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L'evolution des 50 prochaines annees ne suivra pas l'evolution des 50 derniers, absolument d'accord avec ca. L'evolution des 50 prochaines annees dependra des inventions qui nous permettront de quitter l'age du petrol. Tout comme l'on est passe de l'ere du charbon a l'ere du pretrol par l'invention du moteur a explosion. On a pas quitte l'age de pierre par manque de pierre.

Les 50 prochaines années pourraient être justement le "retour" du charbon.

Nous n'avons jamais quitté l'ère du charbon, sa consommation continue de croître même si sa part diminue.

De plus il est la seule énergie capable de se substituer en tout point aux pétroles.

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Même si à contre-coeur, ne serait-ce que pour masquer le peu d'intérêt des gens à "sauver le climat" - projet absurde s'ile en est -, les politiciens de tous bords ont dû finalement faire appel à l'excuse de la crise économique et financière pour freiner la course vers la pauvreté vers laquelle veut nous entraîner l'Église de climatologie. Chaque jour qui passe nous rapproche de la récupération du sens commun :

So onto Poznan, where, despite this example of “quite historic” EU leadership, all that emerged on the global warming front was a great deal of hot air, and an agreement that a serious global accord on drastic, mandatory, enforceable and enforced cutbacks in greenhouse gas emissions, to succeed the Kyoto Agreement which expires in 2012, would be concluded in Copenhagen next year.

If you believe that, you will believe anything. It is abundantly clear that the whole Kyoto approach is a nonsense.

[…]

Unlike Mr Al Gore, Lord Stern, and Lord Turner, I do not know what is going to happen to the planet in the next 100-200 years. But I do know nonsense when I see it.

http://www.telegraph.co.uk/comment/persona…-the-earth.html

Carbon dioxide emissions, which were increasing about 1% a year in the 1990s, are increasing about 3% percent a year in this decade. Leaders all across the world, including Barack Obama, continue to look straight into the camera and proclaim that they are going to solve the global warming crisis – by 2020, or 2050, or 2100 or … sometime soon.

The world desperately needs to get serious, including President-elect Obama, Europe’s leaders and every UN bureaucrat who dined handsomely in the evenings in Poznan. The truth is, the world is not going to be cutting greenhouse gases anytime soon. If ever.

There are simply no reasonable alternatives. Wind power is too scant. Nuclear power is too controversial. Solar power is stuck in a dream world. It gets a little better every year, but it will never be good enough. Nuclear fusion is hopeless, perpetually 25 years in the future.

http://www.guardian.co.uk/commentisfree/ci…e-change-poznan

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Les 50 prochaines années pourraient être justement le "retour" du charbon.

Nous n'avons jamais quitté l'ère du charbon, sa consommation continue de croître même si sa part diminue.

De plus il est la seule énergie capable de se substituer en tout point aux pétroles.

D'ailleurs il n'y avait pas une paire de scientifiques allemands en Allemagne (étonnant, non ?) nazie qui ont mis au point à partir du charbon de quoi faire tourner les moteurs de leurs navires, de leurs avions, de leurs tanks ?

En fait, ça fait déjà 60 ans qu'on sait remplacer le pétrole par autre chose pour les mêmes moteurs.

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Fischer Tropfsch. Transformation du charbon en "syngas", mélange de CO et de H2. Puis Synthèse de paraffines à partir de ce gaz. Adopté massivement par Sasol en Afrique du Sud pour cause d'embargo pendat l'apartheid, puis à petit échelle par Shell à Bintulu en Malaisie et maintenant à grand échelle au Qatar. (Shell, Chevron, Syntroleum, Sasol, je ne me rappelle plus en détail qui est en JV avec qui), avec comme matière première le gaz naturel au lieu du charbon.

Si vous entendez parler de GTL, gas to liquids, c'est de ça qu'il s'agit.

Bref, ça marche très bien, c'est bien maitrisé, ça fait des produits intéressants (paraffines très pures) mais ça reste trop couteux.

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Vous y mettez du votre. (Soit dit en passant les liberaux ne sont pas toujours tres fins. Moi le premier)

dont acte :

Même si à contre-coeur, ne serait-ce que pour masquer le peu d'intérêt des gens à "sauver le climat" - projet absurde s'ile en est -, les politiciens de tous bords ont dû finalement faire appel à l'excuse de la crise économique et financière pour freiner la course vers la pauvreté vers laquelle veut nous entraîner l'Église de climatologie

Reconnaissons qu'il y a parfois un peu de mauvaise foi des deux cotés, ainsi que de la volonté de caricaturer l'autre afin de se défiler devant ses propres contradictions.

Bon toujours rien sur le RC. J'aurai pourtant essaye.

Evidemment, nous pourrions aussi parler de l'évolution de la teneur en CO2 de l'atmosphère ces 150 dernières années, de l'analyse des isotopes du carbone qui montre que le CO2 supplémentaire vient de la combustion des ressources fossiles, d'un éventuel ralentissement des courants thermohalins engendré par un réchauffement qui pourrait faire que l'océan devienne une source et non plus un puit, de la salinisation des nappes phréatiques que provoquerait une montée du niveau de la mer, du fait que l'augmentation de la température moyenne peut engendrer une plus grande variablité des températures et que c'est principalement celle-ci qui détermine si une zone donnée est viable pour une population animale ou végétale, des vitesses limites de déplacement de ces différentes populations et de leur capacité à suivre un déplacement rapide de cette zone engendré par le RC, etc, etc,…..

Néanmoins les questions sur la politique énergétique et les perspectives d'évolution sont centrales dès qu'il est question du RC.

L'evolution des 50 prochaines annees ne suivra pas l'evolution des 50 derniers, absolument d'accord avec ca. L'evolution des 50 prochaines annees dependra des inventions qui nous permettront de quitter l'age du petrol. Tout comme l'on est passe de l'ere du charbon a l'ere du pretrol par l'invention du moteur a explosion. On a pas quitte l'age de pierre par manque de pierre.

Je concède avoir sorti des clichés, mais admets que dans le genre le coup du manque de pierres est exemplaire.

Premièrement la pierre n'est pas une énergie.

Deuxièmement john ross a fait remarquer que nous ne sommes pas sortis de l'âge du charbon, ce qui est très juste. Il précise aussi que nous pourrions y revenir de plus belle, ce qui est encore plus juste, d'autant que le charbon présente à la fois l'avantage d'être disponible et celui d'être réparti assez équitablement sur la surface du globe, ce qui n'engendre pas ou peu de tensions géopolitiques. L'inconvénient étant bien sur qu'il émet plus de CO2 que le pétrole (environ 20%) à énergie fournie équivalente, et encore plus si on le liquéfie du fait d'un assez mauvais rendement de l'opération.

De la même manière, somme nous vraiment sortis de l'âge de pierre ? Il me semble que la pierre est encore beaucoup utilisée dans nos sociétés, d'aucuns y voient même une valeur sure. Je pense pouvoir affirmer se tromper que la consommation de pierres n'a cessé d'augmenter depuis l'âge de pierre.

Ce que je remarque c'est que tes analogies tournent toutes autour du meme axe ideologique

De la même manière que tes réponses tournent autour d'un scientisme utopique : l'homme est intelligent, le progrès amènera forcément une solution.

Où est l'idéologie ?

C'est mal de sortir de la pauvrete?

Non, bien sur.

Par contre il faut faire attention que la manière d'en sortir ne conduise pas à y retourner aussi sec.

N'oublions pas non plus que la notion de pauvreté est relative.

Justement voila une enorme erreur des environnementalistes. Le global alors que la plus part des vrai problemes sont locaux et particuliers

Comment peut on faire baisser les émissions de GES de manière globale sans avoir une approche globale du problème ?

Oui c'est mal car la lutte contre le RC n'est pas une lutte ecologique rationnelle

Pourquoi ?

Dans le second cas, c'est bien moins mal (pour peu qu'on prouve que rejeter du CO2 puisse être assimilé à une authentique pollution irrémédiablement nocive).

Tout arrive, nous sommes d'accord. Cette solution me paraitrait moins "communiste" que l'autre.

Par contre elle me semble difficile à mettre en oeuvre pour de nombreuses raisons.Par exemple le prix du CO2 n'es pas facile à fixer (le prix d'une pollution locale par pesticides serait par exemple plus facile à fixer, ce serait le prix de la dépollution). Egalement, il est difficile de la mettre en place au niveau international.

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Mais enfin, qu'est-ce que c'est que tout ce foin à propos du CO2 ? Quelle importance ?

Ne pas acidifier les océans au point d'achever les restes des éco-systèmes en déclin.

Enfin, peut être.

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Tout arrive, nous sommes d'accord. Cette solution me paraitrait moins "communiste" que l'autre.

Par contre elle me semble difficile à mettre en oeuvre pour de nombreuses raisons.Par exemple le prix du CO2 n'es pas facile à fixer (le prix d'une pollution locale par pesticides serait par exemple plus facile à fixer, ce serait le prix de la dépollution).

Et pourquoi faudrait-il que quelqu'un en particulier fixe ce prix ? :icon_up:

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Bon ce fil est rempli d'articles il serait bon que tu fasses l'effort de le lire.

Evidemment, nous pourrions aussi parler de l'évolution de la teneur en CO2 de l'atmosphère ces 150 dernières années

CO2direct.jpg

L'article d'ou est tire ce graphe. Et les problemes lies aux carottes glacieres. Qui a raison?

Une autre petite, si l'article de beck ne te plait pas:

A Mauna Loa le taux de CO2 baisse cette annee:

co2_trend_maunaloa_0308.png

de l'analyse des isotopes du carbone qui montre que le CO2 supplémentaire vient de la combustion des ressources fossiles

Le tout alors que l'on est pas capable de mesure combien de temps le CO2 degage par les voitures restent dans l'atmosphere. (Ne me sort pas les 100 ans du Giec, ca vient de modele archi faux.)

Car ce n'est pas aussi simple de comprendre le cycle du carbon, avec le nombre de reservoirs et les interactions complexes qu'il y a lieu entre eux. As tu une idee de l'ordre de grandeur en tonne (voir Gtonne) de CO2 contenu dans les differents reservoirs?

d'un éventuel ralentissement des courants thermohalins engendré par un réchauffement qui pourrait faire que l'océan devienne une source et non plus un puit

Scifi.

Quant a la banquise il suffit de voir comment les modelisateur se plantent

antarcticminmaxdates.jpg

Source

de la salinisation des nappes phréatiques que provoquerait une montée du niveau de la mer

Scifi, d'autant plus que le niveau des mers stagne.

sl_noib_ns_global.jpg

du fait que l'augmentation de la température moyenne peut engendrer une plus grande variablité des températures et que c'est principalement celle-ci qui détermine si une zone donnée est viable pour une population animale ou végétale des vitesses limites de déplacement de ces différentes populations et de leur capacité à suivre un déplacement rapide de cette zone engendré par le RC, etc, etc,…..

0.7C en 150ans avec la moitie de la hausse avant le boom industriel des annees 50. La belle affaire, d'autant plus que ca ne monte plus alors que l'on a jamais autant rejete de CO2 dans l'atmosphere. Admire la belle correlation negative.

MSUCRUCO2.jpg

Néanmoins les questions sur la politique énergétique et les perspectives d'évolution sont centrales dès qu'il est question du RC.

Que proposes tu? Car j'ai surtout l'impression que ton creneau c'est surtout la finitude des reserves et que le rechauffement climatique n'est qu'une excuse qui te conforte dans tes idees.

Je concède avoir sorti des clichés, mais admets que dans le genre le coup du manque de pierres est exemplaire.

Je crois surtout que tu ne veux pas comprendre le point que je souleve:

La preuve:

Premièrement la pierre n'est pas une énergie.

Ou comment regarder le doigt quand on montre la lune.

Deuxièmement john ross a fait remarquer que nous ne sommes pas sortis de l'âge du charbon, ce qui est très juste. Il précise aussi que nous pourrions y revenir de plus belle, ce qui est encore plus juste, d'autant que le charbon présente à la fois l'avantage d'être disponible et celui d'être réparti assez équitablement sur la surface du globe, ce qui n'engendre pas ou peu de tensions géopolitiques. L'inconvénient étant bien sur qu'il émet plus de CO2 que le pétrole (environ 20%) à énergie fournie équivalente, et encore plus si on le liquéfie du fait d'un assez mauvais rendement de l'opération.

Certes le charbon n'est pas forcement le meilleur exemple. Il n'empeche qu'il n'est plus la source principale d'energie dans les pays developpes.

De la même manière, somme nous vraiment sortis de l'âge de pierre ? Il me semble que la pierre est encore beaucoup utilisée dans nos sociétés, d'aucuns y voient même une valeur sure. Je pense pouvoir affirmer se tromper que la consommation de pierres n'a cessé d'augmenter depuis l'âge de pierre.

Ne fait pas l'idiot, tu avais promis.

De la même manière que tes réponses tournent autour d'un scientisme utopique : l'homme est intelligent, le progrès amènera forcément une solution.

Où est l'idéologie ?

Tu sais tu n'es pas le premier a negliger les faits, beaucoup d'autres se sont essayes, et ils se sont tous tromper. Deja du temps de l'empire romain les hommes etaient trop nombreux, la terre ne pouvaint subvenir a tous nos besoins. On a fait pas mal de chemins depuis car comme je l'avais dit nous n'avons jamais disposer d'autant de ressources et des possiblites pour l'avenir. Il s'agit de faits. On a donc deja plein de solutions mais aucune raison pour l'instant de les developper.

Rque: dans les annees 70 on predisait deja la fin du petrol, ce qui est drole c'est que les reserves n'ont jamais ete aussi importantes et que les ecolos font tous leur possible pour diminuer les reserves en provaquant les interdiction de forer. Enfin bon oui la fin du petrol viendra, nous sommes d'accord tout comme la fin des hommes.

Non, bien sur.

Par contre il faut faire attention que la manière d'en sortir ne conduise pas à y retourner aussi sec.

N'oublions pas non plus que la notion de pauvreté est relative.

La pauvrete est relative, oui enfin il faudrait etre un peu plus precis en attendant on ne sais toujours pas ce que tu proposes pour ne pas y retourner tout en arretant de consommer de l'energie… Quant-aux ecolos ils nous proposent - enfin ce que l'on entend - d'y retourner dans la pauvrete.

Comment peut on faire baisser les émissions de GES de manière globale sans avoir une approche globale du problème ?

Parceque les niveaux de developpement, les besoins et les manieres de les resoudre sont et doivent etre differents. Et que la solution n'est pas forcement de reduire les emissions de GES.

Pourquoi ?

Parceque l'on ne controle pas le climat et on ne le controlera jamais, en matiere climatique la seul solution c'est l'adaptation (tu vois la science et le progres ne peuvent pas tout) et parcequ'il y a beaucoup d'autres problemes beaucoup plus important et/ou que les solutions proposees sont bien pire que l'hypothetique mal.

Tout arrive, nous sommes d'accord. Cette solution me paraitrait moins "communiste" que l'autre.

Par contre elle me semble difficile à mettre en oeuvre pour de nombreuses raisons.Par exemple le prix du CO2 n'es pas facile à fixer (le prix d'une pollution locale par pesticides serait par exemple plus facile à fixer, ce serait le prix de la dépollution). Egalement, il est difficile de la mettre en place au niveau international.

Surtout lorsque le marche du carbon se pete la gueule.

Et pourquoi faudrait-il que quelqu'un en particulier fixe ce prix ? wink.gif

Je vais etre mauvaise langue mais ca me surprendrait qu'il comprenne ta remarque.

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Comme d'hab', quand on veut s'informer, on se tourne vers la presse anglo-saxonne. Or donc, sur les conséquences des sommets en Pologne et à Bruxelles :

The reasons for the changing political atmosphere in Europe are manifold. First, the global economic crisis has demoted green policies nearer to the bottom of the political agenda. Saving the economy and creating jobs take priority now.

Second, disillusionment with the failed Kyoto Protocol has turned utopian thinking into sobriety. After all, most of the Kyoto signatories failed to reduce their CO2 emissions during the last 10 years. There are also growing doubts about the long-term viability of the EU’s Emissions Trading Scheme. The price of carbon credits has collapsed as a result of the financial crisis. The drop in demand and the recession are likely to depress carbon prices for years to come. As a result, the effectiveness of the extremely volatile scheme is increasingly questioned.

Third, a number of countries have experienced a political backlash over their renewable energy schemes. Tens of billions of euros of taxpayers’ money have been pumped into projects that depend on endless government handouts. Each of the 35,000 solar jobs in Germany, for instance, is subsidized to the tune of €130,000. According to estimates by the Rhine-Westphalia Institute for Economic Research, green subsidies will cost German electricity consumers nearly €27 billion in the next two years.

Instead of yielding to the siren calls of climate alarmists, European governments would be well advised to focus their attention on developing pragmatic policies capable of safeguarding their industries, labor forces and environment at the same time.

http://online.wsj.com/article/SB122937766062908297.html

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Il y a quelque chose que je ne comprends pas dans cette histoire de climatologie. Certains semblent penser que le rechauffement climatique est un mythe, ou du moins que l'implication humaine l'est. Admettons.

A qui profite ce mythe? Est-ce une conspiration climatologique? Les écolos ont ils corrompus les scientifiques? Y a t il des intérêts financiers occultes? Je pense qu'on peut écarter cette hypothèse qui ne vaut pas mieux que les thèses conspirationnistes marxistes… Alors pourquoi les scientifiques semblent ils majoritairement favorable à ce mythe? Pourquoi adhère t il à ces thèses? Hystérie collective? Erreur monumentale? Les climatologues ont peut-être trouvé avec cette idée une fantastique mane pour leurs recherches. Le mythe leur permet de plus d'obtenir un poids presque politique. Admettons.

Mais alors, pourquoi les lobbys de l'énergie, extrèmement riches et puissants ne financent ils pas un contre GIEC? Peut-être qu'ils n'ont pas réussi à se mettre d'accord. Peut-être que la stratégie du GIEC a été si percutante qu'ils ont réduits les opposants au mythe climatique à de petites poches de résistance incapables de se coordonner. Admettons.

Après avoir admis tout ça, nous pouvons donc dire que le carbone n'est pas un sujet de préoccupation… du point de vue du réchauffement! J'ai l'impression que l'erreur des deux camp et de se polariser sur le réchauffement, comme s'il s'agissait d'une menace d'apocalypse… Quelque chose est oublié dans tout ça… La répercution directe sur la vie humaine. Pourquoi oublie t'on les corrélations entre maladie(astme etc…) et pollution? N'est ce pas là une externalité négative digne d'intérêt? On ferait mieux de trouver un consensus sur ce qui touche directement les êtres humains, plutôt que de se perdre dans les fantasmes eschatologiques…

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Alors pourquoi les scientifiques semblent ils majoritairement favorable à ce mythe?

Déjà, là, non.

Les gens qui sont majoritairement favorable à ce mythe, ce sont les journalistes qui font passer tout ça pour indiscutable.

Je n'ai pas lu ta prose en entier, dû au manque de paragraphes, mais ce n'est pas parce que le réchauffement climatique est une invention qu'il faut accepter la pollution, qui elle est bien réelle.

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Déjà, là, non.

Les gens qui sont majoritairement favorable à ce mythe, ce sont les journalistes qui font passer tout ça pour indiscutable.

Je n'ai pas lu ta prose en entier, dû au manque de paragraphes, mais ce n'est pas parce que le réchauffement climatique est une invention qu'il faut accepter la pollution, qui elle est bien réelle.

Pardon pour les paragraphes, j'ai édité. Le GIEC est quand même une sacrée assemblée de scientifique. Et si le consensus est un mythe, alors pourquoi les voix ne s'élèvent elles pas plus haut? Faire intervenir les journalistes ne fait que déplacer la conspiration. Nous serions donc face à une conspiration de journalistes…

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Pardon pour les paragraphes, j'ai édité. Le GIEC est quand même une sacrée assemblée de scientifique. Et si le consensus est un mythe, alors pourquoi les voix ne s'élèvent elles pas plus haut? Faire intervenir les journalistes ne fait que déplacer la conspiration. Nous serions donc face à une conspiration de journalistes…

Des voix s'élèvent, elles sont publiées, seulement il y a très peu de relais de la part de la presse, pour tous les articles qui réfutent la thèse du réchauffement anthropique.

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Pardon pour les paragraphes, j'ai édité. Le GIEC est quand même une sacrée assemblée de scientifique. Et si le consensus est un mythe, alors pourquoi les voix ne s'élèvent elles pas plus haut? Faire intervenir les journalistes ne fait que déplacer la conspiration. Nous serions donc face à une conspiration de journalistes…

Les réponses à toutes les questions que tu poses sont déjà présentes et documentées dans ce fil. Une fonction "recherche" étant présente sur le forum, je t'invite à t'en servir.

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Des voix s'élèvent, elles sont publiées, seulement il y a très peu de relais de la part de la presse, pour tous les articles qui réfutent la thèse du réchauffement anthropique.

Ces voix semblent quand même minoritaires parmi les scientifiques. Comment se fait-il que l'erreur ne parvienne pas à être percée à jour? D'où vient la puissance du mythe du réchauffement climatique?

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Ces voix semblent quand même minoritaires parmi les scientifiques. Comment se fait-il que l'erreur ne parvienne pas à être percée à jour? D'où vient la puissance du mythe du réchauffement climatique?
Les réponses à toutes les questions que tu poses sont déjà présentes et documentées dans ce fil. Une fonction "recherche" étant présente sur le forum, je t'invite à t'en servir.
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Après avoir admis tout ça, nous pouvons donc dire que le carbone n'est pas un sujet de préoccupation… du point de vue du réchauffement! J'ai l'impression que l'erreur des deux camp et de se polariser sur le réchauffement, comme s'il s'agissait d'une menace d'apocalypse… Quelque chose est oublié dans tout ça… La répercution directe sur la vie humaine. Pourquoi oublie t'on les corrélations entre maladie(astme etc…) et pollution? N'est ce pas là une externalité négative digne d'intérêt? On ferait mieux de trouver un consensus sur ce qui touche directement les êtres humains, plutôt que de se perdre dans les fantasmes eschatologiques…

:icon_up: Mais bon, la vision politique des gauche marxiste et postmarxiste est intrinsèquement eschatologique.

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Pardon pour les paragraphes, j'ai édité. Le GIEC est quand même une sacrée assemblée de scientifique. Et si le consensus est un mythe, alors pourquoi les voix ne s'élèvent elles pas plus haut? Faire intervenir les journalistes ne fait que déplacer la conspiration. Nous serions donc face à une conspiration de journalistes…

Brochette de rigolos est plus adaptée que "assemblée de scientifiques". Renseigne-toi sur le panel de gens en questions, on trouve surtout des militants, des politiques, des journalistes plus ou moins connus, mais assez peu de scientifiques du climat reconnus. En revanche, on retrouve beaucoup de scientifiques qui ont peu d'échos dans la presse et qui crient "foutaises".

Quant à ta remarque sur "conspiration de journalistes", c'est effectivement idiot de penser qu'il y aurait besoin d'une "conspiration" pour que ceux-ci ne fassent tout simplement pas leur travail. En pratique, mets-toi à leur place et demande-toi : qu'est-ce qui se vend le mieux ?

- un papier disant en gros "le climat change peut-être un peu, mais de toute façon, nous n'y pouvons pas grand-chose et nous n'en sommes pas responsables ou dans une proportion si faible qu'elle en est quasi-insignifiante"

- un papier disant en gros "le climat change, nous en sommes responsables, et si vite, tous ensembles et par des moyens collectifs avec beaucoup de pub, de médiatisation et des banquets étatiques qui font la une des journaux, nous ne nous mettons pas à travailler ensemble, nous courrons à une catastrophe d'ampleur biblique avec des sécheresses, des inondations, des morts par millions, des chats qui baisent avec des chiens et plus de confiture au petit dej."

Je pense que le premier papier suscite 0 intérêt, et le second remplit en plus une condition essentielle : il permet l'auto-allumage journalistique.

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Ces voix semblent quand même minoritaires parmi les scientifiques.

J'avais oublié que la vérité en science se décréte à la majorité, et que ceux qui sont contre sont des négationistes.

L'argument du consensus c'est l'argument des ânes.

La liste des théories scientifiques qui furent communément admises et donc bénéficiant du consensus puis invalidées est un peu longue pour que je vous en fasse le détail.

PS : Pauvre Galilé, on a pas beaucoup progressé depuis!

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Brochette de rigolos est plus adaptée que "assemblée de scientifiques". Renseigne-toi sur le panel de gens en questions, on trouve surtout des militants, des politiques, des journalistes plus ou moins connus, mais assez peu de scientifiques du climat reconnus. En revanche, on retrouve beaucoup de scientifiques qui ont peu d'échos dans la presse et qui crient "foutaises".

Quant à ta remarque sur "conspiration de journalistes", c'est effectivement idiot de penser qu'il y aurait besoin d'une "conspiration" pour que ceux-ci ne fassent tout simplement pas leur travail. En pratique, mets-toi à leur place et demande-toi : qu'est-ce qui se vend le mieux ?

- un papier disant en gros "le climat change peut-être un peu, mais de toute façon, nous n'y pouvons pas grand-chose et nous n'en sommes pas responsables ou dans une proportion si faible qu'elle en est quasi-insignifiante"

- un papier disant en gros "le climat change, nous en sommes responsables, et si vite, tous ensembles et par des moyens collectifs avec beaucoup de pub, de médiatisation et des banquets étatiques qui font la une des journaux, nous ne nous mettons pas à travailler ensemble, nous courrons à une catastrophe d'ampleur biblique avec des sécheresses, des inondations, des morts par millions, des chats qui baisent avec des chiens et plus de confiture au petit dej."

Je pense que le premier papier suscite 0 intérêt, et le second remplit en plus une condition essentielle : il permet l'auto-allumage journalistique.

En ce cas je suis quand même consterné par la stratégie des vrais scientifiques… Il faudrait peut-être la revoir au vu de son inefficacité flagrante!

J'avais oublié que la vérité en science se décréte à la majorité, et que ceux qui sont contre sont des négationistes.

L'argument du consensus c'est l'argument des ânes.

La liste des théories scientifiques qui furent communément admises et donc bénéficiant du consensus puis invalidées est un peu longue pour que je vous en fasse le détail.

PS : Pauvre Galilé, on a pas beaucoup progressé depuis!

Donc les créationistes minoritaires ont raison? Ce genre de généralisation ne mène à rien.

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Donc les créationistes minoritaires ont raison? Ce genre de généralisation ne mène à rien.

En science on construit une théorie et on la démontre.

Le nombre de personne en accord avec vous ne constitue pas une preuve de la justesse de la théorie!

Et se cacher derrière le consensus pour dire j'ai raison c'est une attitude de petit zizi!

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En ce cas je suis quand même consterné par la stratégie des vrais scientifiques… Il faudrait peut-être la revoir au vu de son inefficacité flagrante!

En somme, ils disent la vérité mais personne ne les écoute, c'est donc de leur faute ?! :icon_up:

Donc les créationistes minoritaires ont raison? Ce genre de généralisation ne mène à rien.

Vous ne saisissez pas le point central : la vérité scientifique ne provient pas d'un vote démocratique.

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Consensus signifie large accord, bien sur une majorité de 51% ne signifie pas consensus.

Bon, vous massacrez un peu trop facilement notre pauvre visiteur, ça mérite un p'tit coup de main :doigt:

http://www.sciencemag.org/cgi/content/full/306/5702/1686#

Et avant que vous ne sortiez le contre argument, déjà le contre-contre argument :icon_up:

http://timlambert.org/2005/05/peiser/

http://scienceblogs.com/deltoid/2007/09/sc…_to_oreskes.php

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J'avais oublié que la vérité en science se décréte à la majorité, et que ceux qui sont contre sont des négationistes.

La question n'est pas de savoir comment on détermine la vérité, mais comment celle-ci se communique. Pourquoi la majorité des gens semble-t-elle se satisfaire si facilement de la thèse du réchauffement climatique catastrophique et dû à l'Homme ? Le fait que cette thèse soit vraie ou fausse ne nous aide pas vraiment à savoir pourquoi tant de gens la considèrent comme vraie. Pour réfuter une théorie, une seule personne suffit, mais pour faire admettre la réfutation dans l'opinion publique c'est bien plus compliqué.

Ces voix semblent quand même minoritaires parmi les scientifiques. Comment se fait-il que l'erreur ne parvienne pas à être percée à jour? D'où vient la puissance du mythe du réchauffement climatique?

Quand on a Boudon comme référence on a déjà de belles clefs pour comprendre le phénomène. Je pense en particulier ce que Boudon nomme effet épistémologique. Sinon pour faire bref, un sujet bien compris par les spécialistes est généralement massacré dans le débat public. Que bien des spécialistes de la climatologie n'adhèrent pas à la pensée courante ne change rien, leur position n'est pas ou peu comprise, justement parce qu'il s'agit d'une position de spécialiste donc plus difficile à comprendre. De l'utilité de la vulgarisation dans la diffusion des idées. On pourrait faire un beau parallèle avec les libéraux et l'économie.

On a abordé ce genre de sujet il n'ya pas longtemps, notamment dans un fil ouvert par Appolon si je me souviens bien. (La vitesse de la vérité ?)

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