulot la semaine et trop mort le WE :icon_up: ) je vais me renseigner un peu sur lui … en tout cas ça rejoint bien ce que je disais dans le topic Vivre et travailler en UK (Angleterre plus précisément) : un bon plan ?, God save the Queen!:

En décrivant mes impressions sur Belfast, je disais:

On n'est pas noyé dans l'écolo-marketing comme en France, ça c'est super…
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A L'AIDE

J'ai posté ce résumé / traduction pour relayer des infos trouvées sur des sites anglo-saxons.

http://blogs.daily-bourse.fr/petition-cont…p;tb=1&pb=1

Je m'attends à une salve d'attaque dans les commentaires sur le blog.

J'aurais besoin de vos pour venir faire contrepoids.

Merci,

Nicolas

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  • 2 weeks later...
Cooling the planet

SIR – Your assertion that “global warming is happening faster than expected” exhibits a disturbing degree of cognitive dissonance (“Adapt or die”, September 13th). Since 1998 the world’s average surface temperature has exhibited no warming, according to all the main temperature records. The trend has been a combination of flatlining and cooling, with a marked plunge over the past year; many countries, including Australia, Canada, China and the United States, experienced severe winters.

Moreover, recent work demonstrates that the Earth’s temperature may stay roughly the same for at least a further decade through the impact of the Atlantic Multidecadal Oscillation. In addition, the next 11-year cycle of solar storms—Solar Cycle 24—is late by more than two years. The sun is currently spotless, conditions that obtained during the “Dalton Minimum”, an especially cold period that lasted several decades starting from 1790 and which was implicated in the rout of Napoleon’s Grand Army during the retreat from Moscow in 1812.

Finally, one expert, Victor Manuel Velasco Herrera of the National Autonomous University of Mexico, has gone so far as to give warning that the Earth may enter a new “Little Ice Age” for up to 80 years because of decreases in solar activity. The immediate portents thus point in the direction of a cooling period.

Whatever one thinks about longer-term trends in world average temperatures and their possible relationship with carbon emissions, it cannot be claimed that currently “global warming is happening faster than expected”. It troubles me when a publication with the standing of The Economist permits such a gap between observed reality and political rhetoric.

Philip Stott

Emeritus professor of biogeography

University of London

London

The Economist; Letter to the editor

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  • 4 weeks later...
Les voyages officiels de Nicolas Sarkozy ont engendré sur les 11 derniers mois l'émission de 7.061 tonnes de CO2, soit l'équivalent des rejets de 1.000 Français ou d'un troupeau de 823 vaches en un an, selon Terra Economica.

Dans son édition du 23 octobre, le magazine spécialisé dans le développement durable estime que le président a parcouru en 11 mois de déplacements officiels 301.236 kilomètres, soit une moyenne de plus de 900 km par jour - 80% de la distance de la Terre à la Lune.

Terra Economica précise que "le renouvellement en cours de la flotte élyséenne et le changement pour un avion long courrier plus lourd que l'avion présidentiel actuel, devrait avoir un impact à la hausse sur ces chiffres".

Si Nicolas Sarkozy maintient le rythme de ses déplacements pour l'année à venir, ses émissions de gaz à effet de serre passeraient de 7.061 tonnes équivalent CO2 à 13.956 tonnes, estime encore le magazine.

Reuters - Elizabeth Pineau, édité par Yves Clarisse

:icon_up:

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es voyages officiels de Nicolas Sarkozy ont engendré sur les 11 derniers mois l'émission de 7.061 tonnes de CO2, soit l'équivalent des rejets de 1.000 Français ou d'un troupeau de 823 vaches en un an, selon Terra Economica.

Dans son édition du 23 octobre, le magazine spécialisé dans le développement durable estime que le président a parcouru en 11 mois de déplacements officiels 301.236 kilomètres, soit une moyenne de plus de 900 km par jour - 80% de la distance de la Terre à la Lune.

Terra Economica précise que "le renouvellement en cours de la flotte élyséenne et le changement pour un avion long courrier plus lourd que l'avion présidentiel actuel, devrait avoir un impact à la hausse sur ces chiffres".

Si Nicolas Sarkozy maintient le rythme de ses déplacements pour l'année à venir, ses émissions de gaz à effet de serre passeraient de 7.061 tonnes équivalent CO2 à 13.956 tonnes, estime encore le magazine.

Reuters - Elizabeth Pineau, édité par Yves Clarisse

:icon_up:

Y'en a qui n'ont rien d'autre à foutre quand même !

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On apprend quand même quelque chose d'intéressant = 1000 Français équivalent à un troupeau de 823 vaches. Ca c'est de l'info pertinente :doigt:

:icon_up:

Ils ont oublié de rajouter que 1000 français équivalaient à 1000 moutons aussi.

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Je ne crois pas que la sortie du livre de Serge Galam ait été signalée :

Le bouquin se fait descendre dans Le Monde, ce qui tendrait plutôt à en signaler l'intérêt . Le journal l'accuse d'avoir écrit un pamphlet contre les climatologues plutôt qu'un livre de science et d'autre part, de manquer "d'esprit d'ouverture" dans sa description de l'idéologie environnementaliste. Comme si l'ouverture d'esprit avait jamais été une vertu des méthodes alarmistes et des prêches millénaristes. Et puisque les scientifiques sceptiques ne sont pas entendus, un pamphlet est sûrement le meilleur moyen aujourd'hui de toucher l'opinion publique en bousculant un peu le consensus sur le réchauffement médiatique.

Serge Galam a fait un pamphlet contre les climatologues, coupables selon lui de vouloir imposer, sans nécessité prouvée, ascétisme et régression à l'espèce humaine. Le livre corrige certaines erreurs de la tribune - comme l'attribution à Galilée de la découverte de la sphéricité de la Terre, connue depuis le Ve siècle avant J.-C. Mais d'autres bévues demeurent. Comme lorsque l'auteur persiste à écrire que l'affirmation de la responsabilité humaine dans le réchauffement ne repose que sur une concomitance des augmentations de gaz à effet de serre et des températures. Il ne se livre alors pas seulement à une grossière caricature des sciences du climat. Il les travestit sans ambages, passant commodément sous silence presque deux siècles de travaux sur les propriétés radiatives des gaz, depuis Joseph Fourier (1768-1830) et, plus tard, Svante Arrhenius (1859-1927).

De telles fautes trahissent une ignorance à peu près complète du sujet. D'ailleurs, l'auteur ne revient à aucun moment aux sources de la science, c'est-à-dire aux publications. Aucune référence scientifique précise n'est citée. Aussi et en dépit de son titre, l'ouvrage n'aborde jamais la question de la science et en limite l'examen à de longues et discutables digressions sur la notion de preuve.

La faiblesse rhétorique voisine avec l'outrance des commentaires. Si les climatologues se trompent, c'est la survie même de l'espèce humaine qui est menacée, n'hésite pas à dire M. Galam. Qui explique, sans rire, que la climatologie pose "les prémices d'une haine nouvelle, fondée comme tous les racismes sur la peur de l'autre", qu'elle provoquera des "guerres préventives" comparables à la récente invasion de l'Irak, etc. Quant à Al Gore, coupable d'exagération du problème climatique dans Une vérité qui dérange, coupable également de "résider dans des hôtels haut de gamme" et de "voyager en jet privé", il ne mérite pas son prix Nobel de la paix. Pas plus que le GIEC, que Serge Galam compare sans ciller à l'Inquisition.

Débarrassées de la volonté douteuse de porter l'opprobre sur les scientifiques, certaines réflexions de l'auteur auraient cependant mérité un traitement en soi. Sur la manière quasi religieuse dont l'eschatologie climatique percole dans l'espace public et dans les esprits, par exemple. Ou encore sur les excès médiatiques, bien réels, de certains…

Mais travestir la science ne sert pas l'ouverture du débat, ni sur les limites réelles de la science elle-même ni sur la distance nécessaire que le politique doit prendre vis-à-vis des experts. D'ailleurs, Björn Lomborg lui-même, gourou de l'"anti-environnementalisme" et cité à plusieurs reprises par Serge Galam, écrivait voilà déjà un an dans le Washington Post : "Il est répréhensible de nier l'évidence. La Terre se réchauffe et nous en sommes la cause."

Reste que l'insurrection de Serge Galam est sans objet. Car la supposée "dictature verte" issue de la climatologie ne règne que dans les discours : les émissions de CO2 n'ont jamais crû à un rythme aussi soutenu. Quitte à chercher noise à des communautés scientifiques capables (ou coupables) d'infléchir la marche du monde, celle des mathématiques financières semble aujourd'hui un terrain d'investigation bien plus stimulant !

http://www.lemonde.fr/livres/article/2008/…04026_3260.html

Sinon quelqu'un a lu ceci?

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Sinon quelqu'un a lu ceci?

Correct mais ça ne casse pas trois pattes à un canard… Le titre est bien plus vendeur que le contenu et le réchauffement climatique n'est qu'une petite partie, alors qu'il y a de longs développements sur ce qui intéresse l'auteur, plus versé dans la santé, et que j'ai trouvés barbants.

C'est une version soft d'Allègre pour faire court, avec défense de la sécu et autres concessions au politiquement correct français.

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Le bouquin se fait descendre dans Le Monde, ce qui tendrait plutôt à en signaler l'intérêt . Le journal l'accuse d'avoir écrit un pamphlet contre les climatologues plutôt qu'un livre de science et d'autre part, de manquer "d'esprit d'ouverture" dans sa description de l'idéologie environnementaliste. Comme si l'ouverture d'esprit avait jamais été une vertu des méthodes alarmistes et des prêches millénaristes. Et puisque les scientifiques sceptiques ne sont pas entendus, un pamphlet est sûrement le meilleur moyen aujourd'hui de toucher l'opinion publique en bousculant un peu le consensus sur le réchauffement médiatique.

On notera tout de même la référence positive à Lomborg, dont les positions sont - pour une fois - représentées fidèlement.

Et, je l'ai dit plusieurs fois sur ce fil et je le répète une nouvelle fois, nier contre toute évidence le réchauffement climatique et ses conséquences est le meilleur moyen d'en laisser l'exclusivité aux environnementalistes, avec les résultats que l'on imagine. Si les Verts sont les seuls à proposer des solutions - de m…e, nous sommes bien d'accord - c'est surtout parce que les autres préfèrent jouer aux trois petits singes.

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…nier contre toute évidence le réchauffement climatique…

Évidence ? Tu as entendu les dernières infos alarmistes dans les médias sur l'étendue actuelle de la banquise arctique ? Non ? C'est normal. :icon_up:

Par ailleurs, tu strawmanises la (les) position(s) des sceptiques. Pour connaître les avis des principaux : List of scientists opposing the mainstream scientific assessment of global warming.

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On notera tout de même la référence positive à Lomborg, dont les positions sont - pour une fois - représentées fidèlement.

Et, je l'ai dit plusieurs fois sur ce fil et je le répète une nouvelle fois, nier contre toute évidence le réchauffement climatique et ses conséquences est le meilleur moyen d'en laisser l'exclusivité aux environnementalistes, avec les résultats que l'on imagine. Si les Verts sont les seuls à proposer des solutions - de m…e, nous sommes bien d'accord - c'est surtout parce que les autres préfèrent jouer aux trois petits singes.

:icon_up:

Remarque qui s'applique également à la crise financière soit dit en passant

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On notera tout de même la référence positive à Lomborg, dont les positions sont - pour une fois - représentées fidèlement.

Et, je l'ai dit plusieurs fois sur ce fil et je le répète une nouvelle fois, nier contre toute évidence le réchauffement climatique et ses conséquences est le meilleur moyen d'en laisser l'exclusivité aux environnementalistes, avec les résultats que l'on imagine. Si les Verts sont les seuls à proposer des solutions - de m…e, nous sommes bien d'accord - c'est surtout parce que les autres préfèrent jouer aux trois petits singes.

Je ne crois pas que les libéraux nient qu'il y ait un réchauffement climatique, simplement l'affirmation en toute bonne foi qu'il est largement prématuré d'en imputer la cause à l'homme alors que beaucoup de recherches prouvent que ce n'est pas le cas, et que d'autre part les solutions étatiques proposées sont une menace pour nos droits, notre liberté et une menace de décroissance économique grave.

Beaucoup de scientifiques et de chercheurs ne sont pas d'accord sur les causes du réchauffement climatique, certains avançant une perturbation de l'activité solaire ces dernières années comme étant la cause et que le pic actuel n'est en fait qu'un ultime rebond avant un nouveau refroidissement de la planète (en comptant en centaines d'années bien sûr). Mais encore faudrait-il leur laisser la parole car la censure pratiquée actuellement donne la primeure aux environnementalistes rouges.

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On y voit le parallèle orwellien entre la crise financière, la crise climatique et les théories du 9/11, la fin du pétrole, les OGM : terrorisme intellectuel, bourrage de crane, ambiance hystéro catastrophique, preuves bidons, lobbyisme, bref une grande salade à faire manger et digérer à nos mammifères de la famille des Caprinés.

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Évidence ? Tu as entendu les dernières infos alarmistes dans les médias sur l'étendue actuelle de la banquise arctique ? Non ? C'est normal. :icon_up:

Par ailleurs, tu strawmanises la (les) position(s) des sceptiques. Pour connaître les avis des principaux : List of scientists opposing the mainstream scientific assessment of global warming.

<LI>Ian Clark, hydrogeologist, professor, Department of Earth Sciences, University of Ottawa: "That portion of the scientific community that attributes climate warming to CO2 relies on the hypothesis that increasing CO2, which is in fact a minor greenhouse gas, triggers a much larger water vapour response to warm the atmosphere. This mechanism has never been tested scientifically beyond the mathematical models that predict extensive warming, and are confounded by the complexity of cloud formation - which has a cooling effect. … We know that [the sun] was responsible for climate change in the past, and so is clearly going to play the lead role in present and future climate change. And interestingly… solar activity has recently begun a downward cycle."[20]

Preuve que je ne racontais pas de salades.

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